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August 25, 2025 40 mins

Open-weight chez OpenAI : pourquoi c’est gros.

Jonathan explique comment deux modèles « OSS » téléchargeables à 0 $ d’utilisation ouvrent la porte à des déploiements sur vos propres serveurs — avec, pour la première fois, la possibilité d’influencer les poids du modèle (la fameuse “console de mixage”) pour ajuster l’output à votre réalité.

💡 Au menu :
Deux modèles à 0 $ d’usage que vous pouvez installer on-prem; performances jugées très proches d’O3 en réflexion.
Open-weight vs open-source : on n’ouvre pas le code, on donne accès aux poids; métaphore de la console de mixage pour comprendre comment on peut rehausser/atténuer certains signaux et donc l’output.
Tailles & infra : 20B (tourne sur petite machine) vs 120B (serveurs/GPU), avec des benchmarks ~O3; intérêts sécurité/coûts quand tout reste en interne (courriels, données sensibles).
Cas concret : triage automatique de CV avec score sur soft skills, hard skills et critères du poste pour accélérer la short-list.
Impacts business : les modèles deviennent une commodité; la vraie bataille se jouera sur l’UX, les agents et les intégrations (OpenAI part avec moins d’infra cloud que d’autres).

Mark as Played
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(00:00):
Mais c'est vraiment impressionnant ce qu'ils ont
sorti. C'est 2 modèles, 2 cerveaux
numériques que maintenant on peut télécharger, installer sur
nos propres machines et utiliserpour 0$ de frais d'utilisation.
Ça veut dire maintenant que dansvotre organisation fait
télécharger un cerveau numériquequi a coûté des milliards de
dollars à développer. Et si le résultat à la fin vous

(00:20):
le trouvez pas assez wow pour latâche, peut-être que vous lui
donnez et vous pouvez maintenantinfluencer sur le résultat, au
plus du moins comment il va traiter les résultats dans son
dans son détail. Est-ce que ces modèles
openweight, comment peuvent-ils s'intégrer dans notre quotidien
et également est ce que tout le monde peut réellement
bénéficier? Donc on est de retour sur le

(00:46):
podcast numéro un en entrepreneuriat dans le monde
francophone. Et bien entendu, vous connaissez
le podcast et le Podcast hyper croissance en mode et discussion
d'affaires, avec nul autre que Jonathan Léveillé, expert IA
numéro un dans la francophonie également.
Jonathan, comment vas-tu aujourd'hui?
Une forme Antoine aujourd'hui j'imagine.
Toi aussi. En pleine forme, la pression que
je te mets sur les épaules est très basse.

(01:06):
Donc on va parler j'imagine de IA, d'intelligence artificielle,
des nouvelles qui se sont mis dans.
Notre quotidien dans les derniers jours dans les
dernières semaines, on était pris un peu de cours dans les
derniers jours parce que rappelle toi, on avait le mode
agent de Jupiter qui est sorti, on en a parlé quelque peu. 2
jours plus tard, c'était Jupiter5 et à cause de ces nouvelles

(01:27):
assez importantes, qui d'ailleurs on a fait des
podcasts dans les dernières semaines que je vous invite à
l'écouter si voulez en savoir unpetit peu plus.
Un nouveau lancement également s'est fait avec 2 modèles qu'on
appelle open White qui passent un petit peu inaperçu.
Parce que bien entendu, ça l'a été.
Mis un petit peu sous le radar avec les les derniers lancements
que je viens de mentionner, peut-être je pourrais éclairer
un peu notre audience aujourd'hui de qu'est-ce que ces

(01:49):
modèles open Weight? Comment peuvent-ils s'intégrer
dans notre quotidien? Et également, est-ce que tout le
monde peut réellement bénéficier?
Seulement, je veux juste commencer par enlever une couche
de pression. Antoine, comme je fais à chaque
conférence que je donne sur l'intelligence artificielle,
tout le monde dit, Jonathan, Tu dois être un expert.
Je dis simplement, si quelqu'un qui est un expert, c'est un
menteur ou être expert dans quelque chose, il faut 10000

(02:11):
heures dans un sujet précis. Et c'est pas vrai que.
L'intelligence artificielle sousla forme d'aujourd'hui existe
depuis plus que 10000 heures donc je suis quelqu'un qui est
très passionné de l'i a et j'aime ça.
Aider à simplifier le sujet chezOPEN mind, on s'y intéresse
énormément pour aider les entreprises à s'élever par l'IA.
Mais loin de moi à prétendre queje suis expert, je suis un grand

(02:31):
passionné qui assimile l'information et qui la
retransmet à l'équipe et dans nos projets.
Donc voilà pour commencer là-dessus.
Maintenant. Par rapport à ce qui est OPEN,
il a lancé les 2 modèles qui se nomment OS qui est sont
effectivement des modèles à poids ouverts.
On va décortiquer c'est quoi là?Parce que ça a l'air complexe
là? Juste donner l'importance de
cette nouvelle là. Quand open eye était fondé il y

(02:55):
a plusieurs années de ça, le butc'était que ça soit de
l'intelligence accessible pour tous.
Donc le mot open était qu'à forte chance, les modèles
allaient être ouverts. Qu'est-ce qu'on veut dire à ce
moment-là? Par un modèle ouvert, c'est que
le code source est disponible. Donc on peut télécharger ce
fameux code source, là l'installer sur nos propres
machines, sur nos ordinateurs, sur nos serveurs, et voir
comment ça, ça fonctionne en arrière à ce moment-là.

(03:16):
Donc juste pour démystifier qu'est-ce qui est entre ouvert
ou fermé pour les gens qui nous écoutent.
Mais open eyes a toujours été fermé finalement, depuis son
inception en 2016. Si ma mémoire est bonne, il
n'avait jamais ouvert la boîte de Pandore à dire, voici comment
nos cerveaux numériques fonctionnent, donc nos modèles.
Et ça a été vraiment une controverse un petit peu

(03:37):
partout. Ils avaient annoncé il y a 3
mois qu'ils arrivent. Ils allaient bientôt arriver
avec un cerveau numérique ouvert.
Sous quelle forme? On le savait pas, maintenant on
le sait, c'est pas ouvert au niveau du code source mais
ouvert au niveau des poids et onva on va venir pour démystifier
les poids dans quelques instants.
Et là tout le monde s'attendait dire ça va être le fun open, il

(03:58):
va arriver quelque chose, mais ça risque d'être quelque chose
qui est. Avec une force équivalente de y
a un an ou 2 d'open Air. Parce que s'ils amènent ça aussi
transparent, c'est pas vrai qu'ils vont amener ça à un
niveau extrêmement fort pour venir compétitionner leur propre
modèle, leur propre cerveau numérique et présentement est
une machine à argent. Même s'ils sont déficitaires, au
final, ça commence à générer desmilliards de dollars de revenus.

(04:21):
Et là la nouvelle est tombée, mélangée à travers d'un paquet
de nouvelles qui fait que ça s'est étouffé un petit peu à
travers tout ça. Mais c'est vraiment
impressionnant ce qu'ils ont sorti, c'est 2 modèles, 2
cerveaux numériques qui ont maintenant on peut télécharger.
Installé sur nos propres machines et utiliser pour 0,00$
de frais d'utilisation en soit oui ça va vous coûter
l'infrastructure sur laquelle vous allez installer les

(04:43):
modèles, donc le serveur, la personne qui va configurer le
serveur, faire la maintenance, mais le modèle lui-même en tant
que tel un gros 0$. Et là ce qui est impressionnant
là-dedans, c'est les les évaluations de la force de ce
modèle là on arrive strictement proche de ce que le cerveau
numérique d'open eye o 3 était capable de nous donner, donc

(05:05):
avec une capacité de réflexion, une chain of top comme on
appelle donc un des meilleurs modèles dans les dernières
semaines qui étaient disponibles.
Donc on arrive avec 2 cerveaux numériques qui sont pratiquement
à ex aequo avec un des meilleursmodèles, un des meilleurs
cerveaux numériques qui était disponible en format payant pour
open AI. Pour moi, c'est c'est un d'un
côté business, ça fait pratiquement du non-sens.

(05:27):
Du côté d'Open eye, on va en profiter, nous dans notre
organisation, chez nos clients en avant nous autres maintenant.
Qu'est-ce que le fameux open way?
Donc le poids ouvert versus opensource?
Faut vraiment démystifier ça. La différence?
Open source, c'est tout le code qui a été écrit pour amener à la

(05:48):
naissance de ce cerveau numérique là et généralement
disponible, et comment ils l'ontfait, sur quoi ils l'ont
entraîné, c'est quoi les donnéesqui viennent avec aussi.
Donc open source, c'est vraimentd'ouvrir vraiment une fenêtre,
ou plutôt je dirais une porte patio complète sur comment ça a
été monté, puis qu'on a accès à tout, tout, tout, tout, la
genèse et les lignes de code quivient en arrière.

(06:09):
Donc c'est souvent ce qu'on entend un logiciel qui est open
source, donc on peut téléchargerle code source, vérifier le code
source en tant que tel pour voirce qu'il y a des failles ou des
backdoors en arrière, le modifier et l'installer sur nos
propres serveurs. Maintenant, de l'autre côté,
open way, c'est quoi? C'est ça?
Nous donne accès à télécharger logiciel, l'installer sur nos
machines et voir comment la calibration du cerveau numérique

(06:33):
elle est faite et influencée surcette calibration, cette cette
calibration là. Je vous donne une analogie qui
va peut-être être plus percutante visuellement.
Dites-vous un dans un concert demusique où il y a plusieurs
instruments. Chaque instrument a un
microphone qui est relié à une table de une console de de

(06:54):
mixage. À ce moment-là, vous avez
sûrement vu ça en allant dans unshow.
C'est une grosse grosse console avec plein de petites roulettes
qu'on peut monter ou descendre. La force d'un signal au final.
Donc quand on parle avec une intelligence artificielle, c'est
comme si nous on était les instruments qu'on envoyait de
l'information à cette console là.
Et la console dans le fond, elleest configurée déjà avec

(07:15):
certaines forces pour certains signaux qui vont être amplifiés,
d'autres qui vont être annulés, d'autres qui va être
complètement transformés pour qu'il y ait une sortie au final,
qui est ce qu'on entend dans la salle, dans les speakers ou dans
le fil d'enregistrement au final?
Donc. Dans un contexte d'un cerveau
numérique, il y a un peu le mêmeprincipe qui arrive donc quand
qu'on envoie de l'information à la fameuse console.

(07:37):
Le cerveau numérique est configuré avec différentes
forces pour monter ou baisser lesignal sur certains certaines
interactions avec lui. Quand open eye lance un cerveau
numérique, cette console là dansle fond de comment c'est
configuré en arrière pour donnerplus ou moins d'importance à
certains éléments des signaux oudes phrases qu'on lui envoie,

(07:57):
mais ça généralement c'est fixe et ce n'est pas visible.
Donc, présentement, dans chaque GPT, il y a ce concept là de
table de mixage que OPEN AIA rendu fixe et que c'est
impossible d'influencer sur comment ils mettent plus
d'importance. Point d'importance sur certains
mots qu'on va lui nettoyer ou certains éléments qui
comprennent ce qu'on lui envoie.Donc les fameux poids, c'est

(08:19):
cette table de mixage là, et c'est ce qui donne plus ou moins
d'importance à certaines informations qu'on lui envoie
pour qu'ensuite ils puissent réfléchir et arriver à un
résultat, donc ce qu'on a fait. Dans les 2 modèles OSS qu'ils
ont rendus disponibles aujourd'hui, c'est de nous
donner une vue sur cette table de console de mixage ou ce qu'on

(08:41):
peut après ça, venir influencer pour monter ou descendre
certains items sur la console demixage qui vont influencer le
résultat au final. En bon français, ça veut dire
quoi, ça veut dire maintenant que dans votre organisation,
fais télécharger un cerveau numérique qui a coûté des
milliards de dollars à développer?
Vous pouvez l'installer sur vos machines et l'utiliser pour

(09:03):
0,00$ si le résultat à la fin vous le trouvez pas assez wow
pour la tâche, peut-être que vous lui donnez et vous pouvez
maintenant influencer sur le résultat ou plus du moins
comment il va traiter le résultat dans son dans son Day
to-day. Donc c'est vraiment extrêmement
révolutionnaire parce que là on peut le prendre.
On peut l'installer pour gratuit, puis on peut modifier

(09:24):
un peu son output ou son résultat final pour l'amener à
un niveau de fiabilité qui est grandissant à travers le temps,
chose qui était très très très très difficile à faire.
Et là on a le fameux système d'open eye derrière tout ça.
Donc une certaine crédibilité, une certaine assurance, du moins
une perception de sécurité et defiabilité versus les modèles qui
viennent de d'autres pays qui sont peut-être un petit peu

(09:46):
moins transparents dans le comment ça fonctionne en
arrière. Donc c'est la première fois
qu'on arrive avec un modèle qu'on peut facilement installer
avec une belle confiance et venir influencer sur la sortie.
Et ça, ça l'ouvre. Un paquet de possibilités dans
nos organisations. Il y a certaines de nos tâches
qu'on fait en tant que main qui coûtent fortune, envoyer à des
modèles en ligne dans le cloud que là on pourrait simplement

(10:09):
installer un serveur, envoyer lenombre de requêtes qu'on veut et
tout ce qu'on va payer c'est l'électricité à ce serveur là et
le coût de la machine et de la maintenance au final.
Donc ça débloque beaucoup de casd'utilisation potentiels qu'on
peut faire. Et surtout ça vient enlever un
peu de flou sur l'aspect sécurité de où nos données s'en

(10:30):
vont et qu'est ce qui est fait avec?
Parce que si c'est nous. Qui les installons sur un
serveur? Et si on encadre bien la
sécurité dans ce serveur là, Bentout l'information reste là.
Donc je donne un exemple. De mon côté, dans les dernières
journées, je me suis amusé à automatiser certaines tâches de
traitement de mes courriels et un un item qui le je pense le
plus efficace, c'est de dire on va le garder cloîtré dans un

(10:53):
environnement qui est plus fort au niveau sécurité.
Ben ce genre de cas-là, on pourrait installer un serveur,
traiter l'information des courriers à l'intérieur et au
moins on est sûr que l'information s'en va à
l'extérieur. Donc c'est extrêmement
révolutionnaire ce qui vient de se passer.
Il y a 2 versions qui existent maintenant de ce fameux cerveau
numérique là OSS la version. De 20 milliards de paramètres ou

(11:13):
120 milliards de paramètres. Donc la différence entre un et
l'autre c'est le 20 milliards, c'est qu'on peut l'installer sur
des petites machines pour rien installer sur votre ordinateur
aujourd'hui le tester lui qui est en en mode 120 milliards, là
faut une infrastructure un peu plus grosse, des serveurs plus
robustes, des cartes des GPU qu'on appelle qui permet à ce
moment-là de de de traiter l'information et de retourner

(11:34):
une réponse qui fait du sens. Donc un petit modèle qu'on peut
installer, jouer avec sur nos ordinateurs et un gros modèle
qui est plus appliqué au niveau serveur.
Donc voilà un petit peu. En tentant de simplifier là
c'est quoi au final ces fameux 2modèles là?
C'est quoi l'impact dans vos organisations?
Et qu'est-ce que ça veut dire pour le futur?
Surtout pour l'automatisation des tâches qui a des humains?

(11:55):
C'est vraiment révolutionnaire là donc il va falloir prendre
ces modèles là, commencer à jouer avec et voir dans le
détail ce que ça donne. Mais déjà là les résultats, les
benchmark qui ont sorti c'est similaire à O 3 donc on a
vraiment vraiment beaucoup de potentiel qu'on peut maintenant
utiliser et le gain est disponible sur la table, faut
juste le saisir et l'exécuter. Donc si je comprends bien,

(12:16):
Jonathan, pour des organisationscomme toi qui bâtit beaucoup de
logiciels sur mesure avec vos clients, vous allez pouvoir
utiliser un petit peu cette infrastructure là peut-être pour
aller améliorer les automatisations dans les
circuits fermés pour vos clientsau lieu que ça soit toujours à
l'extérieur dans le cloud. Peut être même que vous
utilisiez déjà des modèles d'intelligence artificielle pour
bâtir des automatisations dans des circuits fermés.

(12:38):
Mais là j'imagine que pour vous ça va vous simplifier la tâche
un peu. Ben c'est pas nécessairement
simplifié parce qu'il faut créerune infrastructure pour le
client, installer le modèle, le maintenir, donc pour nous une
certaine complexité plus grand. Juste d'envoyer l'information à
un cerveau numérique déjà disponible dans le cloud.
Maintenant ce que ça fait c'est que tout, tous les freins
souvent qu'on entend qui OK mes données s'en vont où qu'est-ce

(13:00):
qui est fait avec et là avoir une crainte qui peut être dans
certains cas réels de dire je peux pas sortir l'information
pour une question de protection et de confidentialité des
données mais tous ces morceaux là à ce moment-là.
Maintenant on peut avoir la force d'Open AI mais de d'avoir
vraiment des réponses claires etd'avoir un cœur et de sable bien
précis de où les données s'en vont, chose qui était pas
possible dans Ben qui était possible mais très difficilement

(13:21):
ou beaucoup plus difficilement avec azur.
Là on rentre dans du technique mais je veux rester à à haut
niv. Pour qu'on puisse comprendre
maintenant, c'est beaucoup plus simple d'arriver à quelque chose
qui est transparent au niveau dela sécurité et surtout de de pas
d'avoir une meilleure prévisibilité sur les coûts à ce
moment-là. Donc ça nous ouvre un paquet de
cas d'utilisation, nous dans leslogiciels qu'on développe pour
nos clients, ce qu'on peut venirutiliser cette force là de

(13:44):
cerveau numérique pareil, comme si c'était un humain qui ferait
une action. C'est pour vous donner un
exemple de cas. On le fait chez nous
présentement chez open main, on reçoit beaucoup de CV et là faut
trier lesquels CV qu'on va traiter en premier à ce
moment-là. Donc on prend ce flux là de CV
qui rentre. On s'est fait un beau prompt,
comme si on éduquait quelqu'un àtrier ces CV là et on utilise un

(14:07):
cerveau numérique. Donc on envoie l'information à
ce moment-là et on traite le CV pour nous renvoyer un score de
pertinence sur les soft skills, les hard skills et également la
pertinence sur nos critères que nous on a par rapport au poste
et ça nous permet de classer plus rapidement les CV et de
traiter certaines candidatures en importance de manière plus
rapide. Donc ça maintenant avec exemple

(14:28):
les modèles OS, on va pouvoir lefaire dans un cadre plus
restreint. Sur nos propres serveurs au
moins, on est certain que l'information reste là et c'est
plus facile de d'être compliant à ce moment-là, d'être correct
au niveau de la sécurité. On s'entend, c'est un peu la
Dorado, tout le monde veut bâtirleur propre GPT. pardonnez-moi
l'anglicisme in House et pour lemoment la majeure partie des
gens qui sont en train de le construire vont les bâtir dans

(14:50):
des circuits ouverts et là si onest capable d'avoir cette
infrastructure là puis de le bâtir tranquillement tout ça.
Mais bien entendu tu l'as mentionné, il faut bâtir
l'infrastructure, bah utiliser les bons serveurs, utiliser les
bons outils, mais au final c'estun peu ça qu'on va être capable
de faire. C'est utilisé les modèles qui
ont été construits, il y a des milliards et des milliards et

(15:10):
des milliards de dollars et construit ça.
Les circuits fermés, plus sécuritaires, plus faciles à
utiliser, moins de stress à savoir si les données vont
sortir. Ça m'amène maintenant à un point
que j'aimerais peut-être ouvrir la discussion avec toi.
On en avait pas parlé avant le podcast, donc je termine ici.
Peut-être on réfléchit dans un contexte où est-ce que bon, bien
entendu, tu l'as mentionné. Le modèle est gratuit à utiliser

(15:31):
si on veut l'intégrer dans notreécosystème, dans notre
infrastructure personnelle, en tant qu organisation.
Où s'en va le modèle d'affaires selon toi d'ici les 2, 3
prochaines années? D'un open eye donc pour situer
l'audience qui nous écoute aujourd'hui, le modèle
d'affaires actuel est basé sur des plans pour le consommateur.

(15:51):
C'est comme ça qu'ils font la majeure partie de leur argent,
c'est à dire qu'il y a des plansà à 20,00$, des plans à 200$, il
y a des plans pour les entreprises.
Il y a également un modèle d'affaires relié sur
l'utilisation de leur API qu'on peut bien entendu payer un
certain montant opening I avoir des tokens.
Venez intégrer ces tokens. Dans des logiciels qu'on qu'on

(16:12):
qu'on bâtit. Bref, utiliser ce que OPEN a été
capable de construire. On a vu récemment qu'ils ont.
Eu des contrats gouvernementaux?Ou est-ce qu'ils allaient
charger 1$ au gouvernement à l'année pour que eux utilisent
leurs différents logiciels? Et y a même des gens de plus en
plus qu'on argumente comme quoi que tranquillement, Open I

(16:33):
pourrait peut-être aller dans unmodèle, davantage de services,
de faire en sorte de bien entendu vendre leur intelligence
artificielle, intégrer avec des frais de manutention, des frais
de service, des frais d'accompagnement très similaires
à ce que des entreprises de consultation peuvent faire, ou
encore des talents de ce monde. Qui est une entreprise?
Technologique aux États-Unis, qui a une très, très forte

(16:55):
valeur boursière, qui vend des produits technologiques mais
avec des très gros frais de maintenance et d'accompagnement,
et cetera spécifiquement pour leur pour les gouvernements.
Ou selon toi va se situer dans le futur le modèle d'affaires
numéro un de open eye? Est-ce que c'est parmi les
différents points? J'ai mentionné ce que t'as
d'autres idées qui me viennent en tête ici.

(17:16):
Ben si on retourne à la base dans le fond.
La, le, le grand, le grand focusde toutes les compagnies dia
dans les derniers trimestres, c'était d'abord le modèle le
plus performant possible qui donnait le meilleur résultat
pour une demande générale qui arrivait.
On arrive, je pense, à un point très proche où il y a beaucoup
de joueurs qui ont réussi le pari, ou du moins qui arrivent à

(17:37):
dépasser le niveau minimal requis pour avoir un modèle qui
fait du sens. Un cerveau numérique qui fait du
sens fait que je pense qu'avec toutes les avancées qu'il y a,
on est sur un point d'inflexion ou ce que ça va devenir une
commodité. Donc quel modèle qu'on utilise
en arrière va devenir une commodité?
Il va avoir plusieurs choix, il va avoir des choix open source
qui vont bien faire la job. Donc je ne pense pas que ça va
être vraiment dans qui a le meilleur modèle parce qu'on l'a

(17:59):
vu avec GP 5. Les benchmark disaient qu'il
était bien meilleur que d'autresmodèles, mais pourtant dans la
réalité on n'a pas vu une grandedifférence.
Même on a vu un un retour en arrière dans certains cas fait
qu'on peut plus se fier à la course au benchmark.
Ça va être vraiment dans le de Today dans le coréen.
Donc à ce moment-là ce qui laisse comme choix open Alice,
c'est la capacité à créer du revenu.
Récurrent effectivement avec lesavec les chats j'ai pitié de ce

(18:20):
monde donc d'avoir une belle et bonne interface qui offre des
possibilités plus grandes que juste un retour d'information du
pourquoi il pousse le depuis Search qui pousse le côté agent
qui veulent à ce moment-là ouvrir plein de connecteurs dans
chat GPT donc c'est de créer un Network et d'aller le plus loin
possible dans les processus que les procédés des gens.
Maintenant tout le monde va faire ça, tout le monde est

(18:41):
rendu sur cette logique là de créer des outils, puis les
interconnecter avec chat, GPT, Ben Chat, PT ou l'autre chat
qu'on utilise. Donc je pense que c'est une
course contre la montre de qui va chercher le plus
d'utilisateurs possible dans sa plateforme, mais les
fonctionnalités et la puissance du modèle en arrière va devenir
une simple commodité. Donc c'est le premier qui va
avoir réussi à attacher les genset à les habituer qui va faire

(19:02):
la différence je pense. C'est un peu le pari de
Copenhague fait présentement, donc il risque d'avoir beaucoup
de revenus. Qui va continuer des de des
abonnements comme le chat GP de ce monde.
Beaucoup de gens vont utiliser l'API qu'on utilise présentement
en arrière pour faire appel au cerveau numérique.
Je pense que le modèle d'affaires va être encore basé.
Beaucoup plus va être beaucoup basé là-dessus mais ce qu'après

(19:23):
ils vont s'exprimer effectivement dans les
périphériques physiques pour nous suivre dans notre d'étude.
Et on l'a vu là avec l'acquisition de la start-up de
Johnny Yves à quelques milliardsde dollars 5.5 milliards U si ma
mémoire est bonne donc d'après moi ils vont s'étendre dans
cette partie là pour aller plus proche de l'utilisateur fait que
je pense ça va être vraiment unequestion de qui va chercher
l'utilisateur en premier et comment il il donne la meilleure

(19:45):
interface UXI donc la meilleure moyenne interagir au quotidien
présentement, c'est dans un chat.
Et ça va définitivement sortir en arrière du chat.
Est-ce que la business ensuite en arrière de tout ça de créer
des agents personnalisés va êtrebonne pour eux?
Bonne question, ils ont pas accès aux autres systèmes puis à
l'infra hein versus un Cell force de ce monde qui est déjà

(20:06):
imbriqué dans les procédés, les processus.
Même chose avec Microsoft qui est déjà imbriqué dans les
procédés et les processus d'un paquet d'entreprises par les
différents logiciels qu'ils livrent.
Une chose est sûre, ils nous ont-ils ont pratiquement pas
d'infra qui leur appartiennent au niveau du cloud, donc déjà là
ils pourront pas aller compétitionner.
Là-dessus, ça leur enlève beaucoup de possibilités versus
Microsoft, on en parlait dans ledernier podcast ensemble, donc

(20:29):
je pense qu'il y a des choix limités, d'où ce qu'ils peuvent
bouger selon ma perception. Encore là, j'ai pas une boule de
cristal, mais j'ai l'impression vraiment que ça va être
l'endroit où ce qui le sort. Bon, je serais curieux Antoine
d'avoir ton opinion là-dessus. Souvent une opinion tranchée.
Ben écoute, c'est c'est intéressant ça, ça amène
plusieurs. Puis un point que t'as mentionné
puis que je vais pouvoir aborder.
Tu vois, je fais un podcast ce matin sur un autre podcast qu'on
allume qui le podcast aux chosesqu'elle ou à tous les trimestres

(20:51):
on fait un état de la situation de ce qui s'est déroulé avec
Méta, parce que bien entendu chez J 7 Media ont fait beaucoup
de publicité sur Facebook et on on on aime faire un petit peu.
Un diagnostic, une analyse de ceque Mark Zuckerberg est venu
dire aux actionnaires, égalementavec son chef des finances et
des autres personnes qui l'accompagnent.
Dans cette lettre aux actionnaires, les le rapport

(21:12):
trimestriel est sorti environ 2 semaines de stage.
Je vais donner les chiffres globaux pour les gens qui nous
écoutent. Aujourd'hui, les revenus de méta
sont passés à 47 milliards de dollars en revenus pour le
trimestre, une augmentation de 22%, et ils sont allés générer
18.5 milliards de dollars de bénéfice, croissance de 36%.
Si vous allez voir un petit peu la capitalisation boursière de
l'organisation au moment où on se parle, on aura juste le
podcast. On est quelle date, 19 août

(21:36):
2025? L'organisation flirte avec le 2
trilliards de dollars en capitalisation boursière et
qu'est ce qui a poussé une accélération aussi rapide du
stock et de l'indice boursier pardonnez-moi et du fait que les
bénéfices augmentent autant rapidement?
Il y a plusieurs points, mais ily en a un qui revient beaucoup
s'il y a et contexte également que je te donne Jonathan, donc

(21:58):
mettons qu'on le fait très simple pour les gens qui nous
écoutent aujourd'hui dans le passé, je te ramène à 2015,
2016, 2017. Quand tu fais de la publicité
sur Facebook, tu pouvais. Aller choisir des audiences
spécifiques donc viser les personnes qui habitent à 2 km de
ton restaurant préféré, qui habitent avec ce code postal
XYZ. Donc tu donnais énormément de

(22:19):
paramètres très précis à l'État et t'essayais d'aller visiter
ces gens-là en 2025. Ce que tu fais à la place c'est
que tu donnes un objectif que tuaimerais atteindre à méta.
Donc lui dire génère moi un prospect, génère moi une
conversion, génère moi un clic peu importe c'est quoi la
demande que tu lui fais et son intelligence artificielle
devient tellement sophistiquée. Que tu lui donnes aucun critère

(22:42):
de ciblage et il s'en va trouverle consommateur que tu lui
demandes de trouver. Donc il va trouver un acheteur,
il va trouver un prospect, et cetera.
Et ce qu'ils ont été capables demettre en place avec leur IA
fait en sorte que les annonceurscomme moi on le voit en ce
moment, les performances sur metha augmentent, on est capable
de générer beaucoup plus de résultats qu'avant.

(23:03):
Et automatiquement, qu'est-ce que ça crée un annonceur?
Ben Jonathan, si demain matin tumets 1,00$, t'en mets 3 dans tes
poches, qu'est-ce que tu vas vouloir faire?
Faut vouloir mettre 10$ pour en mettre 30 dans tes poches et
ainsi de suite et ainsi de suiteet ainsi de suite.
Donc on est capable de voir un modèle d'affaires qui eux, de
manière indirecte ou de manière directe, je vous laisserai
prendre votre propre décision. Ils sont capables d'augmenter
leur revenu, augmenter leurs bénéfices.

(23:25):
Et là ça M amène à réfléchir. On parle pas du modèle
publicitaire ici, mais littéralement.
Dans les 20, 30 dernières années, un des plus beaux
modèles d'affaires qui a été créé a été créé par Google,
c'est-à-dire vendre de l'espace publicitaire même pour mettant
vendre de l'espace publicitaire sur leur plateforme.
C'est un des plus beaux modèles d'affaires que j'ai jamais été
créé et il y a eu certains euh publications que j'ai vues en

(23:48):
ligne, que ça soit sur X ou que ça soit sur LinkedIn.
Comme quoi que open eye est en train d'intégrer des premières
intégrations publicitaires à leurs différents modèles.
Et selon moi, c'est lui qu'on neparle pas trop.
Mais je ne serais pas surpris qu'ils prennent de plus en plus
de place. Parce que qu'est-ce que Monsieur
et Madame tout le monde fait avec chaque GPT?
En 2025, il fait des recherches précises qui posent des

(24:10):
questions pour avoir une réponse.
Donc on le voit de plus en plus,les recherches qu'on faisait sur
Google se transfèrent vers les recherches qu'on fait sur GPT.
À travers le temps, ce qui s'estdéroulé avec ces différentes
plateformes, c'est que souvent on attend d'avoir une masse
critique. Ça revient au point que tu
mentionnais, on veut aller chercher cette masse critique

(24:31):
la, la plus grande masse critique possible avant
d'intégrer un élément publicitaire.
C'est ce que metta fait, c'est ce que le gouvernement a fait.
Mais je ne serais pas surpris devoir un OPEN II.
Intégrer, injecter de plus en plus de modèles publicitaires
dans leur approche d'ici la prochaine année pour 2 raisons.
De un, parce que ça fait énormément de sens.
Ils ont 700000000 d'utilisateurshebdomadaires présentement avec

(24:53):
leur plateforme. On parle de revenus annuels qui
sont maintenant tout près des 12milliards de dollars.
C'est énorme. Et de 2, il peut brûle beaucoup
d'argent comme on le sait. Donc un certain moment donné,
ils vont devoir. J'avais tendance à croire et et
le terme que je vais utiliser ici, déclencher d'autres leviers
de revenus. Donc là ils ont le levier par
abonnement, ils ont le levier par API, ils ont.

(25:18):
Ont-ils d'autres leviers au moment où on se parle?
Je ne sais pas exactement, mais j'aurais tendance à croire que
le 3e levier va être le levier publicitaire.
À mon avis c'est une question tant ou est ce qu'il y a avant
qu'il se mette en place. Et à mon avis ils doivent être
parce qu'ils sont très très bonsen produit hein au Penny ils
doivent être en train d'engager des gens avec énormément
d'expérience dans le domaine pour trouver une manière de

(25:39):
comment l'intégrer sans nécessairement impacter
négativement l'expérience du consommateur.
Mais toutes les entreprises le font, même Netflix le fait le
fait y a un ou 2 ans de ça, intégrer l'élément publicitaire
à ce qu'ils font. Et ça l'a augmenté de bénéfice
comme pas possible de l'organisation.
Donc pour répondre à cette question là je pense que les
modèles d'affaires que tu as mentionnés sont les bons.
Mais n'oublions pas le modèle publicitaire.

(26:00):
Il y a un impact impressionnant sur mettant en ce moment ce qui
est en train de se dérouler. Et je serais pas surpris que
chaque GPT dans son infrastructure, on voit des
publicités arriver dans les prochains mois, dans les
prochaines années. On fait une petite pause sur le
podcast en cours parce que je veux vous parler d'une
entreprise que j'aime tant. Et cette entreprise se nomme
Hello Darwin, elo Darwin. D'ailleurs, si vous ne le savez
pas, c'est une organisation qui vous aide à aller trouver les

(26:21):
subventions dont vous avez le droit.
Et Hello Darwin est également unpartenaire du podcast hyper
croissance. Parlant de subventions, il y en
a une que je veux vous parler aujourd'hui, je veux vous parler
du programme de soutien à la commercialisation et à
l'exportation, qui d'ailleurs est une initiative
d'investissement Québec. Et là récemment, y avait une
partie de l'équipe de l'O Darwinqui était présente lors d'une
allocation exclusive. De la ministre de l'Économie du

(26:42):
Québec, Christine Fréchette et Elon annoncé que le programme
très très prisé allait réouvrir au courant de l'été.
Et c'est un programme qui vous aide à commercialiser vos
produits et services au Québec, mais également par la suite à
exporter vos produits à l'international.
D'ailleurs, avec ce programme là, dans le passé, on pouvait

(27:03):
avoir des subventions qui allaient jusqu'à 250000$.
Mais attention, sachant que c'est un programme qui est très
très très en demande et qui a des places limitées.
Je vous invite à rapidement les remplir un formulaire sur le
site web de l'équipe de Hello Darwin pour être dans les
premiers à y avoir accès avant que le programme soit plein.

(27:26):
Donc si ça vous intéressego.hellodarwin.com
slash hyper croissance je le répète go.hellodarwin.com slash
hyper croissance, il y aura un lien dans les notes de
l'épisode. Ça va vous donner la chance
d'être dans les premiers à avoiraccès à cette subvention et
également d'avoir un 10% de rabais.
Quand vous allez travailler avecl'équipe de Hello Darwin, ils
vont tout faire pour vous. Vont faire le travail pour

(27:47):
trouver la subvention, faire le travail pour trouver l'argent
pour vous et faire en sorte par la suite que vous pouvez vous
concentrer à une chose, faire croître votre entreprise de
retour à l'épisode en cours. Je te, je te changerais
peut-être sur cet aspect-là si tu permets.
J'ai la difficulté à avoir peut-être.
T'as vu quelque chose que j'ai pas vu de mon côté.
J'ai de la difficulté à voir comment.

(28:09):
Open eye pourrait apporter une publicité qui fait du sens pour
les gens. Et je m'explique, dans Google il
y a plusieurs choix possibles quand on fait une recherche.
Et là ils ont été capables de descendre les choix organiques
pour venir injecter des choix payants.
Et généralement quand les gens payent, Ben à ce moment-là,
parce qu'il a quand même quelquechose qui qui va bien répondre,
sinon ça se vendra pas au final.Quand on est dans un chat, gipi

(28:32):
de ce monde, c'est un choix, c'est c'est un retour souvent
sur. Un choix même.
Y a pas de choix, c'est la réponse est voici ceci, voici ce
qu'on propose, c'est de la dualité à voir comment qu'il
pourrait rajouter quelque chose au niveau visuel qui viendra pas
considérablement diminuer la pertinence du résultat en
retour, ou du moins créer beaucoup de bruit je pense dans

(28:52):
l'interface. Qui fait que il y aura pas
beaucoup de. Je pense que si ils font, ils
risque d'avoir beaucoup de difficultés à le faire de
manière fluide. Puis ils risquent d'avoir une
levée, une opposition quand mêmeassez grande.
L'autre possibilité qui qui pourrait opter à ce moment-là,
c'est un peu comme Netflix de bloquer la vue pendant un
certain temps et de forcer une publicité à ce moment-là.
Y a pas nécessairement un lien avec la demande.

(29:13):
Encore là, ce qu'ils vont financer les opérations des
usagers gratuits avec ça? Je le sais pas dans le fond si
ça va créer un trop gros fin parce que tout le monde voudrait
qu'il le fasse pour pas que les gens s'en aillent sur d'autres
plateformes. J'ai de la difficulté à voir
comment puis je serais-je seraiscontent d'être surpris là
d'avoir tord dans ce que je dis là mais j'ai la difficulté à
voir comment au niveau. Expérience usagée, ils vont être
capables d'amener ça d'une manière fluide et efficace et

(29:36):
pas perdre des gens au profit des autres au final, ou du moins
s'ils le font, c'est d'après moije pense ça va être dans 345 ans
et non à court terme parce que c'est vraiment une course.
Je pense d'aller chercher un maximum d'usagers.
Puis peut-être t'avais déjà des idées comment il pourrait amener
ça de manière fluide, mais je serais-je serais surpris de voir
si c'est quelque chose qui semble être positif là-dessus
là. Ce qui est sûr et certain, c'est

(29:57):
que c'est toujours cette fameusequestion, c'est, est-ce qu'on le
fait maintenant, est-ce qu'on lefait plus tard?
Ce qu'on est prêt à ce qu'on estpas prêt de le faire.
Il va toujours y avoir cette question là parce que ça revient
un petit peu à cette dualité de se dire ce qu'on va perdre des
usagers si on le fait, ce que c'est une bonne, est-ce que
c'est une pas bonne? Chose.
Ce qui est sûr et certain. Jonathan, je te le dis tout de
suite, il y a des gens qui gagnent très bien leur vie
présentement chez opening I à analyser cette option là parce

(30:20):
que c'est c'est des on. On appelle ça des product
managers, des des des des professionnels en user
expérience qui sont en train d'analyser toutes les
possibilités possibles. Et très souvent ils proviennent
de chez Google, ils proviennent de chez metta, ils proviennent
des gros joueurs publicitaires pour trouver cette approche là

(30:40):
parce qu'il va y avoir cette approche là c'est clair.
Été précis, ça devient ça va devenir bientôt un des plus gros
moteurs de recherche au monde etle plus beau modèle d'affaires
comme je l'ai mentionné des 20 dernières années a été de vendre
de l'espace publicitaire et cet espace là est en train de
bifurquer vers des nouvelles plateformes.
Des chats et ces chats là. Ce n'est qu'une question de
temps avant qu'ils soient envahide manière subtile ou de manière

(31:03):
moins subtile par de la publicité.
Et j'aurais tendance à croire que ceux qui vont être envahis
de manière non subtile par la publicité vont être rejetées
peut-être plus rapidement par les utilisateurs.
Après t'as mentionné un autre point, la comparaison.
Avec Netflix, Bah ça va peut-être être ça, c'est de dire
Taj pity et gratuit à tout jamais.
Mais vous avez des publicités quand vous l'utilisez chez GPT

(31:25):
est payant. Et quand vous payez, vous n'avez
plus de publicité qui vous sont montrées.
On va arriver à un certain moment donné de toute façon à
ces réalités là. Parce que faut aussi se rappeler
une chose méta. Ont déjà un modèle publicitaire
donc ont pas besoin en ce momenteux de créer un nouveau modèle
d'affaires. Ça ça va bien.
De leur côté Google, on en a parlé plusieurs fois sur le
podcast, ils vont devoir réinventer.

(31:47):
Et même si on regarde un petit peu le I overview.
Qui se met en place quand vous faites une recherche sur Google,
il y a des possibilités publicitaires, il y a des
publicités qui s'intègrent un petit peu plus bas.
Ils sont déjà en train de le mettre en place parce qu'ils
savent qu'ils doivent se réinventer et qu'ils doivent
tout de même trouver une manièrede faire plaisir à leur
annonceur pour que leur publicité soit soit soit encore
mise de l'avant sur les les pages numéro un sur les pages

(32:08):
numéro 2. Et eux ont de l'argent.
Open eyes en ont pas nécessairement de l'argent.
C'est-à-dire qu'à chaque année, ils vont devoir aller relever,
relever, relever des sommes. Et ça pendant encore très
longtemps. On se rappelle le produit qu'ils
vendent en ce moment au prix qu'ils le vendent ne pas une
marge brute. Autant élevé historiquement que
ce qu'on est capable de voir avec les différentes plateformes

(32:31):
publicitaires, vente de l'espacepublicitaire et beaucoup plus.
Intéressants en termes de marchés brut.
Que vendre le modèle? Que vendent des tokens?
Essentiellement que OPEN est en train de faire, donc ils ils
vont devoir à un certain moment donné soit continuer à lever des
très grandes sommes d'argent. À un certain moment donné, il va
y avoir des questions des investisseurs à savoir quand

(32:52):
allons-nous retrouver notre argent?
Et je pense que le modèle publicitaire va arriver plus
vite que 3 à 5 ans. Moi je serais beaucoup plus prêt
à me prononcer sur un peut-être 1112 à 24 mois et peut-être même
plus tôt parce que. On le voit peut-être pas toi et
moi en ce moment, mais c'était la même chose au départ avec
Facebook. Aujourd'hui c'est une évidence
qu'on voit des publicités sur notre fil d'actualité, c'est une

(33:13):
évidence qu'on voit des publicités dans nos stories
Instagram, ce n'était pas au départ, tout le monde dit Wow,
tu vas rentrer dans mon quotidien, tu vas me montrer de
la publicité. C'est une évidence de voir des
publicités sur Google. Combien d'itérations Y a-t-il
eu? Au début des publicités, il y
avait un lien jaune, après y a un lien vert, après maintenant
ils ont plus de couleur pour lesintégrer dans une recherche
organique, tout change constamment, donc je crois que

(33:34):
ça va être plus vite qu'on le pense.
Je crois qu'ils ont trouvé une manière de l'intégrer dans le
chat. Je ne vois pas d'autres endroits
de l'intégrer de toute façon, ilest là le l'endroit de
consommation des utilisateurs. Avec Jupiter, je pense que la
seule chose par contre qui pourrait peut-être changer,
c'est de se dire, est-ce que lesseules personnes qui se font
proposer de la publicité sont des des usagers par de noix qui

(33:55):
ne payent pas et ceux qui payentnon pas de publicité?
C'est ce qui se déroule présentement sur Netflix.
Ceux qui payent le forfait je pense à 5 ou 6$ par mois ou de
la publicité et ce qui paye le forfait un petit peu plus élevé
n'en ont pas. Donc à suivre, mais je ne serai
pas surpris que ce modèle d'affaire soit intégré d'ici 12
à 24 mois sur Jupiter. Les Paris sont ouverts, donc on
va suivre ça dans les prochains trimestres.

(34:16):
Ensemble, assurément. Je mets ça sur mon petit tableau
des prédictions, Antoine, et on suit ça activement.
Jonathan, ce qui reste un petit peu de temps où tu dois aller
rapidement sur un prochain podcast.
Sinon il y aura un dernier point.
J'aimerais t'amener. J'ai un 5 Min de disponible
Entrainement. Donc je t'amène dans nos fameux
moteurs de recherche par parce qu'on en parle, as-tu vu ça?

(34:38):
Complexity joueur qui était timer qui continue d'être aimé
par beaucoup de gens qui utilisent l'intelligence
artificielle, fait une offre théoriquement de 34.5 milliards
pour aller acheter chrome. Le navigateur de Google t'en
pense quoi? Est-ce que ça peut se faire?
Est-ce que c'est tiré par les cheveux ou en sommes nous avec
ça? Ben c'est Premièrement
humainement parlant, c'est des chiffres qui sont astronomiques,

(35:00):
autant de milliards pour un boutde code aujourd'hui qu'on est
capable de répliquer et on va seon se cachera pas là open AI est
sur le point de lancer son propre navigateur aussi, donc ça
ça remet en doute le modèle d'affaires d'un chrome de ce
monde. Après ça je pense l'argent qui
est fait dans ces navigateurs làc'est la fameuse base barre de
recherche. Et là tout revient au fameux

(35:21):
modèle de publicité que que tu mentionnais Antoine au bout de
la ligne. Je pense que Perpi City a rien à
perdre à l'essayer, c'est fait un bon coup de pub je pense pas,
ça va se se fermer de manière positive au final.
Là pour remettre les gens en situation, c'est que Google est
atteint d'une attaque au niveau d'un monopole, donc il va
peut-être être obligé de se départir effectivement de

(35:43):
chrome. Qui va acheter chrome.
Un peuple exclu du saumon pourrait faire du sens parce que
leur modèle d'affaires n'est selon moi pas très solide en
arrière, parce qu'au niveau de la tech ils sont très très très
loin en arrière des autres. Donc je pense faut qu'ils
sortent d'autres cartes, qu'ils jouent d'autres cartes.
Brian, coup de marketing, je pense pas que ça va se se Closer
en bon Français comme deal, maisça donne au moins une vue de

(36:04):
valorisation. Combien vaut chrome?
Mais je pense pas que les chromes de saumon vont valoir
aussi cher que ça. Dès qu'on paye va arriver dans
le marché avec leur propre navigateur, puis on va on va se
le dire là, programmer un chromecomme aujourd'hui avec les
outils d'intelligence artificielle ça coûte pas 34
milliards là. Donc c'est vraiment le trafic
directement qui va être redirigé, qui qui a une certaine
valorisation finale, ça pourraitêtre donné une carte de plus

(36:26):
effectivement, un peu que City pour se démarquer des autres.
Je trouve quand même le mouvement stratégique
intéressant de qu'ils essaient de sortir des cartes ou des
choses que les autres font pas, mais personnellement, pour être
très franc, j'y crois pas. Le le paradoxe qui est ton
incroyable et je voudrais juste peut-être ramener ce point là
ici, c'est de se dire Google estattaqué de loi antitrust ou

(36:48):
plutôt de monopole sur les volumes de recherche.
Ils se font attaquer et au même moment, ils n'ont jamais été
autant en danger dans ce qu'on considère l'écosystème de
recherche qu'en ce moment. Le paradoxe est assez.
Je dirais drôle de de ce qui se met en place en ce moment,
effectivement, Perplex City, Hein?
Ramenons le à à notre audience, c'est, oui, général, vas-y, tu

(37:10):
veux? Tu veux rajouter quelque.
Chose, perruque, ça en toi, je sais pas si tu viens, mais quand
Google est né à l'époque, une deleurs valeurs c'était don't be
Evil. Je sais pas si t'as déjà vu ça,
si tu te souviens de ça. Pendant des années, c'était
l'heure, leur valeur principale qu'ils mettaient de l'avant pour
dire nous on deviendra jamais unmonopole ou du moins jamais on.
On va agir comme un monopole et écraser les autres.

(37:32):
Et cette valeur là, elle a disparu à travers le temps.
Sais pas si t'as vu Antoine. Normalement on entendait plus
parler, il n'était plus dans lesregistres.
Et là il se retrouve exactement dans la position que Microsoft
s'est ramassée dans les années 90 avec Internet Explorer, inex
Scape et c'est bizarre que eux différencient en disant qu'on
sera jamais équivalent à un Microsoft du côté Evil et

(37:53):
aujourd'hui ils sont de ce côté-là en termes de monopole.
Mais qu'ils soient si effectivement affaiblis de
l'autre côté alors que Microsoftdans les années 90 n'était pas
si affaibli que ça là donc ça les met dans une position qui je
pense pas très très positif. Je laisse continuer Antoine sur
ce que tu disais. Ben t'as un bon point puis juste
donc donc c'est c'est. C'est un peu le point que je
trouve intéressant, c'est de dire Perplex City
essentiellement, c'est. Un une barre de recherche avec

(38:18):
plusieurs modèles intégrés qui va te donner une réponse qui est
plus claire, plus facile avec des sources.
J'ai utilisé un Perplex City pendant très longtemps quand les
modèles open eye et les autres n'étaient pas encore à la
hauteur qu'ils sont aujourd'hui.J'utilise plus perplexité
aujourd'hui, donc j'essaie de comprendre où se retrouvent leur
valeur et juste pour finir un petit peu là-dessus, parler de
valeur, l'offre qu'ils font. Bon, théoriquement serait de

(38:42):
34.5 milliards pour chrome. Publicité en date d'aujourd'hui
aurait une valeur de 18 milliards de dollars, donc ça
serait 2 fois la valeur de leur organisation.
Donc effectivement, je pense quel'idée du coup de marketing est
peut-être bonne ici pour aller relever encore un petit peu plus
d'argent. Leur dernière série s'est fait
en mai 2025 qui ont à peu près 150000000 de dollars.
Donc bon à suivre, mais moi le point que je trouve intéressant
à regarder c'est de se dire si finalement ils vont être

(39:05):
capables de casser en 4, en 5 eten 6 Google?
Parce que si. Ça arrive et qui a un précédent
qui est créé le prochain ça va être méta et ils vont s'attaquer
à WhatsApp par Instagram, à Facebook, à Quest et se dire est
ce que ces entreprises là on doit les démanteler?

(39:25):
J'ai pas tellement une vision tellement positive par rapport à
ça. J'ai j'ai l'impression qu'en
c'est mieux des fois de laisser aller le libre marché.
D'autant plus que en ce moment, en date d'aujourd'hui, je ne
pense pas que Google va encore avoir autant son monopole qu'il
l'avait dans les dernières années, il y a 7 ou 8 ans,
peut-être en 2025. Ça m'a l'air d'être un jeu
totalement différent. Je te laisse Antoine sur une
question que je pense qu'on aurajamais la réponse, mais j'aurais

(39:48):
vraiment aimé ça être dans l'équipe de Perfect City pour se
dire comment qu'on valorise ça. Chrome, tu sais quel grosseur
d'offre qu'on fait? On l'a fait à 17 milliards ou on
l'a fait 35 milliards ou à 43 milliards?
Ça a dû être un meeting absolument exceptionnel à
assister quand jamais on va savoir comment ça s'est passé.
Mais comment tu valorises un actif comme celui-là qui a pas
de revenu direct et pourquoi 34 milliards?

(40:11):
Je te laisse là-dessus une réflexion en toi.
Ben la la le le paradoxe c'est que pour Google ça l'a une
vallon pour plus que ça, pour coup plus élevé que ça, parce
qu'ils sont capables avec chromed'aller chercher les données,
les informations de toutes les sites Internet.
Donc dans un contexte de modèle d'affaires de Google, c'est
énorme pour perplex City avait un modèle publicitaire qui se

(40:33):
met en place. Peut-être, mais bon, ça sera
peut-être pour une prochaine discussion.
Jonathan, merci encore d'avoir été avec nous aujourd'hui pour
les gens qui nous écoutent. Et bien à bientôt pour un
prochain épisode du Podcast hyper croissance.
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