Episode Transcript
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Speaker 2 (00:01):
Salut tout le monde. En mode avant-match, ça peut durer 5 minutes,
ça peut durer 15. Ça
Speaker 3 (00:10):
dépend de
Speaker 2 (00:11):
notre
Speaker 3 (00:11):
humeur. Exact. Il y a quelqu'un qui m'a écrit ou
nous a écrit pour dire, je ne me souviens plus,
il faut que j'arrête cette manie-là d'oublier complètement qui nous
a écrit. C'est con. Mais c'était un excellent point. Il
disait« Maintenant, avec le deal» d'Apple TV qui vient avec
les abonnés de saison. Maintenant, les abonnés de saison ont
(00:33):
accès à Apple TV. Oui, parce que le
Speaker 2 (00:36):
Amazon Season Pass n'existera plus. Ils seront intégrés dans l'offre
Apple TV.
Speaker 3 (00:43):
Apple TV, ça n'existe plus. Donc, les abonnés de saison
ont accès maintenant à Apple TV. Puis, ce ccppiste, on
va l'appeler comme ça, a dit, wow, votre prologue devient
de plus en plus pertinent parce que vous pouvez maintenant
(01:05):
parler des shows d'Apple TV. Et là , j'ai pensé à toi.
Speaker 2 (01:10):
J'ai un
Speaker 3 (01:10):
problème, on va parler après. Oui, j'ai eu, tu sais
quand tu achètes un nouvel appareil, Apple? Des fois, tu
as un trois mois ou un six mois
Speaker 2 (01:23):
ou
Speaker 3 (01:23):
même un an. J'avais écouté quelque chose
Speaker 2 (01:28):
DĂ©jĂ
Speaker 3 (01:29):
tu lisais. J'avais écouté un truc futuriste. Futuriste où? Pas
tant futuriste que ça, mais si jamais on avait canonisé
Mars ou un truc comme ça. All Men...
Speaker 2 (01:44):
Ah, All My Kind, oui. C'est sur les commentaires YouTube.
C'est ça, c'est ça. C'était... J'avais écouté ça,
Speaker 3 (01:55):
c'est bien. À l'époque, il n'y avait pas beaucoup de
show
Speaker 2 (01:58):
C'est avec la fille de Melinda R. Baby, c'est ça?
Ok
oui. Whatever. J'ai aucune idée. Attends, attends. C'est qui qui
a écrit ça? Non, l'héritage Mitsuku. Bon, on ne connaît pas.
C'est fou, hein? Vraiment, tu es abusé.
Speaker 3 (02:16):
Non, non, non, pas du tout. Il y a un
gros clash. Non, non, non,
Speaker 2 (02:19):
non. Je ne trouve plus le commentaire.
Speaker 3 (02:27):
Bref, oui, on va avoir accès. Je ne sais pas si...
Je ne sais pas jusqu'à quel point ça peut trigger
quelques gens qui hésitaient pour dire« Ah, c'est quand même
une valeur
Speaker 2 (02:45):
intéressante». Mais c'est la course aux armes des streamers, dans
le sens, les streamers, on est passé par Netflix et
Prime ont été corrects. Disney +, c'est arrivé avec Marvel
et Disney. Paramount, HBO, je ne sais pas quoi. Donc, maintenant,
Apple TV. Maintenant, chacun veut se centraliser vers sa propre plateforme.
(03:06):
Parce que lĂ , Ă un moment, on a eu Ă
la maison 5, 6 abonnements qui ont duré 2, 3 mois. Tu fais le calcul,
entre Crave TV, HBO, tout ça, tu te dis, OK,
on arrive à 320 par mois, 4 000 par année. J'exagère, mais je
me dis... Et en plus, on ne parle mĂŞme pas
en Europe, ils ont le problème des streamers officiels pour
les matchs des champions. Et puis, tu sais. Donc, it's
(03:31):
getting complicated. Et là , le Canadien, avec Bell, RDS …
qui pensent mettre des maltes sur RDS, OTSN, Web, ou
je ne sais pas quoi, ou Prime. Je n'ai plus compris.
En tout
Speaker 3 (03:43):
cas, un porte-peuple. C'est ça. Pour l'instant,
Speaker 2 (03:44):
je ne
Speaker 3 (03:44):
pense pas que pour le marché québécois slash canadien, ça
soit très important, cette valeur ajoutée d'avoir Apple TV, parce
qu'ils ont la Formule 1, mais qu'ils jouent aussi, par exemple,
sur
Speaker 2 (03:54):
RDS. Exactement, exactement. Au Canada, on est un peu dans
les années début 2000. C'est le Y2K, on vient de sortir
du Y2K, puis on est content
Speaker 5 (04:03):
Y2K Jericho, une des meilleures entrées ever. Y2K Jericho. La
tour de Jericho
Speaker 2 (04:12):
On remercie tout le monde pour... le positivisme autour de
notre discussion avec Laure Warda. Oui, c'est
Speaker 3 (04:19):
vrai qu'on a eu beaucoup de feedback
Speaker 2 (04:20):
beaucoup plus que
Speaker 3 (04:20):
d'habitude.
Speaker 2 (04:23):
Très
Speaker 3 (04:24):
pointu. Les gens, visiblement, aiment des propos intelligents, ce qu'on
ne peut pas donner Ă toutes les semaines
Speaker 2 (04:31):
On a du mal avec ça.
Speaker 3 (04:33):
Des fois, on a des flashs, mais ça, à toutes
les semaines... On
Speaker 2 (04:38):
fait ça chaque deux semaines. C'est difficile
Speaker 3 (04:42):
C'est
Speaker 2 (04:42):
difficile. Bon,
Speaker 3 (04:43):
merci alors pour son contenu, d'un point de vue différent.
Speaker 2 (04:48):
Oui, d'un point de vue très expert dans son domaine,
puis les mots-clés intéressants. J'adore quand je suis dans un
podcast où je parle peu, puis j'apprends beaucoup. C'est agréable
parce que j'apprends beaucoup de choses.
Speaker 3 (05:00):
Tu ne fais pas ça toutes les semaines avec moi.
By the way, tu expliques aux gens que ton son
est mauvais. C'est voulu. Oui, oui. Je ne suis pas
Speaker 2 (05:07):
dans mon setup habituel. Je ne suis pas dans mon studio.
Je ne suis pas dans mon studio. Donc, non. Peut-ĂŞtre
la semaine prochaine. Je ne suis garanti pas. Affaire Ă
suivre
Speaker 3 (05:17):
On
Speaker 2 (05:17):
ne dira
Speaker 3 (05:18):
pas Inch'Allah parce que
Speaker 2 (05:22):
ça peut être mal vu
Speaker 3 (05:23):
Dis Inch'Allah. Inch'Allah, ça reste...
Speaker 2 (05:26):
Non,
Speaker 3 (05:26):
c'est comme... Ce n'est pas laĂŻque. Ce n'est pas laĂŻque. Oshala,
c'est laĂŻque. C'est devenu laĂŻque dans notre langue, Oshala
Speaker 2 (05:34):
Ouais, pour le moment. Sinon
Speaker 3 (05:40):
as-tu consommé d'autres choses que des cartoons?
Speaker 2 (05:42):
Non. Ah, pas de cigarette, lĂ . Non. Non, rien de toi.
Qu'est-ce que t'as vu? Toute la télé? Bon, on a
tous vu Machu Picchu. Tout le monde en parle. That's
about it.
Speaker 3 (05:53):
Moyen. J'ai vu... Je sais pas si t'aimerais ça, là .
C'était la dernière saison avant le crash. Radio Cannes, c'est sûr.
Tu sais mĂŞme pas de quoi je parle. Attends
Speaker 2 (06:04):
un show
Speaker 3 (06:04):
s'appelle Avant le crash? C'est ça. Tu viens de répondre
Ă ma question. Oui
Speaker 2 (06:11):
C'est un truc médical, c'est un truc sur la bourse,
c'est un truc... C'est un truc de... Laisse-moi deviner. C'est
un truc de
Speaker 3 (06:19):
C'est pas si évident à expliquer avant le crash.
Speaker 2 (06:21):
C'est un truc de famille, non? C'est un truc de famille.
Je pourrais dire avant le crash de la famille. C'est 5
Speaker 3 (06:27):
Boys. C'est 5 Boys. Début
Speaker 2 (06:29):
de vie
Speaker 3 (06:29):
d'adulte. Dans le milieu de la finance.
Speaker 2 (06:33):
Misogynie. Bravo Radio-Canada. On continue. 5
Speaker 3 (06:36):
Boys. Écrit par une femme. Ah! Ah! Ton message, l'idiot
qui vient de passer. Dans la gueule. Écrit par une
femme assez féministe aussi. Dans ta face. Non, c'est très bon.
Un jour, quand t'auras fini... C'est quoi que j'aurais commencé?
Série Noire. Et tout, et tout, et tout. Peut-être
Speaker 2 (07:02):
pas Ă
Speaker 3 (07:02):
la cause. De
Speaker 2 (07:03):
toute façon, t'es occupé... C'est qui la scénariste? C'est qui
la scénariste? C'est quoi son nom
Speaker 3 (07:11):
C'est la blonde d'un des acteurs.
Speaker 2 (07:13):
Ah, ben, népotisme. C'est bon. Est-ce que tu fais gossant?
La roi star. Non, non, je suis un
Speaker 3 (07:21):
hater. Si jamais je réussis un truc et je t'amène
avec moi et vice-versa, tu vas dire que c'est du népotisme?
Speaker 2 (07:29):
Non, bien sûr, je blaguais.
Speaker 3 (07:34):
Je vais googler avant
Speaker 2 (07:35):
le crash.
Speaker 3 (07:35):
Son nom ne me revient pas parce que je suis
nul pour me souvenir
Speaker 2 (07:38):
des
Speaker 3 (07:38):
noms. C'est la blonde d'Éric Bruno.
Speaker 2 (07:47):
Ah oui, ça m'aide beaucoup
Speaker 3 (07:50):
T'es sérieux?
Speaker 2 (07:51):
Je ne connais pas Eric Bruno.
Speaker 3 (07:54):
Karine Vanas. Tu sais qui Karine Vanas au moins?
Speaker 2 (07:56):
Oui
Speaker 3 (07:57):
Non,
Speaker 2 (07:57):
qu'elle est
Speaker 3 (07:58):
lĂ -dedans. Oui, parce que tu sais c'est qui? Oui, Karine
Speaker 2 (08:01):
Vanas, la brunette un peu blonde, le chaton large. Je
vois c'est qui. Elle est un peu jeune. Non, on
a le même âge. Oui, il a été connu dans Polytechnique.
Come on, let's go. Tout le monde doit
Speaker 3 (08:14):
nous
Speaker 2 (08:15):
crier. Je connais Andorval. C'est pas Kim quelque chose? Ouais,
Speaker 3 (08:18):
ouais, ouais. Hé, t'es bon? T'as googlé?
Speaker 2 (08:22):
Un peu googlé, puis j'ai arrêté. Kim quelque chose? J'ai
vu Kim, puis j'ai arrêté. Kim
Speaker 5 (08:26):
Lizotte
Speaker 2 (08:27):
Lizotte, OK. Laisse-moi googler le nom, parce que je pense
que je connais plus que bien la face. Kim Lévesque Lizotte. Oui. Ah,
c'est une scénariste. Je pensais qu'elle était actrice et genre...
Ben oui, je pense qu'elle faisait de l'humour. Oui, oui, oui.
Elle était comédienne, là . Mais elle n'était pas... C'était pas
(08:47):
une chroniqueuse qu'on en parle
Speaker 3 (08:49):
C'est une... Oui, elle est dans la rotation avec... Il
faut
Speaker 2 (08:52):
du roi, lĂ . Oui, oui, oui
Speaker 3 (08:54):
Exact, exact
Speaker 2 (08:55):
OK, je me disais bien. OK, OK. Wow. Multitask. Bravo.
C'est bien pour la carrière. Il
Speaker 3 (08:58):
faut diversifier.
Speaker 2 (09:00):
Oui, il
Speaker 3 (09:00):
faut diversifier. C'est pour ça que nous, maintenant, on va
parler de politique dans le prologue. Parle-nous de ta députée
de Saint-Laurent.
Speaker 2 (09:08):
Marwa
Speaker 3 (09:10):
Pas Pauline, pas Pauline.
Speaker 2 (09:12):
Marwa risque, regardez. Du moment Ă l'entrĂ©e de l'islamo-gauchisme Ă
l'intérieur de la société occidentale. Pourquoi tu dis ça? L'islamisme,
parce que je suis gêné d'imiter Mathieu Bocoté
L'islamo-gauchisme, je ne sais pas ce qu'il a avec sa voix,
peut-ĂŞtre qu'il est con. Mais attention Ă l'islamo-gauchisme, attention Ă
(09:33):
l'islamo-gauchisme occidental qui pourrit nos civilisations.
Speaker 3 (09:39):
Tu as tous les buzzwords
Speaker 2 (09:40):
Dans l'algorithme, ça va être bon. Bande, contenu politique, alt-right extrême.
Mais
Speaker 3 (09:47):
pense-y, Marois, Pablo Rodriguez, c'est un peu comme nous deux,
mais en chicane. Un
Speaker 5 (09:54):
latino avec un arabe.
Speaker 3 (09:56):
Maghrébine, Maghrébine. D'origine maghrébine. On mélange tout. Lui, peut-être, Pablo Rodriguez,
je ne sais pas, c'est peut-être l'Amérique du Sud. Il
est
Speaker 2 (10:05):
argentin, il est argentin d'origine.
Speaker 3 (10:08):
J'ai vu une vidéo, ça doit être tellement faux, une
vidéo qui expliquait pourquoi la sélection d'Argentine était juste blanche
Speaker 2 (10:21):
C'est toute l'histoire du pays. J'ai lu plein de choses dessus.
L'histoire du pays est très, très différente des autres pays
d'Amérique du Sud. où il y avait un certain choix
volontaire
Speaker 3 (10:33):
J'adore comment tu as réfléchi aux mots rapidement.
Speaker 2 (10:38):
Parce que tu sais que les sélections de... Tu sais
que les sélections de foot... Tap, tap, clic, clic, clic. Non, non, non, non.
J'ai pété. Non, non, non. Non, c'est pas un rapport.
(10:59):
J'ouvrais un truc pour Amel. L'équipe nationale de foot, le hockey,
on ne va pas en parler parce que ce n'est
pas des pays nécessairement divers. Je n'apprends rien à personne.
L'équipe nationale de football, féminine, masculine, à tous les niveaux,
tous les différents âges, est un devrait être un reflet
(11:19):
de la société un peu. Maintenant, il y a des
choix beaucoup plus, il y a des sélections qui sont
beaucoup plus d'un côté ou de l'autre, dépendant de la société.
Je ne savais pas que
Speaker 3 (11:28):
l'Argentine était si peu diversifiée
Speaker 2 (11:32):
Comment dire? Je ne suis pas expert sociologique, sociodémographique. Je
me rappelle, j'avais lu, il y avait des choix politiques,
des choix d'immigration, des choix de... d'effacer une certaine population
qui était là . Parce que... Oui, parce que... Comment dire?
(12:00):
Je pense que c'était lié en partie d'un côté positif,
je pense, par rapport à l'esclavage. C'était géré différemment, ça
a été arrêté plus tôt. En partie, mais c'est la
mer du Sud. Ce qui se passe entre 1500 et 1800, c'est vague.
Mais c'est tout simplement la démographie du pays. Si, par exemple,
(12:24):
tu vas comparer... Pour toi, l'argentin, c'est en général quelqu'un
qui a des origines italiennes ou espagnoles, en général. Même
quand il s'appelle le joueur... Ou allemand. C'est Ă gauche, oui.
C'est Ă gauche. c'est quoi le lien entre 1900 et 1955 les
(12:50):
choses sont arrivées mais non non non mais je me
rappelle qu'il y avait on résumait là puis j'ai pas
toutes les données c'est que quand t'as une minorité qui
est tellement petite en pourcentage ben ça passe très vite
dans le foot je te trouvais
Speaker 3 (13:07):
beaucoup plus Ă l'aise parler d'avant le crash
Speaker 2 (13:10):
d'avant le crash Regarde, par exemple, tu regardes l'équipe nationale,
l'équipe de football de France. Beaucoup de joueurs d'origine, ils
sont troisième génération, Afrique de l'Ouest, Afrique centrale, Afrique du Nord,
alors que ça ne reflète pas la proportion de la population.
Le Canada. Exactement, le Canada aussi. Donc, c'est plus par
rapport à des choix sportifs, des choix socio-démographiques, socio-économiques, etc.
(13:33):
Je ne veux pas rentrer dans le côté le football,
c'est l'élément qui libère... les populations d'une société qui sont
beaucoup plus démunies, qui ont utilisé le sport comme vecteur
de réussite, voir le bris, etc. Ça, c'est un peu buzzword, là ,
mais voilĂ . Mais disons, je pense que si tu vas
en Argentine... Mais comment s'appelle le joueur, lĂ ? Tevez, Carlos Tevez. Lui,
(13:56):
il l'appelait un peu... Parce que lui, je pense qu'il
y avait des... Il l'appelait l'Indien
Speaker 3 (14:09):
ou l'Indiano. Non, c'est vrai. Il l'appelait
Speaker 2 (14:11):
Oh, God. Ça, c'est toutes les bonnes choses. Il l'appelait
Speaker 3 (14:15):
l'Apache.
Speaker 2 (14:17):
Avant de partir le jingle, je vais te
Speaker 3 (14:18):
poser une question
Parce que c'est en mode préparation. Le jingle, ça sert
un peu à la préparation de l'émission. As-tu vu le
match du Canada cette semaine
Speaker 2 (14:27):
Contre l'Équateur? Au Venezuela. Un peu des deux, pas en entier,
un peu des deux. Il faut parler de l'arbitre, le
carton rouge, il faut arrĂŞter. Ah oui, un message Ă
Cid Cicero, avec sa logique Ă Cid de Sportsnet, je
ne sais pas oĂą il est maintenant. Il a pris
le carton rouge d'Ali Ahmed, il dit que tu reçois
un carton rouge Ă partir de maintenant, tu n'es pas
(14:47):
dans le secours de la Coupe du Monde. Donc on
enlève Ali Ahmed. Dès que tu as un carton rouge,
il t'étonne. Attends, tu n'as pas vu ce tweet? Ok,
on va en parler maintenant. C'est vraiment ton cousin, mais
qui est vraiment
Speaker 3 (15:07):
lourd. C'est quelqu'un
Speaker 2 (15:08):
du
Speaker 3 (15:08):
continent,
Speaker 2 (15:11):
celui-lĂ . Ah, j'imagine. Non
Speaker 3 (15:13):
on n'est pas des travailleurs. J'ai aucune idée d'où
Speaker 2 (15:16):
il vient. Il vient de Toronto, c'est un problème. Dans
ce cas, son tweet est vraiment marrant. Donc, lui,
Speaker 3 (15:23):
il disait en gros que... Si tu reçois un
Speaker 2 (15:25):
carton rouge
À partir de maintenant, tu reçois un carton rouge. Voilà .
New rule. The next attacking player to get sent off
for Canada in the first half loses the walk-up roster spot.
Speaker 5 (15:36):
I'll
Speaker 2 (15:37):
take that from a defender trying to make a play.
I will not from a winger or a striker 60 meters
from their own goal. Jesse March needs to clean this up.
Au début, il blaguait. Mais quand il finit à la fin,
Jesse March clean this up, je dis merde. Donc Ali
Ahmed et Ismail Kone, allez hop. Comme du monde, c'est
fini pour vous. Non, mais c'est marrant. Eh, quand mĂŞme, 103 000 d'engagement,
(15:59):
ça marche. Moi aussi, je peux avoir un 103 000 d'engagement. Il
faut juste écrire quelque chose de... C'est cool. Bon, on
a trop parlé de foot, donc il faut passer au jingle.
Let's go. Eh, si vous voulez, l'expertise sociodémographique, Nathan et Sofiane.
Speaker 3 (16:13):
On est lĂ .
Speaker 2 (16:14):
On est lĂ
Speaker 3 (16:16):
Après, on va parler de la bulle d'intelligence artificielle la
semaine prochaine. Est-ce que tu penses qu'on reviendrait, Kim, Lévesque, Lisotte,
pour parler un peu? C'est une personnalité A au Québec.
Je ne pense pas que ça peut arriver. Il faut
descendre plus bas
Speaker 2 (16:31):
Si on lui fait une promesse de faire un podcast
sur un autre sujet, avoir des sponsors et tout ça,
peut-être que ça marcherait. All right, je rigole. Je vais t'expliquer.
Ils ne sont pas au niveau, les arbitres. Vous écoutez Couscous. Piri-piri.
Speaker 5 (17:10):
Je pense que les chumettons-poudres de
Speaker 3 (17:12):
Real Madrid ne feront pas les séries pour le nouveau
repos mondial.
Speaker 2 (17:22):
Bienvenue à Coups-Fous-Piré-Piré, épisode 152, moi c'est Sophia, lui c'est Milton
et un autre fan dans notre groupe DM préféré, dans
notre top 3 groupes DM préférés. Désolé le son, il ne
sera pas au rendez-vous
Speaker 3 (17:34):
On vient de descendre, la seule qualité qu'on avait versus
les
Speaker 2 (17:37):
autres. C'était le son
Speaker 3 (17:38):
Il
Speaker 2 (17:39):
reste
Speaker 3 (17:39):
encore la préparation?
Speaker 2 (17:41):
On est plus préparé. Donc voilà , Nilton, moi, le bon son.
Donc voilà , épisode 152, qu'est-ce qu'on va parler? De quoi va-t-on parler?
On va parler, ben, bon, on finit sur le CR Montréal.
David Souvry, il est en Belgique
Speaker 3 (17:58):
C'est, j'imagine qu'il y a peut-être un peu d'Olivier Renard derrière,
pour lui faire une petite lettre de référence. C'est possible.
Il y en a aussi, il y en a aussi.
C'est possible. C'est un peu surprenant qu'il quitte Montréal, MLS,
pour aller dans un club de deuxième niveau, on s'entend,
(18:20):
en Belgique. Mais on le sait pourquoi
Speaker 2 (18:25):
Car
Speaker 3 (18:28):
Vas-y, vas-y, vas-y
Speaker 2 (18:29):
La raison, c'est qu'on lui a offert d'ĂŞtre un assistant...
de baisser d'échelon en termes d'assistant. Il ne serait plus
l'assistant principal au bras droit de Donald
Speaker 3 (18:40):
Quoi, je vais être préparateur maintenant? C'est moi qui place
juste les comptes? Je ne suis plus adjoint? OK, bye
Speaker 2 (18:44):
Juste comme ça. Son rôle a été changé comme une démotion.
C'est ce qu'on a compris. Et puis, ça a fait
qu'il est parti. Est-ce que ça va arriver quand il arrive,
son départ, qu'il soit resté comme assistant principal, je ne
sais pas comment on l'appelle là , mais il aurait été
au même niveau qu'il était depuis qu'il est arrivé au club.
Peut-être qu'il n'aurait quitté pas la Belgique dans tous les cas,
(19:05):
mais c'est ce qu'on avait entendu
Speaker 3 (19:11):
Avec tout ça, il doit quand même un peu regretter,
avec l'histoire d'Ottawa l'année passée où il y avait un
intérêt du côté d'Atletico. Je pense
Speaker 2 (19:19):
qu'au-delĂ , ils sont contents d'en faire leur choix
Speaker 3 (19:22):
Après coup, on ne peut pas refaire l'histoire, mais c'est
sûr que l'histoire finit bien. Moi, ça va être intéressant
de voir la progression de David là -bas. Ce que ça
implique du côté montréalais, c'est que déjà , l'assistant venu d'Italie
n'était pas resté très longtemps avec Marco. Mais il n'est
(19:44):
pas revenu? Pas super clair.
Speaker 2 (19:47):
Ça, c'est pas clair. Attends, mais il n'y a pas
un gars qui est venu qui faisait aussi de l'analyse
vidéo aussi
Speaker 3 (19:53):
Oui, c'était lui qui était venu et parti rapidement avec...
La communication, c'est qu'il y avait un truc familial, mais
ça n'a jamais été clair s'il était revenu. Ça, on
ne l'a pas trop, trop, trop, trop suivi. Donc, ça,
il va falloir mettre ça au clair.
Speaker 2 (20:07):
Allons voir dans la liste du club tout de suite,
en direct, pour être sûr. Parce que moi, j'ai oublié
son nom. Je confonds aussi avec l'assistant de Losada, Jean-Yves Puyol,
pauvre gars. Je suis vraiment loin. Ce n'était pas Lorenzo
Pinzotti
Speaker 3 (20:21):
Qui est arrivé en cours de saison? Oui. Oui, c'est ça. Lui,
vers le mois d'août, il était reparti aussi vite, là .
Speaker 2 (20:29):
Oui, Lorenzo Pinzotti, footballeur. Je ne sais pas ce qu'il fait,
il est arrivé au mois de mai, mais je ne
sais pas ce qu'il... C'était quoi son rôle? En plus,
il faisait d'autres choses. En tout cas, il était nommé
en mĂŞme temps que Maxime Lecomte.
Speaker 3 (20:46):
Oui, donc lĂ , on est loin du staff Ligue des champions.
Il faut trouver au moins un ou deux personnes pour
compléter le tout. Analyse vidéo, Luan qui s'en occupait, il
va falloir trouver
Speaker 2 (20:55):
quelqu'un d'autre. C'est pourquoi j'ai pensé à Lorenzo Pinzotti, parce
que lui était analyste technique avec Ancona en série C.
C'est l'analyse des matchs. Je me rappelle de se communiquer,
donc c'est peut-ĂŞtre lui qui remplace Luan. Oui
Speaker 3 (21:09):
peut-ĂŞtre, peut-ĂŞtre. Puis, j'imagine qu'il va y avoir encore un
peu plus de Pat Bologne qui va venir ici. Si
ils l'ont fait avec les entraîneurs des gardiens, ils peuvent
aussi faire pour le staff régulier. On devrait avoir des annonces.
On doit s'attendre Ă un
Speaker 2 (21:24):
staff très, très italien, italophone.
Speaker 3 (21:29):
Ils vont avoir du carton jaune, lĂ , sur le banc.
En espérant qu'ils n'utilisent pas les arguments de Gattuso. T'as
aimé les arguments de Gattuso? Il dit
Speaker 2 (21:42):
n'importe quoi. En plus, tu vois, tu vois sa face,
on dirait qu'il est tout en sous. You look
Speaker 4 (21:51):
drunk
Speaker 3 (21:53):
all the time, bro. Il a tout ton air. Comme
on dit en portugais dans leur petit café du matin,
il y a un petit shitting, lĂ . Un petit truc
pour roster le café au début du matin. Calendrier. Le
nouveau calendrier est sorti pour la saison 2026 avec des odeurs
(22:13):
de calendrier européen. Avec le break en plein milieu, ça
va donner déjà un petit peu de goût. On
Speaker 2 (22:23):
aurait une belle simulation, hein?
Speaker 3 (22:25):
Rien de mieux qu'une 9-6.« I don't always test, but
when I test …» Mais tu
Speaker 2 (22:29):
sais ce que j'avais jamais compris? J'avais compris la saison 2027.
Il y a deux saisons ou juste une saison accélérée.
C'est un autre truc
Speaker 3 (22:37):
Mais lĂ , avec le break de la Coupe du monde
je ne me souviens pas de la dernière fois qu'on
a joué un match en novembre. Parce
Speaker 2 (22:49):
que là , il va y en avoir un. C'était au
Stade Olympique en Toronto, je pense.
Speaker 3 (22:52):
Oui, donc c'est la première fois qu'on va jouer un
match en novembre
Speaker 2 (22:57):
au
Speaker 3 (22:57):
Casablanca d'année
Speaker 2 (22:58):
prochaine. De saison régulière, n'est-ce pas? En plus, en plus.
Parce que là , la MLS recommence le 21-22 février 2026. Clairement,
dans la MLS, ils me disent quand est-ce que Miami
joue son premier match Ă la maison dans son nouveau stade. Merci, 4 avril.
Good to know, no one cared except for Miami. La
post-Coupe du Monde du 25 mai au 16 juillet. Son luttre, il
(23:21):
aurait été vide pendant deux mois. Il aurait pu être
utilisé par d'autres clubs ou d'autres sélections. La MLS revient
le 16-17 juillet, juste après la Coupe du Monde. Ensuite,
la DCGD le 7 novembre. Et puis, les Syriens ont assuré
que les Syriens s'étaient nus. Ils avaient dit qu'ils avaient
commencé les Syriens après la pause internationale pour faire un
accéléré jusqu'en novembre,
Speaker 3 (23:41):
je crois. LĂ , ce qui est particulier, c'est qu'au mois d'octobre,
il y a cinq matchs, dont deux Ă domicile. Mais
les deux dernières dates d'octobre, le 28 et 31, on va manquer l'Halloween.
Le 28 et 31, c'est à l'extérieur et le 7 novembre, c'est à Montréal.
(24:03):
J'aurais inversé un petit peu ce moment-là , mais bon, ça
va ĂŞtre un test, comme on dit, un test en
prod pour voir si le stade et leur tuyau ne
gèlent pas. Samedi 7 novembre à 16h. C'est ça. Donc, I guess...
qu'ils ont voulu faire un vrai, vrai test de comportement,
autant infrastructure que du marché, comment se comporte le marché
(24:28):
montréalais un samedi à 4 heures d'après-midi au mois de novembre.
Ça va être le vrai, vrai, vrai test. Puis finalement,
le calendrier de l'année prochaine, c'est à peu de choses
près le calendrier qu'on va avoir à partir de l'année
d'après parce que le dernier match à Montréal, Le dernier
(24:48):
match à Montréal, c'est le 16 mai. Mais le dernier match
de la MLS impliquant Montréal, c'est le 23 mai. Donc, c'est
comme si Montréal se
Speaker 2 (24:56):
rendait
Speaker 3 (24:56):
en finale. Il y a le mois de juin au
complet qui est off. Et on repart Ă la mi-juillet.
C'est exactement le calendrier, le nouveau format de la MLS. Exact.
Qu'est-ce que tu penses que Montréal... Pourquoi je vais là , man?
Speaker 2 (25:17):
Vas-y, vas-y, lâche-toi
Speaker 3 (25:20):
Penses-tu que la nouvelle administration municipale pourrait tout d'un coup
changer des décisions prises par l'administration précédente, puis avec des nouvelles,
peut-être pas avec des sélections tiers 1, comme on aurait dû avoir,
(25:42):
comme Pays-Bas, l'Angleterre et la France. Mais lĂ , avec les
nouvelles équipes qui se qualifient, dont un qui est un no-brainer,
puis on peut aller aussi avec d'autres, comme le Maroc
et l'Algérie, mais avec une sélection comme Haïti qui se
qualifie est-ce qu'on pourrait tout d'un coup avoir le camp
d'Haïti à Montréal? Puis, à toute petite échelle, une sélection
(26:04):
qui n'est pas censée avoir un gros reach, on va
se rendre compte que finalement, même avec une sélection haïtienne,
avec le background et l'héritage haïtien à Montréal, on va
se rendre compte qu'on est tellement passĂ© Ă
Speaker 2 (26:15):
côté du produit grand party en ville
Speaker 3 (26:16):
Mais c'est comme, comment dire,
Speaker 2 (26:17):
c'est comme ça qu'il y a un match contre une
équipe sud-américaine centrale à Toronto. Il y a beaucoup d'Écotariens,
il y a beaucoup de Vénézuéliens, ouais, parce que Les
gens viennent partout du Canada, ça bouge vite, puis des États-Unis.
Mais est-ce que la plus grande diaspora haĂŻtienne, en dehors
de la République dominicaine, évidemment? Ils vont avoir quand
Speaker 3 (26:40):
même une bonne représentation à New York.
Speaker 2 (26:43):
New York, en Floride, évidemment. Énorme en Floride. Ça, c'est sûr.
Je pense qu'ils sont 1,2 million, il y a quelques années,
d'haïtiens américains. Donc, beaucoup en Floride du Sud. Sinon, c'est
un peu comme les Portugais, genre East Coast, New York, Boston, Philly, etc.
Mais à Montréal, je pense qu'on est 100 000 haïtiens, d'origine haïtienne,
(27:06):
je pense.
Speaker 3 (27:08):
L'histoire haïtienne au Québec, particulièrement à Montréal, c'est huge, huge, huge.
C'est pas une belle fenĂŞtre qui vient de s'ouvrir lĂ ?
Oui
Speaker 2 (27:16):
surtout que... Il y a
Speaker 3 (27:16):
la sélection tout d'un coup, c'est quand même une surprise.
Elle se qualifie, c'est historique, la première fois depuis 50 ans.
Tu as une nouvelle administration, tu peux peut-être débloquer des
trucs puis ils vont se rendre compte que les coûts,
c'est pas tant que ça. Puis peut-être que pour la
sélection haïtienne, ils vont... Tout le volet sécurité, c'est peut-être
(27:41):
moins exigeant que protéger un Mbappé, que protéger
Speaker 2 (27:47):
Mais
Speaker 3 (27:49):
J'allais dire, tout d'un coup, Guboglu va ĂŞtre lĂ
Speaker 2 (27:53):
Ça serait extraordinaire. Guboglu serait fou, ça. Mais... Au moins,
ils ont apparu dans le mainstream. Patrick Lagacé, Pat Lagacé,
the man, avait par hasard donné la freinière le lendemain
de la qualification. Ou quelques jours après. Il a posé
la question.
Speaker 3 (28:11):
OK, donc, correction. Il n'en a pas parlé. Il a entendu.
Il
Speaker 2 (28:15):
s'est
Speaker 3 (28:16):
fait parler de
Speaker 2 (28:17):
Je ne sais pas. Je ne suis pas dans son
équipe de recherche. Mais je suis d'accord. Et puis, on
en parle. Est-ce que c'est une ouverture pour avoir un
camp Ă HaĂŻti? Maintenant, HaĂŻti...
Speaker 3 (28:29):
On a un mois et demi d'installation montréalaise inoccupée.
Speaker 2 (28:33):
Oui, mais aussi la compétition. D'autres sélections vont dire, nous,
on va prendre New York, New Jersey, tout ça. À été,
ils vont peut-ĂŞtre vouloir ĂŞtre Ă New York ou Ă Boston.
Les autres sélections vont avoir une priorité. Oui,
Speaker 3 (28:43):
mais probablement
ces grandes villes-là , eux autres, ils ont déjà leur grande sélection.
Oui
oui. Si on profite de la fenêtre d'opportunité, puis qu'on
est intelligent, puis que cette fois-ci, on contacte Tourisme Montréal,
et là , on rentre ça dans les budgets de Tourisme Montréal,
(29:03):
puis lĂ , on dit qu'en effet... Comme tu as dit,
il pourrait y avoir tout d'un coup en Amérique du Nord, beaucoup,
beaucoup de touristes haĂŻtiens
Speaker 2 (29:12):
qui reviennent à Montréal pour voir. Toute la sélection haïtienne
prend le REM. Ils vont en deux montagnes, ils vont
jusqu'Ă Brossard
Speaker 3 (29:20):
Et là , on joue contre Algérie, Maroc. Who knows, Portugal.
Peu importe. Ça peut être une fête finalement. Et pour
l'administration municipale, ça peut être un beau jam pour la
Speaker 2 (29:35):
précédente
Speaker 3 (29:36):
Pour dire, regardez ce qu'on vient de manquer.
Speaker 2 (29:38):
Tout ce qui est rué à la Côte d'Ivoire en 1926,
jamais cette ville n'a eu autant de chances de rédemption.
À un moment, c'est abusé. Tu as plus de chances
de gagner Ă la roulette. Tu as raison.
Speaker 3 (29:50):
Oui, oui, c'est un excellent point. C'est encore une autre fois.
Encore
Speaker 2 (29:53):
une autre chance. Encore et encore et encore. La MLS
te fait un contact avec les Pays-Bas, l'Angleterre et la France.
Et le gars qui a vu la vidéo il y
a quelques semaines dit« Oh, on n'investit pas, pas plus,
pas moins, je ne sais pas ce qu'il a dit.»
En tout cas, tu as une mairesse comme Soraya, comme
Soraya Fernandez, qui est en mode, oui, on aurait été
(30:15):
ouvert à ça. Maintenant, c'est la discrétion. Puis ensuite, tu
as la vraie politique. Est-ce qu'on va mettre de l'argent,
même si c'est 500 000 $ sur ça, alors qu'on a besoin de,
je ne sais pas moi, d'une nouvelle route, d'un nouveau trottoir?
Dès
Speaker 3 (30:28):
qu'on dit que, alors que, j'arrête d'écouter.
Speaker 2 (30:32):
Parce
Speaker 3 (30:32):
que moi, on m'a promis quand les expos partaient qu'il
n'y aurait plus de problème avec les écoles et les hôpitaux.
C'est ce qu'on m'avait dit. Ah ouais? Mais ça, j'ai
hâte de voir parce qu'il faut se décider rapidement. Cette semaine,
il y a cette opportunité-là qui s'est ouverte. Je
Speaker 2 (30:48):
pense que
Speaker 3 (30:48):
le club
Speaker 2 (30:49):
doit... Est-ce que la
Speaker 3 (30:50):
FIFA va le permettre? Est-ce que la FIFA va le permettre?
Qu'est-ce que tu veux dire? Ce
Speaker 2 (30:53):
n'est pas la
Speaker 3 (30:54):
FIFA qui décide s'ils s'installent ici.
Speaker 2 (30:56):
Non, non, mais vous avez des matchs... non mais c'est
la FIFA qui qui aide à gérer avec le avec
les sélections ah vous avez vous avez passé la date
d'être éligible nous on a 15 sites un client chatanuga et
l'autre qui est en Boston
Speaker 3 (31:08):
aucune idée
Speaker 2 (31:12):
des chats lĂ dans pas longtemps oui oui non c'est
vrai parce que mais ok et c'est ça qui est
frustrant du temps parce que excuse-moi je sais pas qui
était hier là l'événement de soccer Ah, t'as chaud. C'est
encore la queue où t'as chaud, c'est ça? Oui. Je
ne peux pas plus y ĂŞtre, malheureusement. J'ai montrĂ© Ă
(31:33):
Patrice Barnier et Ă plein d'autres gens, lĂ , etc., qui
ont dû être présents, qui ne sont pas vraiment été présents,
mais c'est juste que c'est... En disant cette superbe phrase,
je me suis frustré au même, j'en dis, une autre,
une énième chance de rédomption, de te... Faire partie de
la fĂŞte, du moins juste avoir le prestige d'avoir une
sélection de Coupe du Monde, même si c'est de l'endurance,
que personne ne peut nommer un ou deux joueurs, ils
(31:55):
ne sont pas lĂ , ou le Costa Rica, etc. Tu
te dis, mais ça aurait été bien à un moment
donné d'avoir une certaine... Faire partie de ce prestige-là , ce
qu'on appelle le prestige au Québec. Le Québec, c'est très...
Tu m'as expliqué rapidement, on s'est connu qu'il y a
une certaine starification au Québec. C'est la star, c'est le prestige,
c'est le VIP. C'est différent ailleurs? Non, non, non, mais
c'est tellement un microcosme francophone dans l'Amérique du Nord que
(32:17):
je trouve ça un peu... Il y a une starification
qui est en dédain envers d'autres types de cultures ou
de sports, etc. À part le canadien, le sport n'est
pas très intéressant, n'est pas très vu au Québec. Même
s'il y a des belles performances, peut-être la québécoise, il
y a tout le temps un dédain, une sorte d'élitisme bizarre.
(32:38):
Je le vois dans différents médias quand ils parlent de sport.
Mais cette raison-lĂ me frustre, cette chose de raison me
frustre si elle est possible. Mais en mĂŞme temps, je
me demande s'ils vont trouver des excuses pour justifier. Dans
tous les cas, ils vont tous passer par nos aéroports
Ă un moment donnĂ©. On va laisser des licences Ă
différents pubs et grands bars connus à Montréal de faire
des fanfests. Peut-être FIFA va organiser un fanfest licencié par
(33:03):
FIFA pour qu'on ait une sorte de party town pour
voir des matchs, etc., du visionnement. Donc, il se peut
qu'il y ait des recours pour pouvoir justifier de ne
pas devoir payer 500 000 Ă 1 million de dollars pour... accueillir une
sélection nationale, que ce soit de l'Algérie à l'Haïti, Maroc, etc. Bon,
c'est vraiment délicat. Et c'est dommage. C'est une frustration double
(33:24):
parce qu'on a vu qu'Haïti se qualifie. Ah, Montréal, c'est
notre vie. Encore une fois, on pense Ă ... Et c'est
pourquoi on a...
Speaker 3 (33:35):
Oui, mais on va s'habituer, on va vivre ça dans
les
Speaker 2 (33:38):
prochaines mois, ça va être ça. Mais je suis d'accord
avec toi. En termes de Montréalais, Québécois, Canadiens et du
monde aussi. Quand je vois ça, je me dis... C'est
pourquoi on est frustrés depuis un bout par rapport à ...
Du moment qu'on a su que Montréal, que le provincial
s'est désisté d'avoir des matchs ici pour, du moins, donner
(33:58):
son support financier pour avoir des matchs à Montréal, du coup,
du monde... Excusez-moi. un certain sentiment d'insulte c'est qu'on est
frustré par rapport à ça je les comprends rapidement et
je pense que je pense pas que je l'a exprimé
ici c'est que je me sens insulté tu insultes le
sport que j'aime donc tu m'insultes moi parce que j'aime
ce sport à la limite je peux comprendre économiquement mais
(34:19):
après tu insultes des cultures différentes qui font la diversité
de cette ville cette province pour ensuite célébrer cette même
diversité que tu as craché dessus entre guillemets ou que
tu as rabaissé un peu en mettant en balayer ensemble
du revers de la main.
Speaker 3 (34:34):
Justement, il y a une méga opportunité parce que tu
te souviens quand j'avais dit, imagine si c'était la Coupe
du monde féminine, je pense qu'on aurait réagi différemment parce
que ça passe mieux. C'est pas pour dire les femmes
sont mieux traitées que
Speaker 2 (34:48):
les hommes, c'est pas
Speaker 3 (34:49):
ça. C'est la force de l'argumentaire pour une administration publique
Ils ont besoin d'arguments forts pour pouvoir vendre le projet
au
Speaker 2 (34:59):
public, aux
Speaker 3 (35:00):
électeurs. Puis là , ce qu'on est en train de dire
avec la Coupe du monde masculin, le fait qu'on aurait
pu accueillir la France, les Pays-Bas ou l'Angleterre, c'est qu'on
va prendre de l'argent public pour des millionnaires. C'est pas
pour ça, mais c'est le... Je peux comprendre. C'est la
démarche intellectuelle que les gens vont faire. Tandis que si
on fait pour la Coupe du monde fĂ©minine, cette dĂ©marche-lĂ
(35:22):
prend un peu le bord et on comprend un peu
mieux Pourquoi on le fait? Pour encourager le sport féminin.
Il
Speaker 2 (35:30):
y a besoin d'encouragement, il y a besoin du support financier.
Et
Speaker 3 (35:33):
qui font moins d'argent que les hommes, donc c'est correct.
Et là , quand on arrive avec cette fenêtre d'opportunité où,
tu sais, c'est des joueurs professionnels, ils jouent partout, ces joueurs,
mais ce n'est pas les top stars. Mais, tout d'un coup,
on fait, OK, Montréal, ville diversifiée, héritage haïtien. Tout d'un coup,
on est capable d'argumenter, de présenter Et de justifier l'utilisation
(35:58):
d'un budget public pour?
Speaker 2 (36:00):
S'il y a une sélection, tu as à choisir entre
une sélection des Antilles, des Caraïbes, une sélection maghrébine, une
sélection européenne. Si tu avais dû choisir une, tu étais
obligé d'en choisir une. Maman, j'aurais dit, vas-y pour Haïti.
Speaker 3 (36:12):
au
Speaker 2 (36:12):
lieu de la France et de l'Angleterre. Tu auras une relation. Non, non,
mais je le dis maintenant parce que c'est facile. Non, non,
mais je réponds à tes arguments. Oui, je ne
Speaker 3 (36:23):
sais pas si c'est mieux d'investir le mĂŞme montant pour
accueillir la France que pour accueillir Haïti, Maroc, Algérie, sans
manquer de respect
On parle ici d'une sélection pas tiers 1, mais c'est top 1.
les effets de la France, ça va inégaler par rapport
Speaker 2 (36:46):
au niveau
Speaker 3 (36:46):
comptable.
Speaker 2 (36:48):
Ça, c'est ce côté bling-bling star par rapport à la visibilité.
Mais moi, elle n'a pas besoin de sa visibilité là , honnêtement.
Elle n'a pas besoin. Ça,
Speaker 3 (36:57):
je suis moyen d'accord avec toi, mais
Speaker 2 (37:00):
vas-y. Je répète, je réitère. Elle n'en dépend pas. Elle
se dit, si on ne l'a pas, ce n'est pas
la fin du monde, ça ne va pas bloquer notre
évolution touristique. Mais,
Speaker 3 (37:09):
Mais en mĂŞme temps, avoir ces vedettes-lĂ , des meilleurs joueurs
au monde dans ta ville, tu réitères le fait que Montréal,
c'est une premium.
Speaker 2 (37:21):
Oui. Ce que
Speaker 3 (37:22):
tu n'as pas avec les autres élections.
Speaker 2 (37:24):
Oui. Ton hypothèse, l'hypothèse que tu... Comment dire? Ce que
tu assumes, par rapport à ta hypothèse, et c'est une
bonne hypothèse, c'est qu'il y aurait une couverture conséquente pour
faire la promotion et pas juste un Cameracoup de Tourisme
Montréal qui va faire des Instagram chats et des shorts vidéo.
(37:47):
En
Speaker 3 (37:47):
termes de qualité, ça reste à voir, mais en termes
de quantité, il va l'avoir
Speaker 2 (37:51):
Mais je pense que tu assumes, je trouve que c'est oui,
mais est-ce que ça aura l'impact que tu recharges, je
ne sais pas. Ok, assumons que oui. Mais moi, le côté...
pour convaincre la ville de Montréal et le Québec et
la province du Québec par rapport à ce que tu
avais dit, moi, le côté culturel, racines, Haïti, vraiment, c'est
assez clair. Tu vois l'impact, l'impact qu'a eu, lĂ , le...
(38:12):
Comment ça s'appelle, là ? Je ne sais pas c'est quel sport, ça.
Tu sais, l'équipe où ils jouent dedans, l'équipe Haïti, Andy
Maipressoir et Georges Larac, c'est quoi? C'est du roller. Ah,
du deck hockey, là ? Oui, le deck hockey, l'équipe Haïti, là , qui...
Speaker 3 (38:27):
Oui, oui. C'était du deck, je pense. Peut-être que non, là .
Avec FNRFL?
Speaker 2 (38:33):
Oui, oui, attends. C'est en 2015 qu'ils ont commencé. Le Dakoké, voilà ,
le Dakoké. Tu sais, il y a comme une visibilité intéressante.
Il y a un côté star. Andy Maipressoir, très connu.
Georges Larac, très, très connu. Kevin Raphael aussi. Et d'autres.
Je pense que Bruno Serra a été impliqué dans le PIA.
Je ne me rappelle plus où il avait joué. En
tout cas, Bruno Serra a Ă©tĂ© impliquĂ© dans ce groupe-lĂ
parce que c'est une petite famille de gens qui se
(38:55):
connaissent dans ce monde-là . Et puis, juste l'impact de ça,
je trouve ça intéressant. Et imagine que tu extrapoles ça
au niveau... Fout Fout, Haïti, Montréal, tu vois, tous les
Haïtiens qui sont passés par l'impact de Montréal, je pense
que je vous ai redit Dolis 4, bon, c'est fait, tu
peux avoir des liens, des liens politico-culturels avec le pays,
(39:19):
en ce moment, Haïti, ça ne va pas très bien
depuis un bout, on peut le dire depuis toujours, par
rapport à leurs conditions de libération, d'indépendance, mais voilà , mais
c'est ça, ce n'est pas tangible, Mais le côté culture, racines,
intégration et juste échange culturel serait magnifique
Speaker 3 (39:38):
Je suis peut-ĂŞtre naĂŻf, mais je pense qu'on a une
belle fenêtre devant nous. Je regardais, c'est zéro sportif mon commentaire,
mais je regardais les reportages suite Ă l'agrandissement de la
ligne du REM, qu'on est passé à quatre stations, on
se rend jusqu'en deux montagnes. J'entendais beaucoup de personnalités politiques
(39:59):
dire qu'il fallait profiter que ce projet-là démontre notre capacité
au Québec d'enfin réaliser des projets
Speaker 2 (40:10):
Des grands projets.
Speaker 3 (40:11):
Oui, oui, ça coûte cher. Oui, il faut sortir des milliards,
mais on est capable de faire des trucs qui ont
un peu plus de sens. Éventuellement, il faut que ça
déborde dans toutes les sphères de la société, là . Je
pense que le sport, à un moment donné, a été tellement,
tellement négligé qu'éventuellement, il faut... C'est peut-être pas un gros boom,
(40:34):
un gros splash, mais si on... Des petites actions Ă gauche,
Ă droite, puis celle-lĂ , c'est mĂŞme pas une petite action.
Je trouve que c'est quand mĂŞme
Speaker 2 (40:43):
assez gros
Speaker 3 (40:46):
On pourrait bâtir à partir de ça. C'est parce que
si on arrive avec finalement une nouvelle administration qui décide
d'utiliser l'ouverture puis l'écœurantite un peu pour proposer quelque chose
de fun pour le volet sportif, puis que deux ans
plus tard, on redécouvre le stade olympique, puis on fait, OK,
(41:09):
quand même, là , OK, on peut donner une deuxième chance,
puis OK, le stade commence Ă faire du sens, puis oui,
on va le retrouver, oui, on commence à faire des événements,
puis on rajoute, on rajoute, on rajoute des éléments comme ça.
Il faut faire un... Il faut provoquer le premier... La
première tempête pour faire une boule de neige, man. Parce
(41:30):
que là , il en faut une. Parce qu'on a tombé
sur une méga déprime après le documentaire Netflix où on
s'est rendu compte qu'on a un méchant traumatisme depuis 30 ans.
Puis qu'on n'avance pas, man. Puis qu'on n'avance pas. Puis
que c'est pas parce que c'est pas notre intérêt sportif précisément,
(41:52):
que c'est pas notre sport, que c'est... que ça va nuire.
Si on finit par réussir dans tel sport, dans telle activité,
dans tel championnat, si toi, ton intérêt éventuel, c'est on
va refaire l'image de Marc de la province, si quelqu'un
qui hésitait et qui décide éventuellement de relancer le projet
(42:15):
Nordic de Québec, ça va être grâce à toutes ces
petites actions-là qui démontrent que oui, on est capable. Tu sais,
La CPL, ça a été long, mais ça a été
des gens qui ont décidé eux-mêmes d'y aller à fond.
Qui ont profité de la vague de Saint-Laurent, qui ont
profité de l'équipe canadienne, féminine ensuite, masculine, qui ont profité
(42:38):
de la Coupe du monde, puis qui ont profité que
les Québécois ont commencé à être exportés ailleurs, puis qu'on
a Jonathan David... qui était couru par toutes les clubs,
qui finit Ă la juve, puis qu'on a connu, qui
a fait avec sa fameuse vidéo de l'autobus de Montréal.
Tous ces éléments-là , il faut que ça aboutisse à quelque
(42:58):
chose d'encore mieux Ă chaque fois. Tout Ă fait. Je
suis peut-ĂŞtre
Speaker 2 (43:02):
naĂŻf,
Speaker 3 (43:03):
Vas-y, tu le tout de suite. Ma balloune a grossi
Speaker 2 (43:08):
Ça tripe par rapport. Pour que les commentaires ne se
fâchent pas, Nathan sait que Jean-David n'est pas québécois. Il
parle de sa francophonie. Et puis, c'est Bombito avec le
bus et pas Connay
Speaker 3 (43:17):
J'ai dit Connay avec le bus. Mais David a dit
qu'il était plus Montréal que Toronto.
Speaker 2 (43:22):
Oui, c'est David. Je
Speaker 3 (43:24):
suis sûr qu'il sortait plus souvent à Montréal.
Speaker 2 (43:27):
Ottawa, c'est plus proche. Montréal, c'est mieux. Est-ce que tu
penses qu'en ce moment, qu'est-ce que tu penses qui se passe?
Tu penses que le club CF Montréal, je ne sais
même pas si c'est Gabriel Gervais qui gère ça, parce
qu'ils ont relancé la ville. Option 1, option 2, est-ce que la ville,
(43:52):
s'il est toute seule, on devrait relancer ce projet-lĂ ? Ou
ils sont trop occupés en transition d'une nouvelle
Speaker 3 (43:59):
On pourrait faire un coup de téléphone live, puis l'enregistrer,
puis lui demander. Mais à la lueur de la conférence
de presse de Gabriel Gervais, qui n'a jamais autant parlé
de l'administration, puis de son implication dans l'Est de la ville,
(44:19):
Je pense que rapidement, ils se sont... Mais encore lĂ ,
ça va dépendre. Si toi, tu as eu un bon point,
peut-être que le point qui tue complètement mes espoirs dans l'œuvre,
c'est que, oui, toutes les villes sont déjà décidées, puis
c'est fini, bâtard. Mais mettons que ce n'est pas ça,
puis qu'ils se disent, dans telle ville, ça gosse, mais
(44:43):
je ne serais vraiment pas étonné qu'ils ont... qui sont,
qui ont déjà prévu quelque chose pour dire OK, what about?
Speaker 2 (44:53):
Parce que la conférence de presse de Gabriel Gervais, on
n'avait pas parlé à Glor parce qu'elle n'avait pas vu,
puis on voulait l'avoir, donc on n'Ă©tait pas prĂŞts Ă
analyser ça. Mais il parlait, je ne sais pas s'il
avait mentionné lui-même ou si c'était pour prendre une question,
une deuxième question. La fameuse bulle au centre du trivée,
j'ai l'impression que c'est déjà acté. C'est une question de
budget et de juste trouver les
(45:15):
Je pense qu'il y a aussi
Speaker 3 (45:15):
un volet technique, parce que les
Speaker 2 (45:17):
conversations que j'avais
Speaker 3 (45:18):
entendues, c'est que la façon que c'était... Au niveau logistique
et technique, il y avait un problème. Il y avait
un problème pour mettre une bulle. Pas au niveau légal
et réglementaire. Au niveau
Speaker 4 (45:31):
timing
Speaker 2 (45:32):
C'était plus, OK, si on veut faire
Speaker 3 (45:33):
une bulle là , cet endroit-là doit être déplacé, tout ça. Donc,
ça demande des... Il
Speaker 2 (45:37):
faut refaire une petite refondation de
Speaker 3 (45:41):
l'utérin au fond. Mais il y a quelque chose qui
est important, vraiment, vraiment important, puis qu'on n'en parle pas
assez souvent. c'est que le club a embauché Paul Wilson. Ah,
(46:01):
le fameux Paul Wilson. Il est partout, lui. Il fait
du lobby. Il fait du lobby. Ça, c'est quelque chose,
dans les coulisses, sans faire de jeu de mots avec Max,
qui a une importance sous-évaluée pour le partisan.
Speaker 2 (46:16):
Ce n'est pas anodin, ça, c'est sûr. Tu entends son nom,
tu connais le milieu, tu dis« Ah!»
Speaker 3 (46:21):
Exact. Donc, si lui est embauché par le club pour
justement faire du démarchage au niveau des instances politiques, pas
seulement municipales, c'est impossible qu'il n'ait pas pensé à « oh, oh,
on a une fenêtre d'opportunité à ce moment-ci».
Speaker 2 (46:38):
Est-ce que tu penses que quelqu'un va écouter ça et
dire« Ah, bonne idée, je vais en parler à mes
collègues à la ville» ou à National, je ne sais
pas comment ça s'appelle la compagnie, National
Speaker 3 (46:46):
On n'est pas si intelligents que ça pour avoir le
monopole de cette idée-là .
Speaker 2 (46:50):
Non, pas le monopole. le fait qu'on en parle publiquement,
c'est différent. Tout le monde a besoin des mêmes idées
ou de le même ordre d'idées. Maintenant, en parler, essayer
de vulgariser.
Speaker 3 (47:03):
Peut-ĂŞtre
Speaker 2 (47:03):
que si
Speaker 3 (47:03):
on pense Ă RDI, oui, mais sur
Speaker 2 (47:06):
YouTube
T'imagines, moi, RDI, j'ai aucune chance. T'imagines RDI avec Gérald Fillon,
en économie. On a Gérald Fillon, Pierre-Yves Maxwin, Milton Jones,
Sven Bilhasa. Le foot, c'est bien. Et puis, il faudrait
de l'argent au football
Speaker 3 (47:26):
OK. Merci. Merci. Ça répond à ta question. On n'a
aucun effet lĂ -dedans
Speaker 2 (47:31):
Mais on peut inviter Gérard Fillon pour nous parler de
l'impact économique de ne pas avoir des matchs et avoir
des matchs et avoir une bulle et pas de bulle
et avoir une... avoir... T'as l'idée, hein? On aurait dit
Gérard Fignon.
Speaker 3 (47:44):
Moi, j'étais plus... Qui comprenait... Est-ce
Speaker 2 (47:47):
qu'on a un économiste? Un économiste universitaire? Du sport. Économie
du
Speaker 3 (47:52):
sport. Pas télé, là . Économiste du sport, ça pourrait être intéressant.
Ça pourrait nous faire de la peine pour ce qu'il
va nous dire, par contre.
Speaker 2 (47:59):
Il va
Speaker 3 (47:59):
peut-ĂŞtre tuer le projet plus que d'autres choses
Speaker 2 (48:03):
Et on va peu parler. Ce qui va dire plein
de choses intéressantes. À la
Speaker 3 (48:06):
fin, on va dire« Fuck, la ville a bien fait
de ne pas dépenser
C'est Ă double tranchant
Speaker 2 (48:14):
C'est comme beaucoup de médias ont été par la savant
pro-Coupe du Monde, Kevin Amorale, puis sous-allemand.« Ah, c'est bien,
la Coupe du Monde a beaucoup de petites actions, c'est bien,
c'est le fun.»
Speaker 3 (48:25):
Tu l'as élaboré ou
Speaker 2 (48:27):
Pas du tout. Regarde, ça va parce que j'ai pas
eu le temps de finaliser ma réflexion, ma pensée, donc
j'ai rien à dire au fond. J'ai raconté du caca
Speaker 3 (48:38):
C'est comme les gens qui disent, comme certains gens des
médias disent que c'est le fun quand même, ils ont
juste Ă mettre une petite laine pour aller voir un
match de novembre, mais dans le fond, eux autres, ils
sont dans des studios avec la vitre fermée.
Speaker 2 (48:51):
Eux, ils
Speaker 3 (48:51):
vont pas s'asseoir dehors. Ou dans des loges VIP. Les
matchs dans la pluie, c'est le fun, mais quand tu
reçois la pluie, c'est la tête. C'est
Speaker 2 (49:01):
moins le fun. Attends, l'Oréal du Cerf-Montréal, l'année prochaine, 2026, est-ce
que j'avais vu qu'ils avaient beaucoup de matchs l'après-midi en Montréal? Non,
ce n'était pas officiel. Non, c'est le soir encore. Oui. Ok.
Deuxième question. Le calendrier FIFA. Le calendrier MLS pour s'aligner
(49:24):
aux grandes ligues du monde, comme dirait Don Grabber. Moi,
je suis plus fan. Je suis plus vendu sur le
fait que tu vas aligner ça avec les dates FIFA.
pour ne pas avoir un match Nashville-Kansas City en mardi,
alors qu'il y a qu'un d'Algérie en match Amiga. Pourquoi
il y a un Nashville-Kansas City alors qu'il y a
Speaker 3 (49:46):
Algérie-Canada? C'est ça. C'est normal pour la deuxième division au
Portugal ou la Ligue nationale
Speaker 2 (49:53):
suisse
Speaker 3 (49:54):
C'est correct. Championnat national en France, division 3 française, ils jouent
pendant les dates FIFA et ce n'est pas un problème.
Si la MLS joue pendant ces dates-lĂ , on fait... c'est
un problème
Speaker 2 (50:06):
en 2012 c'est un problème pour les internationaux américains et les
quelques canadiens qui étaient là maintenant la ligue a évolué
Ă tel
Speaker 3 (50:16):
point que l'autre argument des playoffs je suis d'accord ça
coupe complètement le moment des playoffs puis ils ont créé
une patente Ă gosses de 3 matchs parce qu'ils avaient besoin
de juste commencer les demi-finales après le break international. Oui,
je suis d'accord. Moi, c'est l'argument. Je suis
Speaker 2 (50:33):
d'accord
Speaker 3 (50:34):
L'argument du Mercato, ça sent beaucoup, beaucoup, beaucoup. Oui, il
y a beaucoup de... Justement, le
Speaker 2 (50:40):
Mercato, est-ce que toi, tu es Ă 100 % dedans? Parce
qu'ils disent deux choses. Ils veulent optimiser... les activités en
termes du transfert du transfert global. Ça sent
Speaker 3 (50:51):
beaucoup la communication conjointe. Tout le monde doit dire la
mĂŞme chose.
Speaker 2 (50:54):
VoilĂ . Donc, ce qu'ils disent, la Ligue, c'est que les
clubs vont pouvoir participer, les clubs MLS vont pouvoir participer
aux fenĂŞtres du transfert international comme tout le monde. Donc,
ils ont plus de chances de possibilité d'acquérir des joueurs
et de les vendre. Et le deuxième point, en ayant
la pause estivale comme tout le monde, tu intègres mieux
(51:16):
tes nouveaux joueurs qui viennent. Ceux qui signent durant l'été,
eux aussi sont off. Je viens, je suis en pré-vacances, j'arrive,
je suis dans mon club et je reviens en juillet-août
pour voir comment ça m'intégrer à mon club. Quoique, Comment dire?
Quand tu arrives Ă la fin de cette... En tout cas, importe. Donc,
est-ce que toi... Tiens, on le dit souvent. Vends ton message.
(51:38):
Fais une décision. On peut ensuite rétro-pédaler pour vendre ton message.
Mais moi, je pense... Je comprends en termes de... Je
suis directeur sportif. Oui, c'est... C'est complexe. Mais est-ce que c'est...
C'est facile Ă accepter
Speaker 3 (51:50):
comme argument. C'est facile
Speaker 2 (51:51):
à accepter. Ça a l'air
Speaker 3 (51:52):
tellement évident qu'on dit oui,
Speaker 2 (51:53):
mais... Est-ce qu'on le surévalue? Parce que... Je pense que oui.
Ah oui, parce que... J'avais un tableau sur le Transfer
Market System oĂą il montrait les quatre dates, les quatre
calendriers FIFA. J'avoue que c'est un peu complexe avec la
MLS qui s'interpose entre deux dates, mais vas-y, continue
Speaker 3 (52:17):
Mais c'est grâce à ce... C'est probablement grâce à l'ancien
calendrier qu'on a été capable d'aller chercher plein de stars européennes.
Speaker 2 (52:28):
Merci, merci. C'était mon point. Tu renie un peu ce
qui est ton succès. Moi, je trouve que la Ligue,
elle se la pâte un peu. Tu sais, le côté«
on veut être Ligue top 5» en 2018-2022, je pense qu'ils
crovent encore Ă ce message-lĂ . Ils se disent, maintenant,
Speaker 3 (52:51):
ce que
Speaker 2 (52:52):
sonne, je ne suis pas sûr qu'il viendrait. Parce que
Speaker 3 (52:54):
regarde, là , on va être en compétition avec les meilleurs
clubs du monde et les clubs qui ont une certaine
réputation d'être des filières pour les autres clubs du monde. Là ,
on finit au 30 juin, les joueurs MLS deviennent disponibles pour
des transferts. Mais là , au lieu d'être en compétition, en janvier,
(53:17):
on était en compétition contre qui? Le marché, il était petit.
Des joueurs disponibles, il n'y en avait pas tant que ça.
Speaker 2 (53:23):
Et puis, les clubs européens ne transisent pas tant que ça.
Il y en a. Il y a des périodes où
c'est chaud. Le Premier League, Ligue 1, tout ça, il n'y
en a pas tant que ça. Donc, si ton
Speaker 3 (53:33):
joueur, OK, qui est en train de devenir bon, je
ne sais pas, à Ajax, Underlec, Sporting, tu sais, tout ça, là ,
Le faire sortir de leur club en janvier, c'est quasiment impossible.
Speaker 2 (53:49):
Oui,
Speaker 3 (53:49):
c'est difficile. À moins que c'est vraiment... Je ne dis
pas que ça n'arrive jamais, mais c'est compliqué. Ça
Speaker 2 (53:54):
coûte
Speaker 3 (53:55):
cher pour
Speaker 2 (53:56):
le faire. Ça s'est arrivé avec Kevin Dinké, avec Andrés Dayers.
Ils sont tous venus en janvier
Speaker 3 (54:02):
Mais tu sais, c'est... En janvier, les joueurs, les clubs
MLS ont moins de compétition pour vendre ces joueurs parce
qu'en janvier, les clubs MLS, ça fait partie de leur
business de vendre des joueurs pour janvier. LĂ , ils vont
commencer à vendre leurs joueurs quand le marché va être
inondé de joueurs aussi intéressants avec des historiques beaucoup plus fortes.
(54:28):
Tout Ă fait. Est-ce que c'est vraiment, vraiment une garantie
que c'est de la meilleure business pour la MLS? Moi,
je ne trouve pas que c'est une garantie éprouvée
Dans une conception juste intellectuelle pour dire« Oui, c'est vrai,
mais quand tu pousses un peu plus la patente, tu
fais« Oui, il y a des fois oui, des fois non.»
(54:50):
L'autre truc, la MLS, c'était pour vendre, acheter. La menace
achète beaucoup, beaucoup, beaucoup en Amérique du Sud. Oui. Le Brésil, l'Argentine,
leur calendrier est comment
(55:11):
Il n'est pas comme l'européen. Ils vont être aussi décalés.
Ils vont être obligés de surpayer, mettons, un club argentin
parce qu'ils vont ĂŞtre en plein milieu de la saison.
Speaker 2 (55:24):
s'il peut quitter par rapport aux règles, il ne va
pas quitter en pleine saison si ce n'est pas une
fin de transfert
Speaker 3 (55:28):
Oui, mais ça va être en janvier, ils vont être
au milieu
Speaker 2 (55:34):
de
Speaker 3 (55:34):
leur saison.
Speaker 2 (55:36):
Vas-y. Tu veux l'Argentine? On va y aller tout de suite. Argentine. Argentine. Ah,
c'est compliqué. transfert du 7 juillet au 30 août 2025. C'est déjà passé.
Et la prochaine, c'est du 19 janvier. Non, mais
Speaker 3 (55:52):
ils vont être décalés.
Speaker 2 (55:55):
Ils étaient alignés avec
Speaker 3 (55:58):
Là , ils vont être décalés au niveau des achats. Donc,
Je trouve
Speaker 2 (56:03):
que
Speaker 3 (56:05):
l'acceptation de l'argument du Mercato sans nuance, je trouve qu'il
est un peu fort.
Speaker 2 (56:11):
Oui, c'est un peu du marketing par rapport Ă la
globalisation des marchés, la synchronisation, c'est le mot base de consultant.
On est ensemble, on a accès au marché en tant
que tout le monde.
Speaker 4 (56:20):
Oui
Speaker 2 (56:20):
mais tu as une compétition un peu différente. Mais on
va parler d'un directeur sportif, un MLS, on va en
avoir un ici. Je pense qu'on peut avoir celui de Columbus.
Il parle français, celui de Columbus. Il est français. Il
s'appelle… Paul. Paul. Il s'appelle Paul. En parlant de Columbus,
tu voulais faire autre chose sur le schedule, le calendrier
Speaker 3 (56:41):
Toi, est-ce que tu es content, indifférent, préoccupé? Moi, je
trouve
Speaker 2 (56:49):
qu'il surestime beaucoup … Comment dire? Ils se rassument
Speaker 3 (57:03):
beaucoup de leur capacité à attirer des supporters au stade.
Je vais te répondre à ça. Selon ce que je
lis et les arguments qui sortent, je ne sais pas
encore si je suis convaincu de ces arguments-lĂ , mais je
vais te répondre par je pense qu'ils s'en foutent d'aller
des foules au stade. Eux autres, je vais prendre un
(57:25):
cas extrême Il est extrême, c'est voulu, ça n'explique pas tout,
mais c'est juste pour essayer de comprendre vers oĂą ils
s'en vont. Eux autres, ils se disent, si Monaco est
capable d'acheter tant et de survivre avec 200 personnes dans leur stade,
la MLS est capable de faire pareil. Parce que eux,
ce qu'ils veulent, c'est un produit de qualité sur le terrain.
(57:46):
La foule, ils veulent se détacher le plus possible, pas totalement,
mais ils veulent se détacher le plus possible du« game
day review». Ce n'est pas par là . On n'a pas encore,
et ça va être compliqué, de se démarquer au niveau
revenu juste par les guichets, les ventes de billets et
(58:07):
ainsi de suite. Parce qu'il y a un certain plafond.
Ils se disent que le vrai haut plafond, ce n'est
pas au guichet, ce n'est pas dans les stades. Le
vrai plafond qui va nous pousser un peu plus haut,
c'est les droits télé.
Speaker 2 (58:22):
Oui, puis lĂ , ils sont pris pour un autre. Avec
des
Speaker 3 (58:25):
partenariats et ainsi
Speaker 2 (58:26):
de suite. Et la capacité d'acheter bas et vendre très
haut
Speaker 3 (58:31):
Oui, ça, c'est le volet. C'est le
Speaker 2 (58:33):
volet. Le
Speaker 3 (58:34):
trading. Il y a le trading football que certains, après
tant d'années, confondent encore avec le moneyball parce qu'il y
a le mot« monnaie» dedans. Moneyball, ce n'est pas ça.
Ce que la MLS veut faire, c'est du trading football.
Moneyball
c'est
Speaker 2 (58:49):
du CP Matrix.
Speaker 3 (58:50):
Moneyball,
Speaker 2 (58:53):
c'est ce que fait Brentford. C'est ce que fait d'autres
clubs européens, mais ils font aussi du trading aussi. Moneyball,
c'est la méthodologie de trading. C'est tout. C'est comme un
Speaker 3 (59:00):
sous-ensemble. Et trouver là où le marché ne fait pas
une vraie analyse des valeurs. Donc
ce que la MLS veut faire, c'est se rapprocher le
plus possible, augmenter les revenus lĂ oĂą le plafond est
le plus haut possible. Ils se disent que ce n'est
pas les guichets. Ce n'est pas en ayant... Ce n'est
pas parce que Montréal va avoir, disons, 20 000 spectateurs par match...
(59:27):
pendant 17 games à domicile, que ça va amener la ligue
plus haut. Ce qui va amener la ligue plus haut,
c'est des revenus de commandite et des revenus de diffusion.
Et ça, en faisant ça, ils se sont dit, ils
ont besoin d'ĂŞtre dans les moments du calendrier oĂą la
(59:48):
pub et le visionnement a plus de valeur. La pub
en été, c'est compliqué. La commercialisation en été, c'est compliqué.
En Amérique du Nord comme en Europe, la rentrée, c'est
en automne. Les gens consomment pendant l'automne et l'hiver. Et
(01:00:11):
à Montréal, c'est encore vrai. Rendu à la Saint-Jean, tout
le monde tombe en mode vacances. Tout
Speaker 2 (01:00:17):
le monde tombe en banque. Ce qu'ils tombent
Speaker 3 (01:00:20):
pile-poil avec, la fenêtre d'été. C'est le gambling de la MLS.
C'est d'optimiser des revenus. Puis là , pour faire ça, ils
veulent donner un produit de qualité. Puis, il va y
avoir les petits clubs en dessous qui vont en profiter
comme Monaco va profiter en Ligue 1 parce qu'ils n'ont pas
la population pour faire des revenus au guichet.
Speaker 2 (01:00:45):
Je peux partager quelque chose? On clĂ´t le sujet sur
les stades et les calendriers? Ou est-ce que tu dois partir?
On y va? Non,
Speaker 3 (01:00:51):
non,
Speaker 2 (01:00:51):
c'est bon, c'est bon. Partagez quelque chose, dis-moi ce que
tu en penses, ok? Dis-moi ce que tu en penses.
Speaker 3 (01:00:59):
Est-ce que
Speaker 2 (01:00:59):
tu vois
Speaker 3 (01:00:59):
l'écran? Ça marche? On dirait, on se créerait sur Teams. Dites-moi, monsieur, madame,
quand vous voyez l'écran
Speaker 2 (01:01:08):
C'était un article de l'athlétique KFC partagé par ce tweetos-là ,
Roger Bounot-Roxy. Apparemment, c'est un joueur de foot et un coach.
Et autre chose. Donc, il disait, le propriétaire, le président
de Como, Miroan Sobrasso, il parlait de l'influence des chefs
de la base sur le recrutement de joueurs. Puis il disait, attends,
on a un joueur, un data player. Donc, selon nos
(01:01:31):
données le gars était pas si fort mais ça se
dit non non non c'est parce qu'il joue différemment avec
nous il va jouer comme ça et comme ça tu
Speaker 3 (01:01:41):
dis je veux pas ce joueur lĂ il me faut
un point d'appui il me faut un point d'appui lui
il joue pas en point d'appui il aura jamais les
datas de point d'appui c'est pour ça qu'à Montréal grosse
parenthèse
Speaker 2 (01:01:56):
c'est ça que je t'ai ramenĂ© vers ce sujet lĂ
Speaker 3 (01:01:59):
Bon, je vais te laisser continuer parce que peut-ĂŞtre qu'on
va aller Ă la mĂŞme place.
Speaker 2 (01:02:02):
Parfait. Donc, il continue à dire qu'il a prouvé avec
deux joueurs, par exemple, si ce n'est pas plus, que
c'est la méthode-là . Par rapport, je m'appelle de Lucas da Cunha.
C'est un joueur qui était initialement à l'Église. Il l'a
mis comme défenseur au milieu défensif
Puis, on l'a acheté à 250 000 euros. Là , on vous offre
des sortes pour 15 millions. Tout ça, c'est par rapport à Chess.
Speaker 3 (01:02:22):
Mais attends une minute. Tu sais, dans ton deuxième paragraphe,
quand tu dis... Non, laisse-les.
Speaker 2 (01:02:28):
C'est lĂ que les
Speaker 3 (01:02:28):
gens, ceux qui critiquent le data en général, c'est qu'ils
critiquent la mauvaise chose. Ils vont dire, non, le foot,
c'est pas du data. Mais le data est pas critiquable.
C'est que
Speaker 2 (01:02:43):
C'est ce que tu fais avec
Speaker 3 (01:02:45):
Il faut que tu comprennes ce que le data est
en train de te dire
Speaker 2 (01:02:49):
C'est le contexte. Il dit ici, le Twitter, M. Roger Bonnac,
Speaker 3 (01:02:53):
il dit... Si tu montes un peu plus haut, au
deuxième paragraphe... The data will be wrong. It will not be...«
What the data says.»« It will not be what the
data says.» Le data dit vrai. C'est que le data,
ce qu'il dit, c'est quand il joue de telle façon,
voici sa performance. Point final. Après, si quelqu'un va dire«
(01:03:16):
Il est nul.» Parce qu'il dit« Non, il n'est pas nul.»
Il n'a pas joué de cette façon-là .
Speaker 2 (01:03:21):
C'est ça.
Speaker 3 (01:03:21):
Il faut faire attention quand on
Speaker 2 (01:03:23):
critique. Puis lui dit le tweet-off.« Tonton, le data looks bad.»
Ce n'est pas parce que le joueur n'est pas bon,
mais parce qu'ils sont dans le mauvais rĂ´le, le mauvais contexte.
Et c'est le contexte. C'est pourquoi il dit que c'est
important d'avoir des gens dans le club qui comprennent le game,
le jeu, le sport, et qui voient la vraie valeur
d'un joueur, mĂŞme s'ils sont dans le mauvais rĂ´le, donc
(01:03:44):
la perception et l'œil. On dit en arabe aussi« nif»,
on n'a rien, le nez, avoir le nez. C'est ça,
c'est le type de joueur qu'on peut avoir pour très peu,
puis ensuite vendre pour rien d'argent. Donc, d'où le côté trading.
Et je voulais dire ça, Newton, parce que Moi, tu
te rappelles comment j'étais très anti... Quelqu'un me dit que
(01:04:06):
j'ai pas quoi. Si tu parles juste ça, ça ne
m'intéresse pas. Moi, ce qui m'intéresse du XG, c'est le contexte.
Les gens, ils expliquent les formules du XG. C'est une statistique,
la moyenne de tous les shots, qui ont été pris
de cette position-lĂ , etc.
Speaker 3 (01:04:20):
Mais à mon point, le défaut, le problème, ce n'est
pas les gens qui ont fait le data, c'est ceux
qui l'utilisent mal.
Speaker 2 (01:04:24):
Exactement. C'est pourquoi les scientifiques ont fait ça. C'est super.
Mais il ne compare pas Messi qui tire de lĂ -bas
avec Ronaldo et avec Bouguay. Ce n'est pas la mĂŞme
chose
Speaker 3 (01:04:36):
Ou
Speaker 2 (01:04:36):
un cas extrĂŞme
Speaker 3 (01:04:37):
tu ne peux pas parler. C'est impossible de faire du
expected goal pendant une... Ne présente-moi aucune statistique d'expected goal
pendant la finale. La CPL. Parce que c'est pas le mĂŞme.
Cet endroit-là , ça compte plus. C'est pas
Speaker 2 (01:04:55):
le mĂŞme shot. Exact. Et c'est
Speaker 3 (01:04:58):
plus,
Speaker 2 (01:04:58):
je suis contre cette surconsommation un peu intellectuelle
Mais c'est correct
Speaker 3 (01:05:04):
C'est là que le Moneyball embarque. Ça, c'est du vrai Moneyball.
Parce que quelqu'un qui est brillant, Quelqu'un qui est brillant,
il va vendre le joueur avec les bonnes stats et
le bon data Ă un acheteur stupide.
Speaker 2 (01:05:22):
Oui. Parce
Speaker 3 (01:05:22):
que lui, il a surévalué le data. Exact.
Speaker 2 (01:05:26):
Parce que lui,
Speaker 3 (01:05:27):
il va dire, ce joueur-lĂ est bon, bon, bon. Puis lĂ ,
tu te dis, parfait, il va échouer. Moi, l'année prochaine,
il ne sera pas capable de répéter ça parce qu'on
va faire ça, ça, ça, ça. Je suis mieux de
le vendre tout de suite. Et c'est là que, pour Montréal,
je suis inquiet. Parce qu'il y a un an, le buzzword,
c'était analytique. Nous, on veut utiliser beaucoup plus l'analytique. Moi,
(01:05:54):
je dis que Ça marche très bien. Follow me. L'analytique,
c'est l'outil parfait quand tu achètes en tant que club
de niveau supérieur. Quand tu achètes quelque chose de niveau inférieur.
(01:06:19):
Tu achètes un produit testé. Donc, quand Bologne ou Liverpool,
cas extrĂŞme, quand Liverpool va acheter un joueur, quand Bologne
va acheter un joueur, Liverpool, il ne va pas acheter
un joueur moins bon. Dans une équipe moins bonne, ils
sont au pire équivalent. Donc, il va acheter un produit
(01:06:39):
qui a été testé pendant une saison complète avec des
datas testées. Tout à fait. Bologne, il n'achète pas un
joueur de la juve. Non. Bologne, il achète... En Allemagne,
en Belgique, en France, en Suisse. Des joueurs qui ont 2000 minutes,
des saisons de 2000 minutes, qui ont joué dans le profil
(01:07:01):
qu'ils veulent utiliser plus tard.
Speaker 2 (01:07:03):
Exactement
Speaker 3 (01:07:05):
Même chose, Liverpool, c'est ce qu'ils ont fait. Ils ont acheté.
Quand ils achètent, Isaac, ils savent ce qu'ils ont acheté.
Isaac a eu des datas.
Speaker 2 (01:07:17):
Ils n'ont
Speaker 3 (01:07:17):
pas acheté. ils n'ont pas acheté
Speaker 2 (01:07:22):
le
Speaker 3 (01:07:22):
deuxième buteur de Manchester City ou de Man
Speaker 2 (01:07:27):
U. Ils ont pris beaucoup plus de risques avec Mane, Firmino, Salah.
pour construire une équipe légendaire. Ça, c'est un coup de poker,
mais aussi, c'est réfléchi. Oui, mais Firmino, il y
Speaker 3 (01:07:38):
avait du data, ainsi de suite. Non
Speaker 2 (01:07:39):
il y avait du data, mais faire la traduction, la
projection en Premier League, déjà , c'est difficile.
Speaker 3 (01:07:45):
Mais là , Montréal, il dit, je veux utiliser une analytique
parce que les meilleures équipes font de l'analytique. Mais Montréal, là ...
Est-ce que
Speaker 2 (01:07:51):
tu as du
Speaker 3 (01:07:51):
foot
Speaker 2 (01:07:52):
Si
Speaker 3 (01:07:52):
Montréal achète, par exemple, Jaime, il se base sur quoi?
Speaker 4 (01:08:00):
Ça
Speaker 3 (01:08:02):
c'est plus d'analytique. Il se base sur du traditionnel, du
recruteur traditionnel qui, à l'œil, regarde les situations de match,
puis il essaie d'en voir le maximum possible de situations
pour extrapoler après dans la situation montréalaise. Ça, c'est pas
du money board, c'est du recruteur classique. C'est comme
Speaker 2 (01:08:21):
l'idée synthétique avec Piatti. Je pense pas qu'il a recruté
sur le data analytique. Il a vu le joueur, il
l'a observé, il a dit... C'est plus classique
Speaker 3 (01:08:30):
Moi, je trouve que l'analytique, c'est l'outil des riches et
des puissants
Speaker 2 (01:08:36):
Ou de ceux qui cherchent la valeur avec l'argent qu'ils
ont et ne veulent pas dépenser. Même si ils ont
de l'argent, ils ne veulent pas le dépenser de bête.
Speaker 3 (01:08:45):
Si Montréal veut faire de l'analytique, il doit faire de
l'analytique sur la CPL. Il doit faire de l'analytique sur
le USL.
Speaker 2 (01:08:51):
Et
Speaker 3 (01:08:52):
s'assurer que les datas de ces championnats-lĂ soient de bonne valeur.
Speaker 2 (01:08:59):
Ă€ la limite
Speaker 3 (01:08:59):
ils devraient mĂŞme s'occuper eux-mĂŞmes, par exemple, de
Speaker 2 (01:09:01):
dire« Moi, je vais
Speaker 3 (01:09:10):
Je vais peut-ĂŞtre pas m'occuper ou financer, mais je vais
m'organiser pour que, mettons, les Ligues 1, Québec, Ontario, Ouest, tout ça,
puissent avoir du data. Tu
Speaker 2 (01:09:24):
sponsorises l'équipement et tu deviens un autre sponsor pour pouvoir
maîtriser ta propre province. Je ne sais pas si c'est
légal en termes de compétitivité, mais au moins, tu mets
en place... Parce que
Speaker 3 (01:09:35):
toi, ce que tu vas acheter, en termes d'analytique, c'est
pratiquement toujours un niveau inférieur au tien. Ce que tu
vas utiliser comme recruteur un peu plus classique avec de l'expérience,
des gars et des filles qui ont vu du foot
et qui vont repĂŞcher un joueur qui est dans une
mauvaise situation et qui n'est pas capable de donner du data,
(01:09:55):
lui
Speaker 2 (01:09:55):
tu
Speaker 3 (01:09:55):
vas aller le chercher avec du traditionnel. Est-ce que c'est
Bologne qui fait les deux? Est-ce que Bologne est capable
de faire les deux pour la MLS?
Speaker 2 (01:10:03):
C'est ça, il est lĂ
Speaker 3 (01:10:04):
l'enjeu
Speaker 2 (01:10:05):
Ça, c'est la question que je pense qu'on va aller
Ă Bologne et on en fait un petit voyage. Les
derniers qui sont
Speaker 3 (01:10:12):
allés à Bologne, ce n'est pas toujours des succès. Non
Speaker 2 (01:10:16):
mais nous, on connaît pour visiter, pour parler, pour manger
des pastes et du steak. Mais intéressant. On est bon,
c'est pas que c'est bon. Euh... Attends, il faut rejouer
le jingle parce qu'on est légalement obligé de le
Speaker 5 (01:10:36):
rouler.
Speaker 2 (01:10:47):
Que ce soit vrai ou pas, je reste bluffé et
pas étonné en même temps, mais choqué, mais étonné, mais
pas surpris, mais surpris quand je vois le nom de
Refundancy lié aux Celtics.
Speaker 3 (01:10:58):
De
Speaker 2 (01:10:59):
Glasgow. Mais il y a une
Speaker 3 (01:11:03):
longue tradition canadienne en Écosse.
Speaker 2 (01:11:06):
Oui
Oufri Nancy ne fait pas partie de ça
Speaker 3 (01:11:10):
Oui, pour eux, oui. Pour l'Écosse, oui. Pour
Speaker 2 (01:11:12):
les présidents canadiens, oui. Moi, je vois ce que tu
veux dire. Oui, c'est vrai
Speaker 3 (01:11:17):
Pour eux, n'oublie pas, chaque pays a leur...
Speaker 2 (01:11:21):
C'est vrai. Leur préférence... Leur historique, là . Oui, puis leur
canot préféré de communication et de... Tu sais, la
Speaker 3 (01:11:27):
France, tu le sais, où ils achètent régulièrement où, même
chose pour le Portugal. Tu sais, il y a des préférences. OK,
on a eu certaines... Oui, il y a eu de
la réussite, puis Celtic, il y en a une là .
Il y a Alistair qui est lĂ . Ils sont extrĂŞmement satisfaits. Donc,
ils se disent« OK, go pour les coachs». Je pense
que c'est un bon fit pour lui
Speaker 2 (01:11:47):
J'ai l'impression. Si je cherche des valeurs et une culture intéressantes,
c'est intéressant. Je ne suis pas un expert qui est
parti vendre.
Speaker 3 (01:11:53):
Il y a déjà le code d'hiver qu'il faut pour
Speaker 2 (01:11:56):
ça. Il l'a, il l'a. Il fait beaucoup moins froid,
je pense. Il n'est pas autant. C'est intéressant. Je suis
encore bluffé. Je dis, wow, incroyable. Celtic Glasgow, man. Celtic
Speaker 3 (01:12:07):
Mais
Speaker 2 (01:12:08):
le coup du hasard
Speaker 3 (01:12:09):
ce que la vie peut faire des fois, ce gars-lĂ
n'aurait jamais eu une opportunité de coacher si Thierry Henry
ne s'était pas poussé.
Speaker 2 (01:12:17):
Oui, la COVID change beaucoup de choses.
Speaker 3 (01:12:22):
Il suffit d'avoir un truc dans ta vie que
Speaker 2 (01:12:25):
ça peut tout changer
Pour toi,
Speaker 3 (01:12:27):
c'est ma rencontre. T'as tout changé.
Speaker 2 (01:12:32):
T'as rencontré avec qui? Avec moi. Ah oui, oui. Je
ne sais plus, c'était quand même dans le studio, peut-être.
Ou dans le stade. Ouais, that was fun. Ça, c'était 10
ans plus tard. 10 ans plus tard. J'attends encore les bénéfices.
À tous les vendredis avec moi. Les bénéfices pécuniers. Ouais. Ouais.
(01:12:57):
Wilfried Nancy, intéressant celtique. Intéressant. Même, pas en celtique, Kerry
Turney a marqué le but du 3-2 pour l'Ecosse contre
le Danemark. Est-ce que tu as vu le... C'est pas
ça le glow-up, là ? Je ne sais pas ce qu'on
appelle en français. C'est comme McTominay est devenu, genre, écossi-britannique,
genre un dieu romain, un dieu italien, lĂ ? Tu sais,
(01:13:19):
il a changé de look, il est bronzé. Si je
veux en changer, McTominay, il joue mieux. Il marque des buts.
Il marque des bicyclettes contre le Danemark. À côté, tu
vois que des photos habillées, genre...
Speaker 3 (01:13:29):
Quand un Anglais sort de l'Angleterre... Ça
Speaker 2 (01:13:32):
se passe bien
Speaker 3 (01:13:34):
Ça aide un peu. Ça fait son bling-bling à lui.
Mais c'est fascinant. On va parler de Trump et de
Ronaldo une autre fois.
Speaker 2 (01:13:45):
On peut faire brièvement. Tu penses que tout le monde
s'en fout? Je ne comprends pas la rage des gens.
Pas que je ne la comprends pas. Les gens
Speaker 3 (01:13:55):
sont vraiment étonnés. Il n'y a aucune surprise.
Speaker 2 (01:13:58):
Je pense qu'il y a tout le monde. C'est clair
que c'est un gars assez conservateur.
Speaker 3 (01:14:02):
Un riche conservateur.
Speaker 2 (01:14:05):
Moi, les gens vont me rentrer dans, mais pas que
je m'en fous, je dis, qu'est-ce que tu veux
Speaker 3 (01:14:10):
que je fasse? Mais s'il est allé dans une convention,
un truc de droite aussi, il y a quelques semaines.
C'est des joueurs de foot riches, ils sont dans une
autre
Speaker 2 (01:14:20):
sphère
Speaker 3 (01:14:20):
de la société.
Speaker 2 (01:14:21):
Ils arrêtaient d'être étonnés
Speaker 3 (01:14:25):
Ils venaient aux States, ils venaient tester, voir s'ils pouvaient
passer à la frontière. Ça a marché. Ils peuvent venir.
Speaker 2 (01:14:31):
c'est
Speaker 3 (01:14:34):
pas suspendu c'est pas suspendu
Speaker 2 (01:14:36):
leur camp de base sera tonton je suis pas mal
sûr parce qu'au
Speaker 3 (01:14:42):
toronto
Speaker 2 (01:14:43):
Ă belleville Ă la
Speaker 3 (01:14:45):
balle
Speaker 2 (01:14:46):
Ă l'aller
Speaker 3 (01:14:46):
d'autres jeux ont gagné
Speaker 2 (01:14:48):
Dans le lac, dans les lacs. Tu sais ce
Speaker 3 (01:14:51):
que j'ai failli faire? Je l'ai dit Ă Max en plus.
Je me suis arrêté. Je n'ai
Speaker 2 (01:14:56):
pas fait le
Speaker 3 (01:14:56):
tweet pour ne pas fâcher plein de gens. J'étais au
promenade Saint-Bruno en fin de semaine. Encore? Oui, c'est mon hood.
C'est le carrefour
Speaker 2 (01:15:04):
Laval de la Rive-Sud
Speaker 3 (01:15:07):
De la Rive-Sud, non, mais de mon coin, oui. Ce
n'est pas ça qui est important. J'étais au carrefour avec
ma casquette des Dodgers. Et là , j'ai remarqué qu'il y
avait beaucoup de gens avec les casquettes des Dodgers
Inconsciemment, je me suis mis Ă compter
(01:15:28):
Les casquettes Dodgers versus Blue Jays. Puis, score final? C'était
un blowout, man. Mais je voulais le tweeter.
Speaker 2 (01:15:39):
Mais... Je
Speaker 3 (01:15:41):
n'ai pas
Speaker 2 (01:15:42):
voulu... Tu voulais passer Ă autre
Speaker 3 (01:15:44):
chose. Je ne voulais pas donner l'impression qu'il y a
un gars qui s'acharne. Mais il y avait vraiment beaucoup
plus de Blue Jays.
Speaker 2 (01:15:53):
Mais je serais étonné que leur motivation n'est pas... Le
Blue Jays
Speaker 3 (01:15:56):
de Dodgers, pardon
Speaker 2 (01:15:57):
Je serais pas étonné d'apprendre que leur motivation n'est pas
anti-Toronto et plus du pro-Dodgers. Je serais étonné
Speaker 3 (01:16:06):
Ils savent mĂŞme pas que c'est des Dodgers. C'est juste
une belle casquette. C'est comme les Yankees. Il y en
a de toutes les couleurs.
Speaker 2 (01:16:12):
C'est du brand. Comme Detroit. En tant que casquette, mon frère,
il a toute une collection. Le Detroit Tigers, le D,
c'est une des meilleures casquettes.
Speaker 3 (01:16:24):
On devrait arrĂŞter ce podcast. Tous les vieux logos, les Canadiens,
les Red Wings, les logos de baseball, tous ces vieux logos,
ils sont tellement chanceux de ne pas avoir eu la
mondie de mode de changer... des logos dans
Speaker 2 (01:16:42):
leur histoire. Oui, mais ils n'avaient rien de raciste ou
de genre discriminatoire.
Speaker 3 (01:16:47):
Pas besoin de changer. Les logos, il y a plein
de modifs de logos, puis il n'y a pas de
Speaker 2 (01:16:52):
truc associé. Je pense que je parlais à la marée
du nom, mais comme la UV est passée du cheval
et tout ça au J, c'est un changement énorme. Je
Speaker 3 (01:17:01):
veux dire, la mode des lettres
Speaker 2 (01:17:05):
pour vos paysans, quelle chance! T'imagines, il y a 100 ans,
ils étaient déjà genre« we got this». On voit venir
les réseaux sociaux, puis le minimalisme, on l'a là .
Speaker 5 (01:17:20):
Bref
Speaker 2 (01:17:21):
La vie est un cycle éternel, c'est ça que tu dis?
J'ai une question pour ceux qui sont docteurs, pharmaciens ou psychologues.
Tu as besoin d'une prescription. Comment j'ai une dépression saisonnière
Speaker 3 (01:17:35):
qui dure de novembre à mars? Écoutez, il n'est pas
dépressif à longueur d'année. C'est juste que les sujets sont
différents
Speaker 2 (01:17:40):
Laissez faire les docteurs. J'ai une dépression saisonnière qui dure
de novembre Ă mars. Qu'est-ce que
Speaker 3 (01:17:45):
je fais? Achète-toi une lampe. Ceux qui ont des problèmes
de peau, ils
Speaker 2 (01:17:56):
ont
Speaker 3 (01:17:56):
ça.
Speaker 2 (01:17:58):
La vitamine D, pour régénérer la
Speaker 3 (01:18:01):
vitamine D. Essaye, une lampe. Qu'est-ce qui te déprime tant
que ça? C'est le soleil ou c'est la fin de
l'année
Speaker 2 (01:18:09):
Je trouve que la neige est venue trop vite. Je
regarde par la fenêtre, j'ai l'impression qu'on est déjà en janvier.
C'est la météo de janvier. Il y a beaucoup de neige,
il fait froid, il y a du vent. Alors que janvier,
il va faire moins 20, mais je trouve que je suis
un peu... Sauf, t'es au Québec. T'es au Québec. T'es
au
Speaker 3 (01:18:26):
Québec. Tu vas écouter avant le crash
Speaker 2 (01:18:29):
Non, pas vraiment pas. Est-ce qu'il y a des problèmes
de relations familiales, de couple? T'aurais pu
Speaker 3 (01:18:36):
arrêter au mot problème. Il y a un
Speaker 2 (01:18:39):
truc, science-fiction, fantaisie, médiéval, action, rigolo, des trucs là où
ça pleure. J'ai assez pleuré.
Speaker 3 (01:18:50):
série noire ça pleure
Speaker 2 (01:18:55):
c'est rigolo très
Speaker 3 (01:18:56):
rigolo
Speaker 2 (01:18:58):
j'ai détesté le show du gars comment ça s'appelle avec
les boys qui quittent leur blonde catastrophe comment ça
Speaker 4 (01:19:06):
s'appelle
Speaker 2 (01:19:09):
ah oui il fallait que je le vois Ă la
vingtaine mais là quand t'as 40 ans tu vois ça c'est
bon on passe Ă autre chose ils sont immatures c'est
l'immatérialité C'est vrai que toi, tu es M. Mathieu. Plus
que tu penses. Plus que tu penses. Plus que tu
es persuadé. Allez, on va passer beaucoup au Cours de Piri-Piri.
Est-ce qu'on verra bien Ă 1000 vues? Oui. On serait le
meilleur podcast foot au Québec. Je t'ai
Speaker 3 (01:19:30):
envoyé une photo de montrer comment on fait pour avoir 1000 vues.
Le gars avec les cellulaires.
Speaker 2 (01:19:35):
Ah oui, c'est smart. Donc, 1000 vues. Comme ça, on sera
le meilleur podcast foot au Québec et au Canada aussi.
pour que je vois ce qu'il se fait aucun derrière,
je dis, on n'est pas aussi loin que ça. Ça
nous
Speaker 3 (01:19:48):
coûte moins
Speaker 2 (01:19:49):
cher. On a besoin d'un PR et d'un studio. Allez,
ciao tout le monde. À la prochaine. Ciao.