All Episodes

October 14, 2025 72 mins
Montréal a vibré comme jamais ! Le Canada affrontait l’Australie et le Stade Saputo était en feu.

L’ambiance ? Digne des plus grandes villes de soccer. Les fans ont crié, applaudi et porté leur équipe tout au long du match.

Dans cet épisode du CCPP, découvre :
🎉 L’énergie folle des gradins
⚡ Ce que cette soirée révèle sur le futur du soccer à Montréal
🏟 Pourquoi Montréal peut devenir une vraie ville de soccer

Une soirée historique qui montre que le soccer a sa place ici, chez nous. Cet événement démontre aussi le manque de vision des autorités, qui ont passé à côté d’une occasion unique pour la province du Québec.

🎧 T’aimes le foot local ? T’essaies de comprendre le soccer au Canada ? Le CF Montréal te fait vibrer (ou t’énerve) ? Tu vas te régaler ici.

💬 Commente, partage, abonne-toi → fais vivre la culture foot au Québec ! ⚽


🎥 Merci à nos partenaires :
Excellent Photo → https://excellentphoto.ca/  
City Vision Productions → https://www.cityvisionmtl.com/


🔗 Tous nos liens :
YouTube → https://www.youtube.com/@CouscousPiriPiri  
S’abonner à l’infolettre → https://ccpp.beehiiv.com/subscribe  
Linktree → https://linktr.ee/couscouspiripiri  
TikTok → https://www.tiktok.com/@couscouspiripiri  
Instagram → https://www.instagram.com/podcastccpp/  
Twitter Sofiane → https://twitter.com/sofianebenzaza  
Twitter Nilton → https://twitter.com/niltonjorge  

 #CFMTL #CFMontréal #IMFC #MLS #SoccerQuébec #CanMNT #CouscousPiriPiri
Mark as Played
Transcript

Episode Transcript

Available transcripts are automatically generated. Complete accuracy is not guaranteed.
Speaker 2 (00:00):
bien point comme qui sponsorise pas personne en fait c'est
canapé qui sponsorise le streamer de ccpp au coeur des
bébés les années mais on est tous voilà on est
de retour pas de vendredi

Speaker 3 (00:20):
non non non on pouvait pas mais on pouvait pas
on Mais on est là. Pour une fois, il prend
le

Speaker 2 (00:27):
blâme collectif. On ne pouvait pas. C'est ça. L'institution. Mais

Speaker 3 (00:31):
j'ai réfléchi. J'ai dit, c'est tellement pas moi. C'est lui,
mais je vais dire on. Et en faisant ça, je
viens de dire que c'était toi. Mais les gens

Speaker 2 (00:37):
ont compris. Avec ton lésitation initiale, les gens se sont dit, ouais,
je pense qu'il parle de Sofiane Benzaza,

Speaker 3 (00:44):
de Koskos Peré Peré. On est là depuis toujours. Et
on sera là toujours. Toujours. Même si trois fois par mois,
tu as une crise existentielle. Sauf,

Speaker 2 (00:56):
on sera là toujours. J'aimerais juste dire. À l'instar de Newton,
j'exprime mes crises existentielles. Newton les a enfouies au fond
de ses entrailles, au fond de son âme, pour que
ça ressorte une fois par année. T'entends éparpiller sur des
messages privés, des tweets entre les lignes. J'ai besoin pour
ma santé mentale. J'en ai besoin. J'en ai besoin. Tu

(01:20):
regardes en ce moment? Tu as vu les expos? Non

Speaker 3 (01:24):
ce n'est pas sorti encore officiellement

Speaker 2 (01:25):
C'était

Speaker 3 (01:26):
juste accès privé ensuite au cinéma.

Speaker 2 (01:31):
Alec l'a

Speaker 3 (01:31):
vu? Newton, honnêtement
Mais moi, j'ai vu DOJ. Je n'ai pas besoin de...
Tout le

Speaker 2 (01:39):
monde a

Speaker 3 (01:39):
besoin de voir un documentaire

Speaker 2 (01:43):
ou un

Speaker 3 (01:43):
film. Je me suis mal exprimé. Je n'ai pas besoin
de voir ça pour comprendre ce qui s'est passé.

Speaker 2 (01:49):
Je

Speaker 3 (01:50):
sais où qu'il y est expo

Speaker 2 (01:53):
Moi, je ne suis pas sûr encore. Je veux voir
le documentaire pour être biaisé d'un côté. Ensuite, on aura
un débat dessus fin octobre. Toi

Speaker 3 (02:00):
qu'est-ce que tu sais des expos? Qu'est-ce qui a tué
les expos?

Speaker 2 (02:03):
Qu'est-ce que tu es les

Speaker 3 (02:04):
experts. T'es arrivé, attends, on recommence. T'es arrivé en quelle année? 95, 96.
C'était

Speaker 2 (02:07):
le début de

Speaker 3 (02:08):
la fin.

Speaker 2 (02:13):
mais c'était en termes de joueurs c'était genre c'était la
deuxième génération c'est Degrassi Degrassi a une nouvelle génération c'est
Moïse bon oui oui mais c'était quand même Philippe Moïse
Moïse c'était entre les deux Moïse c'était entre les deux
générations je ne sais pas la génération 92 94 la génération tu

(02:33):
sais pour moi c'était comment il s'appelle Cabrera Vidal c'est
Vidal hein Vidro. Vidro, le second base. Rosé Vidro. Cabrera, shortstop.
Mike

Speaker 3 (02:47):
Lansing

Speaker 2 (02:49):
Mike Lansing.

Speaker 3 (02:50):
Ça a l'air qu'il n'était pas sympathique, lui. Et puis,
il y avait beaucoup de boutons sur les fesses, si
tu vois ce que je veux dire. It is what
it is. It is what it is

Speaker 2 (02:57):
Grzelanek. Et le... Je ne trouve pas le... Je n'ai
pas un nom de joueur de foot en... Comment dire en...
En termes de top joueur, mais blessé souvent, moi, c'était
Rondell White
Je suis très fort, mais je me blesse trop souvent.
En termes de foot, c'est qui? Qui est un joueur

(03:19):
qui se blesse souvent? Il doit y avoir plein. Il
y a des gens qui crient là. Ah ouais, il
y a lui, il y a lui. Mais j'oublie, il
y a un joueur de foot qui se bat souvent.
Mais évidemment, Vladimir Guerreau, Vlad. C'est le joueur emblématique. J'aimais bien...
Comment il s'appelle?

Speaker 3 (03:35):
Ce

Speaker 2 (03:35):
qui était

Speaker 3 (03:35):
bien de Vlad, c'est... Je me souviens encore de son
premier circuit. Une balle dégueulasse à l'extérieur. Personne ne touchait
à ça. Lui, il était à la sortie. Comment

Speaker 2 (03:44):
il s'appelle le first baseman qui était vraiment super... Pompé, là.
Un Américain, gaucher. Cliff Lloyd? Non, non, non, c'était un blanc, là. Euh... 97, 98, 99,
il était... Il était aussi de la field, je pense,
à un moment. Mais... Redfield, pardon. Mais importe peu. Mais moi,

(04:08):
j'ai découvert le baseball quand j'étais à Abu Dhabi ou
quand on voyait les reportages. Moi, c'était les Blue Jays. Moi,
c'était Blue Jays Braves. Je sais, c'est triste. C'était 91, 92, 93. C'était le... Attends,
ils ont fait un three-peat. Trois fois. Ou un two-peat.
Back-to-back ou back-to-back-to-back? Attends

Speaker 3 (04:33):
j'ai une question. Est-ce que Expo Blue Jays, c'était comme
genre … On s'en crissait parce que c'était deux ligues différentes.
C'est quelque chose qui existe dans la nouvelle génération Expo
Blue Jays. Personne de ma génération …

Speaker 2 (04:44):
Oui, oui, c'est un peu … À

Speaker 3 (04:45):
moins que ceux qui sont nostalgiques de base et qui
ont voulu

Speaker 2 (04:48):
décider

Speaker 3 (04:49):
après le 2, ils ont voulu suivre quelque chose. Les Blue
Jays avant, tu sais, mettons, le lockout, puis la grève,
puis quand les expos, on tout va échanger. Personne ne
parlait des Blue Jays ici. C'était une autre ligue.

Speaker 2 (05:03):
Je ne parlais pas de ça. À ce moment-là, on
est d'accord dans les années 90, ces deux clubs, ces deux
clubs baseballs, C'était la crème de la crème en termes
de génération de talent et de garder le talent avant
le strike où Toulon est parti. Quoique les Blues, ils
n'étaient pas bons après, comme Toulon, parce que c'est trop
cher en termes de cela. Mais il n'y avait pas

(05:23):
une rivalité. Je suis d'accord, la National League et l'American League,
c'est comme dire Ligue 1 et Bundesliga. on ne va jamais
se voir. À ce moment-là, il n'y avait pas les matchs.
Ça commençait

Speaker 3 (05:35):
avec une équipe. On voyait une fois une équipe et là,
on était tous énervés parce

Speaker 2 (05:41):
qu'on

Speaker 3 (05:41):
pouvait voir au stade olympique les Red Sox. On était très,
très excités de voir les Red Sox,

Speaker 2 (05:46):
les Blue Jays.

Speaker 3 (05:47):
On s'en tapait des Blue Jays.

Speaker 2 (05:49):
Il n'y avait pas encore les matchs interligues. Mais je

Speaker 3 (05:53):
reviens avec ma question.

Speaker 2 (05:56):
Qui a tué le baseball,

Speaker 3 (05:57):
selon toi?

Speaker 2 (05:58):
Qui a tué le baseball? Qui a tué les Expos?
Le complotisme, c'est que c'était un travail collectif entre le
baseball majeur avec l'ambassadeur Bad Silly qui remboursait tous les
propriétaires qui ne voulaient pas que l'Expo existe, la grève
ou le lockout et Brochu. Parce que moi, Samson et l'autre, Lauria,

(06:22):
c'était juste les accélérateurs de moi, pour moi. Ce que
je me rappelais, c'était les accélérateurs de l'inévitabilité. Ils étaient
là pour … C'est déjà acté. On est là juste
pour transférer la franchise dans quelques années. Mais moi, dans
ma tête, c'est le baseball, Claude Brochu et son groupe,
et le lockout et l'inaction du Québec Inc. Moi, c'est

(06:45):
comme ça que je le vois. Un peu comme les Nordiques,
mais en moins intense.

Speaker 3 (06:48):
Non, les Nordiques, ça a été direct. Les Nordiques, c'était
au but qu'ils voulaient un casino à

Speaker 2 (06:52):
Québec. Oui, au moins en temps. Non, puis lui, il
a

Speaker 3 (06:55):
vu le deal, puis

Speaker 2 (06:56):
il est parti. Non, mais c'était à l'interne. C'est quelque
chose qui venait de l'interne. Il y avait le baseball
qui voulait, OK, on y va là. En plus, le
dollar américain, etc. Mais explique-moi, c'est la faute à qui?
Qui a tué les Expos?

Speaker 3 (07:08):
La naïveté québécoise devant un mirage. Tu sais, les Québécois, malheureusement,
à chaque fois qu'on voit un étranger, he's the best shit.
Tout le temps, tout le temps, le best shit. Pas
tous les étrangers, Nilton.

Speaker 2 (07:22):
Non, non,

Speaker 3 (07:23):
non
Écoute, quand quelqu'un arrive et te promet de la bullshit, oh,
qu'on l'aime, cette bullshit-là. Je me souviens, la première fois
que Laurier a été présenté dans les médias, c'était le
sauveur ultime. Ça arrive encore régulièrement. Quelqu'un qui arrive de l'extérieur,
puis là, il a eu tout le temps un bel effet.

(07:47):
Il nous a tellement crossés. Les politiciens, les partisans. Il
était marchand d'or. Lui, il faisait la même... Dans le fond,
il a utilisé la même crosse avec les arts. Il
l'a faite dans le sport. Il achetait bas ou il
achetait genre quand ça valait rien au pire

Speaker 2 (08:09):
Puis il

Speaker 3 (08:09):
réussit à le vendre au gros prix. Mais ça, c'est
90% des transactions. Mais ce qui a tué les expos,
c'est notre naïveté collective. Puis notre incapacité... à se relever
et à juste se chier dessus parce que c'est pourri,
je ne vais plus aux expos.

Speaker 2 (08:28):
Je pense aussi que c'est le manque d'engagement culturel et
aussi du gouvernement. Moi, je trouve qu'à un moment donné,
si les actions gouvernementales, oui, qui ne sont pas là
à donner de l'argent aux riches tout le temps, mais
ils le font. Ils disent souvent qu'ils arrêtent de le faire,
mais ils le font à chaque fois. Ah oui, il
y avait

Speaker 3 (08:40):
démagogé. Moi, j'ai entendu beaucoup de choses. Tu sais,

Speaker 2 (08:45):
On ne donne pas de l'argent à des millionnaires. On arrête,
mais en fait, ça continue tout le temps

Speaker 3 (08:49):
Je suis un peu surpris parce qu'on m'avait dit que
le système de la santé était déficient à cause du baseball.
Puis quelques années plus tard, je n'ai rien contre parce
que j'y vais une couple de fois. J'essaie d'y aller
à peu près une fois par année, mais le même
montant a été alloué à la maison de l'Orchestre symphonique

(09:09):
de Montréal.

Speaker 2 (09:11):
C'est un aspect différent. Et c'est pourquoi chez Hilton, moi,
je pense qu'il y a un côté très élitiste. Je
l'ai remarqué, il y a un côté très, un mouvement
élitiste anti-sport. Parce que même le Canadien, les gens, même
les gens qui sont un peu élites du Canadien, Ils
s'en foutent du hockey. Ils y vont pour l'événement et

(09:32):
le bling-bling. Pour eux, c'est comme aller aux Oscars ou
aux Mets. C'est un statement. Peut-être au fond de lui
ou au fond d'elle, ils aiment le hockey, ils aiment
le Canadien, mais il n'y aura jamais un engagement politique, fédéral, provincial, municipal, etc.
Ce qui fait mal, en termes de timing, depuis deux semaines,

(09:54):
c'est une catastrophe. C'est... Ce documentaire-là, il vient nous faire
mal encore plus. Viens, viens, viens.

Speaker 3 (10:06):
Attends

Speaker 2 (10:07):
tu veux la Coupe du monde? Non. Tu veux un
camp de base? Non

Speaker 3 (10:11):
J'étais un méga fan de base. J'avais hâte, souvent

Speaker 2 (10:16):
Moi, mon rêve,

Speaker 3 (10:17):
c'était de... Moi, j'avais vu les Canadiens gagner la Coupe Stanley.
Mon bucket list était check. Canadiens, j'ai vu, check. C'est fou.
Et après ça, moi, je voulais voir les expos gagner
la série mondiale une fois. C'était un objectif. Je voulais

(10:38):
tellement voir que quand les Canadiens étaient pourris, j'avais hâte
que la saison finisse rapidement pour qu'on puisse parler des
expos l'été. Il y

Speaker 2 (10:46):
avait un débat

Speaker 3 (10:46):
médiatique pour passer de couverture à des expos? Toujours. Est-ce
que ce qu'on vit là, c'est pas nouveau? On avait
aussi le mirage... qui se disait, quand les Canadiens ne
sont pas là, on va pouvoir avoir plus de couverture médiatique.
Mais non, les gens des médias, ils attendent juste que
ça finisse, les Canadiens, pour partir en chalet et disparaître
pendant trois mois. Ça

Speaker 2 (11:07):
n'existe pas. Je ferais la même chose, Nilton
Oui, je sais,

Speaker 3 (11:09):
mais

Speaker 2 (11:10):
c'est un

Speaker 3 (11:11):
faux argument. C'est

Speaker 2 (11:12):
vrai, c'est vrai. Mais j'aimerais, aux gens de PR et
aux autres personnalités qui sont partis à la première du documentaire,
la première un peu privée, invitez Nilton pour le genre d'événement. comment?
Nafix Québec invitez Nilton et Sofiane pour ce genre d'événement
c'est faux on est qui? on est qui? on est
des créateurs de contenu foot des passionnés de ballerons Ouais, ouais, ouais. Donc,

(11:37):
une semaine, un bon deux, trois semaines, c'est bien.

Speaker 3 (11:40):
Mais je vais retomber dans une déprime, c'est clair, c'est clair, clair, clair.
Quand je vais voir ça, je vais être forcé

Speaker 2 (11:45):
Je vais détester encore

Speaker 3 (11:46):
plus les Jades. Mais peut-être qu'à rendu là, ils seront

Speaker 2 (11:48):
déjà

Speaker 3 (11:48):
éliminés, donc c'est

Speaker 2 (11:49):
moins pire. Je pense pas que tu disses les Jades.
Tu disses les gens qui sont soudainement fans des Jades
ou tu comprends pas. Les Jades, en amont... Et toi,
ça t'intéressait pas, les Jades de 90? Jamais. Holyrood
Carter, tout ça, tu

Speaker 3 (12:04):
t'en fous. Je l'ai conté hier à ma blonde. Quand
j'étais kid, je rentrais à la maison

Speaker 2 (12:10):
Est-ce qu'on dit qu'il a l'air bon? C'est

Speaker 3 (12:15):
tellement juste moi qui trouve ça drôle présentement. Quand j'étais jeune,
vu qu'il y avait deux ligues, américaine et nationale, on
ne voyait jamais la ligue américaine, je me cherchais un
club dans la ligue américaine pour supporter. Je te jure

(12:39):
sur ma vie que j'ai fermé les yeux et fait
ça sur le journal, sur la colonne de la Ligue américaine.
Et j'ai mis mon doigt et je suis tombé sur
les Mariners. Pas mal. Bon choix.

Speaker 2 (12:51):
J'ai

Speaker 3 (12:51):
décidé qu'ils n'étaient pas terribles. Oui, mais au début, ils
n'étaient pas super terribles. Ils étaient

Speaker 2 (12:57):
bons à

Speaker 3 (12:57):
un moment. Oui, à un moment donné, oui. Après, ils
ont fait les playoffs. Après, ils ont fait les playoffs,
je pense. Oui, Ken Griffith Jr. avec sa casquette à l'envers,
c'était incroyable. Edgar Martinez, le DH. Mais à l'époque, je
pense qu'il y avait Paul Molitor avant qu'il n'arrive à Toronto.
Allerwood était là, à Seattle? Allerwood? Non, je pense que... Moi,

(13:19):
je me souviens juste de

Speaker 2 (13:20):
lui

Speaker 3 (13:20):
Ah

Speaker 2 (13:21):
non, John, c'est son casque

Speaker 3 (13:22):
John, c'est son fils. Pardon. C'est ça. Donc, depuis une semaine,
mon amour pour les Mariners est revenu. À la surface

Speaker 2 (13:33):
C'est vrai. Il a joué pour les Mariners, je me rappelle.
Il a joué pour les Mariners. Dans le Rude? Oui,
je me rappelle. C'était après les Blue Jays, je me rappelle. OK,
c'est ça, après. Après les Blue Jays. Mais moi, c'est
ce que j'ai découvert il y a 90, c'était le Braves, Braves,
Braves Jays. Blue Jays, c'était quelque chose. Les méchants Braves
qui gagnaient tout le temps le Panette, mais ils ne

(13:54):
gagnaient jamais la World Series. Comment il s'appelait, là, le gars, là? Ah,
il avait aussi les Phillies. Il y avait les Pirates
aussi qui étaient là. Les Pirates, ouais. Jim Leland, le
coach des Pirates. Le stade de Trois-Rivières
s'il te plaît.

Speaker 3 (14:14):
Ça fait 15 minutes. OK, c'est assez

Speaker 2 (14:16):
C'est assez de baseball

Speaker 3 (14:17):
Tu arrêtes quoi, là? Tu arrêtes quoi, là? Je regarde
des tutos de FIFA

Speaker 2 (14:24):
pour

Speaker 3 (14:24):
essayer de battre un contre un les défenseurs. Je suis nul.
Il y a un contre un, man. Je suis nul.

Speaker 2 (14:30):
Carré,

Speaker 3 (14:31):
X. Carré, X. Pas de tir. Non, les low driving shots. Ah,
mon Dieu. Ça, c'est... Il

Speaker 2 (14:41):
faudrait essayer quelque

Speaker 3 (14:41):
chose, nous autres, OK? Les créateurs de contenu sur les
jeux vidéo, ils crient beaucoup. Ça crie tout le temps.
Ça crie quand ils packent quelque chose. Mais tu vois, moi,
le gars, il est pas beau, Défenseur de Madrid, il
est pas beau. Non, non, ça tape, ça pète. Tu sais,
c'est vraiment... Il nous faudrait un équivalent de Ramy. Adil Ramy?

(15:06):
un ancien

Speaker 2 (15:06):
joueur qui

Speaker 3 (15:08):
jouait avec des bips qui pourrait être comme ça dégueulasse
en termes de langage langage ou

Speaker 2 (15:17):
cru disons sans gros mots mais cru

Speaker 3 (15:20):
il

Speaker 2 (15:21):
en donne on

Speaker 3 (15:22):
est

Speaker 2 (15:23):
au

Speaker 3 (15:23):
Québec c'est très

Speaker 2 (15:26):
clérical on va penser à ça pendant le jingle on
y pense maintenant un joueur qui pourrait faire des live
twitch en mode intense, sans gros monotone, qui pourrait le faire?
Ali Jarba. Il faut une grosse personnalité. Ali est gentil.
Il faut quelqu'un à côté de lui pour lui parler.

(15:47):
Moi ou toi, on est à côté. Tu provoques, tu parles.

Speaker 3 (15:51):
Qui

Speaker 2 (15:51):
était-t-il? John Lemiattis. Il faut les faire parler. C'est tous des...
John Lemiattis, mais il faut les faire parler. John Lemiattis,
ouais

Speaker 3 (16:00):
Philippe, s'il parlait français. Il serait dégueulasse.

Speaker 2 (16:03):
Je pense à lui régulièrement

Speaker 3 (00:00):
16 minutes d'intro, toujours pas de...

Speaker 2 (16:09):
ah ouais c'est long qu'est-ce que je regarde moi j'ai
commencé saison 2 de kaiju number 8 un anime japonais j'ai pas
eu le temps de regarder ça de façon sérieuse donc
moi j'écoute plein de séries québécoises même si je t'en
parle donne moi une je vais googler ça avant le
crash ah non c'est à dire le crash aérien le

(16:31):
crash la bourse incroyable avant le crash attends j'ai vu
c'est récent 2022 Il y a un gars qui ressemble à
Vincent Dutouche, c'est pas lui, non? Eric Bruno? Non, c'est
pas Eric Bruno, c'est pas Vincent Dutouche

Speaker 6 (16:49):
Ça me référence!

Speaker 2 (16:51):
Ah, il y a un gars qui a un nom iranien-arabe,
Mani Suleiman. Oui, oui, oui, de plus en plus
Avant Crash, c'est

Speaker 3 (16:58):
bon. J'ai vu une série, j'ai vu une mini-série de
six matchs québécois qui se passent aux îles de la Madeleine. Détective, surprenant,
c'est ça? C'était vraiment bon. Mais c'est ça, ils

Speaker 2 (17:10):
parlaient de Siri. C'est basé sur Broadchurch, non? Détective surprenant.
C'est un... Non

Speaker 3 (17:25):
non, c'est un livre, c'est un

Speaker 2 (17:26):
romancé québécois. OK, ben, la Détective britannique l'a copié, le livre.
Parce que c'est... Je me rappelle, j'avais le trailer dessus. OK,
je l'ajoute. Détective surprenant. Il est sur quoi? Il est sur...
Sur la télévision.

Speaker 3 (17:38):
C'est

Speaker 2 (17:40):
peut-être Illico, quelque chose comme ça
Illico. Ah, je trouve Illico... 17 minutes. Broadchurch. Broadchurch. Non,
mais Broadchurch, ça a été fait il y a 10 ans. Non, non, non.
Tu as de quoi, le livre?

Speaker 3 (17:56):
Je ne sais pas. Je ne sais pas.

Speaker 2 (17:59):
Bon, c'est vraiment super intéressant ce qu'on a fait. 18
minutes à faire Fajal.

Speaker 3 (18:05):
les

Speaker 2 (18:05):
paroles les trop je vais te trouver ah oui si
quelqu'un peut quelqu'un qui travaille pour EA Sports FIFA si
vous voulez que Newton et moi on apprenne à jouer
FIFA on peut faire des capteurs mais moi je suis
pas si bien je

Speaker 3 (18:16):
suis rendu à la division 6 si on peut faire si

Speaker 2 (18:19):
il y

Speaker 3 (18:20):
a des gens qui comprennent ce que ça veut dire
dans la première

Speaker 2 (18:22):
saison je suis à la division 6 on peut faire des
vidéos collaboratives en faisant des camps des camps d'entraînement à
différents niveaux entre moi et toi au fait au fait
ce qu'il faudrait faire et on peut le faire avec
le gars du club quoi il s'appelle Loux Loux Loux Ouais,
je pensais ça. Ils viennent de Saint-Pierre-et-Micoulon

Speaker 3 (18:38):
Bref, ils pourraient m'apprendre. Ils pourraient m'apprendre des mots. Tu comprends?

Speaker 2 (18:45):
Moi, je

Speaker 3 (18:45):
pense. On a quelque

Speaker 2 (18:47):
chose

Speaker 3 (18:48):
Donne pas des affaires comme ça. Tu

Speaker 2 (18:50):
sais

Speaker 3 (18:50):
que

Speaker 2 (18:50):
cette idée-là va se retrouver ailleurs. Dans trois semaines. Il
n'y a rien à dire. Le bilan est déjà fini.
Je vais trouver son nom. Sport électronique. Ilux. IMLS. Je
ne vois pas son nom. Lux11, j'avais raison. Lux11. Il

Speaker 3 (19:07):
faudrait qu'ils m'apprennent deux ou trois moves

Speaker 2 (19:10):
Un contre un. En tout cas, on lance l'appel. Lux11,
si tu veux faire des chroniques avec nous ou des
vidéos collab. Il y a même un bouton collab en YouTube.
On peut collaborer avec le club ou avec ton propre canal.
Ah oui? On peut faire des choses avec le

Speaker 3 (19:24):
club? Genre présenter, parler? Ok, parle.

Speaker 2 (19:27):
Et dîner. Je

Speaker 6 (19:39):
vais t'expliquer

Speaker 3 (19:49):
Ils ne sont pas au niveau, les arbitres. Vous écoutez Couscous.

Speaker 5 (19:58):
Je pense que je ne me trompe pas de Real Madrid.
Je ne me trompe pas du Syrie ou du World
Cup mondial.

Speaker 2 (20:10):
Revenez tout le monde, Couscous Piri Piri, épisode 146. Moi, c'est Sofiane, lui,
c'est Nilton. On parle foot, à toutes les sauces. On
parle culture québécoise. J'ai

Speaker 3 (20:20):
trouvé l'auteur. Il s'appelle Jean Lemieux. C'est sur Illico. Il
y a une

Speaker 2 (20:26):
série

Speaker 3 (20:26):
de livres et il va avoir une deuxième saison basée
sur ses livres. Détective sur promenade, ça se passe aux
îles de la Madeleine

Speaker 2 (20:33):
Je vais regarder ça. Avant série noire, je vais regarder
Détective sur promenade. Rires Le thème de l'émission, avec un
préambule très québécois, très expo, trop baseball. Joe Carter, Moises Alou,

(20:58):
Pedro Martinez, Mike Lansing. Ok, on ne recommence pas. On
est en mode Canada, parce qu'on parle de la transcanadiennité
du sport. On est tellement en mode Canada que Sofiane
était au match. C'est ma troisième sortie de l'année, là.

Speaker 3 (21:12):
C'est incroyable. À chaque fois, Média. Oh, Canada. Ah, oui.
Faudrait que j'y aille, moi aussi, des fois, à Média.
Mais j'étais avec la famille. Oui

Speaker 2 (21:25):
mais je t'avais dit, viens à Média, puis on pourra
faire des trucs avec des gens, mais t'es avec la famille. Non,
mais honnêtement, j'ai... j'allais acheter des billets mais t'as vu
le prix? non non non c'est cher mais genre c'est
un gros match c'est une expérience inoubliable mais avec qui
les personnes qui avaient un intérêt je vais pas dire

(21:47):
si c'est amis ou famille les personnes ça a pas
marché je dis c'est quoi c'est rien d'acheter des billets
peut-être il y a une bonne revente mais je dis
je suis pas un gars de revente whatever je vais
pas donner mon transfert à Tarak ou ma carte de
crédit whatever Ou voir quelqu'un dans un coin, dans une
allée chez la gars, genre il veut des bitcoins. Qu'est-ce
que tu

Speaker 3 (22:04):
as mangé au buffet? Je suis

Speaker 2 (22:06):
arrivé en retard. Il avait du riz mexicain. Un gars,
un sahabi qui m'a reconnu. Un sahabi, c'est-à-dire un ami.
Un ami en arabe, c'est pour dire que c'était un
maghrébin probablement. Un sahabi, il m'a dit, il y a
du riz

Speaker 4 (22:18):
mexicain

Speaker 2 (22:20):
Cousin, c'est un truc, c'est pour dire qu'on est amical,
on s'aime bien. C'est pour dire respect. Comme mon compadre,
comme vous dites, la compadre, compadre... Bon, on va commencer.
L'expérience d'aller au match. La mienne est très facile, la
tienne est plus complexe. Je commence par la mienne. Donc,
je prends un Uber. Parce que je me dis, si

(22:45):
je prends la voiture, déjà pour y arriver, c'est le
trafic de fou. Les métros, c'est pour le peuple. Non, non, non.
Et de deux? Ben, trouver du parking. Même si le parking,
l'aréna Raymond-Bouchard, Raymond... Je ne sais plus laquelle. Raymond qui?
Raymond Bourque? Non, ce n'est pas l'aréna Raymond-Bourque. Comment ça
s'appelle l'aréna à côté du club, le parking? Vas-y

Speaker 3 (23:05):
continue. Raymond-Bouchard
Raymond-Bourque, continue. Non, non, non. Ah, come on.

Speaker 2 (23:10):
Le

Speaker 3 (23:11):
joueur québécois. Le joueur québécois de hockey
Ce n'est pas l'aréna Maurice Charbonneau. Non, non, non. Jean-Billy Vaude. Toi,
tu parles de l'aréna Charbonneau ou

Speaker 2 (23:25):
au

Speaker 3 (23:25):
coin?

Speaker 2 (23:26):
Non, l'aréna en face du stade, entre le stade et
le cinéma Vio. Tu sais, sur Vio, là, tu as
un parking ouvert. Oui, c'est

Speaker 3 (23:34):
bien. Oh, et Charbonneau qui est là.

Speaker 2 (23:35):
Tu parles pas d'un

Speaker 3 (23:35):
Maurice Richard au

Speaker 2 (23:37):
coin? Non, non, non. Pierre Charbonneau. Donc, je dis, si
j'y vais là-bas, il se peut que je ne trouve
pas de parking. Ou je me table le parking sur Charbourg,
le P4 du stade olympique. Je dis, je n'étais pas sûr.
J'ai pris l'Uber, très cher. Et le retour aussi en
Uber parce que je suis sorti là-bas à minuit, très cher.
Mais c'était long, c'était 45 minutes, juste en voiture. Et je
viens de Ville-Saint-Laurent, donc c'est normal. Je dis, le métro,

(23:59):
déjà pour arriver au métro via le bus, ça va
prendre 15-20 minutes de bus plus l'attente. Je dis, je
vais rater le match. Donc, je prends Uber, je vais
quitter le plus tôt possible. Puis, je suis arrivé là-bas.
galerie presse, bâcheron à passe j'y vais la bouffe, j'ai
oublié ça, j'ai pris une bouteille d'eau et un café
puis je me suis assis dans la galerie presse intérieure
avec les vitres malheureusement, j'aurais voulu sans vitres parce que

(24:19):
les places de galerie presse à l'extérieur étaient déjà toutes
prises il y avait une ou deux puis je me
suis déplacé en deux et demi temps là-bas pour un
peu voir l'ambiance de l'extérieur donc c'est ça mon expérience
de match j'ai pas mais il y avait des stars
médias non? Oui, j'étais à côté de Jamy Filosa, Gavino
Di Falco, il y avait Ilias Gregoradis. Il y avait

(24:42):
du monde, il y avait du monde. Il y avait
du monde. Il y avait du monde. Il y avait
une quinzaine de personnes. TSN. Oui, eux, ils sont parmi eux. TSN.
Ils sont sur le terrain. Il y avait John Molinaro,
que vous connaissez de TFC Republic, Sportsnet, etc. Il y
avait du monde. Il y avait du monde. Il y
avait du monde. J'avais vu du monde parce que je
suis parti voir un entraînement du Canada. plutôt cette semaine,
le matin. Donc, j'ai revu quelque part. Rick Westhead, le

(25:02):
fameux journaliste qui lance des bombes. Lui, c'est exclu. C'est
des vrais exclus. En termes d'exclus. Et le MSN, la
BBC du football international, Joe Saputo, Jenny Martino et Marc Carney.
Il avait de l'argent là. Il avait du budget discrétionnaire.

(25:24):
Il avait du budget discrétionnaire dans ce truc-là. Imagine

Speaker 3 (25:28):
Fantino, lui, il s'est tapé des citats de Qatar, Maracana, Chelsea, Wembley. Intérieurement,
il s'est dit quoi des citats de Montréal? Il s'est dit,
on aurait pu faire des matchs ici.

Speaker 2 (25:44):
ah oui si on a moins de 30% les prix
tu sais tu fais de la professionnalité genre 40 000 places 28 000 25 000 donc
moins de les prix de 20-30% la FIFA

Speaker 3 (25:54):
aurait fait son argent c'est quand même fort Joey aurait
réussi à inviter le premier ministre et le président de
la FIFA dans sa loge dans sa loge Et il
y a de la misère à parler aux autorités locales,
peu importe le niveau politique.

Speaker 2 (26:12):
Oui, mais ils ont eu leur rabais sur taxes. Ils
l'ont eu, la taxe principale. Ça, c'est une fausse histoire.
Ils l'ont eu. Et, comme tout le monde a tweeté rapidement,
aucun représentant de la ville de Montréal n'était présent. Du moins,
personne ne les a reconnus. Du moins, ils n'étaient pas
invités dans sa

Speaker 3 (26:26):
loge. C'est-tu un cue pour écouter quelque chose

Speaker 2 (26:29):
Mets-toi à ton expérience, par exemple. Mais je vais en parler.
Tu veux ou

Speaker 3 (26:32):
on parle

Speaker 2 (26:32):
d'un... Ah oui, il y avait beaucoup de gens de
la GRC en soute et tout, des mastodontes qui étaient
dans les couloirs en arrière pour protéger le Premier ministre

Speaker 3 (26:41):
Je vais parler de mon expérience partisan. Ça va être
la mienne. Mais avant, vu qu'on parle des autorités locales,
je veux remercier... J'ai oublié de noter son nom. Désolé
si je

Speaker 2 (26:55):
me trompe, mais

Speaker 3 (26:56):
je pense que c'est Marc Poulin qui

Speaker 2 (26:57):
m'a envoyé cette vidéo

Speaker 3 (26:59):
Sur

Speaker 2 (26:59):
Twitter

Speaker 3 (26:59):
Non, je l'ai downloadée en vidéo. Attends, mais c'est un
Speaker 3>message privé. Tu as dit son nom. Fais attention.
Speaker 3>

Speaker 3>
Speaker 2>
Speaker 2>

Speaker 2 (27:21):
prongé le contrat. On peut en parler si

Speaker 3 (27:24):
tu veux. Alors, voici la vidéo que Marc Poulin m'a
envoyée concernant le sujet de la présence des camps d'entraînement
à Montréal. Il y a quelqu'un qui a posé une question.
Je pense que c'est le responsable de la ville. pour

(27:45):
ce qui a trait les

Speaker 2 (27:46):
événements sportifs c'est un conseil d'arrondissement et c'est une vidéo
qui vient d'un des réunions d'arrondissement du plateau Montréal je
pense ouais donc c'est un petit clip de 3 minutes écoute
est-ce qu'on réagit sur image ou on y va à 3
minutes tu décideras ton humeur décidera ce que tu vas
te fâcher vas-y

Speaker 6 (28:05):
de la Coupe du Monde. La presse nous apprenait que
la ville de Montréal avait refusé de débourser 600 000 dollars afin
d'accueillir une équipe de la Coupe du Monde en 2026. Compte
tenu qu'on aurait pu avoir une équipe majeure, telle l'équipe
de France ou d'Angleterre, pendant plusieurs semaines, avec toutes les
retombées positives que cela aurait pu avoir pour Montréal, considérez-vous

(28:27):
que cette décision fut une erreur? Combien Montréal va-t-elle débourser
pour la course cycliste l'an prochain?

Speaker 5 (28:34):
Alors, merci beaucoup, M. Poulin, pour votre question. Non, ce
n'est pas une erreur d'avoir fait ce choix. C'était vraiment
un choix éclairé. On a effectué à la Ville de
Montréal une évaluation des coûts estimés à recevoir cette activité,
cet événement à la Ville de Montréal. Ça aurait coûté

(28:55):
quelques 600 000 $ aux contribuables montréalais. Mais comme la Ville n'a
aucun match, ne sera joué, n'est pas prévu à Montréal.
Et comme cet événement n'était pas vraiment accessible au grand public,
on trouvait que le rapport coût-bénéfice n'était pas au rendez-vous

(29:15):
pour le contribuable. Et donc, on a décliné de dépenser
ces sommes-là pour cette activité bien pointue. Pour votre deuxième question,
la contribution de la Ville de Montréal au Mondiaux du
cyclisme 2026 sera d'approximativement 3,9 millions. Et je tiens à souligner, chaque

(29:36):
fois qu'on nous demande à la Ville de Montréal de
recevoir un événement sportif majeur, on effectue une analyse des
coûts contribuables par rapport aux retombées à l'économie montréalaise et
on fait une analyse des coûts-bénéfices de l'activité. Dans ce cas-là,
On trouvait que les bénéfices étaient au rendez-vous pour la

(29:57):
société et pour l'économie montréalaise. Pour ce qui est des
matchs de recevoir le FIFA, de dépenser 380 millions de dollars
pour six matchs de soccer, on ne trouvait pas que
c'était au rendez-vous. Alors, étonnement, il y a une certaine
candidate à la mairie de Montréal, Mme Martinez-Felada, qui déplore

(30:21):
cette décision de la Ville de Montréal, qui pense qu'on
aurait dû dépenser, avec les paliers supérieurs, un total de 380
millions de dollars pour recevoir trois matchs de soccer. Nous
trouvions que ce n'était pas une décision qui aurait été
responsable au niveau financier, économique... Alors, c'est la raison pour

(30:43):
laquelle nous avons décliné de dépenser ces sommes à faire
la mineuse pour recevoir six matchs. Je mentionne ça parce
que c'est dans le contexte de la question du camp.
d'entraînement pour la FIFA. Donc, c'est ça l'orientation que nous
avons prise et nous croyons, nous sommes convaincus que les

(31:04):
Montréalais sont d'accord avec ce choix-là en pleine crise d'itinérance,
en pleine crise de logement dépensé des centaines de millions
pour six matchs de soccer. Ce n'est pas une bonne
idée selon nous. Merci.

Speaker 2 (31:19):
Donc là, il passe de 3 matchs à 6 matchs. On lui
a fait 6. Après, il va de 3 à 6. Ok. On a réussi.
On a réussi. Dans ma tête, on aurait pu avoir 6 matchs.
Tu me dis qu'on aurait pu avoir 6 matchs? Mais c'est
encore pire.

Speaker 3 (31:37):
Tu vois comment il a« droppé» à la fin l'argument d'Emago,«
enjeux sociaux, dépenses d'argent». Mais les enjeux sociaux, ils disparaissent
quand c'est, mettons, un événement qui ont trouvé que ça
valait la peine. L'événement de cycliste, là.

Speaker 2 (31:57):
Ça va régler les condétenances en face du centre neutralé.
Ça va créer 15 bâtiments de logements sociaux. Pourquoi

Speaker 3 (32:04):
l'argument pour défaire le 600 000 $ n'est pas valide pour défaire
le 4 millions?

Speaker 2 (32:10):
Quand

Speaker 3 (32:11):
il dit qu'il a fait des analyses bénéfices-coûts, Ils ont demandé,
leur seule analyse, ils ont demandé s'il allait y avoir
des événements publics. Ils ont dit non. Ils ont reçu
un courriel fini. Ce n'est pas une analyse. Non, non, non.
Ce

Speaker 2 (32:27):
n'est pas

Speaker 3 (32:27):
une analyse. C'est faux. Ensuite, est-ce qu'on peut voir, rendu là,
démontrez-moi Qui fait ces analyses Benefesco? Ce n'est pas lui.
Il n'y a pas les compétents. Je suis allé voir.
C'est un

Speaker 2 (32:40):
ancien

Speaker 3 (32:40):
journaliste. C'est un ancien journaliste qui

Speaker 2 (32:42):
s'est impliqué dans la communauté. Je suis étonné un peu
par sa logique. Un journaliste d'investigation, je dis, il aurait
plus de rigueur dans ses arguments.

Speaker 3 (32:49):
Attention, je ne veux pas être méchant

Speaker 2 (32:52):
sur les

Speaker 3 (32:52):
journalistes parce qu'ils font une... très importante. Mais ils font
une analyse de base. Ils font ressortir les sujets et
ils vont ouvrir la porte aux experts. Eux, ils n'ont
aucune expertise là-dessus. Ils passent d'un sujet à l'autre. Moi,
ce que je déplore, c'est que lui, il a décidé

(33:15):
que pour Montréal, ce 600 000 $, était pas

Speaker 2 (33:21):
valide
Et moi, ce qui me fait mal, Nilton, je suis
d'accord avec toi, c'est que la question de M. Poulin,
au début, je ne suis pas sûr qu'il a mentionné
la Coupe du Monde.

Speaker 3 (33:33):
Mais à chaque intervention de

Speaker 2 (33:36):
la ville, ça finit par la Coupe du Monde. Ils
ajoutent qu'on n'allait pas payer 800 000 $ pour six matchs, mais
ce n'était pas ça la question. C'est fini, la Coupe
ne reviendra pas, à moins d'urgence. Il n'y a

Speaker 3 (33:46):
même pas eu de débat tant que ça au fait
que la Coupe du Monde n'est pas présentée à Montréal.
Il n'y a pas eu tant de débat que ça
parce qu'on savait qu'au niveau du timing …

Speaker 2 (33:57):
C'est fini

Speaker 3 (33:58):
C'était foutu parce qu'on n'avait pas les installations, on n'avait
pas le stade olympique.

Speaker 2 (34:02):
Il n'y

Speaker 3 (34:02):
avait pas ce qu'il fallait. C'est déjà un sujet clos.
Le

Speaker 2 (34:08):
vrai sujet, il tasse. Et ensuite, pour attaquer la compétition,
l'autre parti politique avec madame Soraya Martinez. Soraya, je ne
sais pas son prénom. Excuse-moi, je ne vais pas dire
Martinez ou Fernandez, je ne me rappelle plus. Mais pour dire, oui,
il attaque. Donc là, tu utilises Un sujet sensible pour certains,

(34:29):
pas pour la majorité, pour attaquer les propos de Mme Ferrada,
pour dire qu'elle voulait des matchs de Coupe du Monde.
Elle dit, nous, on n'en aura pas, ça coûte trop cher.
Pour répondre à une question par rapport au camp de base,
je suis un peu confus. Surtout que l'équipe de France,
et probablement l'Angleterre et les Pays-Bas, demandaient zéro dollar. On
veut juste la sécurité, déplacement et autre chose connexe que...

(34:56):
et même si même si on peut se dire demander
disons qu'on accepte l'argument ils auraient pu l'équipe de France
ou la fédération anglaise ou les Pays-Bas auraient dû donner
un petit plan oui on a fait ça il y
a 4 ans au Qatar on a fait ça il y
a 8 ans on pourrait faire quelque chose identique à Montréal
plus ou moins en termes d'événements etc mais on ne

(35:18):
peut pas s'engager et on se dit c'est ça qu'on
a fait les dernières années voilà Mais disons qu'ils avaient
la gentillesse de donner une sorte de plan, un calendrier
de contenu, disons. Je reviens à ton point, ça change
quoi exactement au montant? Le vrai problème, c'est qu'il y
a eu beaucoup de bénéfices. Non, mais il y a
une formule quelque part. Quelqu'un a utilisé une formule. C'est

(35:39):
une formule qui se base sur du vibe. Ok, ton vibe,
c'est que tu ne veux pas que le foot soit là,
c'est correct. S'il y a une formule mathématique ou une
matrice approximative, partage-la. On est curieux de savoir. Moi

Speaker 3 (35:50):
je vais attaquer les deux clans. Le premier clan qui
est facile à attaquer, les autorités municipales, on a vu
leur totale ignorance du sujet. Ils ont confondu plein de choses.
Ils ont juste... rapidement fait une analyse en se disant FIFA, argent, non.

(36:10):
Ils n'ont pas compris les nuances. Ils se sont complètement
barrés de cette conversation-là parce qu'il existait l'antécédent de la
ville de Québec avec les Kings. Ils se sont dit, FIFA,
c'est pire encore. Je ne veux mettre aucune scène

Speaker 2 (36:25):
associée à

Speaker 3 (36:25):
la FIFA. Après, on trouvera les arguments. Avec les coups
qui se posent

Speaker 2 (36:29):
à Toronto. Les coups pour la Coupe du Monde à Toronto,
les coups explosés, tel que prévu.

Speaker 3 (36:35):
Là, on va prendre un autre angle, puis probablement, on
va se faire chicaner, mais who cares? Le club a
mal fait, très, très, très mal, très, très, très mal
procédé au truc, parce que probablement, c'était des gens qui
ne savent pas comment parler, qui ne savent pas comment dealer.

(36:59):
stratégiquement avec les autorités gouvernementales. Quand la FIFA est venue
pour la Coupe du monde des sports, U20, Ce n'est
pas l'Impact et Joey Saputo qui a organisé ça

Speaker 2 (37:16):
Non

Speaker 3 (37:17):
C'est RIO et FIFA. Avec M. Billien, Francis
Québec Soccer, oui. M. Billien, fils. Je m'ennuie beaucoup de
son père. Francis Méliès, il savait. On m'a dit que Francis,

(37:40):
il a fait des trucs que personne ne croyait qu'ils
étaient possibles. Personne ne pensait que c'était faisable.

Speaker 2 (37:47):
La

Speaker 3 (37:47):
FIFA est venue au stade olympique

Speaker 2 (37:49):
N'oublie pas, il était pendant longtemps à Canada Soccer aussi. Donc,
il y a une relation différente. Mais il savait à

Speaker 3 (37:56):
qui parler. Oui, oui. Entre autres. Quand tu regardes tous
les événements... En exemple, il y a le truc patinage
de vitesse présentement. Il y a des budgets qui sont
déjà privés pour ça. Ce n'est pas la ville de
Montréal qu'il faut contacter. C'est Tourisme

Speaker 2 (38:15):
Montréal
Oui. Eux peuvent pousser un agenda et pousser ton projet.

Speaker 3 (38:21):
Ils ont déjà des budgets pour ça. Oui, bon point. Puis,
le problème, c'est que le comité du côté montréalais qui
s'est occupé de faire venir ça, ils n'ont pas l'expérience. Joey,
ça n'a jamais fonctionné avec la ville. Est-ce qu'il y
a un de ses fils qui était là-dedans? Ses fils,
je veux dire, ils commencent dans l'univers. La dernière fois,

(38:44):
ils avaient 10 ans. Est-ce que c'est Alexandre Camara? J'en ai
aucune idée. Est-ce que c'est Alexandre Panton? Jamais! Jamais! Ce
qu'ils n'ont pas, ce réflexe-là, il aurait fallu qu'ils se
tournent vers... Comment vous avez fait pour faire venir le cycliste,

(39:05):
le patinage, etc., etc. Francis Millien n'est pas disparu de
la MEP. Comment tu as fait pour faire venir la
Coupe du monde U20? C'est quoi les démarches? C'est quoi
les canaux qui donnent le plus de chance? Là, ils
ont juste envoyé un courriel. Juste se débarrasser de ce problème-là.

(39:25):
Je simplifie tout. Mais quand tu t'en vas directement dans
un dead end, quand tu vois le panneau cul-de-sac, tu
ne sois pas déçu que la route finit là. Tu
le savais d'avance. Ils n'ont jamais eu une bonne relation
avec la ville. Pourquoi tu dis débarrasser? Est-ce qu'ils savaient
que ça allait échouer? Tu penses qu'ils disent que ça

Speaker 2 (39:46):
ne va jamais marcher? Je ne pense pas. Non, c'est
la ville qui voulait se débarrasser de ça. Oui, oui, oui. Excuse-moi,
j'ai compris le club. Parce que le club, ils voulaient
avoir cet

Speaker 3 (39:53):
événement-là. Oui, ils veulent. Mais là, ils vont utiliser à fond.
Ils vont utiliser cette situation-là Politiquement, pour se positionner, pour
dire qu'on n'est pas uniquement les seuls méchants. Ceux en
face ne veulent rien savoir de nous. Oui, ça c'est
la conséquence et l'après.

Speaker 2 (40:09):
Mais le pendant et l'avant, je me dis, oui, est-ce
que tu aurais... Là, on rétro-pédale un peu, mais est-ce
qu'on aurait voulu avoir un gars comme Francis Millien ou
des gens connectés pour faire... Tous les

Speaker 3 (40:19):
gens qui ont déjà dealé avec la ville ou avec
la FIFA, il aurait fallu... Est-ce qu'il

Speaker 2 (40:24):
fallait un négociateur, un médiateur? Oui,

Speaker 3 (40:27):
oui, oui. Moi, je n'ai jamais eu affaire avec le club,
mais ce qu'on entend souvent, c'est qu'ils sont tellement en
vase clos, ils ne veulent tellement rien écouter des autres.
Ils ont toujours l'impression qu'eux, ils savent mieux que tout
le monde, mais

Speaker 2 (40:42):
ils

Speaker 3 (40:42):
se mettent des bâtons dans les roues des

Speaker 2 (40:43):
fois. En général, je suis d'accord avec ça. Sur ce coup-là,
je ne sais pas. J'aimerais bien qu'ils nous parlent.

Speaker 3 (40:48):
Peut-être que ça n'aurait rien changé.

Speaker 2 (40:49):
C'est ça. Il y a ça aussi. Mais j'aimerais que
le club nous parle. Venez et parlons de ce sujet
par rapport au camp de base. J'aimerais en parler, qu'ils
disent ce qui est vraiment arrivé de leur côté. Ils
ne vont pas venir. Ils vont envoyer un message privé
à toi et pas à moi parce que je n'existe pas.
J'en ai deux. Et puis voilà. Moi, ce qui m'a... Non,

(41:10):
ça ne vaut pas. Moi, le truc vraiment qui... À
force de réécouter ça, comment il dit ça? Monsieur Norris,
il dit, c'est un choix qu'on a fait, qu'on est
sûr que les moralistes sont d'accord avec. C'est vraiment une
affirmation très générale. Tous les moralistes sont d'accord avec ça?

(41:31):
genre Montréal qui a 3 c'est bien

Speaker 3 (41:33):
oui mais est-ce

Speaker 2 (41:35):
que tous

Speaker 3 (41:36):
les montréalais sont pour la venue de la course cycliste

Speaker 2 (41:39):
le patinage est-ce que les montréalais veulent la francophonie tant
que ça on peut faire ça une fois par deux
ans le jazz Une fois par deux ans, non? Bon,
le jazz, ça change quoi? C'est le même jazz, là. Oui,
mais ça, je le dis souvent

Speaker 3 (41:54):
Une fois que la décision est prise, après, on cherche
les arguments. Oh oui, exactement.

Speaker 2 (41:58):
Et on

Speaker 3 (41:58):
est la confusion totale. Bon, pour revenir au match, justement, OK? Moi,
quand

Speaker 2 (42:02):
je

Speaker 3 (42:02):
suis arrivé à ce match-là en tant que partisan, j'ai
fait« Oh man, ça m'a tellement fait encore plus mal
de dire Je suis excité par voir un match amical Canada-Australie, t'imagines?
Il y avait du rouge partout. J'ai jamais vu autant
de merch Canada Soccer de ma vie. C'est fou, là.

(42:25):
En cinq ans, comment le brand a explosé? Le stade
était rouge.

Speaker 2 (42:30):
Non, mais c'est toute une machine. En tant qu'on peut
rier de Canada Soccer pendant des années, c'est une machine.
Les Voyagers, les groupes du sportel Voyager qui sont là,
c'est une machine. Et

Speaker 3 (42:40):
c'est là que je déplore qu'il n'y ait personne de
la politique locale. Ça peut être... Il y a eu
le premier ministre, mais au niveau provincial et municipal, peut-être
en tant qu'amateur privé, mais pas nécessairement assez d'influence pour
faire changer les choses. Quelqu'un qui vit ce qu'on a

(43:01):
vécu ce vendredi soir, il ne peut pas dire que
Montréal ne mérite pas ça et que Montréal n'était pas heureux.
Il va dire qu'il y avait beaucoup de touristes. Encore plus,

Speaker 2 (43:09):
dans mon sens.

Speaker 3 (43:11):
Encore

Speaker 2 (43:11):
plus dans mon sens, mais la vidéo d'RDS avec Mark
Carney qui demande la carton, c'est iconique

Speaker 3 (43:15):
ça.

Speaker 2 (43:16):
Moi

Speaker 3 (43:16):
je ne

Speaker 2 (43:17):
l'ai pas

Speaker 3 (43:17):
vue. Elle

Speaker 2 (43:20):
est sur les réseaux sociaux. À un moment, il demande
la carton jaune, il se lève à côté de Joey
Sabato-Gianni et il fait jaune, jaune, jaune. Il se lève là. Mec,
c'est Football Heritage. 100%.

Speaker 3 (43:33):
On a eu l'occasion de vivre une fois au 10 ans
ce genre de situation-là. C'est ça. Non, mais on a
eu quoi? Honduras,

Speaker 2 (43:41):
avant la MLS, et on a eu Curaçao

Speaker 3 (43:44):
Mais là, on a aussi vu les limites du stade Saputo. Moi,
quand je suis arrivé, déjà, à chaque fois, j'ai un
peu honte. Quand il y a des étrangers qui arrivent
au stade

Speaker 2 (43:55):
Saputo, j'ai un peu

Speaker 3 (43:57):
honte. La colline remplie de boue. Thank God, il ne
mouille pas. À chaque fois qu'il mouille, j'avais honte. Mais
en même temps, j'avais des mixed emotions. Quand... quand on
arrive du métro, puis moi, je passe par le parking,
le stade, parce qu'on ne le voit pas souvent, le
stade Saputo, le soir, il est beau. Tu sais, quand

(44:18):
on arrive le soir, le stade Saputo, je te jure ça,
je n'exagère pas.

Speaker 2 (44:23):
On

Speaker 3 (44:23):
dirait... J'avais des flashbacks de les autres stades en Europe
parce qu'une fois illuminé... Ah, il

Speaker 2 (44:30):
est beau

Speaker 3 (44:30):
Il est magnifique. Il

Speaker 2 (44:32):
est

Speaker 3 (44:32):
beau. Le soir, il est beaucoup plus beau que le jour.

Speaker 2 (44:36):
Que le jour.

Speaker 3 (44:36):
Attends, vas-y, vas-y. Autre chose, parce que le jour, on
voit qu'il n'est pas fini. Tu comprends ce

Speaker 2 (44:44):
que je veux dire? Il n'est pas

Speaker 3 (44:45):
couvert
C'est l'instant des années 2000. Il donne l'impression de ne pas
être fini, mais ce n'est pas négatif. Il donne cette
impression qu'il manque quelque chose. Mais le soir, il paraît
moins parce qu'il y a tout ça. Et ce qui
était magnifique... Puis j'aimerais que les gens, que les Montréalais fassent,
je ne sais pas comment les provoquer, mais au Québec,

(45:07):
on ne le fait pas assez. Je suis arrivé une
demi-heure avant le match.

Speaker 2 (45:12):
Puis

Speaker 3 (45:12):
habituellement, une demi-heure avant le match, tu rentres, il n'y
a aucun problème de gates
Déjà là, c'était une catastrophe. Les gates, c'était une catastrophe.
Une catastrophe. Une chance que je connais, un spot où
les gens ne veulent jamais aller, les gates, c'était une catastrophe.
Je m'approche du stade et j'entends un stade en vie.

(45:33):
Ça chante, il y a de l'action. C'est là, à
ce moment-là, que quand je vois le stade, le soir,
les lumières, le son qui sort du stade, j'arrive de
Benfica et c'était pareil.

Speaker 2 (45:48):
Tout est amplifié. Non, je suis d'accord. Moi, j'étais genre,
je suis allé marcher dehors. Après, on m'a dit, arrête
de marcher parce que tu n'as pas le droit de
marcher hors de la galerie presse. Je voulais me... m'imbiber
de l'ambiance au premier moment je me suis dit mais
c'est incroyable je vois les drapeaux le bruit l'hymne national
les cris le décibel le niveau décibel des cris surtout

(46:09):
aux pénaltys non appelés sur TJ Buchanan en début de
match t'imagines il y a un pénalty pour Buchanan le
son tout au chien de la gaze réveillé et il
marque ce pénalty c'est incroyable ça aurait été le moment
FIFA on vient jouer un match ici let's go on
ramène Honduras Chili ici maintenant Et encore là

Speaker 3 (46:28):
je trouvais que l'ambiance était un peu off par rapport au...
À long

Speaker 2 (46:35):
jeu.

Speaker 3 (46:35):
Non, mais quand on a un groupe de supporters, le
collectif d'un côté, les 16-41 de l'autre, t'imagines ces groupes-là
en nombre, ça torche mille fois l'ambiance de vendredi.

Speaker 2 (46:48):
Il y avait

Speaker 3 (46:48):
beaucoup de moments calmes. Oui
oui. Il manquait d'ambiance, de musique, tout ça. Je ne
connais

Speaker 2 (46:56):
pas les gens qui viennent d'où. Est-ce que c'est beaucoup
de gens de Toronto, des maritimes? Je ne sais pas.
Probablement beaucoup de gens de Toronto. Ontario, c'est sûr. Pour eux,
c'est gratuit. C'est à côté, c'est parfait
Mais

Speaker 3 (47:06):
je te dis, moi, je me suis dit le potentiel
de cette franchise-là, puis je l'ai tweeté le lendemain. Oui.
Le potentiel de Montréal pourrait être une ville de foot
folle avec de l'ambiance fou. Le Québec est malade mental. Moi,
je trouvais que l'ambiance manquait un peu de saveur québécoise

(47:30):
parce

Speaker 2 (47:31):
que c'était

Speaker 3 (47:31):
souvent mort.

Speaker 2 (47:33):
Parce

Speaker 3 (47:33):
que le collectif et les 1642 amènent cette ambiance-là. À chaque
fois que les voyageurs essayaient quelque chose, tout le monde embarquait.
Imagine s'il y avait tout le temps le collectif qui chante. Imagine.
Je

Speaker 2 (47:46):
suis tout à fait d'accord.

Speaker 3 (47:49):
Malgré tout, juste pour finir ce point-là, malgré tout, j'ai
lu un article, je pense que c'est dans The Athletic,
qui disait que l'ambiance de Montréal elle était une coche
au-dessus des autres matchs à Toronto ou qu'il y a
eu ailleurs, à Vancouver. Et pourtant, je trouvais qu'on n'était
pas si hot que ça par rapport à ce qu'on
est capable d'être.

Speaker 2 (48:09):
C'est ça que je voulais dire. C'est ça que je
voulais dire. En regardant le match, j'étais en première mi-temps encore.
Je regarde ça et je me dis, si Montréal avait
des matchs de Coupe du Monde, ce serait top 10 ambiance
Coupe du Monde.

Speaker 3 (48:23):
Bien

Speaker 4 (48:23):
sûr.

Speaker 2 (48:24):
Top 10. Je suis gentil. Je suis gentil. Je n'ai pas
dit top 5. Je suis gentil. C'est juste des fans locaux.
Il n'y a pas des fans du Chili qu'il y
a du Chili. Des fans chiliens de Montréal, des Ivoiriens,
des Ivoiriens. Juste des gens des alentours de Montréal, Québec, Ontario.
Ce serait une des ambiances les plus top. Et la
preuve

Speaker 3 (48:43):
c'est les ligues des champions de la CONCACAF, comme

Speaker 2 (48:45):
le stade olympique. T'imagines? On l'a vu au Robillard, Toronto-CS Saint-Laurent.
On l'a vu, ces différents types d'ambiances. C'est hétérogène, mais
s'ils se regroupent ensemble autour du Coupe du Monde, c'est
la seule

Speaker 3 (48:56):
étape. T'imagines un stade de 45 000 personnes comme ça. Tu repimpes
le stade Saputo. Un jour, dans 10-15 ans, je ne
sais pas. T'as 40 000 places.

Speaker 2 (49:07):
Des matchs

Speaker 3 (49:07):
comme ça. Même MLS, tu sais. des mâches. Comme ça,
le feu qui s'installe, autour, sur Sherbrooke et Viau, t'entends
tout ça exploser. Ce serait magnifique, magnifique. Comment ça se
fait que, collectivement, on ne voit pas le joyau qu'on a,

(49:30):
qu'on n'a pas les investissements autour pour faire ça? Pourquoi

Speaker 2 (49:34):
on

Speaker 3 (49:34):
les met dans des chiquins, dans le propriétaire et la ville?

Speaker 2 (49:37):
C'est un point précédent. Il manque un rassembleur. il manque
quelqu'un ou une entité qui dise ou c'est peut-être une
entité qui existe au sein du club ou des personnes
qui rassemblent que chacun mette un peu de l'eau dans
son vin qu'il laisse son l'égo est blessé on passe
à autre chose pour rassembler tout ça et oublie l'ambiance
Etats-Unis-Allemagne Côte du Monde féminine 2015 aux Etats-Unis c'était c'était fou

(50:00):
C'était fou. Oublie les Galaxies Backham Stade Olympique. Exceptionnel. Oublie CONCACAF.
Juste le premier match à la maison de Montréal des
Soirs à Malaise contre Chicago. Tu te rappelles? Il y
avait un homme qui marquait un but de la tête.
C'était magnifique. Il n'y avait pas la folie furieuse de Porto.
C'était parfait. C'était parfait. Juste le Stade Olympique. On peut

(50:21):
dire que Montréal en termes En termes d'événements, ils sont
encore au rendez-vous au Canada-Australie. Mais c'était un rendez-vous spécial.
C'était un rendez-vous national. Et tu le vois, tu te dis, genre, incroyable.
On parlait à tout le monde. Imagine un match de coup.
Imagine un camp de base. Imagine un match amical. Le
Canada va être là en mois de juin. Ils vont

(50:43):
jouer un match. Leur dernier match va être à Montréal
au Sassaputo. Imagine, genre, France...

Speaker 3 (50:47):
Oui
on va finir par avoir un match amical, Canada.

Speaker 2 (50:50):
Oui, non, c'est fait. Mais imagine, genre, France contre...

Speaker 3 (50:57):
Je

Speaker 2 (50:57):
ne sais

Speaker 3 (50:57):
pas moi. France contre Pérou. Le public québécois a un
public extrêmement intense. On l'a vu quand Drogba est arrivé
en ville, à l'aéroport. C'était une intensité folle. On se
prive au moins une décennie, voire plus, d'un moment collectif
tellement marquant parce

Speaker 2 (51:19):
qu'on

Speaker 3 (51:19):
est borné de chaque côté, derrière des arguments... Très, très
léger

Speaker 2 (51:24):
J'en ai marre de rater. On dit souvent, on a
raté quelque chose. Le potentiel a été... C'est comme mon
bulletin de notes, là. Peu mieux faire. L'histoire de la ville, quasiment.
Peu mieux faire, il faudra fournir. Mets plus d'attention. Plus
de détails dans tes explications. Je me dis, à un moment...
Tu sais, mais justement, j'étais... Mais c'était tellement, j'ai dit,

(51:49):
ah putain, il y a Buchanan, il y a Jonathan David,
il y a Eustache sur le banc. Quand Chouanier rentre
pour Saliba, la foule a explosé, man. T'as vu l'explosion
de Decibel, là? Saliba qui sort, Chouanier qui rentre. C'était incroyable,
c'était émotionnel, tu sentais vraiment l'émotion dans le stade. C'était

(52:12):
quelque chose. Chaque action, l'arbitrage, les bagarres. Merci, Richie Laria.
Tout le temps, Waterman. Les Australiens qui jouaient le jeu,
c'était magnifique. Malgré la défaite, c'était une expérience incroyable. Incroyable.
Je comprends qu'à un moment … Je ne sais pas
c'était quoi le deal avec Canada Soccer et Toronto. Ils
étaient obligés de jouer au BMO Field tout le temps
sous John Herman. Il y avait un truc de contrat,

(52:34):
je pense. Mais ce n'est pas bon non plus pour
Toronto

Speaker 3 (52:36):
Il va

Speaker 2 (52:36):
y avoir une

Speaker 3 (52:36):
fatigue. Il faut

Speaker 2 (52:38):
bouger un peu. Un vendredi soir

Speaker 3 (52:43):
On a été chanceux

Speaker 2 (52:43):
au niveau d'apparature et tout, il faut dire.

Speaker 3 (52:45):
C'était

Speaker 2 (52:46):
magnifique. On va voir ce soir les Colombiens à New Jersey.
Je pense que Je pense que les enfants vont prendre
off pour l'école demain, mercredi. Mais c'est... Attends, j'aimerais juste dire,
je vais commencer par la fin. Les conférences de presse
des deux entraîneurs, des deux sélectionneurs, en Allemagne, je vais
juste confesser, Tony Popovic. Alors, Sid, ça c'est pour Sid,

(53:08):
parce que Sid, on a... Juste après que Tony Popovich parle,
le sélectionneur d'Australie, Tony Popovich, le sélectionneur d'Australie, quand il
s'adresse aux médias, puis après deux semaines, juste après, quelques
minutes après, le gars, on dirait le Tony Robbins des
sélectionneurs quand il parle. Il parlait d'un calme, d'une prose simple,

(53:29):
mais remplie d'émotions et remplie de tact et d'intelligence, d'intellectualité.
C'était vraiment, je peux t'écouter longtemps, vas-y parle, continue. fait
un speech par nous parce qu'il était très intéressant et
Jesse Marsh j'étais assis là en même endroit où j'étais
en 2012 quand je l'entendais parler au Saputo après les matchs
ou dans les conférences d'après j'ai dit Jesse Marsh 2012 il

(53:50):
était là puis je vais en 2025 puis c'est le même
cas motivation il répond aux questions il répond aux questions
qu'on lui a pas demandé je le vois là genre 2012
man je vois Jesse Marsh là le rookie qui vient
à peine de finir de jouer là puis là Il
est en train de parler, le process, on va y
aller à fond. Il dit, ah oui, Oli aussi va

(54:12):
jouer peut-être le prochain match. Il y avait de très
bonnes questions par tout le monde. C'était vraiment intéressant. Tu
ne veux pas de machin avec le club. C'est une
saison qui n'est pas très bonne. On a vu un
football très différent. Même si c'était le football … Ça
allait vite. Ça allait vite. Même si c'était le football 2015-2016, Drogba, Bernier,
Rocco et tout ça, J'aurais eu le même feeling pour

(54:37):
dire que c'est du foot international. C'est du haut niveau.
C'est différent. C'est pareil quand tu regardes un match de
Ligue 1 et après tu écoutes l'équipe de France. C'est différent.
Il y a tout le temps un écart, dépendant de
ta perception. Mais c'était quelque chose.

Speaker 3 (54:52):
Mais c'est compliqué. Le foot international, les écarts se sont
tellement rétrécis et c'est compliqué de jouer contre une équipe
Discipliné et organisé défensivement. Si t'as pas un génie dans
un bon jour

Speaker 2 (55:13):
Non, mais on va y arriver à ça. Regarde, les Australiens,
si on parle du match, après les trois premières occasions
du Canada, le coach a fait... On sert les lignes. 5, 4, 3, 1.

Speaker 3 (55:24):
Pas tight. Reste autour de l'arbitre, OK? On court avec l'arbitre.
Mais ce qui est important, c'est 5. 5, puis après, on
met les 4 entre les 5 comme

Speaker 2 (55:40):
ça

Speaker 3 (55:40):
OK

Speaker 2 (55:41):
Pas de ligne, je ne veux rien voir. Je ne
veux pas voir de gazon vert entre les lignes. Ils
se sont pris 3-0. Non, non, non. On arrête, on arrête,
on arrête. No mas. Comme dirait

Speaker 3 (55:51):
l'arbitre après chaque faute qu'il a vu pendant le match,
no mas. No mas

Speaker 2 (55:57):
Andale, andale. Mais c'est... Honnêtement, c'était quelque chose. C'était quelque chose.
Et puis, ensuite, on a eu le défi du Canada
où on se dit, ben... Déjà, Oustakio qui n'est pas titulaire,
ça fait une différence. Je pense qu'il y a un
load management qui va jouer contre la Colombie. Veux-tu

Speaker 3 (56:13):
commencer à venir de mon côté

Speaker 2 (56:15):
Quel est mon argument contre … Moi, ce que je
disais toujours sur

Speaker 3 (56:18):
Oustakio, puis toi, tu trouves que c'est une chance qu'on a,
Steven Oustakio.

Speaker 2 (56:23):
Non. Au début, je dis« na, na, na». Après, je
dis« non, non, c'est vrai», mais je t'ai dit que défensivement,
dans un milieu à deux, je trouve que … Au
milieu à trois, il était bien avec Hardman. Dans un
milieu à deux, je trouve que défensivement, ça va être dur.
Pour tout le monde. Le milieu à deux va être difficile.
On verra ce que Jesse Marge va faire. Mais en
termes de créativité, là, on se dit, à la fonction

(56:45):
des vies, ça manque. Parce qu'il avait dit à un
moment Jesse Mars, il a dit qu'il le mettrait Elie déjà.
Il va le mettre Elie. Donc, il a besoin de
ce dernier 30 mètres pour voir la différence. Ali David, Ali Ahmed,
Ali Ahmed, Ali Ahmed, bien. Ça n'a pas été un... Non,
ça n'a pas été, mais c'est un bloc bas. Un
bloc bas, tu as besoin... Un bloc bas, il faut

(57:08):
que Laren soit un peu plus présent. Laren

Speaker 3 (57:11):
la première course de Laren. c'est la première course le
regard de moi c'est lent il est un

Speaker 2 (57:19):
peu lent mais dans la surface il est bien mais
dès que Buchanan lançait des ballons il y avait du
danger mais c'est pas assez et quand j'ai posé la
question à Jesse moi je lui ai dit là t'as
l'embarras du choix en termes de deuxième choix avec David
mais là t'as 3-4 attaquants disponibles qu'ils ont tous soit
ils jouent la Ligue des Champions soit ils jouent en

(57:40):
Europe C'est fou, quoi. Villareal, Union Sanguiloise et la Ligue 1. Non,
ils jouent en Belgique. L'arène maintenant? Oui, ils jouent en
Belgique maintenant. Non. Où est-ce qu'il joue l'arène? En Belgique
ou en Espagne? Ah, je suis con. Vas-y, continue. Donc,
il y a juste ça. Puis, il a répondu à
ma question. Oui, il a fait un ordre. Putain, il

(58:03):
a fait un ordre. Excuse-moi, il a fait un ordre.
Ah oui. Excuse-moi, excuse-moi. Et puis, je ne sais pas
si il avait répondu. Genre, oui, il y a des
défis par rapport à ça, mais d'autres sélectionneurs qui me parlent,
ils aimeraient avoir ma profondeur. Certains sélectionneurs n'ont même pas d'attaquant. Moi,
j'en ai quatre. Puis, il avait dit clairement, Promise David,
pour moi, is an impact player. C'est-à-dire, tu l'as entendu
quand il dit ça? Oui, un peu déçu de cette réponse-là.

(58:27):
C'était ma question, c'était ma question, c'était ma question. Oui, content,
c'est bon, c'est bon. Il a dit« impact player», ça
veut dire genre, tu es sur le banc, tu rentres.
Mais est-ce que Promis David, au début du match, va
être aussi efficace qu'en fin de match? Je ne pense pas,
parce que les Australiens sont plus fatigués, ils sont un
peu plus stressés sur les nerfs, mais à voir. Mais
tout un

Speaker 3 (58:43):
athlète sur le terrain quand il est rentré, le football.
Quand tu

Speaker 2 (58:47):
vois sa taille et son poids, je vois la combinaison
taille et poids, je ne comprenais pas sa vitesse. Wow,
il a accéléré vite. Puis il bouge bien. Je le
voyais à la Ligue des Champions, il y a une cingloise.
Bon dribble, bon de la tête. Quand tu le vois
sur le terrain, c'est autre chose. C'est quelque chose. Mais là,
Jesse Manch, il arrive à un point tournant. Il le sait.

(59:12):
Il sait qu'il est bloqué. Il ne peut pas changer
sa stratégie. Il peut changer de formation peut-être. Mais là,
il dépend de Bambito. Il espère que Bambito soit prêt
pour la Coupe du Monde. Ça, on va voir. Waterman,
Fougérol et Cornelius, c'est à voir. Mais il n'a pas
le choix. Là, on parle d'un Anglais de 28 ans qui
viendrait peut-être, qui a un grand parc canadien, à voir.

(59:36):
Mais il y a un défi de différence de qualité technique.
Parce que dans un bloc bas, Ismaël Kone était très bon.
Très bon match, honnêtement. Bon match, pardon, d'Ismaël Kone. Mais
si tout le monde va jouer un bloc bas contre
le Canada, En général

Speaker 3 (59:53):
Non, pas à la Coupe du Monde

Speaker 2 (59:55):
À la Coupe du Monde? À moins qu'ils jouent contre
une sélection plus forte. Ça va être ça, non? Ils
sont dans le pot 1. Il y aura un groupe, quoi? Canada, Allemagne, Algérie?
Il n'y aura pas de bloc bas. Non. C'est possible.
Mais en tout cas, si on joue bloc bas, ils
auront des défis pour créer des chances. David, il joue
numéro 10 en ce moment. Il recommence le David de Herdman

(01:00:18):
où il doit être le militaire offensif. Parce que

Speaker 3 (01:00:25):
Comment

Speaker 2 (01:00:25):
dire? Il n'y a pas vraiment

Speaker 3 (01:00:27):
milieu. Il n'y a pas cette créativité de passe qui
coupe une ligne. Il y a plus dans les premières touches,
en neuf et demi. Oui, mais

Speaker 2 (01:00:34):
pour faire la passe aux ailiers et à l'arène ou
à Promis ou à un autre, c'est ça le truc
avec David. Le problème, c'est qu'en mettant David jouer un
peu plus bas, on le voit sur le terrain, il
joue plus bas. Il n'y a pas le choix. Il
n'y a pas de ballon. C'est que Jesse Ma, il
est en train de faire jouer un milieu à trois.
Mais c'est vrai que le troisième milieu, c'est un attaquant. Donc,
c'est un peu... C'est un peu un défi pour lui.
Est-ce qu'il ne va jamais l'oublier à trois, je pense?

(01:00:55):
À moins qu'il a vraiment bétonné un match. Mais c'est
le prochain

Speaker 3 (01:00:57):
chantier de la nouvelle génération canadienne. Avant, on avait de
la misère à avoir des attaquants. Ensuite, on a eu
de la misère à retrouver des défenseurs centraux. Parce que
la vieille génération, c'était surtout les défenseurs centraux qui étaient forts.
Tout à fait. Là, il est apparu, ces jeunes-là, qui
ont explosé rapidement. Mais le prochain chantier, puis ça, c'est

(01:01:20):
plus compliqué d'exploser comme ça, out of nowhere, c'est le
créatif dans l'axe. On n'a rien de créatif, hors de l'ordinaire.
On a des joueurs formatés un peu, tu sais, jouer simple.
Je ne dis pas qu'ils ne sont pas capables de
créer de l'offensif. Mais avoir cette folie-là de créativité au milieu, justement,
quand tu te retrouves devant deux lignes bien structurées, on pourra,

(01:01:44):
à moins de trouver un arrière-arrière-arrière-grand-père

Speaker 2 (01:01:48):
Un brésilien argentin.

Speaker 3 (01:01:52):
C'est la seule chance. C'est à peu près la chance
de trouver une espèce de déco

Speaker 2 (01:01:57):
canadien. Mais les deux seuls créatifs axiaux, c'est Coné et Ostacchio.
les plus créatifs les plus créatifs mais trouver un sort
de 10 là c'est dur sur les ailes j'avais un bon
débat sur tik tok un gars j'oublie son nom mais
il m'a fait rappeler qu'elle est armée d'exister alfonso davis
shuffleberg j'aime bien à gauche il devrait tout en jouer

(01:02:19):
à gauche juste la capacité à faire des centres sans
arrêt c'est super mais

Speaker 3 (01:02:23):
sans l'occasion c'est

Speaker 2 (01:02:25):
ça tue ça tue et Moi, je suis content pour lui.
Au début, je l'ai hété. Je ne sais pas pourquoi.
Parce que je suis con. Tu n'aimes pas les gens. Oui.
Liam Miller. Il y a eu trois séquences où genre...
C'est quoi

Speaker 3 (01:02:42):
ça? Lui, c'est un peu la rédemption après sa grosse déblaissure.

Speaker 2 (01:02:45):
Lui, c'est... c'est comme on dit et pas mal intéressant
qu'on joue donc je sais moi c'est le défi comme
il va faire confiance à ses vétérans il aurait une
certaine envie de stagner un

Speaker 3 (01:03:00):
peu il faut qu'il part avec son bâton de pèlerin
puis nous trouver un créatif au milieu Il en faut
un pour débloquer. Ou

Speaker 2 (01:03:10):
peut-être une façon de jouer différemment. Centrer les ballons vers
David et l'arène et promis, c'est ça qu'il faut faire.
C'est trop prévisible. Oui, mais avec le volume, t'en as deux. Moi,
je pense que les titulaires, c'est David et... Tani je
pense dans le 4-4-2 c'est bon dans le 4-4-2 ouais

(01:03:32):
c'est un 4-4-2 disons ça va être ça va être
David et Tani je vois pas de doute il va
si Tani Buchanens à Villarreal a une chimie incroyable il
va le garder donc Et puis, c'est le côté gauche.
Je pense qu'il va aller à Ali Ahmed parce qu'il
a un repli défensif. Il cherche des joueurs qui font...
Dans un 4-4-2, il faut que tes milieux excentrés soient

(01:03:53):
des latéraux en termes de défense. Il faut qu'ils défendent.
Il faut qu'il y ait un repli. Donc, c'est ça
le truc. Il est un peu lié avec sa formation.
C'est normal, comme tous les autres. Dans un 4-3-3, il
aurait eu des défis aussi. Mais... Wow! Il n'y a
pas si longtemps que ça que ce débat-là n'existerait pas.

Speaker 3 (01:04:12):
J'ai vu Sofiane faire une pause après une heure où
on a parlé juste du Canada et il s'est dit« shit, wow,
on a parlé du Canada comme si c'était

Speaker 2 (01:04:20):
l'Algérie, Portugal, France, Allemagne.» Il faut changer ça un peu.
Leroy Sané, je ne suis pas sûr si c'est la titulaire.
Parce que son pied gauche, il a

Speaker 3 (01:04:34):
un... C'est de la merde, non. C'est

Speaker 2 (01:04:36):
un élégant, c'est quoi ça? Mbappé, est-ce qu'il est taille patron, capitaine?
Qu'est-ce qu'il se passe? Xavier Simon, qu'est-ce qu'il fait à Tottenham?
Il baisse le niveau des Pays-Bas? Ça, c'est Team Canada.
Asin Kripo, j'étais content pour lui.

Speaker 3 (01:04:54):
OK, on va finir là-dessus parce que j'avais un autre sujet,
mais il va prendre trop de temps le prochain sujet.
On va se le garder pour un autre épisode.

Speaker 2 (01:04:59):
Fais un tease,

Speaker 3 (01:05:01):
fais

Speaker 2 (01:05:02):
un tease

Speaker 3 (01:05:03):
J'ai un hot take sur Stakio.

Speaker 4 (01:05:06):
Ah

Speaker 3 (01:05:06):
vas-y. Tu veux que je le dise tout de suite,
mon hot take? Tu veux pas qu'on l'attende à plus tard?
On aura

Speaker 2 (01:05:12):
le temps de faire ça vendredi? OK, on y va. Vas-y, vas-y. Vas-y.
Pas grave, pas de problème. Vendredi, Inch'Allah.

Speaker 3 (01:05:21):
Ou peut-être, ouais.

Speaker 2 (01:05:22):
Ou jeudi

Speaker 3 (01:05:23):
Comme vous voulez. Vendredi, en plus, on va voir le match.
Cet épisode-là, il était enregistré avant Colombie. On va voir Eustachio.
J'ai une idée en tête pour Eustachio. J'ai quelque chose ici.
La cabane fin. La cabane fin. Une cabane fin. J'ai
quelque chose ici pour Eustachio. J'ai une superbe idée. Milton.

(01:05:45):
Le but, là. Le but. Je l'ai revu mille fois.
Le but de l'Australie. C'était une

Speaker 2 (01:05:52):
séquence d'erreurs individuelles. Mais tout peut s'expliquer, sauf, on a
demandé à Sigurd, juste kick the

Speaker 3 (01:06:01):
ball

Speaker 2 (01:06:03):
out. Il n'aurait jamais fait ça dans une situation, je

Speaker 3 (01:06:05):
comprends pas. Oui, mais lui, il arrive à la fin
d'une séquence. Mais ce ballon-là, Crépeau, il n'est pas censé
l'apprendre

Speaker 2 (01:06:11):
Non, ça va trop vite. Il fallait qu'il commette. Non,
c'est vrai, c'est vrai, peut-être. Peut-être Crépeau. Est-ce que Crépeau
a crié à Sigurd, dégage-la, je ne sais pas. Mais déjà,
je vois les haters, Waterman, Waterman. Le fait que le
gars ne l'a pas dépassé, rentré dans l'axe, c'est déjà
un miracle. Tu sais, il l'a contenu. Le gars a
fait son soin et puis voilà. Parce que le gars,

(01:06:32):
il n'a pas calculé Waterman. C'est le gars qui n'est
pas trop rapide. J'y vais, je coupe vers l'axe. C'est vrai,
c'est ça que tu fais. C'est ça que tu fais. Mais... Non, non,
ça arrive. On verra. Un tir cadré. Un zéro. Ouais. Densaka,
en particulier, contre Colombie, c'est pas mal sûr, je pense. Ouais.

(01:06:52):
J'aurais voulu que... C'est vrai, il est obligé de faire
jouer Saliba. Je pensais qu'il mettait Saliba pour le côté québécois.
Il le considère comme dans son top 15 de chez Mars.
Mais si, mais Saliba, il connaît, il fait un peu
du marketing populiste. Mais au fond, il n'a pas le choix.
Il fait confiance à Saliba. Parce que Eustachio n'est pas

(01:07:12):
à 100% tout le temps. Donc, il ne peut pas
prendre le risque de baser sur Eustachio sans faire jouer
Saliba et voir et lui donner des milles de morts. Ok,
à long terme

Speaker 3 (01:07:20):
Tu ne parlais pas juste du week-end.

Speaker 2 (01:07:21):
Oui, à long terme. Si je me base seulement sur
Eustachio et qu'il y a des problèmes de genoux encore
ou qu'il ne joue pas assez, il faut que je
puisse dire que Saliba était déjà avec Coné et qu'il
n'y a plus de bonnes chances

Speaker 3 (01:07:32):
Pour

Speaker 2 (01:07:32):
ça, il faut

Speaker 3 (01:07:33):
trouver quelqu'un.

Speaker 2 (01:07:35):
Et tu ne mets pas de qui? Ok, enfin, on
situe l'air. On situe l'air. Premier match de la Coupe
du Monde, Toronto. C'est qui ton gardien? Pense en tant
que Jesse Mars. Pas en tant que toi. On dit
le gardien dans 3, 2, 1, Dan Sinclair. Parfait. Latéral droit? On fait

(01:07:58):
des prédictions, on ne dit pas notre code. Non, nos prédictions,
on est Jesse Mars, on le connaît. Latéral droit, Nico Sigour? Non, Alistair.
Ah oui, je l'ai oublié. Ah bébé, je t'ai oublié. Celtic,
you never walk alone. Ah ouais. Gros, gros morceau. Gros morceau.
Mais s'il n'est pas top, c'est sigur. S'il n'est pas

(01:08:19):
encore prêt, dans son genre, minute de match, il va
revenir là. Parfait. Central. Bon, Bombito Cornelius. Attends, à gauche. Attends.
Attends

Speaker 3 (01:08:29):
Attends
Ok

Speaker 2 (01:08:35):
Ça va être Davis. Non, Davis va aller à gauche.
Il est gauche, milieu gauche. Je pense que oui. Je
pense qu'il n'aura pas le choix. Je pense qu'il a
besoin de cette créativité. Tu sais la différence 1v1? Le

(01:08:55):
faire tout le temps, les replis. Je ne vois pas
d'autres latérales gauches. C'est bon, il n'y a pas Bassong,
il n'y a pas de Fougerolle latéral gauche. Donc, moi,
je ne vois aucun problème que Richie Laria soit latéral gauche.
On coupe du monde avec Davies devant lui. C'est ça. Moi,
je vois Laria,

Speaker 3 (01:09:15):
Davies, couloir. Je ne sais pas comment va la blessure
de Fons. Des machins, celui de Vancouver

Speaker 2 (01:09:28):
Oui. Sam Adekube. Adekube. Adekube. Oui, mais non. Moi, je
vois l'arrière Alphonso Davies, couloir gauche. Ismaël Kone au stade.
À droite, Ali Ahmed. J'entends David Tani. Tani ou Loa Sewi.

Speaker 3 (01:09:58):
Ouais

Speaker 2 (01:09:59):
ça va tourner autour de ça. Mais

Speaker 3 (01:10:01):
ouais

Speaker 2 (01:10:02):
J'ai pas

Speaker 3 (01:10:03):
inventé la roue, là. C'est rien de spécial. Ouais, ça
va être pas mal, ça. Ça va être pas mal, ça. Bon,
mais sauf... Ben, voilà. Tu iras écouter mes propositions culture québécoises. Puis,
vendredi prochain, on va parler de stack. Et d'autres choses. Ouais.

(01:10:25):


Speaker 2 (01:10:26):
Oh! Tu reçois les emails de la MLS pour dire
les infos sur les matchs. Ah, c'est Decision Day. C'est
quand Decision Day? Le 25 mars 2025? C'est ça le Decision Day? Nous,
le Decision Day, c'était... C'était quand

Speaker 3 (01:10:43):
Avril? C'est quand on a décidé de faire le trade
pour Avriani. Toutes ces décidés-là. C'est là? Ouais. Oh, shit.
T'as

Speaker 2 (01:10:52):
aimé mon

Speaker 3 (01:10:53):
petit tableau de la fin de semaine, là,

Speaker 2 (01:10:55):
avec les DP? C'est pas grave. T'as pris tous les
DP par club et les statues, là, puis t'as fait,
c'est joli. C'est visuel. Les gens vont, oh!

Speaker 3 (01:11:02):
Oh, on est... Oh! Oh! Il y a beaucoup

Speaker 2 (01:11:04):
de travail à faire, là. Mais Atlanta, là... Oh

Speaker 3 (01:11:07):
ça, ça fait... Atlanta,

Speaker 2 (01:11:08):
c'est

Speaker 3 (01:11:08):
ça. Atlanta, c'est l'exception qui fait... qui explique la règle.
Qui

Speaker 2 (01:11:12):
confirme la

Speaker 3 (01:11:12):
règle, là, quoi. Mais à l'autre côté, il y a
aussi Cincinnati, hein. Ouh!

Speaker 6 (01:11:16):
Ouh!

Speaker 2 (01:11:17):
Ouais, mais il y a un cashflow salarial intéressant aussi.
Il y a des règles que certains SGM ont oubliées.
Mais on n'a pas joué d'un jingle. Il faut avant
de partir. C'était cool.

Speaker 4 (01:11:28):
Ouais,

Speaker 2 (01:11:40):
on n'est pas déprimé du tout. Non, non, pas du tout. Allez. Likez, abonnez-vous, partagez,
on veut des vues. Parce que là, il faut revenir
aux 1000 par épisode, là, minimum, parce que ça fait un bout, là,
puis … C'est pas facile d'avoir 1000. 1000, il faut les mériter,
puis vous travaillez fort. Et dès qu'il arrive à 1000, arriver à 2000,
c'est plus facile. Mais tu sais quoi? On est le
meilleur

Speaker 3 (01:12:00):
podcast pod studio.

Speaker 2 (01:12:03):
Ouais. Ouais, c'est vrai. Est-ce que Tony, son podcast, qui
est en studio, mais ses intervenants sont souvent … par
streamer est-ce que ça compte au

Speaker 3 (01:12:12):
prix qu'il a payé son studio ça compte dans les
podcasts avec

Speaker 2 (01:12:17):
studio pourquoi on attend pourquoi on a du hate comme
ça c'est toi qui a parlé j'ai rien dit moi
c'est le

Speaker 3 (01:12:25):
meilleur podcast pas studio c'est tout ce que j'ai dit

Speaker 2 (01:12:29):
là on va recevoir un message de Brothers Run ils
vont se fâcher et Canassie ils vont se fâcher je
veux pas de DM DM Nilton je veux rien savoir

Speaker 3 (01:12:39):
J'aime ça quand ça va trop bien, c'est plate. Allez, ciao,
ciao

Speaker 2 (01:12:42):
Allez, ciao tout le monde. Ciao.
Advertise With Us

Popular Podcasts

Stuff You Should Know
CrimeLess: Hillbilly Heist

CrimeLess: Hillbilly Heist

It’s 1996 in rural North Carolina, and an oddball crew makes history when they pull off America’s third largest cash heist. But it’s all downhill from there. Join host Johnny Knoxville as he unspools a wild and woolly tale about a group of regular ‘ol folks who risked it all for a chance at a better life. CrimeLess: Hillbilly Heist answers the question: what would you do with 17.3 million dollars? The answer includes diamond rings, mansions, velvet Elvis paintings, plus a run for the border, murder-for-hire-plots, and FBI busts.

Dateline NBC

Dateline NBC

Current and classic episodes, featuring compelling true-crime mysteries, powerful documentaries and in-depth investigations. Follow now to get the latest episodes of Dateline NBC completely free, or subscribe to Dateline Premium for ad-free listening and exclusive bonus content: DatelinePremium.com

Music, radio and podcasts, all free. Listen online or download the iHeart App.

Connect

© 2025 iHeartMedia, Inc.