"S'il y a une nouvelle dégradation de la note de Bruxelles, une série de prêteurs disparaîtront", Nabil Jijakli (Credendo)

À quoi a donc servi le sommet de l'Alaska, vendredi dernier, entre le président américain Donald Trump et le président russe Vladimir Poutine? À flatter l'égo du premier? À légitimer le second aux yeux du monde? C'est plutôt flou. Mais ce qui est sûr, c'est qu'il faudra encore travailler pour aboutir à un accord sur la paix en Ukraine.

La situation se tend dans la bande de Gaza, alors que de plus en plus de pays dénoncent l'attitude du gouvernement israélien qui veut éliminer le Hamas à tout prix. Le ministre belge des Affaires étrangères, Maxime Prévot, plaide pour une reconnaissance de l'État palestinien au plus vite, avant qu'il ne soit trop tard. L'armée israélienne vient d'approuver un plan pour la prise de la ville de Gaza.

Cela fait quatorze mois qu'il n'y a plus de gouvernement de plein exercice à Bruxelles. Un compromis va-t-il, enfin, émerger à la rentrée? Le président des Engagés, Yvan Verougstraete, a été nommé facilitateur, en vue de relancer les négociations.

Dans cet épisode du Brief, Guillaume Cordeaux reçoit Nabil Jijakli, directeur général adjoint chez Credendo, groupe d'assurance-crédit, pour commenter l'actualité.

Ils parlent également des droits de douane américains, du record du Bel 20 la semaine dernière et du grand rendez-vous des banquiers centraux du monde entier.

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