Episode Transcript
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(00:00):
Bienvenue au podcast pivot. Mon nom est Jonathan Léveillé,
président d'open mind technologies.
Le Podcast pivot est diffusé afin d'inspirer et d'éduquer les
entrepreneurs ayant une idée de produits technologiques
innovantes, communément appelée SAS, plateforme web, application
web où mobile et qui désire maximiser leurs chances de
succès dans l'aventure. Nous partageons trucs, astuces,
(00:21):
histoire et succès, ainsi que des apprentissages d'échecs
d'entrepreneurs de renom. Le Podcast pivot est une
présentation de dev to seeo.com,filiale d'Open mind
technologies. Dave to seo.com aide
exclusivement les entrepreneurs ambitieux qui désirent
développer leur idée d'applications de logiciels afin
d'en faire un succès d'envergure.
(00:41):
Avant de débuter, je vous inviteà vous abonner et à activer les
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Cette semaine, sur le Podcast, on discute encore une fois
d'intelligence artificielle parce que c'est un sujet qu'on
(01:02):
voit qui vous intéresse et qui peut créer un bel effet de
levier dans votre organisation. Je suis en présence de Éric
Legault, CIO sur demande et associé chez Oficio.
Éric, comment vas-tu aujourd'hui?
Ça va très bien, merci Jonathan.Ça va bien également de notre
côté, on est super content de teparler parce que il y a beaucoup
(01:22):
de nos clients et de nos prospects qui viennent nous voir
puis qui nous disent. Je veux faire de l'IA, je veux
faire de l'intelligence artificielle alors qu'ils sont
déjà dans des projets qui leur demandent qu'il était beaucoup
de temps au niveau-là de tout cequi est le numérique et c'est
une couche supplémentaire là quiqu'ils doivent absorber de leur
côté. Il se demande également comment
(01:43):
qu'ils vont réussir à arriver auniveau disponibilité humaine,
disponible, financière égalementpour réussir à intégrer tout ce
qui s'en vient au niveau intelligence artificielle, il
semble déjà tirer là étirer au maximum dans dans leur capacité
au Day to-Day à. Les gens également ne
comprennent pas concrètement comment l'intelligence peut les
aider, mais ils ont tous la perception que ça va changer
(02:05):
leur quotidien très rapidement. De notre côté, nous, chez open
mind, on on on entend tellement souvent parler d'intelligence
artificielle. Les gens trouvent ça sexy, mais
ma perception c'est que c'est surestimé à court terme.
Et je m'explique quoi? Je dis surestimé à court terme,
c'est tout le monde pense que çava régler leurs problèmes dès
demain, mais la réalité c'est que moi ce que je mentionne aux
(02:27):
gens c'est oui, c'est un petit peu surestimé à court terme, on
en est pas là à régler tous leurs problèmes.
Il y a des beaux cas d'utilisation concrets qu'on
voit sur le terrain aujourd'hui qui peut créer un bel effet de
levier dans les organisations, mais c'est très sous-estimé à
long terme selon ma perception, parce que la courbe d'avancement
de l'intelligence artificielle n'est pas linéaire et on est.
(02:48):
Tellement habitué à avoir des cours d'avancement linéaire au
niveau technologique, celle-là elle est exponentielle.
Donc le cerveau humain n'est pascapable d'imaginer la rapidité à
laquelle ça va venir changer notre quotidien devant nous.
Donc ma perception peut estimer à court terme est très
sous-estimé à long terme. Et là on voulait apporter à nos
clients et les gens qui tournentautour de l'Open main quelque
(03:08):
chose qui serait simple pour euxà à faire à faible coût et
surtout qui est actionnable par rapport à un plan de match au
niveau de l'intelligence artificielle.
Et là on est tombé sur efficient, on est tombé sur la
gang efficient. Et la fameux parcours ia qu'ils
ont développé qui permet d'amener à faible coût des
réponses à toutes ces questions-là et à toutes ces
(03:30):
cette zone de flou là euh et donc qui permet d'apprivoiser
l'intelligence artificielle devant nous et surtout de
l'intégrer de manière efficace de manière rapide avec un beau
ROI. Un beau plan de match donc on
s'est dit pourquoi pas inviter la gang déficients à venir
parler d'intelligence artificielle et surtout du
parcours y a qu'ils ont développé à l'intérieur de chez
(03:52):
Faciaux, parce que je pense ça peut.
Changer l'avenir de votre entreprise définitivement si
vous suivez ce genre de parcourslà.
Donc c'est pour ça qu'on a Éric avec nous aujourd'hui, pour nous
parler du parcours. Mais avant d'entrer dans le
sujet, Éric, j'aimerais ça, peux-tu nous éduquer un petit
peu sur qu'est ce que est physio?
Et c'est quoi la mission des Physio?
(04:14):
Ouais Ben écoute, je pensais le plus beau secret garder à
Montréal. Moi j'ai joué un feu il y a il y
a environ un an et et et et physio, c'est c'est une
organisation, c'est une boîte qui va accompagner les
entreprises dans la couche stratégique au niveau des
technologies de l'information. Donc on va, on va aider soit
(04:36):
soit le CIO, le dirigeant qui, soit les dirigeants en
entreprise, les conseils d'administration et vraiment les
accompagner dans dans ce volet là de de.
De de bien définir stratégiquement qu'est-ce qu'on
veut faire, comment qu'on veut le faire, comment qu'on va
l'organiser? On peut faire des des
diagnostics, de la fonction TI, des diagnostics, de la gestion
(04:56):
des cyber risques, accompagner les entreprises dans des
parcours comme il y a. Donc on va parler justement
aujourd'hui des cours numériquesaussi.
Donc c'est c'est vraiment un accompagnement avec des un
réseau de collaborateurs, des gens seniors, des gens du qui
qui ont, qui ont joué leur rôle aussi, qui ont été des SIO.
Donc c'est dans notre ADN, dans notre mission.
(05:16):
C'est c'est un peu ça de faire élever la maturité stratégique
au niveau technologie d'information des entreprises.
Par notre expérience et notre coffre à outils et notre réseau
de de collaborateurs. Et c'est un grand réseau
extrêmement efficace vous offre également les services en mode
qu'on appelle un petit peu virtuel ou à temps partiel dans
(05:37):
les organisations. Donc y a quand même une
accessibilité à la fonction de CIO que vous apportez pour les
entreprises du Québec et moi, çase fantastique.
Vraiment félicitations. Donc voilà pour un peu ce qui
est idiot qui est sa mission. Maintenant, on retourne au sujet
qui était l'intelligence artificielle?
Première question de toi Éric, quoi s'en préoccuper au sein de
(05:58):
de son organisation, au sein de mon organisation, de cette
fameuse vague d'intelligence artificielle qui est en cours?
Bah écoute Jonathan, je pense qu'il s'est passé quelque chose
en novembre 2022 lorsque open eye a lancé cette mouture là de
chat GPT qui a créé un engouement, un engouement qui
est encore là aujourd'hui. Il a fait un peu référence
(06:21):
tantôt. Là il y a beaucoup de cacophonie
avec ça par contre, mais novembre 2022, on doit dire
c'est un jalon qui est arrivé etqui a amené à une une nouvelle
famille d'outils d'intelligence artificielle.
Faut avoir l'intelligence artificielle, c'est pas arrivée
en novembre 2022. Ça existe depuis très longtemps,
mais c'était vraiment dans dans les on va dire, peut-être dans
(06:45):
les universités ou dans les les les, les entreprises beaucoup
plus spécialisées. Mais là on peut y en novembre 22
nous amène cette mouture là de chat GPT et et et là y a y a un
engouement mais il y a aussi uneaccessibilité à cette
technologie là qui est arrivée, une démocratisation, un peu de
l'outil. Moi, dans les conférences, dans
(07:07):
les rencontres que je fais avec les clients, j'aime faire la
blague. Quand une nouvelle technologie
arrive, j'ai un indicateur qui m'embauche pour savoir si c'est
une mode ou si c'est Perrin, si ça s'installe, c'est ma belle
mère. Si ma belle mère me pose une
question sur une technologie, jele sais que c'est là la journée
que ma belle-mère m'a demander, Éric Chatte GPT, est-ce que
(07:28):
c'est dangereux? J'ai fait okay, c'est correct,
c'est là faut vraiment s'en occuper, alors ils vont, je
pense que la la la, comme je disais l'accessibilité, la
démocratisation, puis ça a amenéet et on a vu toutes les autres
formes hein. De de d'intelligence
artificielle générative qui sontapparues des autres
manufacturiers. Ben.
(07:50):
Là, on a quelque chose en entreprise qui peut facilement
et rapidement nous emmener de lavaleur ne cesse au minimum comme
un assistant dans nos tâches. Alors pourquoi s'en occuper?
C'est là, c'est c'est pas une mode, ça va pas disparaître.
Et mes. Jean l'utilise déjà à l'interne.
(08:11):
Et mes compétiteurs sont déjà entrain de s'en occuper fort
probablement alors. J'ai un nouvel outil qui est
apparu. Pas l'intelligence artificielle
mais vraiment la famille. Intelligence artificielle
générative, mais là il y a tout un écosystème qui se développe.
Tu parlais d'un d'un parcours linéaire de ça entièrement
(08:33):
d'accord avec toi, il y a une grande cacophonie aujourd'hui, y
a des choses qui vont se préciser, qui vont se, ça va
peut-être se rationaliser, ça vas'élever en maturité, mais déjà
au moins pour l'encadrer dans mon entreprise on on, on doit
s'en occuper et et c'est là et c'est accessible.
Et comme tu disais tantôt, il y a moyen.
À faible coût déjà d'amener de la valeur grâce à ça dans mon
(08:57):
entreprise. Et comme chef d'entreprise ou
comme exécutif, comment qu'on ondoit se positionner dans dans sa
propre organisation, là comment qu'on on, quelle posture qu'on
doit adopter à travers tout ça? Leadership, c'est, c'est c'est
le mot qui me revient comme comme dirigeant d'entreprise,
comme exécutif d'entreprise, je dois vraiment ce qu'on
(09:20):
recommande à nos clients en en fait et et à nos différents
partenaires avec qui on travaille, d'adopter une posture
de leadership avec l'intelligence artificielle de.
De commencer à créer un engouement à l'interne pour déjà
l'apprivoiser, ce que tu le disais un peu plus tôt?
(09:41):
C'est pas toujours évident. On a des questions des fois.
Éric, je veux faire de l'intelligence artificielle,
mais encore? Juste avec la question, on voit
que il y a une éducation à faire, donc.
L'apprivoiser, l'adopter, l'intégrer dans mon entreprise
c'est c'est c'est c'est le rôle de de l'exécutif, c'est le rôle
des exécutifs, des dirigeants d'entreprises de commencer déjà
(10:04):
à créer cet engouement. Là on on a un client que je peux
pas nommer mon, on a un client. Le Président déjà depuis
quelques mois exige pratiquementà ses ses, ses gens, à ces ces
ces direct reports en bon français.
De déjà exploiter les chats gpt de ce monde et de lui montrer
(10:25):
qu'est ce qu'ils font avec, puisqu'est-ce qui découvre avec ça?
Donc faut y a un train qui est en mouvement là et qui est en
mouvement rapide, donc cette posture là.
Pour amener ça dans l'entreprise, créer cet
engouement là là, les idées viennent souvent de la base
donc. Faut.
Hésiter, utiliser le. Il y a une gouvernance qui vient
(10:48):
avec ça. On a, on a un parcours
seulement, on va avoir un peu plus loin, mais vraiment là de
de de créer l'engouement, comment ça à l'exploiter et
développer la curiosité avec ça.Mais c'est vraiment une posture
de leadership qu'on recommande nos exécutifs là-dessus.
Et je trouve intéressante pour analogie par rapport aux trains
qui passent présentement. Je veux faire un lien avec ce
que je disais au début, que c'est une une technologie qui
(11:09):
est exponentielle. Le train a débuté en novembre
2022 à une vitesse de 50000 à l'heure, 50 km heure.
Peu importe, ça a roulé 100 km heure après 200 km heure.
Mais la réalité c'est que ça s'arrêtera pas là.
On va monter à du 500 km heure, du 1500 km heure, du 5000 km
heure. Le train passe et la vitesse à
laquelle il bouge ne s'arrêtera pas de croître.
Donc assurez-vous le plus rapidement.
(11:34):
Possible de sauter dans le trainparce qu'en il va rouler
tellement vite que vous serez pas capable de le rattraper
malheureusement? C'est une erreur tout à fait.
C'est un c'est un excellent emploi.
Et si tu permets Jonathan, il y a il y a comme 2 écoles de
pensées avec ça aussi hein. Il y a il y a ceux qui ont qui
en ont peur. Et qui prévoit des catastrophes
avec ça? Et il y a ceux de l'école de
(11:56):
pensée, du verre à moitié plein dont nous on fait partie, c'est.
Est-ce qu'il y a des emplois quivont changer avec ça?
Entre autres? Une question qui revient
souvent, oui, mais c'est sûr qu'ils vont apprendre à
l'utiliser, qui vont vraiment sedémarquer à ce niveau-là.
Donc on est entièrement d'accordavec toi, le train va vite, faut
(12:17):
embarquer dedans. Maintenant chaque journée qu'on
s'en occupe pas, il accélère. Exactement.
Et on vit un petit peu ce qui s'est passé au début des années
0,19$ quand que tout le monde sepromenait à à à chevaux.
Et finalement l'automobile est arrivé.
Toutes les forgerons avaient peur de perdre leur travail.
Et personne n'imaginait la quantité de d'emplois qu'elle
ait créé par l'avenue de l'automobile qui aujourd'hui est
(12:38):
un pan de l'économie extrêmementfort.
Donc on voit plus souvent le négatif, les gens qui risquent
de perdre leur emploi, mais y a beaucoup d'emplois qui vont être
créés, c'est un peu la même chose.
Je pense qu'il se passe avec l'intelligence artificielle, on
peut pas dire qu'on qu'on va l'arrêter, c'est en marche
pareil, comme quand la voiture est arrivée.
Maintenant, concrètement, comment ça se déploie dans mon
organisation ou dans nos organisations si on veut aller
(12:58):
de l'avant là? En, on a chez scio réfléchi à ça
et c'est là et c'est là qu'on a développé ce qu'on appelle notre
cours. Y a vous allez voir sur notre
site aussi. A 3, 60 parcours, il y a donc
c'est une approche où on le saiten entreprise, dans les
organisations. Quand on a une idée et on a un
(13:19):
besoin, on veut aller vite donc on veut rapidement tomber en
mode réalisation. On se concentré à développer un
volet en amour qui est vraiment la préparation de ça, comme si
je veux faire un marathon. Je m'inscrirais pas ce soir pour
aller faire un marathon dimanche, ça se peut que ça soit
pas efficace comme performance. Je vais me préparer pour faire
(13:40):
ça. Alors c'est là qu'on a.
On a développé cette démarche làde de préparation à l'intérieur
du parcours. Il y a en 5 phases.
Si je les résume rapidement? Il faut d'abord sous forme
d'atelier, soit dit en passant, on va encourager les entreprises
à définir et à communiquer leur intention avec ça, hein?
(14:01):
Pour ceux qui connaissent bien l'auteur de Simon Sinek, tout
commence avec le pourquoi? Donc je vais je vais définir à
l'intérieur de mon organisation,dans mon contexte, qu'est-ce que
je veux faire avec ça? Qu'est-ce que je veux?
Développer vers où je veux aller, je vais développer une
vision et je vais la communiqueret la communiquer vraiment.
(14:25):
Top down de haut en bas au sein de mon entreprise, comme je
disais tantôt, les bonnes idées viennent du plancher, donc
vraiment communiquer cette intention là jusqu'en bas de la
hiérarchie pour s'assurer que onon crée un peu l'engouement dont
je faisais référence tantôt. Une fois qu'on a fait ça.
Là on va tomber dans le le, le moi, le bout que j'aime
(14:47):
beaucoup, qui est l'idéation. Que j'appelle aussi.
Des fois on va lancer des boulettes au mur, puis on va
regarder lesquels qui collent. Donc là on va commencer à
réfléchir de façon boîte ouverte.
Peu importe quelle idée, quelle opportunité qu'on peut voir au
sein de notre entreprise qui quiferait du sens.
Donc peut être que l'intelligence artificielle
(15:08):
pourrait nous aider à se démarquer, à régler un problème,
à à à à peut-être créer 11111 nouveau produit au sein de notre
entreprise, de d'améliorer l'efficacité, l'efficience, peu
importe. Donc on va faire des ateliers,
on va regrouper des gens de toutes les secteurs de
l'entreprise et de tous les niveaux.
Et j'encourage beaucoup à amenerles gens de la base, les gens du
(15:29):
terrain qui utilisent vos technologies, puis qui
exploitent vos processus. Et là on va faire le volet
d'idéation. On va réfléchir pour identifier
des idées. Peu importe les idées, les idées
les plus folles sont toutes acceptées à cette étape là.
Et on on, on va commencer à identifier des éléments.
(15:50):
Ensuite de ça, Ben là on va vouloir.
Choisir lequel là-dedans? Parce que là on a créé on, on
s'est créé un appétit, on s'est créé un engouement, on est rendu
à cet étape là et il faut savoirlequel choisir.
Donc on va y aller, on on va réfléchir là-dessus pour
déterminer le, le, lequel ou laquelle de ces idées là est un
(16:11):
pilote potentiel pour atteindre les vraiment, les les intentions
qu'on a développées en amont. On a une phase qui est toute
l'aspect organisationnel et et et là c'est le temps de vraiment
de de regarder comme je veux. Réveiller ça au sein de mon
organisation est ce que je veux avoir une façon centralisée de
(16:36):
le faire est plutôt, je mets un cadre et je décentralise et
j'encourage ça. Il y a des contextes dans mon
entreprise et dans mon secteur d'activité qui peuvent faire en
sorte que je préfère centraliser, décentraliser, y
mettre un câble. Donc on va regarder le volet
aspect organisationnel là-dessus, le volet des
champions, le volet de la gestion du changement.
(16:56):
On va aussi encourager les entreprises fortement à la
sensibilisation par rapport à l'utilisation de ces outils là,
comment je les utilise, est-ce que je les utilise de la bonne
façon en fonction de mes valeurs, de ma mission, le
niveau éthique et et quelle information je peux y mettre si
j'utilise un une une version publique d'un outil dia
(17:20):
génératif par exemple chat GP pour ne pas le nommer encore une
fois. Mais quelle sorte d'informations
je peux mettre et ne pas mettre donc vraiment le.
Le volet d'aspect organisationnel que je vais bien
encadrer là-dedans. Alors là, on, on a notre
intention, le communiqué. On a réfléchi à des idées, on a
sélectionné un pilote. On a organisé notre entreprise,
(17:41):
Ben là, c'est le temps-là de de se mettre une feuille de route,
de se bâtir une feuille de routequi va nous emmener vers la
phase de réalisation où là on vaaller chercher fort probablement
des spécialistes qui vont venir nous aider là-dedans et là on va
regarder les aspects de données,ce que j'ai la bonne donnée.
L'intelligence artificielle, peuimporte la saveur, c'est un
(18:01):
ordre de données, ça consomme une quantité phénoménale de
données et c'est ce qui fait quec'est si populaire aujourd'hui,
c'est qu'on a la technologie pour être capable de traiter,
ingérer, traiter ces données là à une vitesse phénoménale, à une
quantité incroyable. C'est fou ce qu'on peut faire
aujourd'hui sans rentrer dans les les, les, les,
(18:23):
l'apprentissage profond et ces choses là.
Mais c'est des choses qu'on entend.
Donc on va aller chercher des experts qui vont nous aider
là-dedans et ensuite on va commencer.
Ben on va tomber dans un projet qui est une structure de projet
qui est un peu plus standard. Je veux dire, on va commencer à
choisir le bon outil technologique en fonction de
l'opportunité que j'ai saisie dupilote que j'ai choisi.
(18:44):
On va faire nos tests, on va ajuster, on va personnaliser, on
va développer. Peu importe la la tangente qu'on
a voulu prendre comme solution, on va se mesurer et ensuite on
va regarder. Ben ce que c'est quelque chose
qu'on peut faire et qu'on veut faire évoluer.
Vrai qu'on a voulu chez les sélectionner le pilote jetable.
Peut-être que c'est quelque chose qui doit être Perrin et
(19:05):
est-ce que ça répond à nos nos intentions de base et peut être
un dernier commentaire sur le volet feuille de route?
Tu as fait référence? L'intelligence artificielle et
particulièrement l'intelligence artificielle générative évolue à
une vitesse phénoménale. Donc ça donne rien de se mettre
une feuille de route de 5 ans làoubliez ça, on est dans le
(19:26):
quelques mois là et de revenir rapidement là-dessus pour la
faire évoluer en fonction de justement l'évolution de ces ces
technologies là. Donc le parcours y a permet
d'amener un coffre à outils courant encadré pour partir de g
aucune idée par où commencer ou m'en aller là vous structurez
tout ça pour aller chercher les bonnes idées, les codes
(19:48):
d'exemples problématiques dans l'organisation, comment qu'on
peut peut-être les solutionner avec certains types
d'intelligence artificielle. Mais là on arrive avec plein de
bonnes idées j'imagine. Faut appliquer certains critères
de sélection sur ces bonnes idées là en cours de route, là
parce qu'ils doivent avoir beaucoup d'idées qui sortent
beaucoup de potentiels problèmesqu'on voudrait essayer
d'explorer à régler que l'intelligence artificielle.
Ça ressemblerait à quoi ces fameux critères là à ce
(20:10):
moment-là pour dire qu'est-ce qu'on passe en premier à pour
essayer d'avancer puis de faire un pas en avant là?
Ben on va y aller généralement dans une approche, je veux dire
qui qui est assez standard, moi qui est très visuel, là je vois
une matrice, là généralement c'est ce que que je dessine ou
que je présente à nos à nos clients, avec qui on fait ces
ces ateliers là, une matrice où je vais estimer pour chacune des
(20:32):
opportunités, des scénarios, quelle est la valeur que cette
opportunité là je pense peut apporter dans mon entreprise et
quelle est la faisabilité aussi.Alors là on va avoir une matrice
où on va classifier comme ça nosnos.
Nos idées, nos scénarios et. Et ça va nous permettre
d'éliminer ceux peut-être. La faisabilité est pas là ou la
(20:52):
ou la valeur n'est pas là, pas tout de suite et se concentrer
sur celles qui sont le, le, le, le le plus important, qui.
Le plus haut? Et à ce moment-là, peux-tu me
parler un peu? Comment que vous allez?
C'est quoi la façon ou la méthodologie que vous utilisez
ou les critères pour prioriser par la suite ces projets là?
Ouais bon, et c'est sûr et certain que ça.
(21:14):
On va prendre acte du contexte de l'entreprise, de son secteur
d'activité et et. Et là il y a différents critères
qui va arriver. Mais généralement on va, on va
tourner autour. D'abord, on va revenir à la
base. Mon entreprise, généralement
elle a un plan stratégique, ellea des objectifs stratégiques.
Donc est ce que les les idées, les scénarios que j'ai et et
(21:37):
lesquelles quelques pilotes que j'ai en tête appuient vont dans
le même sens que mon plan stratégique et vont m'aider à
amener de la valeur au niveau demes objectifs stratégiques.
Un premier critère si je suis à côté de ma ma mission est de ma
vision. On n'est pas, on n'est pas à
bonne place nécessairement. Parlait des données.
(21:58):
Est-ce que j'ai. Les bonnes données, est-ce que
j'ai la bonne quantité de données et est-ce que j'ai la
bonne qualité de données aussi? C'est vraiment le nerf de la
guerre au niveau des solutions d'intelligence artificielle.
Ça prend une quantité phénoménale de données, mais ça
prend une donnée. Je vais dire qui est en santé
(22:19):
pour ce que je veux faire et. C'est là des fois que le bât
blesse, où on est obligé de jouer un peu avec nos nos
différents scénarios. On va regarder la complexité
technique de faire ça. J'ai peut-être une opportunité
qui va m'amener une valeur phénoménale, qui va me démarquer
par rapport à ma compétition. Mais la complexité technique
(22:42):
pour y arriver, elle est beaucoup trop grande ou
nécessite des investissements que je ne peux pas me permettre
à ce moment-ci. Parenthèse chez FIO aussi.
Ce qu'on essaie dans on essaie d'accompagner les entreprises
pour identifier quand c'est possible.
Il y a des subventions qui existent au Québec quand on en
entend parler beaucoup et et faut faut faut en tenir compte
(23:03):
ça. Donc on va essayer de de
d'accompagner là-dedans. Donc je reviens à ma faisabilité
technique, est-ce que ça existe?Est-ce que ce que je veux faire
c'est ésotérique aujourd'hui? Peut-être ça va être correct
dans 6 mois. L'expertise.
Est-ce que j'ai l'expertise à l'externe?
Est-ce que l'expertise existe dans mon environnement, dans mon
entourage, dans mon écosystème? Est-ce qu'elle existe en
(23:26):
français selon où est-ce que je suis dans mon entreprise?
D'une réalité pour certains clients?
Peut-être. L'expertise, elle existe, mais
elle est aux États-Unis et c'estc'est c'est difficile à à mettre
en place chez nous. Est-ce qu'on est en mesure de
d'évaluer l'impact de ça? Au départ, on on se donne des
intentions, on communique les intentions, donc on va commencer
(23:48):
à réfléchir à comment qu'on va mesurer l'impact de ça.
Est-ce qu'on atteint la valeur qu'on voulait?
Donc au final, est-ce qu'on est en mesure de le mesurer ça?
Ce qu'il y a des risques dans mon entreprise dans mon secteur
d'activité, je peux être une entreprise dans le
pharmaceutique, une entreprise dans le secteur du détail qui
qui a une grosse réglementation au niveau du paiement, par
(24:08):
exemple, les données sensibles, la loi 25, ces choses-là.
Alors, selon mon contexte, selonmon secteur d'activité, quels
sont les risques que je dois tenir en compte au niveau de de
la conformité à laquelle je suisassujetti ou à la réglementation
à laquelle que je suis assujetti?
Et là, on va regarder. J'en ai parlé un petit peu
tantôt. Ce que c'est une solution qui
(24:30):
peut évoluer, est-ce que c'est une solution?
Que je peux ajouter des fonctionnalités, ajouter de la
valeur, la faire évoluer, la faire grandir, puis finalement
peut-être ce que j'ai, l'engagement de mes parties
prenantes. Est-ce qu'à l'interne, en amont,
dans ma préparation, j'ai bien été chercher l'engagement de
tout le monde? Souvent on a des bonnes idées,
(24:50):
voir avec ça, mais peut-être qu'en amont la gestion de
changement a été négligée. On n'a pas l'engagement des
gens, donc c'est généralement les les les critères qu'on va
retrouver là. Pour prioriser comme ça.
Et sur le terrain, nous, c'est souvent là qu'on voit qu'il le
blesse, dans l'engagement des parties prenantes ou du moins de
réussir à dégager le temps requis.
(25:10):
Puis le focus requis n'existe pas encore d'intelligence
artificielle qui permet de par elle-même l'idée ce genre de
projet là. Donc il nous faut toujours un
humain pour être notre champion,notre leader de ce type de
projet. Là ma question pour toi Éric,
là-dessus, c'est comment déterminer la bonne personne
ressource pour ce type de projetlà dans nos entreprises?
(25:31):
Comment? Comment?
Vous voyez ça de votre côté-là? On revient beaucoup.
Je vais faire une petite parenthèse.
On revient beaucoup avec nos clients, que ce soit dans le
parcours il y a ou dans différents accompagnements qu'on
fait avec nos clients sur un concept en en gestion des
technologies dans nos dans nos entreprises qui est le vieux
(25:51):
concept des années 60. People, process Technology,
l'humain, les processus, la technologie.
J'ai des humains, j'ai des gens dans mon entreprise qui ont des
responsabilités, qui ont des tâches, qui ont des imputabilité
dés on va greffer à l'intérieur de ça des processus, des façons
(26:12):
de faire qu'on va définir dans nos entreprises avec plus ou
moins de succès en maturité. Mais on on va mettre en place
des processus, on va mettre en place de la technologie, on va
investir dans dans la technologie aussi pour s'assurer
que ces gens-là sont en mesure de bien exploiter et de bien
opérer le processus ou les processus que j'ai mis en place.
(26:34):
Donc ça, c'est un équilibre qu'il faut constamment maintenir
dans une organisation. Selon nous, évidemment, c'est
dans notre ADN. La meilleure personne pour faire
ça. Ben généralement c'est le CIO,
c'est le dirigeant des TI. Pourquoi?
C'est lui qui a l'imputabilité de maintenir cet équilibre-là
entre la technologie, les gens et les processus et c'est en
(26:58):
tout respect pour mes collègues de toutes les autres services et
tous départements dans une entreprise.
C'est les TI, c'est la les technologies de l'information
qui ont le rôle le plus transversal dans une entreprise,
hein? À tous les matins, tous les
employés, comme je me disais, s'en fâchent dans la
technologie. Je dois m'identifier sur mon
(27:19):
ordinateur, mon mfa et tout. Ah, je dois faire ça.
La technologie, elle est toujours là.
Donc les les TI, c'est c'est le rôle le plus transversal, donc
le CIOA nécessairement une bonnevue sur l'ensemble des secteurs,
l'ensemble des services, leurs rôles, l'interaction entre.
Chacun d'eux, les flux d'informations, les requis de un
(27:41):
de l'autre. Et il a l'expertise de la
technologie, c'est lui qui qui qui qui est la conscience
technologique, hein, de de de l'entreprise.
Euh. Puis dans nos plus grands rêves,
on veut les emmener à devenir des innovateurs en chef et des
catalyseurs de valeur dans l'entreprise.
Et de par leurs connaissances technologiques, ils doivent être
(28:02):
aussi des vulgarisateurs. Donc la, c'est toute une
responsabilité. On on, on va se le dire, mais
c'est c'est vraiment le rôle qu'on voit qui est le mieux
adapté à l'entreprise. Pour avec l'exécutif, mener à
bien ces ces projets là et et d'être le le le catalyseur là
comme je disais là, réaliser ça.Donc le CIO serait la bonne
(28:27):
personne pour porter ce genre deprojet.
Là là j'entends et je vois déjà des gens qui se grattent
derrière la tête de dire j'ai pas de CIO dans mon
organisation, je savais même pasque ça existait.
Ou du moins on n'a pas un roadmap pour ça.
Qu'est-ce que je fais? Je te retourne la question,
Éric, qu'est-ce que vous offrez,qu'est-ce que vous faites pour
aider les entreprises qui sont dans cette situation là?
(28:47):
Ouais puis au Québec, Hein, on est un une au Québec et au
Canada même, hein, c'est les PMEqui sont en en grande partie
qui, qui, qui, qui, qui, qui, qui vraiment alimente toute
notre économie. Mais c'est il y en a, il y en a
peu vraiment qui ont des scénarios.
On va se dire la la vérité d'avoir un dirigeant DTI qui a
(29:09):
ce rôle là de leader technologique et de maintenir
cet équilibre-là c'est pas tout le monde qui peut se permettre
de l'avoir. On va généralement avoir des
des, des, des, des bons, des techniciens, des administrateurs
de systèmes, des gens qui vont s'occuper de de la portion
technologie, mais les 2 autres volets sont malheureusement
(29:30):
négligés ou on n'est pas rendu là peut-être dans notre
évolution. À nous chez felicio, c'est c'est
ce cet espace là qu'on vient accompagner les entreprises, ça
peut être par intérim, ça peut être de façon adoc, ça peut être
à la demande hein. On a des on se, on se décrit
comme des CIO à la demande donc donc donc on va venir
(29:53):
accompagner les entreprises à à combler ces ces écarts là dans
le leur rôle de leader technologique que CIO
généralement aurait. Et c'est c'est c'est là-dessus
vraiment qu'on qu'on vient. Oui, et de d'être le
vulgarisateur pour la la, la direction pour les exécutifs,
(30:16):
pour les unités d'affaires et d'être celui qui est en mesure
d'actionner aussi avec les gens de technologie dans
l'entreprise. Donc il y a des solutions et et
c'est, c'est vraiment le volet nous qu'on qu'on exploite et
avec lequel on a vraiment du succès avec nos avec nos
clients. Il y a des belles réalisations
là-dedans et. Ça coûte pas une fortune de
(30:37):
faire ça? Puis selon l'évolution ensuite
de l'entreprise, selon comment il progresse dans sa maturité,
dans sa croissance. Ben là, certain moment donné,
OK, Ben là on va mettre, on va mettre 1CIO en place et on peut
les accompagner à faire ça aussi.
Et je trouve intéressant cet aspect-là qui a pas beaucoup
d'entreprises qui ont de IO. Je suis tombé sur une
(30:58):
statistique l'autre fois qui m'acomplètement renversé, que je
repartage très souvent. Maintenant, il y a une
fondation, la Fondation Walter JSummers, qui est liée à HEC
Montréal, qui sort à chaque année le bilan de productivité
du Québec. Et la dernière fois qu'on a pu
se comparer le Québec en termes de richesse créée par heure au
niveau de la productivité versusd'autres nations, les chiffres
(31:21):
et les suivants. Au Québec, environ 57$ de
productivité qu'on génère par heure travaillée dans le secteur
privé, aux États-Unis, 96$ dollars.
On est sur le même continent, ona accès pratiquement aux mêmes
ressources et on est à peu près 60% en retard ou on peut le
(31:42):
voir, le verre à moitié potentiellement plein, on a 60%
bien saisissable devant nous et c'est souvent parce qu'on
intègre pas assez la technologiedans nos organisations.
J'entends beaucoup d'entreprisesdire, je manque de temps, je
manque de gens, je manque de main-d'œuvre et je leur réponds
bêtement, vous manquiez de tech,vous manquiez de stratégie au
niveau de votre tech, vous manquiez d'intégration au niveau
(32:04):
tech? On a tellement.
De excusez-moi l'expression, l'eau hanging fruit qu'on peut
aller chercher ici au Québec. Et la preuve c'est que les
États-Unis le font et les chiffres sont là.
Donc le rôle de CIO est quelque chose que je pense que les
entreprises se doivent d'explorer, d'implanter le plus
rapidement possible dans leur organisation, sinon d'utiliser
un efficient de ce monde pour venir aller chercher la la
(32:27):
capacité on demand à ce moment-là.
Donc je recommande fortement d'explorer ce genre de de de
d'avenue là au bout de la ligne.Maintenant, concrètement, lequel
serait la prochaine étape? Éric, pour les gens qui nous
écoutent, qui disent Je veux avancer au niveau de l'IA.
Exemple, le parcours IA. Quelles sont les prochaines
étapes et surtout combien ça peut coûter à peu près là.
(32:47):
C'est quoi le budget requis pouravancer avec ce genre d'exercice
là là? Les.
Le budget est pas élevé de quelques milliers de dollars, là
on est vraiment en bas de 10000$là, quelques milliers de dollars
là pour faire des ateliers tout dépendant où est-ce qu'on veut
aller aussi là mais pour faire vraiment la la portion de
préparation. Comme je parlais tantôt, on va
(33:09):
faire les ateliers pour apprivoiser l'i a commencé à
l'adopter, l'intégrer chez nous et s'organiser des ateliers
quelques milliers de dollars. Là déjà on fait un grand pas et
on met le cadre en place pour qu'il commence à être exploité,
que nos gens commencent déjà. À et et et tirer des bénéfices
et emmener de la valeur et comment qu'on le sait, Ben
(33:30):
lâchez-moi. Coup de fil, elle est sur notre
site webwww.officio.ca 1F et vous allez voir l'ensemble de de
nos produits, nos coordonnées aussi sont là, vous pouvez
prendre rendez-vous avec nous pour des ateliers, ce que
beaucoup de clients font souvent, c'est comme ça que ça
part. Là il y a les gens vont sur
notre site web, vont nous nous planifier une plage ou on va
faire un atelier, on va échangerdes idées et ensuite de ça Ben
(33:53):
on. On adapte et on fait les les,
les ateliers, on met en place ceparcours là qui qui est simple.
Qui est animatique, qui est concret et rapidement à peu de
frais. On voit déjà dans les
entreprises de C okay, là je vois, je vois le que ce qu'on
voulait dire, puis je vois la valeur et et là j'ai des idées.
(34:14):
Là on part. Et et c'est ce qu'on aime de
votre approche et c'est pour ça que je suis très emballé là
qu'on puisse en parler aujourd'hui, l'auditoire, c'est
concret, ça coûte pas des centaines de milliers de
dollars, on avance, on éduque les gens, on structure ça.
Vous avez fait un beau coffre à outils pour accompagner les
entreprises québécoises, donc jevous souhaite beaucoup de succès
avec ce programme là et j'espèreque vous allez avoir la chance
(34:36):
d'accompagner beaucoup d'entreprises ici au Québec.
On a du retard frappé sur nos confrères de l'autre côté de la
clôture, je termine l'épisode enmentionnant souvent quand on
désire intégrer l'intelligence artificielle ou intégrer des
choses qui qui relient les défenses artificiel.
Souvent il nous manque les données, il nous manque les
interfaces, il nous manque les ponts de données derrière tout
ça. C'est là qu au niveau d'open
(34:56):
mind, on est capable de venir s'y interfacer dans tout ça et
venir apporter de la valeur au final dans les projets
d'intelligence artificielle. Mais il vous faut 1CIO soit un
domaine ou à temps plein chez vous pour être capable d'amener
la stratégie qu'on peut venir s'imbriquer et apporter un
maximum de valeur ou de la ligne.
On déteste ou plutôt on refuse les projets qu'on peut pas
(35:16):
apporter de la valeur et c'est le CIO qui va être un des
meilleurs positionnés pour venircalculer.
Cela tout sur investissement là potentiel.
Donc merci beaucoup Éric de ton généreux temps aujourd'hui pour
venir nous parler du programme que vous avez développé, toutes
les liens qu'on vous parlait. Le profil LinkedIn également
d'éric sera disponible dans les notes de l'épisode le lien vers
(35:37):
officio vers le parcours il y a vous pouvez vous fier
directement aux notes de l'épisode et pour ceux qui nous
écoutent, qui vont suivre le parcours, il y a, on vous
souhaite un très bel, un très bel exercice et une belle
expérience. Ça va être positif sans aucun
doute. Merci Éric d'avoir été des
nôtres cette semaine. Merci à tous d'écouter le
podcast. Si vous avez apprécié ce
(35:58):
contenu, on vous demande 2 petites choses de prendre 17
secondes de votre temps mais ça sur pause première demande qu'on
vous fait c'est d'aller mettre un 5 étoiles sur votre
plateforme de balado préféré. Et la 2e chose qu'on vous
demande cette semaine, il y a assurément quelqu'un dans votre
entourage que vous pouvez faire un wow ou en envoyant cet
(36:18):
épisode là vous avez sûrement pensé à certaines personnes dit
Oh j'ai Paul ou jeune dans telleentreprise que je connais que ça
pourrait. Répondre un peu à son son
problème ou son besoin, s'il vous plaît faites nous plaisir.
Envoyez ce balado là à un, un collègue, un confrère, quelqu'un
dans une autre entreprise pour l'aider.
Ça nous aide en même temps et çanous encourage à faire d'autres
(36:39):
épisodes de la sorte qu'on rend gratuitement et avec amour pour
vous à chaque semaine. Donc merci encore une fois
d'être des nôtres et je vous disà la semaine prochaine et merci
Éric. Bonne fin de journée et bonne
semaine. Merci.
Merci encore une fois d'avoir été des nôtres.
Cette semaine, nous produisons ce contenu gratuitement et avec
(37:00):
amour pour vous. Donc si vous pouvez en échange
prendre seulement une petite 10 secondes de votre temps pour
mettre sur pause et aller mettre5 étoiles sur Spotify et Apple
Podcast, ça fait toute la différence pour nous et ça nous
encourage à continuer. On est également curieux de
savoir ce que vous avez aimé et qu'est-ce que vous aimeriez
entendre sur le podcast dans lesprochains trimestres.
Donc n'hésitez pas à venir m'écrire directement sur
(37:21):
LinkedIn. On moi j'entends la veillée et
je vous dis à la prochaine.