Episode Transcript
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Speaker 2 (00:00):
Ce que vous préparez de retour, édition, collaboration, dans les coulisses,
on commence ensuite avec le jingle que j'ai fait en
cinq
Speaker 3 (00:06):
minutes.
Speaker 2 (00:12):
Toujours pas de monétisation au-delà de la monétisation YouTube, mais
on espĂšre que DL c'est bon.
Speaker 6 (00:18):
C'est bon! Qu'est-ce qu'on peut faire en cinq minutes?
Speaker 2 (00:20):
On peut faire un
Speaker 6 (00:21):
thĂšme, mais qu'est-ce qu'on fait sinon en 5 minutes? On ne
fait pas grand-chose.
Speaker 5 (00:24):
C'est de la
Speaker 6 (00:25):
magie. C'est du génie
Speaker 2 (00:28):
Ăa fait un an qu'on reçoit de l'argent de YouTube.
Ce n'est pas pire. T'as combien d'abonnés sur YouTube? Moi?
Speaker 6 (00:35):
Pas beaucoup, mais dans les coulisses, on ne prend pas
soin de notre chaĂźne YouTube
Speaker 7 (00:42):
La vraie
Speaker 6 (00:43):
question, c'est
Speaker 7 (00:43):
combien de vidéos il a retirées depuis qu'il utilise YouTube?
Speaker 2 (00:47):
Ah! Ah! Ah! Excellent. Parce que je voulais faire une
vidéo collaboration avec DLC. Moi, vos trucs inside, c'est mignon. Oui,
mais lui,
Speaker 7 (00:57):
dans des shows radio, il lance des cracks Ă gauche,
Ă droite, pour les gentils comme nous qui n'avaient pas
la référence de 3.5 et 7. Attends! C'est vraiment incompris.
Speaker 3 (01:12):
Nous
Speaker 7 (01:15):
on n'est pas des deux souches, donc on ne comprend
pas ça
Speaker 5 (01:20):
Pour expliquer Ă Soph le truc, c'est que depuis 2009, DLC
Speaker 6 (01:23):
existe. Ăa va faire 17 ans. Il y a peut-ĂȘtre quelques mois,
je suis retombé sur notre vieille chaßne
Speaker 5 (01:33):
YouTube. Je me rends compte qu'on était beaucoup plus fuckers
qu'on l'est aujourd'hui. En général, il y a quelques vidéos
qui ont passé au couperet et qui n'existent
Speaker 4 (01:43):
plus. T'as
Speaker 5 (01:43):
regardé
Speaker 7 (01:44):
t'as juste mis private ou...
Speaker 5 (01:47):
Non, private, il existe
Speaker 2 (01:49):
encore. Tu peux mettre ton clip Instagram et TikTok, ça
va passer. Le rétro est bien, la fureur est de retour.
Tout est possible. qui te
Speaker 7 (01:57):
connaĂźt, la FĂŒhrer, c'est dĂ©jĂ un plus.
Speaker 2 (02:00):
J'ai fait écouter... Attends, attends, on n'en parle pas. Oui,
mais ça fait partie du sujet de ce que tu dis.
Un dernier truc, Nilton. Tu sais qu'on a battu un
record de morosité en termes de vues YouTube il y
a deux semaines? On avait parlé d'Haïti, Coupe du Monde.
(02:22):
On a fait 1300 vues, ce qui n'est rien dans le
monde du tout. Mais dans le mode foot québécois podcast, 1300 vues,
c'est ESPN. ESPN des années 2000. On a dit Haïti, Argentine,
ils n'ont pas beaucoup de joueurs noirs. C'était trÚs controversé.
On parlait comment MontrĂ©al a une chance de peut-ĂȘtre⊠Oui, rĂ©daction. RĂ©demption.
(02:46):
La rĂ©demption infinie pour MontrĂ©al et la ville de MontrĂ©al. Ăa,
c'est comme
Speaker 7 (02:49):
Previously in 24 que tu es en train de faire
Speaker 2 (02:51):
Exactement
Et que je peux peser maintenant avec Netflix sur
Speaker 5 (02:57):
sauter
Speaker 2 (02:57):
l'introduction. Eh, revenir sur 24, le téléphone Cisco, le téléphone Cisco
dans les bureaux qui sonnaient, on l'avait dans les bureaux.
En tout cas, je me reconcentre. Et tu sais ce
qu'on a fait? AprĂšs, on a fait un record relatif
aprÚs ça. On n'a pas fait d'épisode. Donc, c'est ça
(03:19):
notre truc. Tu sais, on a fait wow, un gros boost.
Notre stratégie est toujours de best. On veut quelque chose
de bon, on arrĂȘte. On arrĂȘte, on arrĂȘte. Il faut arrĂȘter,
il faut arrĂȘter. Vous avez
Speaker 5 (03:28):
zéro stratégie. Zéro. Vous faites des podcasts quand ça vous
tente
Speaker 7 (03:33):
Quand ça nous tente, ça nous peut. Et ça fait
partie un peu de notre stratĂ©gie. Tu serais Ă©tonnĂ©. C'estâŠ
Speaker 4 (03:38):
Regarde, on
Speaker 7 (03:40):
se parle un par-dessus l'autre, c'est notre stratégie. On commence
un show avec un prologue de 30 minutes. C'est tellement bon
que je vois de plus en plus des prologues de 30
Speaker 2 (03:50):
minutes ailleurs. Donc, c'est ça. On va parler de quoi?
On voulait réagir à chaud au tirage de la Coupe
du Monde 2026, mais lĂ , c'est encore en mode gala. Donc,
si vous voyez quelque chose d'une tonne ou max dans Twitter,
parce que je ne vais pas ouvrir Twitter en ce moment,
Si un tirage a commencé, dites-le et on va réagir
(04:10):
Ă chaud. C'est
Speaker 6 (04:10):
un mode gala d'école secondaire. C'est pas vrai.
Speaker 2 (04:13):
Le
Speaker 6 (04:13):
début que j'ai vu, c'était...
Speaker 2 (04:15):
Il y a Tom Brady qui fait partie des personnes
qui font le tirage. Il cherche
Speaker 6 (04:20):
Wyclef Jean,
Speaker 2 (04:20):
mais Wyclef Jean est en arriĂšre. Beaucoup plus le fait
de
Speaker 7 (04:22):
trajet du centre-ville jusqu'au centre-nutrilet le mercredi. Ăa, c'Ă©tait beaucoup
plus
Speaker 2 (04:29):
le fait. Parlons-en. On va parler du surf Montréal. Si
on parle de MontrĂ©al... Ăa, c'est
Speaker 3 (04:34):
Montréal. C'est Laurent. Attends,
Speaker 2 (04:44):
Ă vous de choisir. On peut rapidement faire Marc Cato,
groupe de supporters, et ensuite Marco Donadel. On s'en débarrasse
des sujets les plus courts pour donner le temps Ă
Marco
Speaker 6 (04:56):
Dans l'ordre, vas-y. Déjà là , tu as un plan. Chose
que vous n'avez pas dans tous les épisodes. On va
suivre
Speaker 5 (05:01):
ton
Speaker 2 (05:05):
plan. Juste pour dire, Je savais que c'était une semaine
difficile quand je me réveille le matin, je vois des
messages partout. Les bons joueurs, il est intéressant, mais on
parle de qui? Des DM, les gens qui parlent. Je
me réveille, je vérifie mon téléphone plus tard en matinée.
Fabrizio Romano, Fabrizio et ses multiples admins qui gĂšrent son compte.
(05:28):
Alors qu'il a tweeté, il dormait. Son compte hyper influent
a décidé de dire, tu sais quoi? Le transfert MLS,
une rumeur entre Real Southlake et CF Montréal. Je vais
le tweeter pour dire qu'il y a un transfert MLS
qui arrive. Moi, je dis, tu sais quoi? Je pense
que je vais arrĂȘter. Je vais fermer mon tĂ©lĂ©phone. Je dis, OK,
c'est fini. Je pense que c'est le temps de faire
(05:48):
dodo parce que j'étais genre, what the F? C'est un
peu confus. Ensuite, Nilton, qui fait un relais excellent comme d'habitude,
comme une passe transition de Rui Costa. de Sky Sport
je pense de Deutsche Deutschland Sky Sport qui dit que
Osu est dans le viseur de deux clubs Bundesliga qui
(06:09):
sont en mode rélégation Wolfsburg et Mainz 0-5 et puis
sont prĂȘts Ă donner de l'argent quelques millions de dollars 1
ou 2 ou 3 Ă Osu je me dis mais c'est une
quelle semaine incroyable incroyable donc et ensuite on apprend que
Christian Benteke est agent libre on se dit bah hey 1
plus 1 égale 4 on se dit pourquoi pas pourquoi pas
Speaker 7 (06:33):
Son frÚre, je pense qu'il est agent, a aussi tweeté
fake news sur le retour en Belgique
Speaker 6 (06:38):
En plus, quand tu apprends tout ce que tu dis,
tu regardes ton agenda et tu te dis« Ah ouais,
je m'en avais passé 2-3 heures avec Marco Donadel au
centre Neutrilla dans la mĂȘme semaine. Mais qu'est-ce que c'est
Speaker 2 (06:48):
ça?» C'est une semaine de fou. Donc, Nilton, on rentre
dans ta voiture au centre-ville. Direction le centre Neutrilla. Raconte-nous
ce qui se passe. Ensuite, on passera Ă la rencontre
de l'intérieur. Tu as
Speaker 7 (06:59):
une minute. Déjà , en rentrant dans mon char, il faut
que tu recules le siĂšge. J'ai deux beaucoup.
Speaker 2 (07:03):
Tu
Speaker 3 (07:04):
es grand
Speaker 7 (07:05):
On est petits chez nous. On est portugais. On est petits.
On vient des Açores, tout ça. Donc, je n'ai pas
pu trouver une blonde de 7,6 pieds. Ă ma grandeur. Il
a fallu qu'il recule. Et pour lui faire une immersion
comme il faut, je lui ai mis une playlist francophone
Speaker 6 (07:22):
Québécoise. Avec Louis-Adrien Cassidy ou pas? Je veux
Speaker 7 (07:26):
juste savoir. La premiĂšre chanson. Le noir, Gab Bouchard. Ăcoute,
je les ai toutes mises.
Speaker 5 (07:34):
Pas d'urbain. Non, non
Speaker 7 (07:37):
C'était plus proche du folk. Il n'a pas fait de bouton.
Il a mĂȘme un peu aimĂ©. J'aime le
Speaker 2 (07:44):
folk. Il est gentil. Mais mademoiselle Cassidy, sa chanson, je
m'en suis fait écouter. Le milieu, il avait une minute
de juste le mĂȘme refrain. Attention, critique
Speaker 8 (07:54):
musicale ici. Critique musicale
Speaker 2 (07:57):
Hey, musique plus, match musique, je reviens lĂ . Moi et Gonzo,
on va faire revivre le match musique, la musique plus.
C'était bien. C'était
Speaker 9 (08:05):
peut-ĂȘtre la mĂȘme
Speaker 7 (08:09):
Donc voilà . Les transitions musicales et tout ça, c'était pas bon.
Mais ça, c'était rien. Monsieur avait faim. Non
Speaker 2 (08:20):
J'ai proposĂ© d'arrĂȘter O. T. Martin. Il ne s'arrĂȘte pas au
premier ou au deuxiĂšme. Il s'arrĂȘte au troisiĂšme, au fin
fond de Chilaga. C'est
Speaker 7 (08:27):
un gars de l'Ouest qui est rendu Ă Chilaga. LĂ ,
il commençait à faire des boutons. La musique indépendante
Speaker 2 (08:31):
québécoise.
Speaker 7 (08:36):
Ville-sur-Laurent
Speaker 5 (08:38):
c'est pas l'ouest. Hochelag, oh! Il manque de gaz Ă Hochelag,
il continue et il prend le risque de peut-ĂȘtre en
manquer complĂštement. On
Speaker 7 (08:46):
arrive Ă Tim Hortons, ils sont derniers dans les banniĂšres
oĂč il faut les changer. Les logos, ils sont
Speaker 2 (08:52):
encore derniers. Ils n'ont pas reçu le mémo.
Speaker 7 (08:55):
Ils ne savent pas qu'ils ont changé de logo. Il débarque. Déjà ,
il ne veut pas débarquer. Il dit, qu'est-ce que tu veux,
on ne débarque pas ici. Il est nerveux. Je retourne
au parking
Speaker 5 (09:07):
Ăa
Speaker 7 (09:07):
croise plus ou moins. Les gens sont fùchés. Les gens
sont hush-lags. Ils sont un peu énervés. Et... Ils débarquent
de l'auto. Il y a un gars Ă la porte.
Il commence Ă y parler. Je ne comprends pas ce
qui se passe. Moi non plus. Il rentre dans le
Tim Hortons. Moins d'une minute, il ressort. Ăa a Ă©tĂ© rapide.
(09:30):
Il rentre dans l'auto et il dit, t'as rien acheté, là .
Il y a une ligne de 8. Une ligne de 8. Too much.
Le midi, Ă Hochelag... Je
Speaker 5 (09:39):
suis sûr que t'es allé à celui sur Ontario, hein.
CÎté sud
Speaker 2 (09:42):
d'Ontario. Sherbrooke, lĂ , mais... Ils devraient le fermer, ces motos-lĂ
Speaker 7 (09:50):
Un peu avant Vio, mettons, lĂ .
Speaker 5 (09:53):
Mais non, il est bien correct, ce thĂšme-lĂ . ArrĂȘte, lĂ . Attends, attends.
Speaker 2 (09:57):
OK, M. Hody, lĂ . Mais merci
Speaker 5 (09:59):
Come on! Merci,
Speaker 2 (10:00):
Denatural. Je vais te chercher
Speaker 5 (10:02):
tantĂŽt. There's more, there's
Speaker 2 (10:03):
more. Merci
Speaker 5 (10:03):
Denatural
Speaker 2 (10:05):
Donc, lui, il me parle, il me parle, puis il
me dit, est-ce que je peux utiliser ton téléphone pour
appeler quelqu'un? Non, c'est ça, le gars
Speaker 7 (10:12):
Qu'est-ce qu'il voulait, le gars, Ă la
Speaker 2 (10:13):
porte? Il me dit, bien, il veut... Est-ce que je
peux appeler ce numéro de ton téléphone? Tu restes là ... Non, non,
je ne peux pas. Il y a un gars qui
demande
Speaker 7 (10:20):
Ă utiliser son fond pour
Speaker 2 (10:22):
faire un temps. Ok, donc il m'a dit, mets ce numéro,
puis il m'explique que je le mets. Je ne sais
pas pourquoi je le fais. Speaker, ça ne répond pas. Ok, bye. Ok, bye. Ensuite,
la personne que j'ai appelée me rappelle pendant que Newton
me dit, est-ce qu'on m'avait appelé? Non. Ah oui, c'est
quelqu'un qui m'a appelé. Vous avez dit c'est qui? Non.
Il était bizarre le gars qui m'avait appelé. Il a ri,
(10:44):
je l'ai fait rire. Je dis à Newton, c'est sûr
qu'il me traque avec cet appel-lĂ . Il sait oĂč je suis.
Je pense que c'est eux qui sont dans la merde.
Le petit conspirationniste. Attends, on parle de complot. C'est quoi
mon pourcentage? Le pire, c'est qu'on s'est dit qu'on
Speaker 6 (11:00):
n'a pas beaucoup de temps, on a beaucoup de sujets.
Ăa fait 10 minutes qu'on pense rien. Ăa
Speaker 2 (11:05):
met le mood pour ce qui va arriver en ce moment.
Ăa
Speaker 7 (11:07):
s'appelle les BD, Chose à Québec. Tu sais, le BDS,
c'est comment qu'il s'appelle? Mais c'était Sofiana Hochelag. Il était
Speaker 5 (11:16):
pas bien.
Speaker 7 (11:17):
Il était loin, mais il était loin. Le nouveau
Speaker 5 (11:21):
Hochelag, il est tellement plus
Speaker 2 (11:22):
cool que l'ancien. Ăa, c'est Hochelag en transition. Il est
encore en transition. Il n'est pas trĂšs gentrifiĂ©. Ăa va, calme-toi.
Donc voilĂ , vas-y Nilton, prends le relais. On arrive au
centre du Trilay. C'est une rencontre spéciale organisée par le club,
notamment Asun Kamara. Merci, Hassoun, d'avoir invité quelques médias, des blogueurs,
(11:45):
des webistes, des podcasteurs, des gens du web, des underground,
des gens qui... Il n'y a pas de
Speaker 6 (11:50):
temps.
Speaker 2 (11:51):
Je veux dire
Speaker 6 (11:52):
Elias Grigoresi, c'était là . Il écrit
Speaker 2 (11:54):
pour la presse canadienne
Speaker 6 (11:55):
Sid est Ă BPM Sports. C'est le descripteur,
Speaker 2 (11:56):
l'analyste
Speaker 6 (11:56):
C'est
Speaker 2 (11:57):
juste toi
Speaker 6 (11:57):
et moi qui n'a pas rapport. C'est ça. Juste vous
deux qui ĂȘtes
Speaker 2 (11:59):
podcasteurs. Il y avait un vibe, genre, comme dirait un
certain journaliste de la presse, des blogueurs dans leur sous-sol.
Il y avait un vibe comme ça. En termes de rĂȘve.
Speaker 7 (12:10):
Ils ont vraiment dit ça à la presse? C'est pas
la presse qui dit
Speaker 2 (12:13):
ça. Ah, merde. Désolé. Quelqu'un que je m'en veux plus.
N'importe quoi. Expliquez-moi. Qu'est-ce qu'on a fait lĂ -bas? Expliquez-nous un peu.
C'est pas si facile d'expliquer. Mais il n'y avait
Speaker 9 (12:21):
rien
Speaker 6 (12:22):
Mais c'était rien. Dans le fond, c'était une rencontre pour
permettre de mieux connaĂźtre Marco parce que... J'en parlais avec
Hassoun Ă la fin de la saison. Plus on passe
de temps... Si tu parles Ă Lucas Aputo deux, trois fois,
puis que tu as une idée de comment il pense
dans sa tĂȘte ou qu'est-ce qu'il voit, mais aprĂšs, quand
il se passe des moves, tu peux mieux comprendre les moves,
mieux les expliquer et moins partir dans des théories un
(12:43):
peu loufoques. C'était ça, la rencontre avec Marco Donadel. On
n'avait rien. On n'avait pas... Moi, je n'avais pas vraiment
de questions. Puis... Tu sais, pendant quoi? 15, 20, 30 minutes, tu
étais trÚs en surface. Pourquoi tu coaches? Si ça, ça,
ton expérience. L'Italie est comparée. Puis à un moment donné,
on est tombé. Puis moi, c'est le bout que j'ai
le plus aimé. On a sorti les tableaux, on a
sorti les aimants, puis on a parlé de systÚme. Avec ballon,
(13:05):
pas de ballon. C'est quoi un systĂšme de base? C'est
quoi votre systĂšme? C'est quoi tu t'attends de tel, tel joueur?
Puis quand il a sorti aussi les tableaux sur les
profils de joueurs qu'il aime avoir. C'est quoi pour lui
une défense centrale? OK, mais moi, je veux un joueur
comme ça, un autre joueur comme ça.
Speaker 5 (13:18):
Un 6,
Speaker 6 (13:19):
c'est ça que je veux. J'aime ça avoir tel systÚme,
telle affaire. Ăa fait qu'on comprend mieux dans sa tĂȘte.
On n'est pas sorti de là avec des mégas secrets.
Speaker 2 (13:26):
Non, non,
Speaker 6 (13:26):
non. On comprend un peu plus ce qui se passe
dans la tĂȘte de Marco
Speaker 2 (13:29):
Zanetti. C'est ça. On est rentré un peu dans une
fraction de son quotidien. Pré-saison, saison, comment il prépare l'équipe.
C'est quoi ses principes de jeu? Pas tous, parce qu'on
aurait passé 8 heures dessus. C'est quoi, comment il veut jouer,
la mentalité, etc. L'article de Sid sur canfou. club. com explique un
détail hallucinant. Allez-y, likez, partagez, c'est de la publication du canfou. club.
(13:54):
C'est une façon d'humaniser Marco Donadel. Ce n'est pas juste
le coach, c'est Marco Donadel. C'était intéressant. On a appris
beaucoup de choses et ceux qui avaient l'Ćil du coach
comprenaient plus. Moi, je n'étais pas vraiment dans le coaching,
mais je comprenais des choses, mais j'étais genre, je ne
vais pas le challenger sur ça parce que je ne
vais pas le challenger sur comment faire un pressing Ă
trois
Speaker 7 (14:12):
ans. Non, on n'était pas là pour débattre de sa stratégie.
On
Speaker 2 (14:15):
était
Speaker 7 (14:15):
lĂ
Speaker 4 (14:16):
pour comprendre. On a
Speaker 7 (14:17):
bien répondu et c'était vraiment intéressant. Vas-y, Newton. Mais on
a vu, aprĂšs quelques jours, ce qu'on peut analyser aprĂšs
quelques jours, c'est que Marco Donadel, on peut comprendre Pourquoi
les joueurs ont rapidement adhéré à son plan, à sa philosophie?
(14:39):
Parce que le gars, il est passionné. Il n'avait pas
l'air quelqu'un... On est resté là deux heures, puis il
a fallu que Hassoun dise« OK, guys, moi, j'ai faim.
Je dois partir ou je dois aller chercher la petite,
aller à la garderie ou quelque chose comme ça.» Parce
que Marco aurait parlé non-stop. Il était dans son élément.
Et tout ce qu'il nous a montré, comme tu as dit,
(14:59):
ce n'est pas un endroit... débattre s'il a raison ou
pas de faire ce qu'il veut faire. C'était plus un
meilleur cadre d'analyse parce que, on va peut-ĂȘtre en parler
un peu plus tard, quand on déclare ce qu'on ce
qu'on voit sur le terrain, puis aprĂšs, on critique ce
qu'on voit sur le terrain. Maintenant, on est peut-ĂȘtre un
peu plus en mesure de comprendre ce qu'on voit sur
(15:19):
le terrain. Est-ce que c'est ce que Marco demande ou
plutĂŽt les joueurs qui sont encore en phase d'apprentissage ou
certains ne vont jamais comprendre? Et mĂȘme les choix de joueurs,
on comprend un peu plus. Puis lĂ , quand il a
commencé à sortir de son tableau blanc pour aller un
peu plus dans le planning, selon moi, Ăa va l'air
d'un bilan de fin de saison pour planifier la prochaine saison.
(15:42):
C'était trÚs, trÚs, trÚs détaillé. Et ce qui est rassurant,
c'est qu'on quitte un peu les annĂ©es oĂč l'Impact faisait
du recrutement selon les opportunités qui se présentaient devant eux.
Tu sais, à la Boyanne, là .« Ah, il est disponible, oui.
Ok
Speaker 3 (15:59):
il
Speaker 7 (15:59):
pourrait remplacer Piettia en termes de marketing sur le terrain.
On verra. InouĂŻ, c'est un bon
Speaker 6 (16:02):
joueur. On s'appelle une spéciale, Fernando Alvarez. Ah, il est disponible. Ah,
on aurait-tu besoin de lui? Il est disponible, on est
allé le chercher.» C'est un peu comme ça qu'on est
allé le chercher, Fernando
Speaker 7 (16:12):
Je ne le sais pas, mais peut-ĂȘtre. Mais
Speaker 6 (16:14):
lĂ ,
Speaker 7 (16:14):
ce qu'on sait, c'est que les recrutements, depuis cette saison,
puis je te parle de ⊠la saison morte, en
commençant avec Vera et en commençant aussi avec les options
non levées pour certains joueurs. Tout ce qu'ils font, ils
ne vont peut-ĂȘtre pas rĂ©ussir, ce n'est pas ça, mais
c'est avec une intention claire et nette. Est-ce que ce
(16:36):
joueur-lĂ cadre un profil que j'ai besoin d'ajouter Ă mon
équipe
Speaker 6 (16:41):
Moi, je veux juste parler des principes de jeu. On
va juste rester dans le coaching deux secondes. Il y
en a qui se demandent c'est quoi les principes de jeu.
Il nous a parlé que lui, il n'aimait pas la
possession stérile. Il veut une possession pour progresser. Par ça,
ça ne l'intéresse
Speaker 9 (16:53):
pas.
Speaker 6 (16:55):
Exact. Mais quand il est arrivé, il y avait un
peu de possession stérile. C'était un autre systÚme. Il a
fallu qu'il bouge ça. Il a parlé beaucoup de... Il
n'a pas utilisé le mot« grinta», mais c'était ça. Je
veux des gars qui bataillent sur le terrain. Ăa, en 2026,
toutes les 25, toutes les équipes veulent ça. Il a parlé
de courage, mais pas de courage au niveau physique, mais
de courage au niveau de prendre des risques par en avant.
Quand on a des options de jouer par en avant,
(17:16):
puis on va sur le cĂŽtĂ© oĂč on va derriĂšre, lui,
il n'aime pas ça. Alors qu'avant, c'Ă©tait tolĂ©rĂ©, voire mĂȘme encouragĂ©.
Il n'a pas tapĂ© sur la tĂȘte de qui Ă©tait
là avant. Il a juste dit que quand il est débarqué,
c'était différent. Et l'autre truc, c'est que quand il est
arrivé là , comme adjoint au camp à Marivick, Il y
a eu l'impression qu'il y avait plusieurs individus, mais zéro groupe.
Il y a quelqu'un qui a demandé« Mais ça va
(17:36):
ĂȘtre quoi ta clĂ© du succĂšs l'annĂ©e prochaine?» C'est le
groupe
Speaker 4 (17:39):
On
Speaker 6 (17:39):
ne travaille pas plus en collectif. Et si on a
encore juste des individus qui se collent sans qu'on crée
une identité collective, on va échouer et c'est son grand défi.
Si vous vous demandez c'est un peu quoi les principes
ou c'était quoi Marco Donadel, je vous l'ai résumé.
Speaker 2 (17:52):
En termes de mental, c'est exactement ça. J'aurais rien Ă
rajouter par rapport
Speaker 7 (17:55):
à ça. Il est trÚs rapide dans sa prise de décision.
Quand il a demandé« Tu lui donnes combien de temps
à un joueur qui respecte tous les consignes?» il n'a
pas eu le temps de finir sa question, c'est que
la réponse de Marco, c'était deux matchs, deux semaines. Donc,
si tu commences Ă ajouter tous ces morceaux-lĂ ensemble, on
peut comprendre pourquoi certains joueurs ont été tassés rapidement. Avec
(18:17):
raison ou Ă tort, on ne le sait pas, mais lui,
s'il a décidé de tasser tel gars, c'est que dans
sa tĂȘte, soit il n'avait pas de courage, soit il
était trop individuel, ou les consignes, il jouait, il ne
comprenait pas les consignes ou il était incapable de les appliquer. Donc,
une fois que ça, c'est clair et net, nous, aprÚs,
on peut comprendre pourquoi il le fait. AprĂšs, on peut
(18:37):
débattre s'il a raison ou pas, mais au moins, on
va débattre sur un cadre qui est plus juste, comme
par exemple le fameux marquage individuel man-to-man qui est critiqué
Ă travers
Speaker 6 (18:46):
⊠C'est ça, il nous l'a tellement bien expliqué. J'ai
encore essayé de résumer dans 30-35 secondes, faire aussi bien
qu'avec Ballon, là . Lui, ce qu'il veut créer, c'est quelqu'un
qui va presser, bien entendu, rapidement. On va presser le ballon.
Sa ligne d'engagement est quand mĂȘme haute. Il n'attend pas
au milieu du terrain. Il est un peu plus haut.
Il veut une ligne d'engagement quand mĂȘme assez haute
Speaker 8 (19:06):
Mais
Speaker 6 (19:06):
il veut créer des situations défensives Ou, tu sais, il
nous a parlé de triangle, puis de zone défensive, etc.,
puis de oĂč il y avait l'action, puis oĂč il
y avait Alanto. Mais en gros, c'est que son« men
to men», c'est quand mĂȘme un marquage, oui,« men to men»,
mais quand mĂȘme, tu sais, assez proche, assez loin, lĂ
oĂč ça nous saute aux yeux. Puis lĂ oĂč, des fois,
on fait comme« hé, j'aime pas ça le« men to
men» de Marco». C'est quand on est zone 1, donc proche
(19:28):
de notre gardien, et le joueur que, mettons, Campbell marquait
en début de saison, il revient en milieu de terrain.
Marco veut que le défenseur le suive. Fait que c'est
là que c'est bizarre qu'on voit un défenseur central qui
se ramasse Ă venir marquer quelqu'un, tu sais, en plein
milieu du terrain, puis décrocher. Mais sinon, c'est pas tant
un man-to-man agressif.
Speaker 4 (19:47):
Il y a
Speaker 6 (19:48):
des stratĂ©gies de zone aussi. Ăa, c'Ă©tait le fun qu'il
nous l'explique parce qu'on ne va pas sortir aprÚs ça
en disant le man-to-man. Non, c'est un systĂšme hybride avec
du man-to-man dans certaines situations, mais c'est
Speaker 2 (19:57):
plus qu'un man-to-man. Je suis
Speaker 6 (19:59):
content d'avoir compris.
Speaker 2 (20:00):
Exactement. TrĂšs bien dit. En plus, le joueur va prendre
des décisions qu'il s'ajuste ou pas à avoir. Pour quelques
composants de ces principes, c'est que Et c'est un peu
l'Italien annĂ©es 2000, j'ai l'impression. MĂȘme Allegri de Milan en parle beaucoup.
Il parle de combat, il parle de souffrir, il parle
de la prise de risque, comme on l'avait dit juste avant.
(20:22):
Quelque chose que Frédéric dit souvent, prise de risque, il
faut prendre un risque, sinon ça ne sert à rien.
Et ce que je trouve fascinant, c'est que la beauté
en touche, entre guillemets, pas de façon méchante, par rapport
Ă la question du pressing individuel au marquage. Non, non, nous,
notre focus, c'est le ballon. Moi, je vais chercher le ballon.
C'est le ballon qui m'intéresse. Et ce qui est fascinant,
(20:44):
c'est qu'il nous a montrĂ© des sĂ©quences vidĂ©o oĂč vraiment
tout ce qu'il y montrait, la théorie dans son PowerPoint,
il montrait dans la vidéo. Regardez, on l'a vu plusieurs fois.
On se rappelle, le club faisait du pressing haut. Et
il disait, moi, tout ce que je fais, n'oubliez pas,
de l'autre cÎté, il y a des joueurs, ce n'est
pas des plots. Donc, moi, ce que je fais, il
y a des ĂȘtres humains de l'autre cĂŽtĂ© qui vont
(21:05):
me défier et qui vont me faire perdre, du moins,
contre ma stratégie. et ce qui est bien c'est qu'ils
simplifient des choses et les composants comme j'avais dit on
va avoir le ballon on fait du pressing le triangle
c'est une forme géométrique 3 points dans un espace c'est un
triangle donc c'est correct mais c'est un triangle un peu
organisé pour pouvoir quand tu répÚtes dans ton entraßnement les
(21:25):
mises en situation quand tu es dans le match tu
reconnais la situation ah cette situation je dois faire ça, ça,
ça quelque sorte de ta position sur le terrain donc
il y a ça et le focus quelque chose qui
est trĂšs important pour tout le monde dans le football
c'est le surnombre Le surnombre, que ce soit avec le ballon,
quand tu veux construire du gardien, ils considĂšrent le gardien
comme un joueur important. Donc, si tu as deux défenses
(21:46):
centraux et le gardien, puis tu as deux attaquants qui
te pressent, qui font un pressing, en fait, tu es trois.
Tu es trois contre deux. Donc, tu as l'avantage pour
pouvoir écarter le jeu ou pas. Aussi, il a dit
qu'écarter le jeu, c'est important, comme beaucoup font maintenant. Tu
écartes le jeu, tu étires le terrain le plus possible.
Tu étires, c'est comme des piÚges. Tu vas d'un cÎté, hop,
tu chuches de l'autre pour créer des équilibres, etc. Et ensuite,
(22:07):
nous viennent les joueurs de qualité comme Silly, Sinjouk, etc.
Excuse-moi
Speaker 6 (22:12):
Sof. Tout ce qu'il a expliquĂ©, puis mĂȘme son temps
et espace. On a plus de temps, plus on est
proche de notre gardien. On a moins
Speaker 5 (22:19):
de temps
Speaker 6 (22:20):
plus on est proche. Puis on a moins d'espace, on
a plus d'espace, etc. Tout ça, il n'y a pas
de pĂ©joratif, mais tout ça, c'est de l'extrĂȘmement simple. C'est
du basic. Tu te
Speaker 7 (22:32):
souviens de ce qu'il a dit au début quand il
a commencé à présenter sa stratégie pour l'année prochaine? Son mot-clé,
c'était ça. Il voulait simplifier la tactique
Parce que probablement qu'il s'est rendu compte que son groupe
était trÚs jeune et qu'il avait besoin d'y aller par étapes,
(22:55):
qu'il avait
Speaker 2 (22:56):
besoin de
Speaker 7 (22:56):
s'impliquer avant
Speaker 2 (22:57):
de rendre ça trÚs complexe. Parce qu'il a dit, si
ils jouent trop, je vais les perdre. Puis
Speaker 6 (23:02):
quand tu commences, premiĂšrement comme coach qui commence, deuxiĂšmement, tu
as toujours des joueurs qui arrivent et qui partent. Ce
groupe-lĂ n'est pas le mĂȘme comme le Forge pendant des
années et des années. Donc, il veut mettre en place
une certaine base simple Et aprÚs ça, il pourrait ajouter
une stratégie un petit peu plus compliquée. Il nous a
parlé dans un tel match, il a fait rentrer Herbers,
on avait
Speaker 5 (23:20):
un déséquilibre
Speaker 6 (23:21):
d'un cÎté, de l'autre cÎté, c'est cool. Mais il revient
Ă la base. Puis moi, le dernier truc qui marque
de tout ce qu'on a, j'en sais que Marco Donadel,
je ne te dis pas que ça va arriver. Mais
Ă chaque fois qu'il nous montrait ses trucs avec ses jetons,
ses pitons, il est souvent allĂ© dans une dĂ©fense Ă
trois oĂč il plaçait Vera Ă gauche de la dĂ©fense
Ă trois. Je ne dis pas qu'on va commencer avec
une défense à trois, mais ne prenons pas pour acquis
(23:43):
qu'on va commencer avec une défense à quatre ou deux.
Ouvrons la porte à une défense à trois, puis Vera
à gauche d'une défense à trois, ça a tellement de
sens que ça peut que ça soit testé ou essayé.
Ăa ne veut pas
Speaker 2 (23:55):
dire que ça
Speaker 6 (23:56):
va ĂȘtre ça le premier match, mais je pense que
ça
Speaker 2 (23:57):
va ĂȘtre testĂ©. MĂȘme lui, il le dit, il fait
aussi pour se protéger un peu. et ne pas montrer
son jeu, ou du moins... ne pas dire quelque chose
Ă nous, aux confĂ©rences de presse, pour qu'il puisse ĂȘtre
utilisĂ© contre lui ou pas mĂȘme ses boss, pour dire, moi,
je n'ai pas de formation. 3-4, lĂ , je m'en fous.
Tu commences quelque part. Je dis, je commence 4-4-2, mais aprĂšs,
je change, je fais ce que je veux. Et d'oĂč,
(24:17):
et on le voit dans le foot depuis, je pense,
depuis Barça-Gardiola un peu, mĂȘme Cruyff l'a fait un peu,
Cruyff dans les annĂ©es 90, oĂč, bon, aprĂšs, je ne vais
pas revenir au total football avant ça, mais oĂč les
joueurs peuvent jouer plusieurs postes. Il dit, moi, j'ai mon
latĂ©ral gauche qui peut ĂȘtre un fullback, qui peut ĂȘtre
un Ă©lite, qui peut ĂȘtre un dĂ©fenseur central gauche. J'ai
(24:39):
cette flexibilité dans les postes pour pouvoir utiliser mes atouts
offensifs de façon efficace ou pas. Ăa dĂ©pend. Vera, je
peux le mettre. Elie, quasiment, si j'ai besoin. Parce qu'il
sait qu'il peut jouer ce registre-lĂ . Peut-ĂȘtre que Petrasso ne
peut pas le faire. Tu sais, il a différents profils.
Et puis, il n'est pas figé par la formation pour
dire« Ah, j'ai un 3-4-3, je pourrais jamais faire ça.»
Ils s'en foutent. Beaucoup s'en foutent en général. Sauf si
(25:01):
tu es joueur
Speaker 7 (25:01):
Les coachs en général, les systÚmes trÚs, trÚs rigides pour
Speaker 2 (25:05):
graphique
pour
Speaker 7 (25:07):
présentation de joueurs, ça ne les intéresse pas. Parce que
tu as dit, le mot-clé, c'est« profil». Ils ont des
responsabilités qui viennent avec leur profil. quand ils ont le ballon,
quand ils n'ont pas le ballon. Donc, un truc qu'on
a vu beaucoup avec Vera, visiblement, c'est qu'il fait partie
du trio agresseur pour la récupération de balles quand ça
(25:28):
va ĂȘtre le temps d'ĂȘtre proche de son terrain ou
à la construction dans leur premier tiers. Donc, aprÚs ça...
Ils s'en foutent un peu qu'on appelle ça 4-2-3-1 ou 4-4-2.
Ils s'en tapent complĂštement. Beaucoup de coachs aussi.
Speaker 2 (25:45):
Mais ce qu'ils veulent, c'est des profils
Speaker 7 (25:50):
Ce qu'ils veulent, c'est... Il y a 11 joueurs sur le terrain,
incluant le gardien. Ils ont des tĂąches Ă accomplir. Ils
cherchent ceux qui sont le plus adeptes pour faire ce
genre de tùches-là . Et il n'est pas différent de nous.
Les mĂȘmes Les mĂȘmes moments de dĂ©sespoir qu'on vit avec
certains joueurs, lui aussi, il les vit. Si on trouve
(26:14):
que tel joueur, il shot tout le temps Ă telle place,
puis qu'il fait toujours la mĂȘme chose, puis qu'il nous dĂ©courage, Marco,
c'est fou Ă mille. On en voit des moments oĂč
il y a... Avant mĂȘme qu'on fasse, lui-mĂȘme a fait,
mais qu'est-ce qu'il vient
Speaker 6 (26:27):
de faire lĂ , ce joueur-lĂ ? C'est un bon exemple. C'est
un bon exemple là . Ce n'est pas ça qu'il nous
a dit. Il l'a dit avec d'autres joueurs, puis on
ne brûlera pas ce qu'il nous a dit. Non, exact.
Quand on regardait les profils, ce qu'il recherche du 10 sur
le terrain ou du 8. LĂ , je lisais parce qu'il y
a des pondérations. Pour telle affaire, c'est plus important. Telle affaire,
c'est moins important. LĂ , je lisais et je me disais,
ah oui, on avait Bryce Duke. On comprend. Lui, il
(26:48):
est débarqué, puis il n'a pas choisi ce profil-là . Il
était là , puis lui, il dit, je ne peux pas
le mettre Mais il peut l'essayer de temps en temps.
Il peut le mettre sur
Speaker 7 (26:55):
le terrain et dire, OK, là , t'es programmé de jouer
de telle façon, mais là , nous, ce qu'on veut faire,
c'est que tu fasses ça. AprÚs, le joueur, pour se déprogrammer,
c'est
Speaker 2 (27:05):
pas tout
Speaker 7 (27:06):
le monde qui est capable de faire ça.
Speaker 2 (27:07):
Oui. Et puis, moi, ce que... Je sais pas si
vous voulez conclure sur ça ou pas, mais je... C'est
que j'ai... Tu sais, Laurent Courtois et Ronaldo Sada, c'était
pas un savant parfait. Ils avaient des lacunes, comme tout
le monde, lĂ . et mĂȘme Donadel a des lacunes il
aura des lacunes aussi dans ce qu'il fait mais ça
(27:27):
m'a re comment dire ça a rééquilibré mon sol d'analyse
du club quelque chose que j'ai fait ce déséquilibre que
j'ai eu aprĂšs ou vers la fin d'Olivier Renard et
maintenant par rapport Ă comment j'analyse ce que le club
fait et lĂ j'ai beaucoup moins de pression sur le
(27:48):
club maintenant le club ce qu'il fait Ă moins que
c'est quelque chose de catastrophique moi j'adhĂšre parce que je
regarde j'observe Pour moi, j'ai beaucoup moins d'indulgence, beaucoup moins
par rapport Ă la direction sportive maintenant. Parce que lui,
il n'a pas dit ça, mais il dit, si je
n'ai pas les joueurs minimum techniques qui ont une certaine
habilité pour faire le minimum que je demande, le gars,
(28:08):
il est âŠ
Speaker 7 (28:08):
Ce n'est
Speaker 2 (28:08):
pas tous
Speaker 7 (28:09):
les coachs qui disent ça. De toute façon, j'ai
Speaker 2 (28:11):
été
Speaker 7 (28:11):
embauché avec ce plan de match. Donnez-moi les joueurs. Si
vous ne me les donnez pas, ce n'est pas de
Speaker 2 (28:15):
ma faute. Les coachs, ils
Speaker 7 (28:16):
finissent tous par dire ça quand ça
Speaker 2 (28:18):
ne va pas bien. Oui, mais son plan de match,
il ne demande pas. Genre, Sidor fait caca. Je veux dire,
genre ⊠les joueurs qui en ont besoin vont coûter
de l'argent un minimum. J'ai l'impression que le club veut
dépenser un peu plus, mais comme j'ai trÚs critique de Renard...
Mais il va ĂȘtre validĂ©, non? Oui, mais moi, j'aurais
(28:40):
beaucoup d'impatience avec le marcateur du club. Chaque joueur, je dis,
t'es sûr que t'as fait la bonne chose? Est-ce que
ça marche que le coach voulait? Est-ce qu'il marche sa philosophie? Etc. Donc,
j'ai moins d'adjustance par rapport Ă la direction sportive parce que,
tu sais, Une reconstruction dans un club à malade, ça
n'existe pas. C'est juste un reset. Puis, tes derniÚres années,
l'année prochaine, tu gagnes le sport de cheer et t'es bien. Donc,
(29:02):
juste pour dire, je suis beaucoup ⊠J'étais déjà dur
avec la direction sportive. LĂ , je vais ĂȘtre encore plus
dur parce que j'ai des attentes beaucoup plus élevées par
rapport à eux. L'année prochaine, on
Speaker 7 (29:10):
va avoir un meeting avec les scouts. Ils vont nous
expliquer l'oie scout. Ils vont nous montrer. Puis lĂ , tu
vas ĂȘtre indulgent avec
Speaker 2 (29:17):
eux. Tu vas
Speaker 7 (29:17):
te pencher aprĂšs Joey.
Speaker 2 (29:19):
Tout ça
Speaker 7 (29:19):
en espérant de voir Joey
Speaker 2 (29:20):
VoilĂ !
Speaker 7 (29:21):
Je
Speaker 2 (29:22):
suis jamais content. J'ai une question. Vous avez aimĂ©... Ă
un moment, Asoun, il a mis une caméra puis il
nous avait filmé chacun tout seul pour donner des impressions.
Vous avez aimé qu'on ait fait ça avec eux?
Speaker 8 (29:34):
Je suis José
Speaker 2 (29:35):
Mourinho.
Speaker 10 (30:03):
J'ai coaché les meilleurs clubs du monde. J'ai gagné l'équipe italienne,
le portugais, l'anglais et l'espagnol.
Speaker 2 (30:10):
Tout le monde était comme ça aprÚs. On était tous...
On était... Ouais, ouais, je suis José Moreno. Là , je
suis prĂȘt Ă coacher et Ă s'asseoir lĂ . Ah ouais,
let's go. idée comment ton cerveau fonctionne. Ceux qui t'écoutent
Ă toutes les semaines. Tu m'as compris
Speaker 7 (30:24):
Ăa prend
Speaker 2 (30:25):
plus de secondes. J'ai mal fait le lead-up. C'est pas grave.
Parlons de lead-up. Il y a quelque chose d'autre tirage
en ce moment?
Speaker 7 (30:31):
Je
Speaker 2 (30:32):
ne sais pas
Speaker 7 (30:32):
On verra ça demain.
Speaker 2 (30:33):
Non, Google.
Speaker 7 (30:35):
On
Speaker 2 (30:35):
fait du contenu.
Speaker 7 (30:38):
Non, je n'ai rien. Next
Speaker 2 (30:41):
LĂ , on a quoi? On a Supra, Wilfrid Nancy et FIFA. Allez-y.
Speaker 6 (30:48):
Moi, je vais aller avec Supra. Tu viens d'ouvrir ça.
On va y aller tout de suite. Trois joueurs du
Supra signĂ©s. Ăa va ĂȘtre annoncĂ© la semaine prochaine. LoĂŻc CoĂ©my,
qu'on a tous travaillé, autant c'est CPPDLC sur les réseaux sociaux.
Ăa a Ă©tĂ© travaillĂ© fort, mais LoĂŻc CoĂ©my, qui va
ĂȘtre parmi le premier trio de joueurs signĂ©s par le Supra.
(31:09):
David Choignard, frÚre de Mathieu Choignard, qui est passé par
le CF Montréal. Et Sean Rea, qui est aussi passé
par le Saint-Moyal, ce sera les trois premiers joueurs. Encourager,
pas encourager, content, surpris?
Speaker 2 (31:25):
J'ai une question. Non, je ne vais pas faire
Speaker 6 (31:29):
Je
Speaker 2 (31:30):
vais faire un
Speaker 4 (31:30):
truc
Speaker 2 (31:31):
trĂšs,
Speaker 4 (31:31):
trÚs... Je vais rester sérieux
Speaker 6 (31:34):
Moi, je vais faire le méchant qui dit, allez, sauf. Vas-y. Oui, vas-y, vas-y.
En fait,
Speaker 2 (31:39):
maintenant que tu me rappelles, j'ai deux choses que je
voulais dire. Mais non, allez,
Speaker 7 (31:42):
vas-y. Ăa va peut-ĂȘtre mieux que ton vidĂ©o, essaye.
Speaker 2 (31:45):
Ah, connard. C'était vraiment mal fait. En termes d'exécution, c'était nul. J'avoue.
Speaker 7 (31:53):
I don't want peace. I want problems
Speaker 2 (31:58):
always. Ăa, c'est
Speaker 7 (31:59):
une excellente transition pour ce que
Speaker 2 (32:01):
tu vas dire. Ce que j'ai fait, c'était vraiment mauvais.
Je suis d'accord. Parce que tu me connais. I can't
change that I'm gorgeous. I can't. On va
Speaker 7 (32:12):
toutes les mettre, right
Speaker 2 (32:13):
J'aimerais juste En plus, je l'aime bien. Je pensais qu'il
avait fait quelque chose. Les gens ont fait un bon
travail de trouver du mercato. Max et moi aussi. Ils
ont plus ou moins les mĂȘmes infos, des temps diffĂ©rents, etc.
Chacun a fait un bon travail.
Speaker 4 (32:29):
Bien
Speaker 2 (32:30):
Puis, toute la province du Québec en termes de foot
savait ce qu'on savait. Parce que, je ne suis pas
sûr que la cousine du gars au Tim Hortons a
dit« Ouais, mon cousin, je suis en lien avec lui.»
C'est le gars qui a dit« Ah, je t'appelle, je
t'appelle Sean Rea au Tim Hortons.» J'aimerais juste dire, j'ai
vu l'article de la presse pensée. Oh frÚre, je ne
(32:55):
sais pas si c'est Jean-François qui a décidé de ça.
S'il te plaĂźt, n'envoie pas un message, s'il te plaĂźt.
Ce n'est pas une attaque contre toi. Mais vous avez
vu les tweets de Nilton et Max? Juste mettez genre
⊠C'est genre, ouais, aussi rapporté par Nilton et Max.
Dis-moi pas collaboration, dis-moi pas genre en premier. Dis, aussi
(33:15):
dit par, comment dire, aussi indiqué par le canton de contenu,
Maxime Trouman et Nilton. Genre, juste dis ça à la presse.
Speaker 7 (33:23):
C'est assez récent que les autres le font, parce que,
tu sais, en diathlétique, ils ont, je pense, une politique
interne récente Quand Tom Borger, dans ses articles ou dans
ses tweets, il va toujours faire la référence au« first
reported by». Mais ce n'est pas nécessairement la façon de
(33:48):
faire« coast to coast», si on veut. Probablement que la
presse va dire« nous, on a des politiques internes, on
le savait déjà , on ne l'avait juste pas dit avant,
donc on confirme, etc.» Il doit avoir 21 000 bonnes raisons
Speaker 4 (34:03):
de le faire. Exact
Speaker 7 (34:05):
Puis, probablement dire chose binouche, le dire en premier. C'est
pas si grave que ça.
Speaker 2 (34:15):
Oui, oui, oui. Mais tu sais quoi? J'hésitais à en parler.
J'étais choqué par des démons du passé, surtout que Jean-François
est vraiment un gars cool. Et puis, j'ai toujours du
mal à me comparer à des gens qui sont payés
Ă faire ce job-lĂ . C'est mĂȘme dans le truc du coaching, lĂ .
je vois Elias, je vois Sid, ils travaillent, ils sont
payés pour faire parler de foot. Donc ça, c'est la
(34:35):
valeur ajoutĂ©e Ă©norme dans leur travail. Et mĂȘme pour vous
qui vont au stade ou moi qui regarde les matchs
au stade, on n'est pas payĂ© mais on contribue Ă
cet écosystÚme. C'est juste que je dis, on est encore en 2012,
en 2013 ou genre... On n'existe pas.
Speaker 7 (34:51):
Les comptes Instagram font la mĂȘme chose. Ăa vient de
telle ou telle personne dans les légendes, mais dans le visuel,
ce n'est pas écrit. Je laisse une bataille à abandonner
Speaker 6 (35:05):
Je pense que c'est juste une question de respect plus
que de ligne de conduite. Tu ne perds rien Ă l'ajouter.
Mais tu peux perdre Ă Paul Mert parce que t'as
d'autres personnes. Tu sais, comme lĂ , c'est soft. Moi, j'ai
trouvé ça loin. Moi, c'est un mot qui me dérange,
c'est la presse a pu confirmer dans le texte. Puis,
(35:26):
j'adore Jeff, c'est probablement le gars le plus cool pour
couvrir le soccer dans un média traditionnel, sincÚrement. Mais tu sais,
la presse a pu confirmer Ăa veut dire que tu
confirmes quelque chose qui s'ébruite ou qui se promÚne. Tu
ne confirmes pas. Si je te donne un scoop tantĂŽt,
je vais peut-ĂȘtre te donner quelque chose. Je ne vais
pas pouvoir te confirmer quelque chose. Je vais pouvoir t'indiquer
et te dire. Tu confirmes que les jets sont perdus
en prolongation. Oui. Sur shoot-out
(35:46):
Mais tu sais, c'est juste ça. Je pense que ça
aurait pu ĂȘtre dit, mais est-ce que ça me dĂ©range
Ă un point que je ne dors pas? Pas du tout. Non, non.
On devrait tous plus ne pas se tenir. C'est juste
avoir du respect envers le travail d'autrui. L'autre truc, c'est
que Moi, les infos, je les ai eues parce que
je passe peut-ĂȘtre prĂ©sentement cinq soirs semaine sur des terrains
(36:12):
de vrai soccer, de futsal ou whatever. à un moment donné,
on croise du monde et tout le monde connaĂźt quelqu'un
et on se parle. C'est des infos qu'on va chercher
sur le terrain. Nilton, tu as eu tes infos probablement
pour les mĂȘmes raisons ou parce que tu entretiens des
amitiés avec du monde, du foot local et des relations.
Ne dis pas
Speaker 2 (36:27):
Ă moi, Nilton. Ne dis rien
Speaker 6 (36:30):
Mais... C'est du travail acharné. C'est pas juste on attend
un communiqué, puis là , on reste sous l'embargo. C'est autre chose.
Mais est-ce que ça me dérange parce que j'aime moins
un GF0?
Speaker 2 (36:43):
Non,
Speaker 6 (36:43):
non
Speaker 2 (36:46):
non. On va aimer ça de Nilton et Max. Moi,
j'en ai parlé parce que ça trigger un peu l'anglicisme
des fantÎmes du passé. Qui apparemment sont encore là . This
Speaker 10 (36:56):
is football heritage.
Speaker 2 (36:59):
J'ai compris ça là , Max, ça va?
Speaker 6 (37:01):
Oui, j'ai compris tout.
Speaker 2 (37:04):
Ryan
Speaker 6 (37:04):
Josemarino.
Speaker 2 (37:06):
Vous
Speaker 6 (37:06):
ĂȘtes content des signatures? PremiĂšrement.
Speaker 2 (37:13):
C'est les meilleurs joueurs qu'on puisse avoir disponibles. Oui, mais
je suis
Speaker 7 (37:16):
surpris que ça soit une signature déjà . Moi, je pensais,
on en a parlé beaucoup, on entendait beaucoup de choses,
je pensais que l'ordre logique Puis lĂ , je ne les
ai pas vus, les try-outs. Je ne ferais pas semblant. Moi,
je pensais que l'ordre logique, c'était que Whammy finisse par
obtenir un contrat aprÚs une présaison, whatever. Je ne pensais pas.
(37:39):
Mais l'avantage de LoĂŻc, c'est qu'il ne peut pas ĂȘtre
plus connu que par le staff qu'il a en place.
Il l'aime dĂ©jĂ . Il peut voir oĂč il est rendu.
Il va avoir la confiance. Je suis super content. La
légende des terrains québécois va avoir finalement ⊠La
Speaker 2 (37:57):
vraie
Speaker 7 (37:57):
opportunité. Il est un peu vieux pour avoir ce
Speaker 2 (38:00):
break-là , mais au moins, il l'a. C'est trÚs CF Montréal, là ,
avec Dante Silly et Bernard Craig. Ils sont Ă l'essai,
mais ils ont déjà un contrat, là . Ouais
Speaker 7 (38:07):
on dit ce qui peut ĂȘtre Ă base
Speaker 4 (38:10):
Rendu lĂ
Speaker 7 (38:11):
c'est bon. Des deux autres, moi, je pensais que Best Case, Supra,
allait ĂȘtre capable d'en signer un. Ouais. Mais lĂ , ce
qui est cool, c'est qu'on voit que Le Supra a
une carte blanche en termes de réputation. Tout le monde
les aime. Quand il arrive quelque chose, let's go, on
(38:31):
joue avec les boys. Souvent, on aime ça faire une
équipe Québec pour savoir si on s'en va à la
Coupe du monde. L'an 1, ça va ĂȘtre pas mal. Pas
l'équipe A, parce qu'il y en a quelques-uns qui vont
ĂȘtre partis en Europe, mais ça va ĂȘtre une belle
équipe Québec. Tout le monde va tomber en amour, mais
il va falloir que les rĂ©sultats viennent. Ăa va ĂȘtre
tough parce que poste pour poste, Il y a des
(38:54):
postes oĂč ça va ĂȘtre compliquĂ© de remplir des gilets
québécois là -dedans. Avoir Chandrea et David Choignard, ça envoie un
excellent message pour tous les autres. C'est comme, OK, on
a deux vétérans de la CPL. On peut bùtir sur
eux autres. Ils n'ont pas eu
Speaker 6 (39:14):
Ils n'amĂšnent pas la mĂȘme chose. Chandrea amĂšne quand mĂȘme
une certaine expérience, mais surtout une jeunesse et un jeu offensif.
Je le connais depuis 16 ans. Il a toujours été le
meilleur de ses Ă©quipes. Ăa a Ă©tĂ©
Speaker 7 (39:23):
un peu plus compliqué cette saison
Speaker 6 (39:25):
Exact, Ă un certain niveau, mais je veux dire, il
amĂšne surtout du talent ou de la folie dans le
jeu en zone 4. C'est ça qui va amener. Je ne
Speaker 2 (39:32):
sais pas si ça va fonctionner, mais... Il a un
profil trÚs spécifique. Son profil, ça passe ou ça casse.
Exact
Si tu ne joues pas jouer spécifiquement, il est comme
un numéro 10 hybride, entre guillemets. Alors, ChouaniÚre, David, c'est un
ailier qui aime provoquer. qui va se sacrifier. Les ChouiniĂšres
Speaker 6 (39:49):
arrivent pour son expérience.
Speaker 2 (39:51):
C'est
Speaker 6 (39:52):
comme un total package. Je ne te dis pas que c'est...
Speaker 7 (39:57):
Le
Speaker 6 (39:58):
capitaine
Speaker 2 (39:59):
C'est trĂšs positif comme chose. On a tous hĂąte au
Speaker 6 (40:01):
reste. Moi, ce que j'ai pour le reste, il y a...
Speaker 2 (40:06):
On a-tu le breaking
Speaker 6 (40:07):
news
Speaker 2 (40:09):
Non, on n'a pas tiré. J'ai un scoop. Il y
a
Speaker 6 (40:12):
trois gars de Ligue 1 qui devraient ĂȘtre annoncĂ©s dans la
badge d'aprĂšs.
Speaker 2 (40:15):
Ligue 1?
Speaker 6 (40:16):
Ligue 1 québécoise. Ils veulent gagner la Coupe CPL ou
Speaker 2 (40:22):
pas? Il y
Speaker 6 (40:23):
a quatre jeunes que le bruit se passe. Mon gars,
c'est un 2009. Il y a des 2009 qui sont invités. Il
y a des 2008. Mon gars joue avec des 2008. Ă un
moment donné, on connaßt pas mal de monde dans ces années-là .
Speaker 3 (40:33):
Il y
Speaker 6 (40:34):
a quatre jeunes qui savent ou qui pensent ou qui
ont des bonnes chances de recevoir des contrats, mais des
contrats qu'ils reçoivent, ils signent, mais ils continuent d'aller jouer
dans leur club encore. Soit en U17, soit en U19.
peu importe, ou en Ligue 2, ou whatever. Mais on a
au moins 3-4 jeunes du QuĂ©bec qui devraient ĂȘtre annoncĂ©s
sous peu, et au moins 3 gars de Ligue 1 qui vont
ĂȘtre annoncĂ©s aprĂšs. Ăa veut pas dire que c'est fini,
les gars de qualité CPL. Je veux juste dire, on
(40:56):
est rendu plus loin qu'on nous le dit. On a
déjà une dizaine de joueurs qu'on a identifiés. Des contrats U18? Genre, exact,
que t'es pas obligĂ©. En fait, que tu peux reprĂȘter
à un club amateur, puis c'est comme si ça existait pas,
mais le gars, il arrive dans son club, puis il
a un escape.
Speaker 2 (41:10):
J'ai une question comme ça, puis je le fais pas
pour avoir du buzz, lĂ , mais mĂȘme s'il va ĂȘtre
plus proche de la MLS ou MLS Next Pro,
Speaker 7 (41:19):
est-ce
Speaker 2 (41:20):
que...
Speaker 7 (41:22):
Je pense que je vais dire
Speaker 2 (41:23):
oui. Le militaire du Southern Methodist University Ă Dallas, Texas, M.
Charles-Ămile Brunet, voudrait venir en CPL. Parce que lĂ , il
pÚte le feu. Je vais répondre par une question,
Speaker 7 (41:35):
OK
Speaker 2 (41:36):
Vas-y.
Speaker 7 (41:40):
Est-ce que tu fais assez d'argent en CPL pour sacrifier
du NCA? C'est
Speaker 2 (41:48):
une trĂšs bonne question. Ăa, c'est un gros problĂšme
Speaker 7 (41:51):
pour la CPL. C'est un méga problÚme. Parce que si
tu n'es pas capable de répondre aussi rapidement à ça,
la CPL n'est pas encore assez loin dans son processus.
En principe, une ligue professionnelle devrait attirer automatiquement les meilleurs
du NCAA. En plus, un Québécois. Mais, mais, il y
a un gros mais lĂ . Et CPL... Il faut que
(42:13):
la CPL devienne cette ligue de référence pour les Canadiens.
Speaker 6 (42:16):
Mais la premiĂšre option pour les meilleurs de l'NCA, puis
Charles-Ămile fait partie des meilleurs de l'NCA pour l'instant, la
premiĂšre option ou la meilleure option, c'est la MLS. Je
ne vois pas un gars comme Charles-Ămile venir en CPL
s'il sait qu'il a encore des chances d'ĂȘtre en MLS.
Est-ce que dans deux ans, il peut ĂȘtre avec le
Supra de Laval, 100% ou du Montréal, Claude Robillard, on
(42:37):
verra dans deux ans. Mais pour tout de suite, je
ne pense pas que c'est une option intéressante pour lui.
Speaker 2 (42:42):
Donc, en thĂ©orie, repĂȘcher les MLS, c'est probablement MLS Next
Pro pour Chalamil Brunet. Je parle, je parle. Peut-ĂȘtre, mais
Speaker 6 (42:49):
mĂȘme MLS Next Pro, mĂȘme lĂ , est-ce que ça vaut
la peine de quitter une
Speaker 2 (42:53):
année
Speaker 6 (42:53):
avec SMU pour aller Ă MLS Next Pro? Je ne
suis pas certain. Moi, je pense que pour Chalamil, c'est
MLS ou SMU.
Speaker 2 (42:59):
Je pense,
Speaker 6 (42:59):
mais je peux me tromper. Je n'ai
Speaker 2 (43:00):
pas parlé
Il a quand mĂȘme... Il n'a pas 18 ans non plus.
En tout cas...
Speaker 7 (43:11):
Tu sors de lĂ avec un diplĂŽme
Speaker 2 (43:16):
d'NCA. J'ai vu pire comme
Speaker 7 (43:16):
profil.
Speaker 2 (43:17):
Non, mais c'est intéressant. Thierry, j'ai quelque chose, les gars?
Quelque chose? Non?
Speaker 6 (43:21):
Non. Section, moi, petit mot, section des supporters qui vont
Speaker 2 (43:26):
ĂȘtre
Speaker 6 (43:26):
rejointes. Vous
Speaker 2 (43:29):
en
Speaker 6 (43:29):
pensez quoi
Speaker 2 (43:30):
La section, c'est 132 qui n'existe plus? Non, 132
Speaker 6 (43:33):
continue d'exister. 131 debout reste au mĂȘme endroit. Et la 114,
dans le fond, le groupe 142 16-42. Déménage.
Speaker 2 (43:42):
La section 114 n'existe plus en tant que section pour les 16-42.
Ils vont se fusionner cÎté ouest. Ils vont avoir leur
Speaker 6 (43:50):
propre section Ă eux dans
Speaker 2 (43:51):
le
Speaker 6 (43:52):
bas de la 133 si tout le plan est accepté. Parce
que pour l'instant, le CF Montréal a fait part de
son plan au groupe des partisans qu'ils ont rencontré mardi.
Il
Speaker 2 (43:59):
y avait
Speaker 6 (43:59):
Samuel Piette qui était là , il y avait Thomas Gillier
qui était là en Zoom. Je
Speaker 2 (44:03):
suis trĂšs content parce que la grinta, c'est important pour
le football et les supporters. On doit
Speaker 7 (44:08):
ĂȘtre le seul club au monde qui utilise un joueur
prĂȘtĂ© d'un autre club. pour convaincre ses partisans qu'est-ce qu'il
faut faire
Speaker 2 (44:17):
Mais qu'il y ait un pĂšre ou une mĂšre qui
est française. C'est hors sujet. Moi, c'est dans la tĂȘte.
Ă l'improvisation
Speaker 7 (44:24):
il va en pantoute en langue... Non, non, non.
Speaker 2 (44:28):
Hors sujet. Non, non, il l'aura fait. Il a dĂ»
le faire. Je n'irai pas de lui, ce que je
trouve intéressant.
Speaker 7 (44:34):
C'était quoi le mot qu'on... Légitimité?
Speaker 2 (44:39):
Moi, je
Speaker 7 (44:39):
n'ai aucune légitimité dans ce sujet-là .
Speaker 2 (44:45):
Non, non. Il ne
Speaker 7 (44:46):
savait mĂȘme pas que le club existait il y a
six mois
Speaker 2 (44:50):
C'est
Speaker 7 (44:50):
vrai
Speaker 2 (44:51):
pareil.
Speaker 7 (44:52):
Il peut devenir super important s'il signe un contrat permanent
parce qu'il n'est pas assez bon pour Bolling. Dans sa carriĂšre,
il n'est pas zéro légit.
Speaker 2 (45:01):
Garantez qu'Ivan Jaime ne savait pas ce qu'il savait de Montréal.
Peut-ĂȘtre qu'ils savaient ce qu'est l'impact de MontrĂ©al. Peut-ĂȘtre qu'ils
savaient ce qu'est l'impact de Montréal. Ah, Drogba, Thierry, mais
ils ne savaient pas ce qu'était l'impact de Montréal. Mais
ce
Speaker 7 (45:15):
n'est pas une grosse surprise. C'est la volonté de ce
club-là depuis Gilmore, depuis qu'il a visité l'FC, puis il
a fait« Oh shit, c'est beau ça». Joey Saputo veut
faire la mĂȘme chose avec sa courva, avec toutes les...
Tout le monde fait ça un peu en
Speaker 2 (45:28):
Europe. La courva, ce n'est pas un bon
Speaker 7 (45:30):
mot, je peux
Speaker 2 (45:30):
dire.
Speaker 7 (45:31):
Non? On
Speaker 2 (45:32):
est italien, la courbe, c'est la courbe. On est polonais
Speaker 7 (45:35):
c'est pas bien. Je m'excuse aux Polonais dans la salle.
Tu as écrit AU, c'est ça? Aux
Speaker 5 (45:43):
Polonais, un. Salut,
Speaker 7 (45:46):
Andrzej. Mais quand on regardait cette saison, les 16-42, moi,
ça me faisait de la peine de voir comment le
groupe s'effritait de match
Speaker 2 (45:56):
en
Speaker 7 (45:56):
match. C'était pas facile.
Speaker 2 (45:58):
Quand les
Speaker 7 (45:58):
résultats n'étaient pas là , quand les anciens débarquaient un aprÚs l'autre,
ils se retrouvaient dans une situation extrĂȘmement vulnĂ©rable pour se
voir proposer un déménagement.
Speaker 2 (46:12):
Moi, je trouve un peu intense. Juste pour finir sur la...
Comment dire? Parce que c'était qui les fondateurs? C'était Ali
et puis Marco, non? Je pense que c'était Marco. Excuse-moi.
Ali et Marco qui étaient les fondateurs. Un des deux
fondateurs que je me rappelle. Il ne faut pas oublier
(46:34):
parce que les ultras qui... qui ont fait l'appui, le
beau temps, mais aussi beaucoup le beau temps pour la
culture foot du club. L'ambiance. Les 16-42, ils ont été
vus un peu comme des fans corpos, mais je pensais
plus que je les appelais. Moi, je dis non. Je
me suis battu verbalement avec un journaliste. Je dis non, non.
Ils sont pas... C'est pas corpos, c'est plus des...
Speaker 7 (46:57):
La prochaine
Speaker 2 (47:04):
fois que t'as une bataille, laisse-moi le verbal, man. T'as
haché pour... J'ai trouvé plus des... c'était pour Ali et
Marco je les ai blagué avec eux quand ils m'ont
parlé de leur projet pour dire vous avez plus des
gros supporters genre de banlieue tu vois vous c'est le
barbecue la piscine c'est relax Vous n'ĂȘtes pas lĂ pour
avoir
Speaker 7 (47:19):
les fumigĂšnes. Les dads de banlieue
Speaker 2 (47:23):
ça me parle. Tu vas dire que c'est plus genre, toi,
tu es soccer dad, soccer mom, mais avec une passion.
C'est vrai que
Speaker 6 (47:29):
dans les ultras et dans les collectifs, il n'y a
pas beaucoup de 50 ans ou 40 ans. Non, mais c'est
Speaker 4 (47:32):
ça.
Speaker 7 (47:34):
Sauter
Speaker 2 (47:34):
deux heures le lendemain, tu as des affaires qui font mal.
Les genoux, parce que les ultras, c'est plus une culture...
Du moins, de loin, je ne les connais pas tous.
Mais cela dit, il faut qu'ils apprennent Ă une cohabitation. Oui,
Ă Madelon 120. Mais pour venir sur les S42, c'est eux
qui ont fait beaucoup de beau temps pour le club
dans les années, les belles années. Les ultras aussi. Drogba, Bernier, Piatti.
(47:57):
Les deux marchaient bien ensemble d'un cÎté de l'autre. Au
niveau
Speaker 7 (48:01):
corporatif, c'est ce qui se markete le mieux
Speaker 2 (48:04):
Oui, mais maintenant, comment ils vont fusionner ces deux groupes
s'ils ne veulent pas se fusionner? Collaborer s'ils veulent vraiment ĂȘtre... ensemble,
du mĂȘme cĂŽtĂ©. Et comment ça va marcher? Parce qu'il
faut qu'ils se parlent. Je vais te répondre. En ce moment,
le
Speaker 6 (48:16):
club agit comme médiateur, pour répondre à ta question. Le
club agit comme médiateur et les groupes de partisans songent
Ă trouver un mĂ©diateur eux-mĂȘmes qui aurait le respect des
deux groupes.
Speaker 3 (48:27):
Je
Speaker 6 (48:27):
te lance des noms. Mettons, Conrad Pommerleau qui était là ,
Mathieu Charon, whatever. Je ne les connais pas tous, mais
quelqu'un qui est crédible des deux cÎtés pour essayer de
cheminer tous ensemble. Mais moi, je vais juste analyser ça
froidement La 131 debout, elle va rester 131 debout Ă la mĂȘme
place avec les mĂȘmes trucs. Le collectif va rester le
(48:48):
collectif Ă la mĂȘme place avec les mĂȘmes trucs. La 1642
déménage et part de son lien central et devient une
section à cÎté et en bas parce qu'elle n'aura plus
la section au complet. Donc, c'est vraiment les 1642 qui sont
les plus affectés par ça
Et eux, on leur demande d'accepter des changements J'espĂšre qu'ils
(49:10):
le feront. Je pense qu'ils le feront. Le collectif, on
leur demande de tolérer les 16-42 qui sont à cÎté.
Et je sais qu'ils n'aiment pas la cloche pour des
raisons X,
Speaker 3 (49:19):
Y, Z.
Speaker 6 (49:20):
Mais il faut qu'ils tolĂšrent. Il faut que tout le
monde trouve un moyen de se tolĂ©rer avec, justement, peut-ĂȘtre
une bonne mĂ©diation. Mais c'est quand mĂȘme les 16-42 qui
vivent le plus grand traumatisme ou deuil ou changement ou
adaptation
Speaker 2 (49:32):
dans
Speaker 6 (49:32):
tout
Speaker 2 (49:33):
ça. Et maintenant qu'on y pense, c'est peut-ĂȘtre un traumatisme inĂ©vitable.
Ăa s'en venait. Jusqu'Ă moi, je ne pensais pas que
ça allait arriver, mais on se dit« Ah, OK.» C'est
assez fric comme Ă Digniton. Il n'y a presque plus
personne relativement par rapport à leur début, par leur prime,
durant leur temps. En termes de
Speaker 7 (49:47):
présence, il faut faire attention parce que le« membership», on
ne le sait pas. Nous, ce
Speaker 2 (49:51):
qu'on voit actuellement, c'est que la section
Speaker 7 (49:53):
du collectif est pleine et il y a de l'action.
Peut-ĂȘtre que 80 % du monde lĂ -dedans, c'est juste des... des
occasionnels qui profitent du buzz. Puis que de l'autre cÎté,
ils ne vont pas chercher d'autres membres en plus de
leurs membres. Puis aprĂšs, on dit finalement, ces 16-14 sont
peu nombreux. Peut-ĂȘtre qu'on n'a pas accĂšs Ă tout ça.
Mais que la cohabitation se limite au fait« j'aime la cloche,
(50:17):
j'aime pas la cloche». je fais« come on, guys». Il
faut passer par-dessus ça. C'est impossible d'avoir raison à 100 %
sur tous les enjeux. C'est impossible parce que la voie
finale qui va arriver, c'est peut-ĂȘtre lĂ que tout le
monde va chercher. Finalement, le grand plan diabolique de tous,
c'est que les 16-42 vont mourir. Le club va finalement
(50:40):
acheter la cloche et la cloche va devenir du marketing
pur et il va y avoir des invités encore plus
plates qui n'ont pas rapport Puis qu'il va
Speaker 6 (50:49):
avoir... En ce qu'Alicia Moffett va venir sonner la cloche,
elle va passer sur le terrain, c'est pas encoursé. Voilà !
Speaker 7 (50:54):
Et la cloche va ĂȘtre encore plus Ă©loignĂ©e au point
de vue philosophique Du collectif, puis on ne rĂšgle pas. Moi,
je vois que d'ici deux, trois saisons, la cloche va
se retrouver sur le terrain, au coin opposé, et guéling,
guéling à chaque but parce que c'est cool, avec des
fumigÚnes autorisés par la Ligue parce qu'elle vient de la Ligue,
puis que c'est toutes les commanditĂ©s d'avance. Ăa va finir
(51:16):
comme ça si le collectif reste borné à « Non, ce
n'est pas Ă nous la cloche, nous, c'est contre la
culture ultra.» Ăa peut Ă©voluer dans le temps, Guy. Mettez
Speaker 4 (51:26):
un
Speaker 7 (51:26):
sticker dessus, ramenez l'impact.
Speaker 4 (51:28):
T'as
Speaker 2 (51:29):
qu'Ă ramener
Speaker 7 (51:29):
l'impact sur la
Speaker 2 (51:30):
cloche. On a un deal. Je pense que vous avez
apporté comme argument, je pense, bonne chose aux médiateurs. Good luck!
J'espĂšre que tu
Speaker 6 (51:40):
seras compensé. Mais on les aime. Moi, j'aime le collectif,
j'aime le 16-42. Tout le monde est conscient de leur
importance Ă chacun. C'est juste que la cloche, elle ne
sera pas en 132. Elle va ĂȘtre en 133, presque en 134. Tu
te dis à un moment donné, si c'est tout ce
que vous avez Ă tolĂ©rer, mĂȘme si ça ne fait
pas votre affaire, je pense que vous avez l'obligation de
tolérer ça pour l'harmonie de tout le monde. Je suis
(52:01):
sĂ»r qu'ils vont arriver Ă cette rĂ©flexion-lĂ . Ăa leur dĂ©range
et c'est normal. Tu penses que ça ne dérange pas
les 16-42 de changer de bord et de devenir une
section à cÎté, en bas, tu sais? Oui
Speaker 7 (52:10):
c'est
Speaker 2 (52:10):
un petit échec pour eux. Oui, exact. En
Speaker 7 (52:14):
tout cas. Qu'est-ce qu'il reste? Je
Speaker 2 (52:15):
pense que c'est un sujet qui va revenir réguliÚrement. Il
reste mes petites
Speaker 6 (52:20):
infos. Wilfred Nancy, OK. Wilfred, allez-y. J'ai trois trucs, OK? Vas-y.
Le premier, je suis conscient. Est-ce que je fasse un
visuel pendant zéro? Non, non, non, zéro, zéro, zéro. Il
n'y a pas assez rien de gros pour ça. Ăa
Speaker 7 (52:32):
se retrouve dans aucun journal aprĂšs?
Speaker 6 (52:34):
Non, ils vont confirmer.
Speaker 2 (52:37):
HĂ©! La presse, c'est lui qui l'a dit. Ce n'est
pas moi. Moi, j'ai éteint le feu
Speaker 6 (52:42):
ArrĂȘte
Moi, je ne dis rien. Trois choses. La premiĂšre, qui
est la plus petite, mais on m'a dit que le
CF Montréal est conscient au niveau sportif qu'il manquait d'expérience,
de caractÚre et surtout d'expérience MLS dans la derniÚre saison
On est conscient que le budget était trop petit, qu'il
y avait trop de places occupées et que ça a
été difficile. Donc,
Speaker 2 (52:59):
on
Speaker 6 (53:00):
repart C'est ça mon point. On repart
Speaker 2 (53:02):
avec plus d'argent. Ce n'est pas une chronique Ă Cube
Radio qui concerne le foot. On connaĂźt le foot, mais
Speaker 6 (53:10):
continue. Il
Speaker 2 (53:12):
y a
Speaker 6 (53:13):
un an, on connaissait le foot et on voyait la
mĂȘme chose. Ils sont allĂ©s dans cette voie-lĂ quand mĂȘme
Speaker 2 (53:18):
Ils l'avouent, mais excuse-moi. La
Speaker 6 (53:20):
seule nouvelle, c'est
Speaker 2 (53:21):
qu'on a plus de budget.
Speaker 6 (53:27):
on veut du caractĂšre,
Speaker 4 (53:28):
on
Speaker 6 (53:28):
veut de l'expérience, surtout de l'expérience MLS, et on veut
que ce groupe-là soit capable d'entourer de façon, avec un
bon leadership, les jeunes qu'on veut avoir dans l'équipe. Donc ça,
c'est encourageant. Je te dis pas que ça va rester...
Je suis rendu Ă 20 millions. Je suis rendu Ă 20 millions.
Mais tant mieux, on est peut-ĂȘtre pas loin de ça
dans le nouveau budget. Avec
Speaker 2 (53:46):
toi
Speaker 6 (53:47):
Incroyable.
Speaker 2 (53:48):
Bien dit, Max. Excuse-moi, Maxime Trouman, j'ai été trop...
Speaker 5 (53:52):
Next, donc.
Speaker 2 (53:53):
Numéro 2
Speaker 5 (53:56):
Non,
Speaker 2 (53:56):
c'est
Speaker 5 (53:57):
fini. Nilton veut
Speaker 7 (53:58):
confirmer que les fils Saputo ont obtenu plus de budget
de papa Saputo comparativement qu'Olivier Renard et Vasily.
Speaker 2 (54:08):
Prédiction 10 sur 10. 20 millions
Il y a
Speaker 6 (54:12):
un Ă©pisode il y a deux ans oĂč on allait
avec cette hypothĂšse-lĂ . On la confirme.
Speaker 2 (54:16):
On n'aura jamais, mais on n'aura jamais le Romero, le
Kyoto World Tour. C'est ça le problĂšme. Ăa,
Speaker 6 (54:21):
c'est ça. Non, mais cette saison-là , avec ce bilan de
fin de saison. Quand on commentait les bilans,
Speaker 7 (54:26):
c'était de la bestie
Speaker 6 (54:27):
On riait. C'Ă©tait dĂ©bile. MĂȘme cette annĂ©e, c'Ă©tait quasiment plate
tellement que c'était bien fait. C'est vrai. C'était bien. J'ai
entendu de sources crédibles que le CF Montréal a essayé
de racheter les contrats de Sunusi et Opoku en mĂȘme
temps que celui de Tom Pierce. Mais l'offre⊠C'est un
package deal
Speaker 2 (54:47):
VoilĂ un
Speaker 7 (54:48):
million, séparez ça. Les
Speaker 2 (54:50):
joueurs n'ont pas pu venir signer le contrat de rachat
Speaker 6 (54:53):
L'offre pour Pierce, selon ce qu'on me dit, était beaucoup
plus avantageuse et il y avait beaucoup plus de raisons
d'accepter cette offre-lĂ . que l'offre qu'on a faite Ă Sunusi
et Ă Mahalopoko.
Speaker 2 (55:05):
Donc, ils préfÚrent écouler le contrat qui est mérité parce
que quelqu'un leur a offert le contrat. Ce n'est pas
Lucas Saputo, apparemment. Donc, il va dire que c'est la
faute aux autres. Et il a raison. Et c'est mieux
Speaker 7 (55:17):
de... Le seul lĂ -dedans qui vient de la nouvelle organisation...
Speaker 2 (55:22):
C'est ton pirche. Ton pirche de
Speaker 7 (55:24):
s'endormir. C'est quand mĂȘme fou. Lui, il l'a obtenu. Il
l'a
Speaker 3 (55:31):
obtenu.
Speaker 7 (55:31):
Vous venez de l'autre gang, voici 100 billes pour sacrifier. Non, non, moi,
c'est des crucides.
Speaker 6 (55:40):
Ăa fait l'affaire d'avoir ceux-ci. Des fois, peut-ĂȘtre qu'ils peuvent
ĂȘtre des scapegoats. On rappelle beaucoup
Speaker 5 (55:47):
Il en faut
Speaker 7 (55:47):
du bon pour la table. OK,
Speaker 5 (55:49):
OK
OK. C'est trop méchant
Speaker 6 (55:53):
ça.
Speaker 7 (55:54):
On
Speaker 8 (55:54):
n'en
Speaker 6 (55:57):
est pas. Peut-ĂȘtre, mais il reste un an. Je ne
sais pas. L'info que je te donne, je l'ai eue récemment,
mais elle date d'il y a déjà plusieurs semaines.
Speaker 2 (56:06):
Ce
Speaker 6 (56:06):
processus-là , il est entamé avant.
Speaker 2 (56:08):
Il se peut qu'ils se fassent échanger pour quelques miettes
pour un club qui s'arrĂȘte
Speaker 6 (56:13):
On aimerait ça
Speaker 2 (56:14):
Eux aussi, ils aimeraient jouer un peu. Ăa les intĂ©resserait
de jouer au foot.
Speaker 6 (56:17):
C'est quand mĂȘme fuckĂ© qu'on n'est mĂȘme pas en prĂ©-saison encore.
La finale de la MLS Cup n'a mĂȘme pas jouĂ©.
On parle de pré-saison et tout, mais pas de pré-saison.
C'est d'entre-saison. On n'est mĂȘme pas dans l'entre-saison
Speaker 2 (56:29):
Il en a parlé ici de Marco Donadel. Comment c'est long.
L'entre-saison pour lui, c'est différent à gérer. C'est évident. J'ai
une question.
Speaker 7 (56:38):
Pourquoi ils se noussient? Ils sont québécois maintenant?
Speaker 6 (56:44):
Oui. Comme l'exemple que j'avais demandĂ© Ă Rocco et Ă
Nick DeSantis au point de presse. Asun Kamara comptait-il comme
un Québécois qui aurait pu jouer pour le Supra aprÚs
ses années de vie dans notre
Speaker 2 (56:57):
société? Oui, lui. Est-ce que
Speaker 5 (56:59):
Malo
Speaker 2 (56:59):
et
Speaker 5 (56:59):
Asun aussi? Oui
Speaker 2 (57:00):
T'imagines? Mais aussi Ă la
Speaker 7 (57:05):
pointe du Supra. C'est monsieur qui a un championnat canadien.
On lui dit que c'est un championnat canadien.
Speaker 2 (57:10):
Non, non, c'est la mĂȘme affaire. Je pense que tu
as trouvé le mercato du Supra. Je pense que tu
vas du
Speaker 7 (57:16):
réseau. Parce que c'est exactement le poste qui m'inquiÚte le
plus en CPL, en termes de conditions québécoises, trouver un buteur.
C'est nous aussi. Il dit merci beaucoup, puis il va
aux Pays-Bas
Speaker 2 (57:30):
Le
Speaker 7 (57:30):
prochain voyage aux Pays-Bas de Marco, il y
Speaker 2 (57:32):
a mĂȘme son... C'est avec la Nouvelle Voix de la
laïcité qu'on va faire le ramadan... Non, non
Speaker 7 (57:37):
va pas lĂ ! Va
Speaker 2 (57:38):
pas là ! Le français de
Speaker 7 (57:40):
Marco Donadel, comment vous l'avez trouvé?
Speaker 2 (57:43):
Mieux. Non, il parle bien le français. Il a un
vocabulaire qui continue à développer, mais tout ce qui... C'est
mĂȘme que ça
Speaker 7 (57:50):
existe, le participe passé. Il cherchait un participe
Speaker 2 (57:53):
passé. Moi, je ne dis plus ça. Je demande...
Speaker 7 (57:56):
Demande Ă Martin Saint-Louis s'il comprend. C'est quoi le participe
Speaker 2 (57:59):
passé?
Speaker 7 (58:00):
Vous ĂȘtes convaincu de
Speaker 2 (58:01):
ça? Moi, je ne le sais plus. à peine si
je connais, si je peux te conjuguer le passé composé. Mais...
Le français de Donadel, déjà , on leur a dû le
dire dÚs le début. C'était excellent. C'est trÚs bien. Continue.
Speaker 6 (58:14):
TroisiĂšme info. TroisiĂšme, oui. On vient
Speaker 7 (58:16):
d'inventer que ce n'est pas ça. On
Speaker 6 (58:19):
a
Speaker 5 (58:19):
plein d'infos, plein d'analyses, mais ça va ĂȘtre ça le temps.
Speaker 4 (58:24):
On pourrait le faire pour voir qui le vole. Il
y a quelque chose d'autre tirage, lĂ , les gars. Laisse-le confirmer,
aprĂšs
Speaker 6 (58:31):
OK, rapidement, ça, c'est pas ma troisiÚme, c'est une deux
et demie. Lucas Saputo l'avait dit, mais ça se reconfirme
de ce qu'on a, j'ai jasé avec Marco, de ce
qu'on a vu au centre d'ateliers, parce que j'ai jasé
avec plein d'autres mondes. Jekyll, Marshall, Rutty pourraient vraiment revenir
au prochain camp. C'est une possibilité qu'ils soient de retour
avec le CF Montréal. Mathias Caccaro, ça n'en est pas une.
(58:53):
Je
Speaker 7 (58:53):
pense ça, moi, ouais. Non, je pense qu'il fait pas...
Je pense que lui, son plus gros problĂšme, c'est quand
Marco a écrit sur son board G-R-O-U. Il
Speaker 9 (59:03):
était pas
Speaker 7 (59:04):
là -dedans. Groupe. Il était pas du tout dans ça. Il
Speaker 6 (59:12):
y avait
Speaker 7 (59:12):
peut-ĂȘtre le courage, il y avait peut-ĂȘtre... Mais le groupe...
Speaker 6 (59:16):
LĂ , tu parles de
Speaker 5 (59:16):
Jack
Speaker 6 (59:17):
Hill
Speaker 7 (59:18):
Non, moi, je parle de
Speaker 6 (59:19):
Coquereau. Ils se sont jamais croisés
Speaker 2 (59:21):
Attends, pause, pause, pause. Qu'est-ce
Speaker 7 (59:23):
qui est passé contre tes gars?
Speaker 2 (59:24):
AprĂšs la coupe arabe FIFA, aprĂšs la Ligue des Nations UEFA,
aprĂšs la Coupe du Monde des clubs FIFA, il y
a un truc qui s'appelle le FIFA Peace Prize qui
a été octroyé par Infantino au président Trump. Le FIFA
Peace Prize. C'est genre le foot est fini. Le foot
(59:49):
est fini. Incroyable. Le foot est dead. FIFA Peace Prize.
Mais je m'en fous que c'est le chum qui l'a.
Qui a un FIFA Peace Prize? Mais FIFA, qu'est-ce que
tu fais? C'est pas ton mandat. Pourquoi tu
Speaker 7 (01:00:01):
fais semblant d'ĂȘtre surpris?
Speaker 2 (01:00:05):
On va revenir.
Speaker 6 (01:00:06):
On
Speaker 7 (01:00:07):
fera un CPP politique aprĂšs. C'est dans nos plans de marketing.
Speaker 6 (01:00:10):
Vous m'enverrez le lien. Je vais vraiment ĂȘtre lĂ . Mais
Speaker 2 (01:00:14):
pour revenir Ă Marchand Routy
Speaker 7 (01:00:17):
on
Speaker 2 (01:00:17):
parle encore de lui. Attendez janvier, attendez janvier. Je
Speaker 7 (01:00:22):
pense qu'il y a... Ăcoute, deux secondes aprĂšs, tu couperas
ça au montage. Je
Speaker 6 (01:00:27):
pense qu'il
Speaker 7 (01:00:27):
y a... Je pense qu'il y a une grosse, grosse
opportunité de rédemption. Il pourrait devenir un joueur intéressant dans
un cĂŽtĂ© oĂč Marco cherche du courage offensif.
Speaker 2 (01:00:44):
Analyse scientifique, il a effacé les mentions du club dans
son Instagram. Je fais quoi avec ça?
Speaker 6 (01:00:49):
Il y avait aussi des tensions entre Marshall Rote et
certains individus et ils ne sont plus au
Speaker 2 (01:00:55):
club. Bon, on verra en janvier quand il reviendra parce
que si Marshall
Speaker 7 (01:01:02):
Rote
Speaker 2 (01:01:07):
Mais si Marshall Rote, il y avait des rumeurs le
concernant en Europe, moi je pense qu'en janvier lĂ , Il
est content de partir. Non,
Speaker 9 (01:01:15):
non,
Speaker 2 (01:01:16):
non. Qu'est-ce qu'il y a eu comme saison pour convaincre?
Et pour toi, Ousso, Bundesliga, c'est normal. J'aurais dit Bundesliga 2. Bundesliga 1?
Il marque des buts, lĂ , mais je dis pas qu'il
est pas assez bon. LĂ , il y
Speaker 7 (01:01:32):
a
Speaker 2 (01:01:32):
des
Speaker 7 (01:01:33):
Allemands qui nous écoutent. Il
Speaker 6 (01:01:34):
y a un Allemand. On
Speaker 7 (01:01:36):
a une personne de chaque nation. C'est notre devoir pour
dire Prince Ousso, C'est un succÚs assuré en bout d'Instagram.
3-4 millions. Bye-bye, Prince. Ciao
Speaker 6 (01:01:51):
OK.
Speaker 5 (01:01:52):
DerniĂšre info,
Speaker 6 (01:01:53):
je finis lĂ -dessus, OK? OK, vas-y. Il y
Speaker 5 (01:01:54):
en
Speaker 6 (01:01:54):
a plus. Oui, et c'est la plus intĂ©ressante, mĂȘme si
elle n'est pas énorme
Speaker 7 (01:01:59):
On sous en CPL, c'était bon
Speaker 6 (01:02:02):
Selon ce que j'entends, Ivan Jaime, qui s'est blessé dans
le dernier match. Non, ne dis
Speaker 4 (01:02:09):
pas ça. Oui, il s'est blessé
Speaker 6 (01:02:12):
C'est plus grave qu'on pense. Bon, il est juste... Je
ne dirais pas le mot grave, mais je suis loin
d'ĂȘtre convaincu qu'il va ĂȘtre prĂȘt pour le dĂ©but du
camp
Speaker 9 (01:02:19):
There we go again. Frioni, c'est exactement ce qu'on a
vendu
Speaker 2 (01:02:24):
Donc, le débat qu'on a eu il y a quelques semaines, Nilton,
c'est CPV original. Cette recette originale, c'est est-ce que le
club va faire le risque d'activer l'option d'achat maintenant pour
payer moins cher aprĂšs? On dit maintenant, c'est fini. On
passe Ă autre chose. Et l'argent et le salaire qu'on
lui donne, MĂȘme si c'est en partie sponsorisĂ© par Porto,
(01:02:46):
on va le donner à Benteke et à notre numéro 10.
Ils sont
Speaker 6 (01:02:50):
obligés de le garder jusqu'au 30 juin, en théorie, et de
lui payer son salaire jusqu'au 30 juin. C'est l'option
Speaker 2 (01:03:01):
d'achat.
Speaker 6 (01:03:02):
L'option d'achat, c'est 5 millions d'euros. Et si il avait joué
tant de minutes, tant de matchs, il était obligé de l'activer.
Il ne les a pas joués. Donc là , on est
dans un nouveau territoire oĂč des options pour aimer, il
a le laisser partir aprĂšs le 30 juin. Lui donner beaucoup
de minutes jusqu'au 30 juin, avec les 45 minutes fois 60 % des départs,
je pense, ma mémoire me fait défaut des fois. Et
on est obligé d'activer l'option d'achat à 5,5 millions d'euros. Ou
(01:03:24):
il y a un autre monde oĂč on ne l'active
pas de facto. mais qui a été bon, il aime
ça ici. Puis on négocie un autre prix d'achat, de transfert, aprÚs.
C'est les seules options qu'il va en aimer. Parce que
pour
Speaker 3 (01:03:35):
tout de
Speaker 6 (01:03:36):
suite, on n'active rien. Parce que si on était obligé
de l'activer maintenant, on ne l'activerait pas.
Speaker 2 (01:03:41):
On n'est pas
Speaker 6 (01:03:41):
convaincus que c'est
Speaker 2 (01:03:42):
un
Speaker 6 (01:03:43):
gars de 5 millions. Je
Speaker 2 (01:03:44):
veux dire, papa, la réflexion. Qu'est-ce qu'on fait en juin?
Disons qu'il revient en mars, ça se passe bien, il
pĂšte le feu. OK, on va mettre 5 millions. La donne
change si tu ramÚnes un autre joueur du type d'épée.
comme Christian Benteke peut-ĂȘtre
Speaker 6 (01:03:59):
C'est 5,5 millions d'euros. Moi, plus le temps passe, et plus
je me dis qu'on va Ă©couler, ça va ĂȘtre fini aprĂšs.
Est-ce que vous avez vu un gars qui est proche
de valoir 5,5 millions d'euros? Je ne dis pas qu'il n'est
pas bon. Sur
Speaker 2 (01:04:12):
le terrain, non. On ne l'a pas assez vu, mais
son profil et son Ăąge font dire que oui, c'est
ça que ça vaut. Les portugais sont bons à surévaluer. Donc,
il doit se prouver. En termes de Marcato. Il va
se
Speaker 6 (01:04:24):
prouver. Et s'il n'est pas prĂȘt Ă entamer la saison
en mĂȘme temps, ou du moins de ne pas ĂȘtre
au camp, ça va ĂȘtre compliquĂ© parce qu'il n'y aura
pas tant de temps pour se prouver. Ăa va aller
vite pour Ivan Aymé
Speaker 7 (01:04:35):
Une blessure qui dure trois
Speaker 2 (01:04:36):
mois, c'est grave. Mais c'est pourquoi on a eu ce
débat avec Nilton, parce qu'on avait des doutes. Avant qu'il
se blesse, on fait quoi? Qu'est-ce qui va arriver? Parce
que Le club est prĂȘt Ă investir sur un prĂȘt,
mais ils ne sont pas sûrs de la valeur du
joueur parce que sur le terrain, il n'a pas assez joué.
On a vu que genre... Ah oui, mais lĂ ... Si
le scouting est
Speaker 7 (01:04:55):
bien fait, ils n'ont pas besoin du terrain. Si le
scouting est bien fait, Jaime, tu le signes point et
tu essaies d'avoir un rabais parce qu'il est blessé
Speaker 2 (01:05:03):
Ăa, je suis d'accord. Comme Donadel a dit durant le
métier qu'on a avec lui, lui, il aime les liens inversés. Donc, Jaime,
il est parfait. C'est pas mal son profil. Exactement. Donc, lui,
il veut qu'il va dans l'arc, qu'il marque des buts,
qu'il crée des occasions. Il cherche son piatti. C'est ça. Donc,
il y a ça. Oui, Frenanti?
Speaker 7 (01:05:22):
Tu penses-tu qu'Olivier Renard nous a magasiné un petit pourcentage
de revente
Speaker 2 (01:05:31):
De Morel Ă Columbus de Columbus
non
Speaker 7 (01:05:34):
Peut-ĂȘtre qu'ils ont obtenu quelque chose, plus un pourcentage lors
de la revente de
Speaker 2 (01:05:38):
Renard, parce que
Speaker 7 (01:05:39):
Columbus, ils ont obtenu quelque chose de celtique pour son départ.
Speaker 2 (01:05:45):
Oui, comme Morel a dit quelque chose pour le Columbus
de prendre tout leur staff.
Speaker 6 (01:05:49):
On va vous prendre l'or. On va
Speaker 2 (01:05:54):
vous prendre l'or. Et Corey Ray. Donc, il est entraĂźneur-chef
du club mythique de l'Ăcosse, Glasgow Celtic Football Club. Celtic
Football Club de Glasgow. Je suis choqué, un peu surpris,
mĂȘme si on savait que son ascension... DĂšs qu'il est
arrivé à Columbus, il va durer 2-3 ans, puis il
(01:06:16):
va partir. Il a été lié à Watford ou Bournemouth,
mais ça, c'est probablement une rumeur farfelue. Surtout, il avait
été lié à Rennes. Oui, en France. Oui, donc logique.
Speaker 6 (01:06:26):
C'était plus naturel en France. On le voyait. Les rumeurs
étaient plus faciles aussi à le lier à la France. Attention,
je vais dire quelque
Speaker 7 (01:06:32):
chose. Je m'excuse. J'ai déjà insulté les Polonais, donc je
vais y aller avec les Français. Les Français sont beaucoup
plus snob sur la MLS que les autres ligues. La
France voit la MLS de trĂšs, trĂšs, trĂšs haut. Ils
vont tous te dire que c'est peut-ĂȘtre niveau national. Dans
leur tĂȘte, c'est vraiment nul Ă chaque fois. Tandis qu'ailleurs,
(01:06:55):
il y a un peu plus d'esprit ouvert Ă profiter
des failles du marché puis aller chercher
Speaker 2 (01:07:00):
un
Speaker 7 (01:07:00):
coach qui va coĂ»ter moins cher Ă
Speaker 2 (01:07:02):
ce qui vient de la MLS. Et puis, c'est une
sorte de, comment dire en anglais,« hard commodity» là , Will Fernandes,
c'est le jeune coach de l'année 2024, champion de la Méditerranée 2023,
il y a premiĂšrement la caution Thierry Henry, je ne
sais pas si Thierry Henry le recommande ou on lui demande,
je ne sais pas, mais il se peut. et je
suis trÚs content pour lui c'est une excellente porte d'entrée
(01:07:24):
en Europe ça
Speaker 6 (01:07:25):
va marcher ou pas selon vous est-ce qu'il est capable
d'avoir ben il est capable oui mais est-ce qu'il va
marcher
Speaker 2 (01:07:30):
la ligue écossaise est trÚs spéciale est trÚs spéciale parce
qu'en fait c'est Rangers Celtic Ă la base mais maintenant
mais maintenant attends j'oublie le nom lĂ est-ce que c'est
Motherwell non maintenant le troisiÚme club qui va les défier
c'est Hearts Hearts of Midlothian qui sont un club de
Edinburgh mais les deux gros clubs écossais c'est Rangers Celtic
et les deux sont Ă Glasgow Rangers, je pense que
(01:07:52):
c'est des protestants. Celtic, c'est des catholiques créés par des Irlandais. Celtic,
d'oĂč le vert et le trĂšfle irlandais. C'est créé par
des Irlandais. TrĂšs belle histoire. C'est l'un des derbies les
plus connus. Le plus chaud maintenant. Entre les années 50 jusqu'à 90,
c'était un des derbies les plus chauds. C'est un derby
(01:08:12):
rempli de sectarisme et de conflits religieux et ethniques. Donc,
il y a une pression. Parce que Il y a
Speaker 7 (01:08:20):
beaucoup
Speaker 2 (01:08:21):
de chances de succĂšs. Il y a beaucoup de chances
de succĂšs parce que le budget va ĂȘtre lĂ . Il
faut qu'on comporte plus qu'en Rangers. Puis surtout, ces deux clubs-lĂ ,
quand ils finissent premier et deuxiĂšme, ils sont capables de
⊠Ils doivent jouer les qualifications de la Ligue des
champions pour aller en Ligue des champions, qui est pour
eux la survie totale pour faire de l'argent. Tu vois,
en phase de groupe, c'est bon, man. We got money,
on est bien. Surtout, cette nouvelle phase de groupe oĂč
(01:08:41):
c'est des matchs, c'est pas des groupes, c'est des matchs allés,
puis c'est beaucoup plus gérable. Puis maintenant, les deux souffrent
un peu en Europa League. la Ligue 2 de la Ligue
des Champions, si on veut. Et c'est intéressant. Là , il
joue contre Rome dans une semaine, en Europa League. Puis
il a déjà un match ce week-end, dans pas longtemps,
(01:09:03):
son premier match. Puis c'est un club qui a beaucoup
de pression, comme Rangers. C'est Martin O'Neill, il a pris
les rĂȘnes de Ben Rogers, qui a quittĂ© ou qui
s'est fait quitter, je pense qu'il y a un peu
des deux. C'est un coach irlandais légendaire de Celtic aussi,
qui est en Premier League aussi, qui a coaché... la
section d'Irlande, la section irlandaise. Donc, le France 6 vient. Il
sait oĂč est-ce qu'il vient. C'est un club mythique. C'est
(01:09:23):
un club connu. C'est un club qui a beaucoup d'attentes. Beaucoup,
beaucoup d'attentes. Et ce qu'a fait l'Ecosse récemment en se
qualifiant comme le Danemark pour la Coupe du Monde dans
un match de fou, le niveau de pression est au
maximum et d'attentes. Maintenant, Ă contexte, le club, les dirigeants
du club, genre l'équivalent de Lucas, Simone, Joey Saputo et
(01:09:44):
Gabriel Gervais, ils sont trÚs, trÚs contestés De façon... Tu sais,
les banniĂšres, Joey Out. Ăa, c'est... Ăa, c'est
Speaker 7 (01:09:53):
tough
Speaker 2 (01:09:54):
Ils ont des... C'est un
Speaker 7 (01:09:55):
petit mardi, ça.
Speaker 2 (01:09:56):
Ils ont de ces banniĂšres. Puis tellement... Tellement qu'il y
a eu de la violence. Donc, ils ont banni leurs ultras,
les Green Brigade. Il n'y a presque plus. Puis c'est
eux qui... Je veux
Speaker 6 (01:10:07):
que Sofiane devienne prof d'histoire. Ils me parlent depuis tantĂŽt.
Puis je suis comme
Speaker 2 (01:10:13):
Ah, OK. C'est cool. C'est cool. Ah oui, un autre truc.
Le Celtic Football Club, c'est pourquoi il a été créé
comme club de football?
Speaker 4 (01:10:20):
Parce
Speaker 2 (01:10:20):
que c'Ă©tait un prĂȘtre. Je ne sais pas si c'Ă©tait
irlandais ou écossais. C'était
Speaker 5 (01:10:24):
pas un prĂȘtre?
Speaker 2 (01:10:25):
Oui, un prĂȘtre. Le imam des chrĂ©tiens.
Speaker 5 (01:10:29):
L'imam
Speaker 2 (01:10:30):
des chrétiens! Et puis, ce club a été créé. Ils
ont créé ce club, le Celtic Football Club, parce qu'ils
ont fait un match. C'est pour faire des matchs de
charité pour recueillir de l'argent et des donations pour donner
(01:10:51):
de la nourriture aux gens. Parce qu'il y avait une
grosse famine en Irlande notamment, puis sur l'Ăcosse. Les patates,
les
Speaker 7 (01:10:57):
patates.
Speaker 2 (01:10:58):
Oui
Speaker 7 (01:10:58):
oui
Speaker 2 (01:10:59):
Et puis,
Speaker 6 (01:11:01):
Est-ce que c'est
Speaker 7 (01:11:02):
une matiĂšre Ă l'examen, M. Sofiane
Speaker 2 (01:11:11):
Non, mais c'est pour dire qu'ils ont été créés dans
ce contexte-là , je pense dans les années 18... En tout cas,
c'était un frÚre. C'est un frÚre irlandais. Alors, dites la
date
Speaker 7 (01:11:20):
parce que moi, si j'écris juste 1800
Speaker 2 (01:11:26):
Dans les années 1800. Non, non, mais c'était 1800 quelque chose. Je dirais,
je pense, 1880. J'ai plus la tuque. Juste avant 1900. Quelques années avant 1900.
Et le frÚre, je pense, j'ai oublié son nom, mais
il a... Smith. Non, non, c'est pas Smith. O'Neill
Speaker 6 (01:11:45):
C'est 1887.
Speaker 2 (01:11:46):
C'est
Speaker 6 (01:11:46):
Brother Walfred.
Speaker 2 (01:11:48):
Voilà , Brother Walfred. Merci. Brother Walfred. Merci. Donc, c'était pour... Là ,
ce serait le moment de présenter les photos de voyage.
Comment ça s'est fait? Il n'est pas fini
Speaker 7 (01:12:03):
Son texte n'est pas
Speaker 2 (01:12:05):
terminé. Donc, voilà . Il faisait des magies charitées pour les catholiques.
C'est surtout des origines irlandaises qui avaient immigré là -bas. et
il faisait des matchs pour ensuite voilĂ quoi redonner aux
gens puis l'histoire continue puis c'est un club avec des
supporters qui sont trÚs trÚs engagés politiquement en géopolitique local
(01:12:27):
tout ça donc c'est il rentre dans un environnement trÚs
trĂšs intĂ©ressant je vous redonne la mĂȘme chose si t'es
parti aux Rangers c'est aussi une histoire aussi trĂšs fascinante
et mais vraiment c'est fascinant je suis choqué pas étonné
mais je suis sous le choc de le voir dans
un club comme le Celtic il est pas parti Ă
Hart Il n'est pas parti Ă Falkirk. Il n'est pas
parti Ă Dundee. Il est vraiment parti dans un des
(01:12:48):
top clubs écossais qui auraient un niveau pour jouer en
Premier League. Peut-ĂȘtre milieu de tableau, peut-ĂȘtre, parce qu'en termes
de dépenses. J'ai une question. J'ai une
Speaker 7 (01:12:56):
question pour finir cette chronique politique. Over-under, 2,5. Avant qu'il fasse
le saut en Angleterre
Speaker 2 (01:13:14):
Under. Oh, shit. Under. Si ça réussit, ça va vite
Speaker 6 (01:13:19):
Ăa veut dire qu'on considĂšre que c'est sĂ»r qu'il fait
le saut en Angleterre.
Speaker 7 (01:13:25):
Bon, mettons qu'il fait... Non, non. S'il ne le fait pas,
le bet est annulé. Comme disent les bookies, les bookies légaux.
Ceux
Speaker 5 (01:13:36):
qui
Speaker 7 (01:13:36):
ne payent pas. Les lĂ©gaux suggĂ©rĂ©s par l'Ătat de l'Auto-QuĂ©bec
mis au jeu. Wow, wow. Wow. Si les autres parlent
de bookies qui ne sont mĂȘme pas commanditaires de leur show, moi,
je peux au moins parler du bookie qui est legit
au Québec. Moi, bookie, c'est moi. Connais-tu
Speaker 6 (01:13:56):
les poukis? Non. C'est la
Speaker 2 (01:13:58):
mĂȘme chose
Speaker 6 (01:13:59):
OK. Moi, j'ai fait le tour.
Speaker 2 (01:14:01):
Tu sais ce qui serait beau? Juste en dessous, pour
remplacer le logo de DLC quand il n'est pas lĂ ,
un logo mis au jeu avec l'argent qui descend dans
mes poches
Dans tes poches. Dans tes poches, si tu veux. On
peut négocier ton contrat de travail.
Speaker 7 (01:14:15):
Un an de mise au jeu et dans mes poches,
je dois vous quitter. Moi
Speaker 3 (01:14:18):
aussi
Speaker 2 (01:14:22):
Moi
Speaker 3 (01:14:23):
aussi.
Speaker 2 (01:14:25):
Merci tout le monde pour notre CCPP DLC Ă©dition Pelle-mĂȘle,
c'est vraiment cool. On va faire
Speaker 7 (01:14:32):
un montage, on va trouver un beau titre.
Speaker 2 (01:14:34):
Allez, ciao, ciao. Allez, ciao tout le monde.