Episode Transcript
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Speaker 2 (00:00):
on enregistre, on enregistre, on enregistre
Speaker 3 (00:02):
Préambule, couscous, piri-piri. C'est déprimant cette
Speaker 2 (00:05):
semaine. C'est déprimant. La nuit au travail, le soccer, c'est
pas bien ce qui se passe. C'est pas bien ce
qui se
Speaker 4 (00:16):
passe. Ăa finit-tu bientĂŽt cette annĂ©e? Il y a 16 ans.
Je sais plus qui... Je pense que c'est Ăric Chenoy
qui a Ă©crit. Si ce n'est pas Ăric, sorry Ăric,
c'est peut-ĂȘtre quelqu'un d'autre. Je suis presque sĂ»r que c'est
Ăric Chenoy qui a Ă©crit. Est-ce qu'on est au courant
qu'on est en train de vivre la pire saison de l'histoire? Ăric!
(00:38):
tu es en retard, lĂ . Ăa fait un mĂ©chant bout
qu'on dit que c'est la pire saison
Speaker 2 (00:43):
Mais lui, il disait dans la narrative, genre, le monde
de critique et l'intelligence qu'on a n'est pas proportionnel au
résultat
Oui,
Speaker 4 (00:56):
je comprends. Dans le sens, peut-ĂȘtre qu'on se concentre sur
quelque chose pendant que la saison... Oui, mais quand on
disait que c'était le pire effectif ever au mois d'avril,
il fallait embarquer Ă ce moment-lĂ . qui aurait
Speaker 2 (01:07):
su aller faire aussi mauvais que Montréal
Speaker 4 (01:10):
Ă ce moment-lĂ , comme le sujet du jour oĂč aujourd'hui
on se scandalise
Speaker 2 (01:17):
C'est l'épisode 155 325« On s'en fout du soccer et c'est».
Speaker 4 (01:23):
Mais surtout, it's too late. On aime beaucoup ĂȘtre offusquĂ©
devant l'évidence. Ah, mais c'est déprimant. OK, on est
Speaker 2 (01:30):
en préambule. Netflix, Prime Video, Crave TV, ICTV, Cinéma, Place
des Arts
Speaker 4 (01:37):
Qu'est-ce qu'on pourrait starter comme conversation de préambule? Parce que là ,
les Netflix ont été récupérés, les jeux vidéo ont été récupérés,
la musique. Qu'est-ce qu'on pourrait... faire comme préambule pour que
ça soit rĂ©cupĂ©rĂ©. Tu veux pas ĂȘtre porn? Tu veux
pas ĂȘtre porn? C'est
Speaker 3 (01:56):
sûr
Speaker 4 (01:56):
que personne va te suivre à présent. Wow! C'est incroyable. Incroyable, incroyable.
Est-ce que, ah ouais, vu qu'on est un des sujets actuellement,
c'est l'immigration, ok? Ăa parle beaucoup d'immigration. Puis, je vais
aller dans un autre angle, ok? Est-ce que tu consommes,
(02:21):
via les médias sociaux ou à BBTV, l'actualité, pas américaine,
mais C'est, mettons, au-delĂ de la France. Non? Beaucoup
Speaker 2 (02:33):
moins.
Speaker 4 (02:33):
De temps en temps.
Speaker 2 (02:35):
De temps en
Speaker 4 (02:36):
temps, est-ce que l'actualité Algérie, Maghreb, whatever... Oui, un peu, oui.
Speaker 2 (02:42):
Arrive à toi. L'algorithme... Non, t'es pas bien avec le carré.
Mais mon
Speaker 4 (02:47):
point, c'était, est-ce que ça t'étonne? Parce que moi... vu
que je suis allé au Portugal, j'imagine mon TikTok pense qu'encore,
je vais retourner au Portugal bientĂŽt. La table, il y
a beaucoup de budget pour parler au Portugal. Ou le
CNN Portugal. C'est noticieux. Peu importe, la télé portugaise m'envoie
(03:09):
du contenu sur mes médias sociaux. Puis moi, bien sûr,
j'alimente ça, je les écoute jusqu'à la fin. Et ce
qui me fascine, c'est pour ça que je voulais te
demander ça, Safiane, c'est que C'est les mĂȘmes sujets, mettons
que RDI, LCN, mais... Dans un autre pays. L'immigration, le logement,
(03:32):
la santĂ©. Il y a les deux mĂȘmes partis politiques, gauche-droite.
Les mĂȘmes problĂšmes au lieu de dire, au QuĂ©bec, on
est en train de se faire envahir par les musulmans.
Au Portugal, on est en train de se faire envahir
par le Bangladesh. C'est la mĂȘme affaire. Chaque pays est
en train de dire qu'on est nul et qu'on est
(03:52):
le seul pays au monde qui est nul comme ça.
Speaker 2 (03:54):
Je trouve ça fascinant. Et des problÚmes partout. Mais là ,
comme il sait que je suis arabe, maghrébin, je suis
d'un pays du Nord, je ne sais plus si c'est
TikTok ou Instagram, mais il sait que... Ah, peut-ĂȘtre qu'il
devrait savoir qu'en Maroc, il y a des manifestations pour
des trucs assez graves lĂ , pour contre... contre le gouvernement
et la royauté, je présume, par rapport à des... Ils
ont des problĂšmes de... De ce que je vois, mais
(04:17):
je n'ai pas allé profondément en disant pour les amis marocains, marocaines,
il y a eu des incidents, des morts par rapport
à des trucs de santé, c'est mal géré, puis là ,
ils se plaignent, genre, OK, lĂ -bas...
Speaker 4 (04:26):
Mais le message général
Speaker 2 (04:28):
c'est que... Désolé si j'ai mal résumé, mais
Speaker 4 (04:30):
Mais le message général, c'est que... les problÚmes de société
qu'on vit, on n'est pas unique. DĂšs qu'on a accĂšs
Ă l'extĂ©rieur, c'est Ă peu prĂšs les mĂȘmes dĂ©bats. Puis, aprĂšs,
quand tu fermes ton phone pour aller te coucher, tu
te dis, est-ce que c'est déprimant? Moi, il n'y a rien.
Tout est déprimant.
Speaker 2 (04:51):
Au moins, si on
Speaker 7 (04:52):
avait du paquet.
Speaker 2 (04:53):
En moins, mais attends, j'ai trouvé le nom du livre.
C'était le livre, tu sais, les livres... C'est des livres d'enfants,
mais il y a des thĂšmes trĂšs adultes. Les livres,
les albums dessinés d'Elise Gravel
Tu connais? Elise Gravel? Donc, il y avait un livre
que je lis souvent Ă la petite, qui est Tout
(05:14):
le monde, qui s'appelle Tout le monde. Et puis, une
des phrases à la fin, tout le monde est différent,
mais nous sommes tous des ĂȘtres humains. C'est ça la leçon.
Speaker 4 (05:24):
Et là , tu es en train de créer une mini version,
plus plus de toi Ă la maison.
Speaker 2 (05:30):
Exactement. On est tous des ĂȘtres humains. Et
Speaker 4 (05:32):
à les écrivains, merci
Speaker 2 (05:34):
beaucoup. Mais est-ce que ce livre-lĂ , finalement, est plus utile
pour toi? Beaucoup de ces livres-là , c'est des leçons de
vie pour les adultes. Ah, ouais, t'étais petit aussi, maintenant
c'est Ă toi d'apprendre. Il y a des messages entre
les lignes, il y a des messages cachés. Mais si
vous avez des enfants, ou mĂȘme si vous aimez les
bandes dessinées enfants, les bandes dessinées, les albums, Delise Gravel, excellente, voilà ,
(06:01):
une belle personne. Je ne la connais pas, mais une
belle personne. Donc c'est ça.
Speaker 4 (06:07):
C'est dĂ©primant. Ăa pourrait ĂȘtre si on ne faisait
Speaker 2 (06:10):
pas
Speaker 4 (06:10):
de recherches approfondies
Speaker 2 (06:13):
Tu veux que personne ne copie? Tu veux parler de
la pornographie? On n'en a pas Ă parler. Tu veux
parler de géopolitique du Moyen-Orient? Non, non, non. On va
embarquer dans
Speaker 4 (06:22):
l'algorithme. C'est dangereux.
Speaker 2 (06:24):
Est-ce que tu veux parler... le phénomÚne de comment l'animé
One Piece influence comment dire influence les manifestants je pense
c'était en Asie au Bhoutan tu sais One Piece j'ai
pas le temps de voir l'animé parce qu'il y a 1500
épisodes mais le drapeau de One Piece c'est un drapeau
(06:45):
de pirate One Piece c'est un pirate Je n'ai pas
trop vu. C'est un pirate qui va Ă travers le monde.
C'est des messages adultes de corruption contre l'establishment, contre la royauté,
tout ça. Le drapeau One Piece est devenu un emblÚme
de la révolte souvent. C'est Luffy. Luffy, c'est le personnage principal.
(07:05):
Il est brésilien dans le dessin animé. Et au fait,
ils libĂšrent les peuls, puis ils se battent contre la corruption, etc.
Et je pense que c'est au Madagascar, aux Philippines, je
pense au Bhoutan ou au Népal, excusez-moi, j'oublie. Et en Indonésie,
oĂč tu as le drapeau de pirate de Luffy qui
est affiché pendant qu'ils attaquent des bùtiments gouvernementaux, parce que
c'est comme ça qu'ils...
Speaker 4 (07:24):
C'est positif, c'était pas
Speaker 2 (07:25):
de question. Je pense que j'ai trouvé le titre. Luffy?
One Piece
Speaker 4 (07:30):
Mon Dieu, nous sommes en dépression.
Speaker 2 (07:33):
C'est moins dépression. Super. Non, c'est ça
Speaker 4 (07:36):
Dépression collectif.
Speaker 2 (07:39):
Oui. Tu devrais regarder des animés. Tu vas apprendre plein
de choses. Je te garantis. C'est ça. Prends le jingle
pour qu'on déprime. Allez, les gars, je vous aime. Je
Speaker 7 (07:57):
vais t'expliquer. Ils ne sont pas au niveau. Les arbitres.
Speaker 6 (08:02):
Vous écoutez
Speaker 9 (08:12):
Couscous.
Speaker 10 (08:12):
Je pense
Speaker 11 (08:18):
que
Speaker 12 (08:21):
je ne me trompe pas de Real Madrid. Ils ne
me trompent pas des séries. Ils ne me trompent pas mondialement.
Speaker 2 (08:33):
plus piri-piri, épisode 145. Moi, c'est Sofiane, votre animateur. On... Mon
co-animateur de l'émission, co-producteur, co-créateur avec Nilton Georges. Co-pilote. Donc voilà ,
(08:53):
on parle de foot et d'autres choses. Vous ĂȘtes nouveaux.
Il n'y aura pas d'introduction, il n'y aura pas de
résumé comme dans les émissions. Au dernier épisode, il s'est
passé cela. Non, il n'y aura pas de ça. Donc
demandez Ă vos amis qui on est. Nilton? Ce dont
on va parler aujourd'hui, c'est du foot non-foot hors terrain
(09:14):
et sur le terrain, mais pas pour tous. Et dans
le contexte de la conversation, est-ce que ce jingle fait
encore plus mal? Ok. Je
Speaker 3 (09:27):
suis genre ⊠Mais ce jingle, il est en train
⊠Attends, on le rerolle, ok? Réécoutez le jingle, ok?
On le rerolle.
Speaker 7 (09:36):
Je
Speaker 6 (09:41):
vais t'expliquer
Speaker 9 (09:51):
ils ne sont pas au niveau,
Speaker 10 (09:52):
les
Speaker 11 (09:56):
arbitres. Vous écoutez Couscous. Je pense
Speaker 12 (10:00):
que je ne me trompe pas de Real Madrid, je
ne me trompe pas du Syrie, je ne me trompe
pas du Mondial.
Speaker 3 (10:14):
C'est pour...
Speaker 4 (10:18):
Ouais. Je t'ai tué avec ça. C'est quand est-ce que
l'article est sorti d'Alexandre? Est-ce que c'était lundi matin ou
mardi matin?
Speaker 2 (10:27):
Est-ce
Speaker 4 (10:28):
que ça nous a tués dÚs le début de la semaine?
Je
Speaker 2 (10:31):
suis pas sûr que oui. Oui, Max, tu peux le
refaire si tu veux. Il y a 4 jours, c'était quoi
il y a 4 jours? C'était le 29 septembre. qui était le
lundi matin. 7h18 du
Speaker 4 (10:50):
matin. On a un autre son qui peut résumer exactement
ce que je pense de la ville de Montréal. Ben non,
sonne nul. Ouais. Parfaitement,
Speaker 2 (11:04):
je vais lui dire ça. Donc, le contexte. Regarde, s'il
y avait des matchs de Coupe du Monde à Montréal,
disons dans un monde bizarro, Altered Universe, Marvel Timeline, etc.
Je pense que le jingle CCPP, c'est le thĂšme parfait.
(11:25):
Il représente Montréal. Le foot montréalais a travers plusieurs panoplies. Et!
Il nous faut la transition pour parler de ce dont
on va parler. Ăvidemment, on cue-up nos deux MontrĂ©alais stars
qui viennent la semaine prochaine Ă MontrĂ©al. Ăa va encore
déprimer encore plus.
Speaker 4 (11:54):
Comment est-ce possible que ces deux joueurs-lĂ et toute la
communauté foot s'est développée pendant ces derniÚres décennies, malgré les
compétences et l'aveuglement des autorités en place
Speaker 2 (12:09):
Nilton, quand j'observais l'équipe nationale féminine, qui était le porte-drapeau
du soccer canadien pendant 20 ans, Disons 20 ans, on va dire 20 ans.
Speaker 4 (12:25):
Je me dis, mais comment elles font? Comment elles ont fait?
La concurrence est moins forte au niveau logistique et appui politique. Oui, mais...
Mais quand
Speaker 2 (12:35):
les
Speaker 4 (12:35):
autres pays ont commencé à avoir cet appui-là , le Canada, rapidement,
s'est fait dépasser.
Speaker 2 (12:39):
S'est fait dépasser, mais pendant longtemps. Et surtout, comment... Et Sinclair,
elle sort d'oĂč, elle? S'en... Je me dis, mais il
n'y a aucune infrastructure officielle. Il n'y a mĂȘme pas
de club. Ils jouent NCAA s'ils sont chanceux. Mais c'est
pour dire... Mais tu sais pourquoi je dis ça? Parce
que c'est pour dire que l'équipe de salle féminine qui
(13:02):
a été longtemps le porteur d'ordre du soccer canadien au
niveau international, s'est développé malgré, à l'instar d'eux, les instances fédérales, provinciales, municipales, sportives,
non sportives. Et mĂȘme l'Ă©quipe nationale masculine, dont John Herman
a remis sur la carte, ils l'ont fait pas grĂące
(13:23):
à Cadence Soccer. A l'instar, malgré... Et maintenant, on a
le fruit de ce travail que Jesse Miles reprend avec
le changement de la direction de Cardinal Soccer, Kevin Blue, etc. Maintenant, nous,
ce dont on veut parler, c'était l'article d'Alexandre Pratt qui
fait une excellente enquĂȘte par rapport Ă des turbulences positives
(13:49):
et négatives autour du soccer international montréalais, relié à la
Coupe du Monde et relié aussi aux états financiers, aux
discussions financiĂšres entre le club CF MontrĂ©al et la ville. Ăa,
c'est quasiment un sujet Ă part par rapport Ă comment
la ville et le club peuvent mieux travailler ensemble. PremiĂšre image,
(14:09):
désolé pour l'audio. La MLS vient de rencontrer deux candidats
Ă la mairie de MontrĂ©al. Ăa prend une relation forte,
un partenariat public-privé, public-privé entre le CF Montréal et la ville.
Ce que nous n'avons pas vraiment eu récemment, m'a dit
le VP Charles Altschek. Donc Alexandre Pratte, dans l'article, continue
pour dire qu'il n'y a pas de canaux de communication
(14:31):
en fond qui sont clairs et directs entre la ville
et le club. mais je pense que c'est en réflexion
par rapport Ă le prochain point qui est que Il
y avait une sĂ©lection internationale qui voulait se baser Ă
Montréal durant la Coupe du Monde. Pas avant la Coupe
(14:51):
du Monde, on se dit d'ailleurs. Durant toute la durée
de la Coupe du Monde, ils voulaient s'installer au centre
du trilé. Le SAF Montréal avait tout géré ça. On
y va au prochain diapositive. Parmi les points de friction récemment,
le SAF Montréal désirait accueillir un camp de base d'une
Ă©quipe nationale Ă MontrĂ©al pendant la CĂŽte d'Ivoire en 2026. Ăa
nécessitait le soutien de la ville pour la sécurité et
la logistique. La ville a refusé. Encore une fois, je
(15:11):
lis le tweet d'Alexandre Pratt Ă l'issue de son article
sur la presse poncéale. Ensuite, troisiÚme point, le Saint-Moriel vient
de donner un mandat au vice-président principal de National, Paul Wilson,
pour favoriser la collaboration avec les gouvernements. Donc, peut-on lire
dans l'origine des lobbies, peut-ĂȘtre. Ăa, c'est un autre point.
Par rapport Ă la CĂŽte-du-Monde, c'est cadu qu'on s'en fout
de ça, mais c'est un point important à dire.
Speaker 4 (15:32):
Oui, mais Paul Wilson a déjà commencé à faire des
présences médias.
Speaker 2 (15:36):
Oui, mais dans le contexte du camp de base du monde. Oui,
Speaker 4 (15:40):
c'est un
Speaker 2 (15:41):
sujet
Speaker 4 (15:42):
supplémentaire
Speaker 2 (15:43):
Important pour le club et sa pérennité financiÚre et politique
dans la ville. Ensuite, info CCPP. On apprend, aprĂšs un
tweet de Sofien qui n'était pas trÚs bon. on a
collaboré avec Newton je
Speaker 4 (15:58):
l'efface les triples niveaux
Speaker 2 (16:01):
c'est mal il faut que ça soit toujours clair direct
donc info CCCP France à Montréal c'est non selon nos
sources la Fédération Française de Football la 3F visait clairement
Montréal pour réinstaller son camp d'entraßnement en vue de la
CĂŽte du Monde 2026 Cette information nous est parvenue juste aprĂšs
l'article de Alexandre Pratt qui a révélé le fait que
la ville a refusé. Donc nous, c'est Pratt qui a
(16:21):
fait le travail d'enquĂȘte. Il a fait un travail d'entrevue, d'enquĂȘte.
Il a tout mis ça pour tout le monde. Excellent travail.
Comme d'habitude, c'est un journaliste de top niveau par rapport
Ă ce genre de choses-lĂ . Son opinion de foot, je
suis souvent en désaccord avec lui. Ce n'est pas grave,
tu n'as
Speaker 4 (16:35):
mĂȘme pas d'opinion de foot. C'est ça
Speaker 2 (16:38):
Mais c'est des opinions de foot. Moi, je dis ce
que je pense des gens. Je dis, opinion de foot,
je ne suis pas trop d'accord avec lui. Mais quand
il fait un travail comme ça, c'est clair, net, c'est
un exposé, on voit ce qui se passe. Donc, on
apprend que Liquide de France Ă©tait prĂȘte. Il a dit, OK,
on vient à Montréal. Combien? Ou combien? Parce que je
vous rappelle ⊠les sĂ©lections nationales, mĂȘme si elles ne
(17:00):
sont pas encore qualifiées, et ceux qui savent qu'ils vont
y ĂȘtre ou ceux qui sont proches, ils doivent rĂ©server
un an Ă l'avance leur camp de base. Donc, les
différentes villes hautes vont offrir des facilités, les clubs locaux, MLS.
Speaker 4 (17:13):
Et ces fĂ©dĂ©rations-lĂ se dĂ©pĂȘchent de trouver les meilleurs spots possibles. Oui.
Ă la limite, si la France ne se qualifie pas,
Parce que l'UFA n'a pas réglé. Ce n'est pas fait.
Ce n'est pas réglé. Spoiler, ville de Montréal. Allez voir
sur Internet comment ça marche. Donc, la France et les
autres grosses fédérations veulent les meilleurs spots. Ils font leurs
(17:36):
recherches et réservent ces endroits-là le plus rapidement possible. Si jamais,
en cas de catastrophe, ils ne se qualifient pas âŠ
Ils vont prendre leur place.
Speaker 2 (17:47):
Parce que le travail a été fait. Donc, le travail
d'analyse du club avec la MLS et la ville de
Montréal pour dire, on remplace France par Algérie. C'est bon,
ils vont venir. Et puis, quel était leur... qu'est-ce qui
a déclenché leur envie de venir à Montréal? Ce n'est
pas parce qu'il y a un rapport international. Qu'est-ce qui
(18:09):
pourrait bien leur faire venir? Il y a un centre
sportif d'un club qui s'appelle le Centre Lutrylet. Ăa peut
ĂȘtre parce qu'ils sont dans une ville au Canada, mais
en mĂȘme temps, il n'y aura pas des matchs, donc
ils sont peut-ĂȘtre plus calmes. dans une ville qui aura
des matchs comme Ă Toronto ou Ă Kansas City. Peut-ĂȘtre
qu'il y aura moins d'affluence, c'est plus gérable. Parce que,
(18:30):
tout simplement, la premiĂšre chose qu'ils ont
Speaker 4 (18:31):
réfléchi comme destination logique, numéro un, c'était Montréal. C'était Montréal. Attention,
pour ceux qui n'ont toujours pas compris, sept jours plus tard,
les sélections ne demandaient pas de l'argent. Non, non. Aux
autorités municipales. Il n'y a pas de subvention. Il
Speaker 3 (18:51):
n'y
Speaker 4 (18:52):
a pas l'argument dĂ©magogue ultime oĂč on dit« ce sont
des millionnaires, ils n'ont pas besoin
Speaker 2 (18:58):
d'un milliard.» C'est
Speaker 4 (18:58):
pas ça du tout. C'est pas
Speaker 2 (19:01):
ça. Et puis, la convention n'est peut-ĂȘtre pas arrivĂ©e à ça.
Peut-ĂȘtre la convention a pu se dire« ok, la 3F
va donner un petit 100 000 pour compenser la ville pour les
choses qu'elle a besoin.» Maxime Trumann, parce que selon ces informations,
Maxime Trumann tweet sur mes informations, la ville de Montréal
voulait des garanties qu'il allait y avoir des événements publics
pour que les Montréalais puissent avoir accÚs à l'indication française,
(19:24):
anglaise ou néerlandaise. Mais pourquoi on parle de la France,
l'Angleterre et les Pays-Bas? Parce que, surprise, la ville de
Montréal n'aura pas juste dit non à la France, mais
Ă l'Angleterre, Harry Kane, Jude Bellingham, Baka Saka et les Pays-Bas.
Van Dijk. Bonjour Van Dijk. Donc, le CF Montréal n'aurait
(19:50):
pas seulement discuté avec l'équipe de France dans le but
de leur offrir le centre du trilé et ses installations
en vue de la Coupe du Monde. Donc lĂ , j'ai
refait la référence, j'ai fait en privé avec son prate
Mais fait le chantier, le bĂątiment, la construction. Nous, on
trouve un petit truc par terre. Ah, la surface, on
a gratté un peu. Ah, c'est la France. Et ensuite,
Max Truman prend son marteau piqueur. Et Denis, j'ai encore
(20:11):
plus d'histoires par rapport à ça. Donc, résumer rapidement. Désolé
pour la présentation PowerPoint. Rapidement, la France, l'Angleterre, les Pays-Bas
Ă©taient prĂȘts Ă vivre Ă MontrĂ©al pendant 2, 3, 4 semaines pendant la
Coupe du Monde, au Sofitel, au Ritz-Carlton ou Ă whatever,
et s'entraĂźner dans son nutrilet, et probablement au Stade Saputo,
pour ensuite prendre des vols nolisés, parce qu'ils ont le
(20:33):
propre avion, de Dorval ou peut-ĂȘtre de Saint-Hubert, pour ensuite
se dĂ©placer dans les diffĂ©rentes villes oĂč ils vont jouer.
Et la Ville de Montréal a dit non, 600 000 $ est
beaucoup trop cher pour gérer la sécurité, les déplacements et
autres choses connexes qu'ils avaient besoin pour encadrer ces sélections
qui vont vraiment dépenser des centaines de milliers de dollars,
(20:54):
je dirais, ou des dizaines
Speaker 4 (20:56):
de
Speaker 2 (20:56):
milliers de dollars
Speaker 4 (20:56):
Un budget d'une fédération qui se déplace dans un camp,
comme tu dis, pendant le tournoi, c'est au minimum 7 chiffres.
Leur budget pour s'installer, c'est un minimum d'un million de
dollars de budget pour les déplacements. Au minimum
La Ville de Montréal, tout ce qu'elle avait besoin de
(21:19):
valider auprÚs du club et de la MLS, c'était la logistique.
Parce que Tout le travail avait été fait au préalable.
Tout
Speaker 2 (21:27):
le travail. La MLS a
Speaker 4 (21:28):
dit voici
Speaker 2 (21:29):
Montréal a fait le dossier d'affaires avec la MLS. Montréal
Speaker 4 (21:33):
a géré deux courriels. à peu prÚs juste ça. Ils
ont géré deux courriels. Parce que la MLS a fait
appel Ă ces villes. Toutes les franchises MLS se sont
occupées du cahier de charges et de la logistique. Joey
Saputo fait« Ben oui, je vais le prendre parce que moi, là ,
(21:54):
pas au prochain euro, mais l'autre euro d'aprÚs, là , en 20... 32.»
Bologne est candidate Ă recevoir des matchs avec la ville
qui est prĂȘte Ă travailler sur les infrastructures du club
pour accueillir comme n'importe quel autre pays fait profite de
(22:14):
ces tournois-lĂ pour amĂ©liorer les infrastructures. Nous, ce n'est mĂȘme
pas ça. Nous, c'est une coche en dessous. Nous, on
est peut-ĂȘtre traitĂ© comme la banlieue de Bologne qui va
accueillir une sélection pendant ce temps-là . Montréal avait déjà tout
fait le travail avec la MLS. avait regardé les cahiers
de charges, avait estimé des coûts pour la ville. Voici
ce que ça nous demande comme logistique en frais de déplacement,
(22:38):
peut-ĂȘtre refaire l'astide d'asphalte qui a l'air de Beyrouth autour
de la caserne. Des trucs comme ça, OK? Un strict
minimum qui ne correspond Ă aucun dollar de subvention dans
les poches de la Fédération française. Ce n'est pas de
l'argent qui sort de la ville. C'est de l'argent dépensé
dans leur budget à eux, dans les employés locaux. C'est
(23:00):
tout de l'argent qui rentre dans des poches de Québécois
et qui, aprÚs, va réinvestir dans l'économie. La ville, quand
ils ont vu le coût estimé par MLS et le
CF Montréal, ils ont dit,« Ce n'est pas vraiment ça.
On pense plutĂŽt que ça va ĂȘtre 600 000.» OK, 600 000. Et leur
demande stupide, ignorante, qui prouvent Ă quel point ils n'ont
(23:24):
pas les compétences pour prendre une décision économique
Speaker 2 (23:29):
demandent
Speaker 4 (23:31):
que trois fédérations nous garantissent, à l'avance,
Speaker 2 (23:36):
sans
Speaker 4 (23:36):
savoir s'ils vont ĂȘtre qualifiĂ©s,
Speaker 2 (23:39):
Au fait, c'est comme s'ils demandaient à la Fédération des
Pays-Bas et l'Angleterre et la France. C'est comme des influenceurs TikTok. Oui,
je veux te donner 1 000 $ pour ton post sur la
ville de Montréal, mais je veux ⊠C'est quel est
ton plan de visibilité en retour? Les mecs, tu ne
demandes pas ça à la France ou aux Pays-Bas ou
Ă l'Angleterre. Mais ils
Speaker 4 (23:54):
n'ont mĂȘme pas besoin ⊠Non,
Speaker 2 (23:56):
mais ils ne leur parlent pas comme si c'était des
influenceurs qui demandaient une demande de commandite. Oui, je vais
te donner, mais tu me donnes quoi en retour? Je
peux avoir un plan de contenu, un calendrier? De quoi
tu parles? Mais à qui ils ont parlé? Il n'y
a pas un Algérien à cÎté dans le bureau, un Portugais,
un Marocain? Yo, Mahmoud, c'est bien pour venir ici? Oui, oui, oui.
(24:18):
Van Dijk, j'adore Van Dijk. Mais Ă la
Speaker 4 (24:20):
limite,
Speaker 2 (24:21):
il
Speaker 4 (24:22):
ne faut pas comprendre le sport. Ă la limite, il
faut juste ⊠Ăa pourrait ĂȘtre un autre sujet connexe.
Assure-toi que ton courriel n'aurait pas l'air d'un courriel stupide.
Ta réponse
Speaker 2 (24:36):
ça
Speaker 4 (24:36):
ne peut pas ĂȘtre tout simplement non, aucune garantie de
Speaker 2 (24:41):
retour pour les Montréalais. Et puis, ce qui est frustrant,
tu m'as envoyé l'entrevue, le débat-entrevue interposé entre Luc Rabouin
et Mme Soraya. Merde, Martinez de Fernandez. Oh lĂ lĂ .
Speaker 4 (24:53):
Fernandez, je pense
Speaker 2 (24:54):
Soraya Fernandez. Excuse-moi, Soraya. Soraya Martinez. Soraya Martinez-Ferrada. Pardon. On
l'était proche.
Speaker 4 (25:01):
C'est un mélange de Ferrada et Martinez
Speaker 2 (25:04):
qui donne
Speaker 4 (25:04):
Ferrandez
Speaker 2 (25:05):
Je pense qu'elle a des origines chiliennes et uruguayennes. Je
pense que c'est Chili
Je pense
Speaker 4 (25:10):
Donc, elle a
Speaker 2 (25:12):
Mais cette
Speaker 4 (25:12):
entrevue-là , quand on m'a l'a envoyée, deux personnes différentes Des
médias m'ont envoyé cette entrevue-là . Pourquoi
Speaker 2 (25:18):
ils ne parlent
Speaker 4 (25:19):
pas Ă moi?
Speaker 2 (25:20):
Parce que
Speaker 4 (25:20):
j'avais l'air affectĂ©, peut-ĂȘtre. Ils se sont dit, on va
le scraper. Moi,
Speaker 3 (25:27):
je suis
Speaker 4 (25:27):
allé sur YouTube aprÚs. Un entrevue des deux candidats ont
accordé à Philippe Cantin au 98.5. M. Luc Rabouin et Mme
Speaker 2 (25:37):
Souria
Speaker 4 (25:38):
Martinez-Ferrara. Le candidat du parti sortant avait l'air... Bien, ça
prouve que son courriel était complÚtement disconnecté. Il avait l'air
tellement mélangé dans ses sujets. Il nous a parlé de
candidature de la Ville de Montréal. Il nous a parlé
de 380 millions pour... Un minimum, peut-ĂȘtre trois ou six matchs.
(26:01):
Il était tout, tout, tout, tout,
Speaker 2 (26:04):
tout confond dans
Speaker 4 (26:05):
ses arguments.
Speaker 2 (26:06):
Oui, c'est la premiĂšre chose qu'il a dit. Non, non,
il n'Ă©tait pas mĂȘlĂ©. Il voulait dĂ©vier le sujet vers
autre chose. C'est une tactique. Non, non, non, je ne
donne pas du crédit qu'il mérite. Il sait ce qu'il fait.
C'est l'expĂ©rimenter. J'aurais fait la mĂȘme chose pour... J'aurais fait
la mĂȘme chose pour... Donc, il s'est dit, je suis
en train de
Speaker 4 (26:24):
parler à un homme des médias qui arrive des sports,
puis je vais le confondre avec deux sujets complĂštement âŠ
Et ça n'a pas
Speaker 2 (26:32):
marché. Parce que Philippe l'a relancé. Mais pour dire, en plus,
c'est que ⊠Regarde, il y a des choses qui
vont sortir. Je ne suis pas sûr. Des choses que
tout le monde parle. ParenthĂšse
Speaker 4 (26:44):
parenthĂšse, parenthĂšse. Oui, ce qu'Alexandre Pratte, c'est un gros travail
qu'il a fait. Mais s'il y a accĂšs Ă ces
informations-là ⊠C'est qu'il y a des gens qui veulent parler
Speaker 2 (26:55):
C'est ça le truc. Et j'aimerais juste dire, OK, regarde,
je vais faire une petite parenthĂšse, rapide. Je vais ĂȘtre frustrĂ©, OK?
Je vais trouver dans l'information ce que je fais aussi
mes recherches ici parce qu'on n'a pas de budget. Tu
ne veux pas trouver des sponsors. Donc, 13 juin 2018. Qu'est-ce qui
s'est passé le 13 juin 2018? Je n'avais pas encore 50 ans. La
(27:18):
FIFA a annoncé que United Bay 2026, la CÎte du Monde
a été octroyée. Vas-y, doucement. La CÎte du Monde a
été octroyée. La CÎte du Monde 2026 a été octroyée au
groupe United, qui reprĂ©sente le Canada, le Mexique et les Ătats-Unis,
pour la CÎte 2026. Donc, en 2018, ça, c'était il y a 7 ans.
(27:40):
Il y a 7 ans, en juin, On savait qu'Ă cause
d'on allait venir au Canada. Combien de matchs? On ne
sait pas. Mais on se doutait que Montréal-Tonton-Vancouver aurait été
trois villes hautes. Donc juste pour dire, j'ai vérifié. Je
n'ai pas eu le temps de tout vérifier, mais je
n'ai rien vu dans les prochains 18 mois qu'il y a
eu des annonces que le stade olympique allait ĂȘtre rĂ©novĂ©.
(28:00):
Vous créez des plans pour supporter le mouvement United 2026. Montréal,
QuĂ©bec et mĂȘme le fĂ©dĂ©ral vont aider pour que le
stade olympique soit un stade prĂȘt pour accueillir des majeurs
coups du monde. Déjà , il n'y a rien de ça.
DeuxiÚme information, deuxiÚme chronologie que j'ai trouvée, tu vas adorer ça.
(28:21):
C'était le 12 juin 2024, bien aprÚs, il y a un an.
La FIFA a publié une premiÚre liste de camps de
base pour la CÎte d'Ivoire en 2026 et dévoile les parcours
des équipes. Donc, il y a des camps de base
qui ont déjà été établis. Les camps de base sont
répartis dans 17 villes, dont 9 qui n'accueilleront pas de match, ce
qui est encore davantage la portée inédite de la compétition.
(28:45):
Scoop Montréal n'est pas dans cette liste en ce moment-là .
Mais je vais donner des listes trÚs intéressantes de villes
qui sont des sites d'entraßnement officiels proposés par la FIFA
aux sĂ©lections. Chattanooga. Ok, arrĂȘte. Non, non, non.
Speaker 5 (29:05):
Attends, attends, attends. Non, arrĂȘte. Attends, attends.
Speaker 4 (29:10):
ArrĂȘte, arrĂȘte. La ville qui va peut-ĂȘtre recevoir 10 joueurs de
la réserve de Montréal va avoir... Quand est-ce qu'on est
devenus cons collectivement pour dire« c'est pas professionnel, on donne
pas d'argent». Quand est-ce qu'on est devenus cons comme ça
pour prendre des décisions... Juste sur du papier, puis sans
(29:31):
réfléchir à un niveau un peu plus... Hier, j'haïs ça,
faire ça, mais hier, mon fils, à un moment donné,
était assis à cÎté de moi, puis il m'a déprimé.
Il m'a dit« Papa, à chaque fois que je vois
un tweet sur la Coupe du monde présentement ou quelque chose,
je skip parce que je vais ĂȘtre fĂąchĂ©.» C'est des jeunes, OK?
(29:52):
On a une responsabilité, nous, les adultes, de faire vivre
ce qu'on a vĂ©cu nous-mĂȘmes. OK, nous, on est juste
un podcast de sport. On n'a pas d'autre chose. On
a une responsabilitĂ© de faire vivre Ă nos jeunes, Ă
la gĂ©nĂ©ration qui suit, la mĂȘme chose qu'on a vĂ©cue. Moi,
je suis un fucking vieux de 50 ans. Moi, j'ai vu...
(30:15):
J'ai vu, par exemple, les Canadiens de Montréal, pas se
battre pour faire les séries, c'est pour se battre pour
gagner la Coupe Stanley. C'était des trucs comme ça, OK?
J'ai vu un club qui représentait la communauté. DÚs qu'il
y en a un qui ne parlait pas français, c'était weird. Là ,
quand un fait une entrevue en lisant un télétrompteur, on
devient super excité. J'ai vu du baseball avec 2 millions de
(30:35):
spectateurs au stade, avec des ambiances de fous, OK? Oui.
que ça torchait les Canadiens. On a vécu des affaires folles, folles,
folles comme ça. La génération d'avant a vécu les Jeux olympiques.
On est tanné d'entendre les boomers nous parler d'Expo 67. On
a vécu... Montréal était huge. C'était une vraie ville internationale. Maintenant,
(30:57):
nos jeunes s'énervent, OK, parce que les Raptors ont gagné
quelque chose. On est tellement colons qu'on va dire« no Jays».
On attend que... Les Canadiens font les séries une fois,
s'il y a... des publications qui vont chercher des riches de 2, 3, 4, 5
millions parce qu'on a gagné une game en playoff. Et
(31:17):
on accepte tout simplement que Montréal soit en dessous du
Chattanooga pour un campement. Il fallait capoter à l'époque, pour dire,
attends une minute, ce n'est pas vrai que Vancouver va
recevoir des matchs, mais pas nous autres au Canada. Il
faut un minimum. C'est une opportunité
Speaker 7 (31:39):
unique.
Speaker 4 (31:39):
Toi et moi, c'est notre seule chance d'avoir des matchs
de la Coupe du monde. Sortez-moi pas la liste. C'est
tellement lame de sortir une liste. Oui, mais les billets
coûtent cher. Shut up. Quand les grands artistes de musique
viennent ici, tu penses-tu qu'ils vendent des billets Ă 200$? Non.
Tout se vend cher.
Speaker 2 (31:56):
Je suis d'accord.
Speaker 4 (31:57):
arrĂȘtez d'utiliser des arguments qui sont trop faciles pour dire
des choses comme les autres
Speaker 2 (32:02):
veulent je suis d'accord mais ce qu'on nous fait ce
qu'on nous fait avec ça c'est que je trouve le
mot en français mais en anglais il est bien on
nous fait du gaslighting je pense on dit ça du
détournement cognitif ou du débousslage du gaslighting donc on nous
ment on nous fait croire qu'on est fou qu'on est
con et t'as trÚs bien résumé l'histoire ancienne et récente
de Montréal en étant une ville de sport, une ville d'événements,
(32:24):
une ville riche. Et le livre de Vincent Dutouche, on
a rappelé que par rapport à l'épreuve de Drogba, Montréal
est importante. Giorgio Chiellini te l'a dit en caleçon, Dolce
& Gabbane dans le vestiaire qui l'a dit, moi je
suis revenu à Montréal, Nilton, mais je n'ai pas pu
venir parce que X, Y, Z. Chiellini lĂ , Giorgio Chiellini
te l'a dit et Et ce que ça prouve, c'est
(32:45):
qu'en fait, ces personnes-là qui dirigent, ils n'ont pas la visibilité.
Ils s'en foutent. Ce n'est pas leur priorité. Ce n'est
pas leur priorité. Mais attends, je finis. Mais ils ne
veulent pas assumer. MontrĂ©al, peut-ĂȘtre, Ă©tait une grande ville. Maintenant,
avec les infrastructures, l'aéroport⊠Oh, il est encore. Il faut
faire une descente Montréal. J'haïs ce discours-là . C'est ça. Je
donne du loose. Je donne du loose. Je donne une
(33:05):
corde pour me pendre aussi. Allez-y. Prenez un peu de
loose de la corde. C'est peut-ĂȘtre plus une grande ville
comme avant. Mais ce n'est pas un village. ArrĂȘtez de
rabaisser la ville Ă nos yeux. MĂȘme moi, je crois
Ă cette narrative mensongĂšre. Parce que Nilton, tu te rappelles
le débat qu'on a eu avec Max Truman il y
a un an par rapport au cercle olympique? Il fallait
(33:27):
rénover à six ans. Pourquoi le vote maintenant? Pourquoi? parce
que le Provençal il n'y a aucune vision aucune vision
parce que vous ne pouvez pas oublier la mĂȘme ville
de Valérie Plante et de Luc Rabouin qui est maire
du Pateau MontrĂ©al que moi je ne suis pas lĂ
dans la politique Cube Radio non ce n'est pas de
nos affaires pour dire que Plante c'est wow il n'y
a pas ces compétences là je m'en fous puis moi
je la trouve bien Plante Coderre c'était bien mais il
(33:49):
a fait des conneries tout le monde fait des conneries
donc c'est pour dire c'est que la ville de Montréal
Ă©tait prĂȘte Ă investir de l'argent pour accueillir la Coupe
du Monde Des matchs. La ville de Montréal n'a pas
dit non. Le provincial a dit non. Le mĂȘme provincial
qui a donné au LA Kings de venir jouer un
match de préparatoire contre les Bruins. Personne n'a rien à foutre.
(34:10):
Tu te rappelles du score de ce match, Nilton? C'était
quoi le score? C'était quoi le score des Kings quand
on est
Speaker 4 (34:14):
Bruins à Québec? Sauf la preuve ultime qu'on est encore
une grande ville. C'est les trois pays qui étaient intéressés
Ă venir
Speaker 2 (34:23):
ici. Mais il faut ajouter au fait le lien des
Pays-Bas avec le Canada. Ils ont déjà joué ensemble. Oui,
mais c'est ça. Ils sont considérés. Mais ils ne sont
pas cons. Ils ne sont pas bĂȘtes. Ils ont vu
Moreno venir avec Obi Mikel et avec tout ça. Ils
ont vu Zidane venir. Et je l'ai tweeté et personne
(34:43):
n'a voulu me répondre. Mais genre, j'ai serré la main
au président Firoteu Perez. Il m'a dit bonjour. Hola, que tal?
Estå bien? Estå bien, gracias, señor. J'ai dit, j'ai vu Benzema.
J'ai vu Benzema. Je ne sais plus avec qui. Karim Benzema.
Tu sais, l'aller en dalle quand tu viens du centre-trilé
pour aller vers les terrains. Tu sais, tu as le
(35:04):
chemin en dalle. Je me rappelle encore. Je suis allé
trois fois dans ma vie, mais je me rappelle. Il
y a un kart lĂ . Il y avait Karim Benzema
avec Schipulki, probablement Marcelo. Karim Benzema, Marcelo et deux autres
joueurs que je ne reconnaissais pas en train de faire
du kart. En train de jouer avec le kart pour
aller du centre du trilé, le bùtiment au terrain. J'ai
vu ça en somme nutrilée. J'ai vu un rondo tellement
fort du Real Madrid, je dis genre, mais merde, c'est
(35:26):
ça le foot au fait. J'ai vu un rondo que
des joueurs à ma laisse voudraient faire ça en Madrid.
Mais ça va au-delà de ça. C'est
Speaker 4 (35:32):
de garder la réputation
Speaker 2 (35:34):
de cette
Speaker 4 (35:35):
ville-là . C'est de donner quelque chose à une génération qui
est lĂ . Il y a des kids, lĂ , Pensez Ă
ce que ça peut faire à des kids de savoir
que dans sa ville, il va y avoir Mbappé qu'ils
ont juste vu sur leur TikTok. Pense Ă l'effet que
ça
Speaker 2 (35:49):
fait. Ils ont vu qu'il y a Mbappé marcher sur
la mĂȘme rue, aller au mĂȘme endroit de ramĂšne que
lui qui est parti la semaine derniĂšre. Il l'a vu.
Qu'il a été au restaurant ramen comme moi. Jude Bellingham
m'a fait un clin d'Ćil de loin. Mais
Speaker 4 (36:00):
imagine l'opportunité que la ville avait. Stratégiquement, elle aurait pu
se positionner parce qu'ils peuvent nous bullshiter, comme tu dis,
en disant« c'est impossible parce que le timing n'était pas bon,
le stade n'est pas prĂȘt pour recevoir la Coupe du monde,
puis l'argent qu'ils demandent, 300-400 millions, plus six games.» Je
trouve
Speaker 2 (36:18):
que
Speaker 4 (36:18):
ça rentre. Mais mettons que cet argument-là est prouvé. C'est explicable.
C'est un fait. Il n'y a plus rien Ă faire.
C'est un fait
Imagine l'opportunité unique qu'ils avaient pour dire« Hey, you know what? Finalement, pour 600 000,
dépassement de coûts, c'est notre spécialité. Pour un million, on
(36:40):
va avoir, disons, la France... pendant 20 jours, dans la ville
de Montréal. En plus, en étant basé à Montréal, spoiler,
ils vont probablement jouer un match amical. Contre
Speaker 2 (36:55):
le Canada, peut-ĂȘtre
Speaker 4 (36:56):
Peut-ĂȘtre
Speaker 2 (36:58):
Scoop, scoop, scoop. Un match amical Ă huis clos entre
le Cerf MontrĂ©al et l'Ă©quipe de France. Et peut-ĂȘtre, les
jeunes du banc de l'équipe de France joueraient un match
amical contre le Supra AFC, juste pour des bons jours. Oh, peut-ĂȘtre,
l'Ă©quipe de France va peut-ĂȘtre donner des chances Ă faire
une conférence. Les gars et les filles de l'Académie
Speaker 4 (37:15):
vont cÎtoyer, échanger, partenariat avec la FFF. Il y a
des joueurs qui en rencontrent, qui vivent l'expérience Montréal dans
cinq ans. Ils disent« Oh shit, c'était cool. Je vais
signer Ă MontrĂ©al.» MĂȘme chose pour du staff, de la collaboration.
Pousse la patente. Let's go. Utilise toute ta fin de
semaine pour penser Ă tout ce qui pourrait ĂȘtre bĂ©nĂ©fique
(37:37):
dans le futur à moyen et long terme. Tout ça, finalement,
ça nous coĂ»te... Ăa a dĂ©passĂ© les coĂ»ts. Ăa a
coûté finalement un million.
Speaker 2 (37:47):
Au
Speaker 4 (37:48):
lieu de... On vit l'expérience coupe du monde arabais avec
beaucoup plus de reach pour la population. On n'a pas
de game. En plus, les games, ce qu'on aurait pu pogner,
je ne veux pas insulter qui que ce soit, on
va pogner l'Arabie saoudite contre le Mali. Des games qu'on
s'en torche un peu. Au moins, on a du... Elite
One Ă
Speaker 2 (38:07):
la maison on s'entanche un peu c'est pas des matchs
d'élite je comprends
Speaker 4 (38:11):
tu comprends mais lĂ j'y vais
Speaker 2 (38:14):
tu vas Ă l'extrĂȘme j'aimerais jeter un truc un point
que tu as apporté tu l'as bien vulgarisé tu l'as
bien dit au mot puis je pensais la mĂȘme chose
c'est que jamais une ville comme Montréal eu autant de
chances de ce de rédemption comme tu l'a expliqué tu
veux pas acquérir le magicot du monde va revenir chez
(38:34):
toi mais ça va ĂȘtre le fan aussi et On
t'a donné plusieurs chances de participer au mouvement FIFA, qui
certes n'est pas nécessairement le plus ⊠Non,
Speaker 4 (38:42):
mais ça va ĂȘtre bien mieux. On va aller au
café italien. On va aller au café portugais
Et puis, on va poser les mĂȘmes trois questions qu'on
pose depuis 26 ans à la télévision.
Speaker 2 (38:55):
Et puis, c'est ça. Donc, la FIFA et les sélections
t'ont donné deux, trois chances de dire« On va venir
à Montréal.»« On va venir.» Pas de match? Ok, camp
de base. Pas la France? Ok, le Pays-Bas. Non? L'Angleterre? Non? Merde.
Mais en plus, ce qui me tue, c'est que, en
(39:15):
parlant de gaslighting, de dissonance cognitive, je ne sais pas
c'était quoi le mot que j'avais utilisé, de détournement cognitif,
le gaslighting, c'est que, donc, si je suis ta logique,
ville de Montréal, je me dis... On va vous donner
un million de dollars, 600 000. Disons qu'on va faire un petit 30
% Ă un million de dollars. Mais je veux avoir
des garanties d'au moins un événement avec la mairesse en
(39:38):
train d'échanger des procédés et des clés symboliques de ville
qui rencontrent sur le cĆur QuĂ©bec, qui fassent un Ă©vĂ©nement
au Royal Mount parce que ça ne va pas bien là -bas.
Mais tout ça va réarriver, gang de cons. Je sais,
je sais. Mais disons qu'on veut ça. En quoi avoir
cette visibilité-là justifie ou rentabilise 100 millions de dollars? Explique-moi. Disons
(40:03):
qu'ils font ça. On a une liste, on a un calendrier.
En quoi une visibilité dans des événements, ils ne vont
pas faire beaucoup parce qu'ils sont lĂ pour jouer des matchs.
Ils sont là pour s'entraßner. En quoi te garantir des événements,
disons trois événements garantis, que la fédération, la 3F, ou
les Pays-Bas ou l'Angleterre disent, oui, on va faire ça,
(40:23):
on va vous garantir un million de ça, on va
faire un petit podcast avec RDS, TSN, au Centre Eton, whatever,
en quoi ça rentabilise ton 600 000 $, ton 1 million
Speaker 4 (40:33):
Je vais te le dire, eux, ce qu'ils voulaient, eux,
ce qu'ils voulaient, c'est, qu'est-ce que je vais pouvoir dire,
montrer aux gens,
Speaker 5 (40:46):
C'est ça mon point!
Speaker 4 (40:48):
C'est ça mon point! Les autres, ils voulaient montrer, voici,
voici notre argent, voici Benzema, voici Mbappé, voici Didier Deschamps.
Ils parlent ou passent Ă la tĂ©lĂ© quĂ©bĂ©coise oĂč il
y a 15 jeunes de telle école secondaire qui ont assisté.
Ils voulaient montrer. Ils voulaient faire des publications pour montrer.
(41:13):
Mais tu sais quoi, le gros problÚme qu'on a eu, ça,
c'est le bout qui démontre le défaut de l'impact. L'impact
arrive avec cette demande-lĂ . C'est ceux qui se font kick-out
parce que dans la tĂȘte des dĂ©cideurs idiots qui consomment
focale ce sport-lĂ , le seul truc qu'ils consomment, c'est comme
(41:34):
tous les autres, c'est-à -dire quand ça ne va pas bien.
Quand on dit CF Montréal à quelqu'un qui suit moyen
le sport, qu'est-ce qu'il va dire? Tous les clichés négatifs.
Speaker 3 (41:42):
On virait le cours. Le professeur. Le professeur démigré. Leur
Speaker 4 (41:49):
image de marque du CF Montréal est à son plus bas.
Quand ils arrivent avec ça, ils disent« Oh shit, je
ne veux pas m'associer au CF Montréal.» L'autre fois, avec
les Kings, ça a tellement chié. Ils ne réfléchissent plus.
Ils disent« Oh, ça peut juste mal tourner. Joey n'est
pas aimĂ©. Je ne veux pas ĂȘtre en photo Ă
cÎté de lui.» Ils vont se faire ruer.« Ah, Gervais
(42:09):
Ă©tait sympathique au dĂ©but, mais maintenant, ĂȘtre Ă cĂŽtĂ© de lui,
il se fait ruer.» Je ne sais mĂȘme pas s'ils
ont la visibilitĂ© et l'intelligence de penser Ă
Speaker 2 (42:15):
ça
Speaker 4 (42:16):
Je suis sûr qu'ils se disent« Ce club-là a une
image nĂ©gative. Ăa ne me donne rien de m'associer Ă eux.»
Speaker 2 (42:21):
Oui, mais ils sont venus avec de la mĂȘlesse. Je
te
Speaker 4 (42:23):
garantis, je te garantis, je te garantis, OK, que si
c'était la Coupe du monde féminine et que les roses
font la demande, je te garantis qu'ils font« Oh, attends,
c'est intéressant.» Parce que présentement, il y a
Speaker 2 (42:38):
une volonté... Ils ont
Speaker 4 (42:39):
encore un peu d'amour. Oui, et c'est justifié. Il y
a un sentiment d'une certaine volonté à les aider. Il
Speaker 12 (42:49):
y a
Speaker 4 (42:49):
une image de...
Speaker 2 (42:50):
sans tĂąche. C'est normal. Et je l'accepte. Oui. J'espĂšre qu'ils
disent oui. J'espĂšre qu'ils disent pas non
Speaker 4 (42:57):
J'espĂšre
Speaker 2 (42:57):
Et
Speaker 4 (42:57):
Rose envoie ce courriel-lĂ avec les gens en place, le
Québec Inc. qui est associé au Rose et toute la
haute direction
Speaker 11 (43:06):
des
Speaker 4 (43:06):
Roses qui a des bonnes connexions dans le Québec Inc.
et dans le domaine politique. Si le comité... étaient des
roses et qui envoient ce courriel-là à l'attaché politique de
ValĂ©rie Plante, je te garantis qu'ils ne regardent mĂȘme pas
le chiffre et qu'ils
Speaker 2 (43:24):
disent« go». Oui, oui. Et ce que tu dis, Nilton,
c'est un peu l'histoire du club qui l'a suivi et
qui maintenant ⊠Oui, exact. Et maintenant, ça fait mal.
Ăa fait mal Ă des moments ⊠les plus importants,
malgré qu'on se plaint encore des taxes municipales, mais l'évaluation
du stade a baissé drastiquement depuis des années, comme l'ont
(43:45):
prouvé plusieurs journalistes. Il y a une narrative que le
club paye trop de taxes, mais en fait, la ville
a fait beaucoup d'efforts par rapport à ça. Maintenant, si
le club veut nous parler... C'est un autre sujet, ça part. Oui,
mais cette relation, c'est la mĂȘme. C'est la mĂȘme relation
entre la ville et le club. Les taxes, pas les taxes,
on n'aime pas le soccer, Saputo, il est lourd, whatever,
tu sais. Ils peuvent s'inventer des choses. Mais en partie,
(44:07):
en plus, c'est que les arguments de Lugrabouin et ceux
qui ont écrit les couilles pour dire non, eux, c'était
non dÚs le début. Ils voulaient juste trouver une façon
de dire non. Ils ne voulaient
Speaker 4 (44:16):
pas s'associer à quelque chose qui a un potentiel d'échec
et de backlash politique. Mais justement! Mais c'est leur incompétence,
Speaker 2 (44:24):
leur
Speaker 4 (44:24):
ignorance qui n'ont pas vu que c'était une opportunité pour
Speaker 2 (44:28):
eux. Le seul truc qui est associé au club, c'est
qu'ils vont dans un centre avec le logo du club.
C'est tout. Et le statut de Saputo. That's it. Il
y aura une vidéo avec Joey Saputo qui parle au
président de la 3F. Didier Deschamps et Marco Donadel.« Hé,
t'as joué, toi? Ouais, je veux contre toi en 2011.»
Speaker 4 (44:45):
J'ai vu et lu beaucoup de choses oĂč ils disaient« Oh,
ça sert Ă rien. Ils vont ĂȘtre enfermĂ©s dans leur hĂŽtel,
dans leur restaurant de luxe, puis ils vont faire des
pratiques à huis clos. En quoi c'est bon pour les Montréalais?» Hier,
Max Trumann est allé au show de Lara Queganzalez, puis
il a tenté d'expliquer ça dans ce show-là . Et Gonzo
(45:08):
était sur le cul. Puis j'ai aimé son point de
vue parce qu'il apportait un autre point de vue qui
est trÚs important, justement, aux arguments de« ils viennent ici
et personne ne va les voir jouer, c'est con.» Je
ne sais pas à quoi ça sert de payer autant
pour des pratiques à huis clos. Il dit« moi, j'en
ai fait des événements comme ça, juste un épic truc.»
Tu sais, quand Radio-Canada prend son équipe de journalistes pour
(45:29):
couvrir une compétition internationale à l'extérieur. Ouais. Qu'est-ce qui se
passe entre deux compétitions, deux matchs? Qu'est-ce qui se passe
dans la couverture? Les journalistes, il faut qu'ils continuent Ă
justifier leur présence à cet endroit-là . à un moment donné,
il faut faire autre chose. Ils vont faire du culturel,
(45:51):
du social. Ils vont faire en sorte que Montréal... Pendant
le camp de base ici, des Français, va rayonner là -bas,
juste en termes publicitaires. Pour ceux qui ont fait un minimum,
un minimum, OK, de publicité ou qui ont été dans
(46:12):
des projets publicitaires, savez-vous combien ça coûte d'afficher Montréal dans
une campagne publicitaire ailleurs? Deux mois. on est dans des
mĂ©gas budgets. Ăa va vite, ça va atteindre des millions rapidement. LĂ ,
en plus, tu aurais du rayonnement à l'extérieur
Speaker 2 (46:38):
Sans rien faire. J'aimerais juste dire, quand il avait l'écho
du monde féminin au Canada, La France avait des matchs
à Montréal. Puis il y avait des conférences de presse
au Sheraton, au centre-ville. Ăa, c'est juste l'Ă©quipe fĂ©minine. C'est
un gros budget. Puis il y a les médias qu'il
y avait là -bas. Le nombre de médias qui étaient venus
(46:59):
pour la couverture, parce que c'est leur job, mais c'était énorme.
Les Ătats-Unis, je n'ai pas pu y aller. Il n'y
avait plus de place pour les médias. Ils m'ont accepté,
mais je ne pouvais pas y aller. Le match Etats-Unis-Allemagne,
j'ai parti de la demi-finale de la Coupe du Monde
qui était au stade olympique, rempli et plus de bruit
que le match contre Pachuca. Le bruit normal du stade
(47:25):
pendant une action normale des
Speaker 5 (47:26):
Etats-Unis-Allemagne
Speaker 2 (47:28):
était plus bruyant que le but de Karen Porter qu'on
a marqué. Aussi bruyant. Le métro, juste les Américains qui
sont venus pour le match, la demi-finale, qui sont venus.
sont pas venus à l'hérault de certains paysans fait aller-retour
sont partis Ă minuit pour revenir au vermont au connecticut
c'était fou j'ai réalisé way le film au final il
(47:48):
est ailleurs là moi je n'étais pas dedans vraiment je
comprenais c'était bien mais genre oui c'est dit c'est énorme
c'est non c'était rempli au max je peux t'y voir
genre je pense sĂ©nĂ©gal oĂč je peux quand mĂȘme oui
corĂ©e du sud avait 2000 personnes mĂȘme quand mĂȘme Mais c'est correct.
Speaker 4 (48:04):
Tout ce qu'on aime, c'est vivre les émotions
Speaker 2 (48:07):
à l'extérieur
Speaker 4 (48:07):
On aime aller dans tel pays et dire« Oh shit,
c'était vraiment le fun. J'ai assisté à un match de
⊠Wow, je n'ai jamais vécu ça de ma vie.
Je suis allĂ© Ă tel endroit, j'ai vĂ©cu âŠÂ» Nous,
on a l'opportunité de faire vivre ça localement à toute génération.
Speaker 2 (48:22):
On a deux fois l'opportunité. Deux fois, Lytton. Deux fois.
Speaker 4 (48:25):
Avoir
Speaker 2 (48:25):
des
Speaker 4 (48:25):
matchs
Speaker 2 (48:27):
pas une fois. Trop cher. Non, non, non. Trop cher
parce que je n'ai pas un calendrier de contenu comme
si je ne parlais ça à l'influence sur TikTok. Littéralement,
ils ont fait ça. Ils ont dit, les 600 000, 1 million, oui,
mais je veux une garantie.
Speaker 4 (48:47):
Mais pourquoi les médias sportifs ne sont pas... à 100%
sur ce sujet-lĂ . Pourquoi? Parce que...
Speaker 2 (48:56):
Pourquoi
Speaker 4 (48:56):
on parle encore pendant toute la semaine du deuxiĂšme trio
des Canadiens, parce que ça fait trois mois qu'on
Speaker 2 (49:01):
me
Speaker 4 (49:01):
dit si l'Ineed a joué et qu'elle devait... à quoi?
Ă ce qu'il va faire son breakthrough
Speaker 2 (49:07):
Pourquoi? Pourquoi on ne me parle pas de ça? C'est
la mĂȘme raison. C'est la mĂȘme raison. La mĂȘme raison
pourquoi les podcasts foot et les médias foot attentifs, ça
ne peut pas vivre de ça, mĂȘme Ă 10%, Ă 20%.
Parce que c'est le modÚle québécois, parce que les décideurs,
les montlongues dont tu me parles, ils sont encore lĂ .
MĂȘme ceux qui sont plus jeunes, ils ont la mĂȘme mentalitĂ©.
Et je comprends mon exemple pourri de Grenoble. Rien Ă
(49:32):
foutre de Grenoble du foot. Il y a un club
de foot, mais si Grenoble sont bons dans le hockey,
ils vont parler du hockey. C'est tout lĂ . RMC ne
va pas parler du hockey, mais il va parler du PSG,
du Marseille. Et je comprends ça. Mais le fait qu'il
n'y ait pas un mouvement... MĂȘme Cube Radio, on n'en
a pas parlé, je pense. Cube Radio, ils adorent les
controverses comme ça. Parce qu'ils s'en foutent du foot. Alors
que le foot, le soccer est déjà là . Tout le
(49:52):
monde
Speaker 4 (49:53):
était
Speaker 2 (49:53):
lĂ . Je sais, mais c'est un pic le foot. Donc,
c'est une plaie. Donc, c'est un virus. Donc, c'est une lĂšpre. Donc,
on ne touche pas. C'est comme ça qu'ils le perçoivent
en termes d'une personne. Dilton, tu travailles dans ces domaines-lĂ .
Tu sais exactement ce que j'en pense. Tu travailles dans
les domaines. Tu sais exactement ce que j'en pense. Tu
sais exactement
Speaker 4 (50:11):
Mais quand tu es dans ce domaine-lĂ et que tu creuses,
tu te rends compte que le foot est plus populaire
que l'hockey
Speaker 2 (50:20):
De loin. De loin. Mais le problĂšme, c'est que le
foot n'est pas dans la perception des gens qui décident.
Ă chaque fois, je dis les gens, mais c'est tout
au nébuleux, c'est ésotérique. Mais pour dire, ils ne sont pas...
Le foot n'est pas assez indéniable et je ne sais
pas pourquoi. Je ne comprends pas. Parce que quand tu
(50:40):
es à l'événement du Sassi Supra, c'est big. C'est pas mal.
Mais en plus, je suis fatigué, je suis fatigué parce
que moi, j'étais frustré à l'annonce quand Montréal n'avait plus d'autres.
J'étais genre, non, ça coûte trop. Ok, je l'ai accepté.
Ăa va coĂ»ter, lĂ , Toronto est passĂ© de 400 millions peut-ĂȘtre Ă 600, 700 millions,
(51:01):
je pense, ça a doublé. Ok, c'est correct. Ok, je
peux m'expliquer Ă moi-mĂȘme, Ă l'enfant en moi, L'enfant en
moi qui se dit, ok, un milliard de dollars, c'est
trop pour trois matchs ou cinq matchs ou six matchs.
Je l'explique, c'est bon, c'est cher, c'est ma ville, c'est correct,
ce n'est pas grave. Mais que tu ne puisses pas
(51:24):
avoir des camps de base avec des équipes nationales, c'est inacceptable. Moi,
ça me tue, ça me tue, ça me tue, ça
me frustre. Je n'ai jamais vu ça. Je n'ai jamais
vu ça. Je n'ai jamais vu ça parce que c'est
l'explication derriĂšre qui est malhonnĂȘte et paresseuse.
Speaker 4 (51:37):
C'est incroyable. Je n'ai jamais vu ça. C'est quand, justement,
dans l'entrevue du 98.5, il me sort l'exemple de... Je ne
me souviens plus de la compétition exactement.
Speaker 2 (51:48):
Natation et parler
Speaker 4 (51:50):
du... Non, la coupe. Une coupe quelconque cyclisme. Il me dit...
C'est une méga opportunité parce que déjà , le cycliste, c'est
touché parce que tu vas chercher tous les haters possibles.
L'argument facile anti-municipalité, c'est de parler de... Des vélos. Je
(52:15):
trouve ça un peu réducteur, mais il s'en va là .
Il dit, n'utilise pas cet argument-là . Tous ceux qui te détestent,
ils utilisent des vélos. Il utilise une coupe que je
ne connais pas assez pour la commenter, mais il me
dit que c'est la deuxiÚme plus grande compétition depuis les
Jeux olympiques. Je fais, oh shit, imagine. Ăa
Speaker 2 (52:33):
doit
Speaker 4 (52:33):
ĂȘtre gros. Est-ce que j'ai ratĂ© quelque chose?
Speaker 3 (52:37):
Fuck
Speaker 4 (52:39):
Bon. Et il me dit, ça coûte juste 22 millions en plus.
Fait que ça, ça vaut la peine. Hey, dude. C'est
pas le prix qui détermine si ça vaut la peine.
C'est la valeur.
Speaker 2 (52:52):
C'est
Speaker 4 (52:52):
deux affaires séparées. Parce que 22 millions sur quelque chose qui
va générer 3 piastres et quart, c'est fucking cher. On ne
le sait pas, lĂ . Moi, je ne suis
Speaker 2 (53:02):
pas capable de dire
Speaker 4 (53:03):
si ça vaut 22 millions.
Speaker 2 (53:05):
Laisse-moi te lire Luc Raboin, 48.5 Ă fin. ca. Pour le compte base,
on a jugé qu'il n'y avait pas d'euros tombés économiques suffisantes. Moi,
ce
Speaker 4 (53:14):
courriel-là , c'est probablement le courriel qu'ils ont envoyé au club.
Et moi, j'aurais rĂ©pondu, vous ĂȘtes des parfaits idiots. Tant
pis pour vous
Speaker 2 (53:21):
Et t'envoies le clip, vous ĂȘtes nuls. VoilĂ . Nuls!
Speaker 4 (53:25):
Merci du courriel que je vais envoyer Ă tous.
Speaker 2 (53:26):
Parce que dans l'entrevue de débat avec Philippe Quentin, le
qu'il y avait maintenant, c'était par rapport à Montréal pour
ou contre les grands événements sportifs. Le Grabois continue. Mais
je veux quand mĂȘme rĂ©pondre Ă votre question principale. Est-ce
qu'à Montréal, on va avoir des grands événements sportifs? Bien
sĂ»r que oui. D'oĂč, maintenant, lĂ , tu vas te fĂącher,
on va avoir l'année prochaine, en 2026, le championnat du monde
du cyclisme.
Speaker 4 (53:44):
C'est ça.
Speaker 2 (53:45):
Qui est l'événement sportif le plus important de l'histoire de
MontrĂ©al depuis les Jeux olympiques de 1976? ArrĂȘte, arrĂȘte, arrĂȘte, arrĂȘte.
Je ne suis pas mal sûr qu'au monde féminin, à Montréal,
il y avait du monde quand il y avait des
gros matchs. En tout cas, c'est un événement qui s'en
vient l'année prochaine quand on a réussi à convaincre de
venir à Montréal. Ok, tu as réussi à convaincre, mais
(54:07):
dans le cas des camps de base, C'est la FA,
c'est la Netherlands FA, puis c'est la 3F française qui
a dit, nous, on va venir. On ne t'a mĂȘme
pas sollicité. Tu n'as rien... Tu sais, on t'a envoyé
un DM. DM's open, we're sliding to you, DM. On
t'a dit, on veut venir. Combien? Oui, Sophie Tell, oui, Ritz-Carlton, oui,
(54:28):
sans l'utrilé, mais on ne veut pas.
Speaker 4 (54:30):
Tiens, tiens, tiens. Comment ça s'appelle, cette compétition-là ?
Speaker 2 (54:33):
LĂ , lĂ , lĂ , lĂ . Le championnat du monde du cyclisme 2026.
Je vais déchiffrer. Le
Speaker 4 (54:38):
championnat du monde du cyclisme.
Speaker 2 (54:44):
J'aimerais ensuite... Ăa s'est fait oĂč avant? Ă Chattanooga. Ah oui,
il y avait un autre camp de base qui était intéressant,
c'était Lambeau Field à Green Bay, qui était proposé. Green Bay, Wisconsin.
C'est correct. Maintenant, Soria Martinez-Ferrada, qui elle souhaitait que Montréal
accueille des matchs du Cours du Monde en 2026, qui est
(55:04):
aussi ministre fédéral au tourisme, je pense, touriste fédéral. Regardez
ce que ça a donné à Vancouver. La province de
la Comédie-Britannique et le gouvernement fédéral ont investi massivement pour
justement appuyer la vie de la FIFA. Ăa a donnĂ©
des stades autour de la ville de Vancouver. Je ne
suis pas sûr, les stades autour de la ville de Vancouver,
mais je te crois. Un retour d'investissement dans des grands
diamants sportifs, c'est Ă peu prĂšs du 9 pour 1. C'est immense.
9 pour 1. Ăa, ça m'a changĂ©.
Speaker 4 (55:28):
Oui, mais ça, c'est des débats.
Speaker 2 (55:30):
Ăa, c'est notre extrĂȘme
Speaker 4 (55:31):
J'ai fait un travail de maĂźtrise lĂ -dessus. Tu
Speaker 2 (55:34):
sais
quand je l'Ă©coutais, je pensais dans une autre vie oĂč
c'est Alta Blonde. Ăcoute, Ă©coute. J'Ă©tais la ministre du tourisme
au niveau fédéral. Fanny, salut Fanny, bonjour. Et moi, ce
que je déplore dans les derniÚres années, c'est est-ce qu'on
a de l'ambition? Puis non, on a manqué d'ambition. Et
non seulement on a manqué d'ambition, mais on a une administration,
celle de Rabat-Plante, qui n'a pas été à l'écoute d'organisations
(55:55):
qui Ă©taient prĂȘtes Ă faire venir dans ce cas-ci. Une
équipe sportive qui n'aurait pas juste eu un impact positif
sur le tourisme, mais aussi dans les médias. Hilton, je
trouvais ta deuxiÚme femme. Parce que des équipes sont suivies
par des médias internationaux. Parce que c'est des équipes qui
sont suivies par des médias internationaux. Mais laissez-moi vous dire
que c'est de la petitesse. On est capable d'ĂȘtre une
grande ville internationale. Moi, je vote Soraya.
Speaker 4 (56:19):
Alors, j'ai ici le calendrier du championnat que je ne
suis pas capable de dire, du championnat du monde du cyclisme.
Championnat national, moi, si tu veux.
Speaker 3 (56:27):
La Coupe du monde du vélo. La Coupe du monde
du
Speaker 4 (56:30):
vélo. Alors, en 26 et à Montréal, cette compétition, la deuxiÚme
plus grande depuis le
Speaker 3 (56:38):
Depuis 1976. Depuis Jenner qui a couru, depuis... Depuis, ouais.
Speaker 4 (56:44):
C'était bien. Alors, en 25, cette année, I guess, ce n'est
pas déjà fait, cet événement extraordinaire qui va coûter 22 millions,
qui va rapporter 2,2 milliards, s'est déroulé à Kigali, Rwanda. Avant ça, Zurich, Suisse, Glasgow.
(57:07):
Oh non, je viens de perdre. Merde, j'ai touché. Attends, attends.
Speaker 2 (57:14):
Je suis... J'ai mal dormi hier. J'ai les yeux qui
font mal. Désolé
Speaker 4 (57:21):
Championnat du monde masculin. C'est ce qui m'a touché quand
t'as dit au début du show, l'émission. Glasgow. Ok. Glasgow en 24. En 23, Glasgow. En 22...
Wollongong en Australie. Avant ça, ça s'est fait en Flandre,
en Belgique. Imola. Yorkshire. Innsbruck. Berguing. Doha. Richmond. Richmond. Nous
(57:47):
et Richmond, on est comme ça. Kiff, kiff.
Speaker 3 (57:50):
La bonne
Speaker 4 (57:50):
vie. Pofferanda. Florence. Fackemon. Copenhague. Melbourne. Mendrisio. Varins. Stuttgart. En 2003?
Cette grande compétition tout de suite en dessous des géos.
Speaker 2 (58:08):
Une compétition annuelle qui génÚre 22 millions par année. Par année,
elle génÚre 22 millions. Mais ça, c'est mieux que le Bitcoin.
Il faut investir. En 2003,
Speaker 4 (58:16):
ça s'est passé
Speaker 2 (58:25):
à Hamilton. Hamilton 2003, c'était Still Town. Il y avait les
Tiger Cats. L'année prochaine?
Speaker 4 (58:33):
En Haute-Savoie.
Speaker 3 (58:35):
OK, oui
Speaker 4 (58:37):
Fait que
Speaker 3 (58:38):
voilĂ . Moi, j'aimerais juste dire... Je suis
Speaker 4 (58:40):
fucking hĂąte de voir cette Ă©mission. Ăa va ĂȘtre Ă©cĆurant.
Parce que moi, mon 22 millions, je veux le voir. Je
veux le voir. Puis c'est public parce que c'est dans
les rues de Montréal. Fait que tout le monde peut
les voir, right
Speaker 2 (58:52):
Oui, oui, oui. C'est
Speaker 4 (58:53):
grùce à ça.
Speaker 2 (58:55):
On va enlever les cĂŽnes oranges, mais j'aimerais juste dire...
J'aimerais juste dire, moi, si ce championnat du monde du
cyclisme est une action Ă la bourse, je vais en acheter.
Parce qu'aprĂšs le retour sur investissement, je paye mon hypothĂšque,
je prends ma retraite tout de suite. En termes de
retour économique, mais il faut me dire, c'est quoi le secret?
(59:17):
C'est quoi le secret? Mais c'est ça, parce que ce
qui m'a vraiment touché au début, C'est quand t'as parlé de... Kigali,
man
Speaker 4 (59:23):
Kigali. C'est correct. Kigali, pis nous autres aprĂšs. C'est correct,
c'est correct. Eux, ils ont 22 millions Ă Kigali.
Speaker 2 (59:32):
Non, mais Montréal peut générer 22 millions parce qu'on a les hÎtels,
les restaurants, les...
Speaker 4 (59:39):
Eux autres, au Rwanda,
Speaker 2 (59:40):
ils se sont dit... Ils allaient Ă Charlevoix.
Speaker 4 (59:42):
Attends, lĂ , 20 millions. Venez faire du basic chez nous.
Speaker 2 (59:46):
Imagine, tu dis à l'équipe de France, on vous sponsorise
un voyage pour aller Ă Charlevoix. Faire une retraite Ă
Charlevoix entre deux matchs. Je te
Speaker 4 (59:55):
vois
Speaker 2 (59:55):
Ă
Speaker 4 (59:55):
la maison de Rosana.
Speaker 2 (59:57):
Et tu t'as soucié avec le Club Med qui est français,
tu vas au Club Med Charlevoix. Mais... Non, mais sérieux,
c'est des idées. Moi, je trouve que c'est une idée
que je considérais. En plus, il pourrait
Speaker 4 (01:00:06):
y avoir le train du Nord.
Speaker 2 (01:00:09):
Le train de Charlevoix, tu vas à Québec, tu prends
le train pour aller Ă la Malbaie, tu reviens, c'est
à Térénée. Il
Speaker 4 (01:00:14):
y a des montagnes, il pourrait faire revenir du Verne
pour faire des marches Ă la
Speaker 2 (01:00:18):
montagne. Il pourrait faire du BMX, du vélo BMX. Et
pour dire ce qui m'a vraiment touché, je pense que
les gens ont été touchés aussi, c'est les enfants, faire
effet les jeunes et le leg qu'on donne, l'héritage. Parce
que ça veut juste dire Rose FC, Impact de Moral
Surf Montréal, Supra maintenant, Supra avant, Manic, Concacaf, Porter, Pachuca,
(01:00:40):
Santos Laguna, Descentis, Bielo, Drogba, Nigel Rokocker, Marco Donadel, Nesta, Divayo,
Justin Ma, Patrice Bernier, Bombito, Ismaël Coné... Tout ça, ça,
c'est MontrĂ©al. Ăa, c'est le QuĂ©bec. C'est ça. Le foot,
c'est une terre de foot. Ăa, tout en Ă©tait. Mais
merci aux immigrés, aux racisiers qu'on n'aime pas. Va pas là . Non,
(01:01:04):
je veux qu'on me dise merci. Je veux qu'on me remercie.
Ăa
Speaker 4 (01:01:07):
n'a pas
Speaker 2 (01:01:08):
rapport.
Speaker 4 (01:01:08):
ArrĂȘte. Ăa allait bien, lĂ . Ăa allait
Speaker 2 (01:01:10):
bien. Mais pour dire tout ça, c'est ça, le foot.
C'est ça, le foot. Tout en Ă©tait lĂ . Donc, arrĂȘtez
de nous mentir. Je comprends, c'est de la politique. Mais
mĂȘme si c'est pour voir deux TikToks de Guylain MbappĂ©
et genre, je ne sais pas moi, et une coucou
pour dire, hé, Montréal, c'est cool. Et qu'ils se mettent
devant l'anneau olympique lĂ au centre-ville, je ne sais pas quoi. Ok,
(01:01:30):
c'est cool. Qu'est-ce que tu veux?
Speaker 4 (01:01:32):
Tu sais ce que je suis content dans le fond?
C'est que ça n'implique pas le Portugal. Comme ça, je
n'aurai pas les arguments encore paraissus.« Ouais, tu dis ça
parce que c'est le Portugal.» Non
Speaker 2 (01:01:43):
j'aime pas la
Speaker 4 (01:01:43):
France
Speaker 2 (01:01:43):
ce pays-lĂ . Je mets un dollar que le Portugal va
aller Ă Toronto, puis je te vois aller Ă Toronto
Speaker 4 (01:01:50):
J'attends avec impatience de voir les trois fédérations nommées vont
s'installer lĂ .
Speaker 2 (01:02:00):
sauf comment on dit tout ce qu'on roule comme jingle
et comme sont à des à des impacts différents dépendant
du contexte je pense que celui lĂ c'est celui qui
C'est l'héritage du football. Allez
Speaker 4 (01:02:49):
ferme le show.
Speaker 2 (01:02:51):
Allez, ciao tout le monde. Abonnez-vous, likez. En fait, je
m'en fous. Je vous aime, je vous aime. Je vous
adore dans les commentaires. LĂ , les vues sont catastrophiques. Je
m'en fous quand mĂȘme. You know, life is life. Allez,
ciao
Speaker 7 (01:03:10):
Je vais t'expliquer. Ils ne sont pas au niveau, les arbitres.
Speaker 6 (01:03:14):
Vous écoutez Couscous.