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October 31, 2025 ‱ 81 mins
 FC Supra : un air de déjà-vu dans les récentes annonces.

Les rĂ©centes annonces du FC Supra rappellent Ă©trangement le passé  Bonne ou mauvaise nouvelle pour le football quĂ©bĂ©cois? On en discute et on se questionne sur les consĂ©quences possibles pour la scĂšne locale.

Aussi au menu : le retour de Sofiane! On profite de sa présence pour revenir sur le bilan de fin de saison du CF Montréal.

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#CFMTL #CFMontréal #IMFC #MLS #SoccerQuébec #CanMNT #CouscousPiriPiri
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Episode Transcript

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Speaker 2 (00:02):
On sait que ça va mal quand Hilton boit un
café là, durant l'enregistrement. C'est rare. Moi, c'est dur. On
va ĂȘtre honnĂȘte. Je vais rĂ©pĂ©ter

Speaker 3 (00:10):
la question que je t'ai posée avant que ça se recorde.
Mais

Speaker 2 (00:13):
non,

Speaker 3 (00:14):
l'honnĂȘtetĂ©, c'est pour

Speaker 2 (00:16):
ceux qui vont trouver qu'il y a tous les expos. Nous,
on fait

Speaker 3 (00:17):
pas

Speaker 2 (00:18):
ça. C'est tellement intéressant
Tu

Speaker 3 (00:22):
sais que ça fait combien de café? Cette tasse-là, elle
vient de Barcelone, non? On voit le

Speaker 2 (00:27):
Ah, c'est joli. Comment ça s'appelle? Gaudi? Gaudi?

Speaker 3 (00:30):
Ouais, le parc, lĂ , le village

Speaker 2 (00:31):
Ouais, ouais, Parc GĂŒell ou... Ouais, ouais, c'est ça,

Speaker 3 (00:34):
Parc GĂŒell. Parc GĂŒell, c'est incroyable. C'est pour ça que
c'est un parc, le Parc GĂŒell. Incroyable endroit, incroyable

Speaker 2 (00:40):
endroit. Ah, c'est beau. Barcelone, en Allemagne? Ils n'en veulent plus,
les touristes, mais c'est magnifique. Ils n'en veulent plus, mais
en Allemagne, c'est une ville
2019

Speaker 3 (00:47):
je suis allé, là, je pense.

Speaker 2 (00:52):
Moi, c'était 2014. La Sagrada Familia m'a fait faire... Ah, OK.
C'est un next level. Mais ça aussi, ça a

Speaker 3 (00:59):
Ă©tĂ© long Ă  finir. Peut-ĂȘtre que les gens, au dĂ©but

Speaker 2 (01:02):
disaient que ça

Speaker 3 (01:02):
avait l'air d'un boy de toilette, on devrait mettre une
dynamite

Speaker 2 (01:08):
dedans. À l'Olympique, tu parles de la Sagrada, tu parles
du Kiel. Ah

Speaker 3 (01:12):
l'Angleterre,

Speaker 2 (01:12):
c'est ton

Speaker 3 (01:13):
cafĂ© numĂ©ro 3. J'avais raison. Peut-ĂȘtre 4, puis je ne m'en souviens pas.
Est-ce

Speaker 2 (01:19):
que

Speaker 3 (01:19):
c'est Expresso ou c'est du Keurig? Keurig, Filtre? C'est de Longy.
Je ne sais jamais si c'est de Longy ou de Longy.

Speaker 2 (01:26):
OK. Eh, de langue, de langue, de logis. Attends, attends, attends.
Mais c'est quoi comme... C'est du americano? C'est du long?
C'est un filtre? Genre, ça fait...

Speaker 3 (01:36):
C'est moulu, puis là, tu as des choix, café, toutes

Speaker 2 (01:38):
les

Speaker 3 (01:39):
sortes de café. Mon choix, c'est café.

Speaker 2 (01:42):
OK, donc c'est l'équivalent de le café fit dans le pùte.

Speaker 3 (01:45):
Oui, mais fait moulu direct.

Speaker 2 (01:47):
Oui, trĂšs

Speaker 3 (01:48):
fort. Oui, le mien, il est génération externe. Est-ce que toi,
tu dors

Speaker 2 (01:54):
quand tu

Speaker 3 (01:55):
rentres

Speaker 2 (01:55):
au café? OK, c'est bon, tu as bien dormi ce soir. Oui, moi,
j'en prends un, je me couche, puis il ne se
passe rien. Est-ce que tu as une tradition pour Halloween?
Pour toi, elle n'a pas les enfants, tout ça, mais
est-ce que tu as un film que tu regardes? Je
suis

Speaker 3 (02:07):
tellement content que mes enfants 


Speaker 2 (02:10):
S'en

Speaker 3 (02:10):
foutent

Speaker 2 (02:11):
de toi.

Speaker 3 (02:11):
De

Speaker 2 (02:13):
l'Ăąge de l'Halloween.

Speaker 3 (02:14):
C'était

Speaker 2 (02:15):
une purge. Tu te sauves K-pop Demon Hunter. Oh mon Dieu.
Ça lĂ , c'est K-pop Demon Hunter. Dessin animĂ© corĂ©en. Americano-corĂ©en, whatever.
Mon gars, j'en Ă©tais fou des costumes d'Halloween. MĂȘme pas. Mario...
Il aime pas les costumes. Un maçon portugais, non? Tu

(02:38):
sais

Speaker 3 (02:38):
que quelqu'un a déjà perdu sa job pour ça. Puis,
il n'aime pas les bonbons tant que ça. Il est
comme toi, désagréable. Il

Speaker 2 (02:49):
vit comme toi, il est genre« Ouais, je suis grincheux,
j'aime pas la sucrerie, puis

Speaker 3 (02:54):
les gens m'emmerdent.» Le pauvre n'est pas né avec la
bonne génération. Il

Speaker 2 (02:59):
ne

Speaker 3 (02:59):
faut pas qu'il écoute

Speaker 2 (03:01):
ça. Là, tu l'as fait pleurer sur les expos. Là,
il va pleurer sur le référendum. Toi, tu es méchant. Oui,

Speaker 3 (03:06):
il était moche. On ne parle pas de la famille.
Ce n'est pas un show sur notre famille

Speaker 2 (03:09):
Désolé. Tu peux parler de la famille. Ma fille est
en mode K-pop Demon Hunter. Quel Ăąge? 6 ans et quelques.
Elle a une belle décennie. Football heritage. Moi,

Speaker 3 (03:22):
en face, j'ai une maison hyper décorée. LumiÚre et tout.
Du setup de fou. À cĂŽtĂ© aussi. Fait que David,
on va donner des bonbons non-stop. On va ouvrir la
porte seulement si les J se perdent. Toi, c'est pas...

(03:48):
Je pense qu'il a déjà dit... Comment tu m'as dit ça? Toi,
ta vie d'adulte, c'est rempli d'échecs. Tu sais, c'est comme...
Ça a commencĂ© avec un certain vote il y a 30 ans,
des expos, les Nordiques...

Speaker 2 (04:04):
Santos... Et puis j'allais dire que le référendum, c'est le
Santos Laguna de la politique. Genre, on a perdu, mais
on en parle comme si c'était un truc incroyable. C'est ça. Excusez-moi,
je ne suis pas anti-référendum. En termes de foot, c'est
le Santos Laguna de la politique québécoise. C'est une grosse
défaite et on en parle avec amour et nostalgie et

(04:25):
tristesse

Speaker 3 (04:26):
Tu penses-tu que les gens vont moins m'aimer? Les gens
qui sont fédéralistes. Ils doivent savoir que je suis assez...

Speaker 2 (04:34):
Regarde, je ne sais mĂȘme pas si tu es souverain
ou si tu es bandiste. Moi, je pense que tu
es plus pro-Québec. Moi, je pense que les gens, à
un moment, sont plus« je suis pro-Québec». AprÚs, le cÎté logistique, indépendance, souverain, ça,
c'est pour les politiciens. Ils vont s'assurer de nous« fuck
over» avec ça.« Ouais, ouais, on a lui là, on
va s'assurer de faire le contrat que vous voudrez.» Regarde, moi,

(04:58):
j'ai visité d'autres provinces, sauf l'Atlantique. Moi, je suis pro-Québec.
C'est parfait. Moi, je suis pro-Québec. Tu es sûr? Oui. Moi,

Speaker 4 (05:09):
je

Speaker 3 (05:10):
suis pro-Québec. Si on fait comme la commission Galin et
toutes les autres commissions, puis on commence Ă  sortir les
messages privés.

Speaker 2 (05:17):
Moi, je suis prĂȘt Ă  tout se dĂ©fendre. Tout s'explique. Moi,
je suis prĂȘt. Je suis prĂȘt. Je suis prĂȘt Ă 
tout défendre. Moi, il n'y a aucun problÚme. Comment ça
s'est passé? On parle d'un préambule, le foot hors foot
ou maintenant?

Speaker 3 (05:36):
C'est notre show, mais on fait ce qu'on veut. C'est parti.
On parlait quand je suis parti. T'as-tu ta cétate? Non,

Speaker 2 (05:45):
non, non. Mais il y a des photos d'escalier. Au
moins une. Et je ne l'ai pas fait pour toi
ou pour Sid. Ou pour Salt Lake, mais je l'ai fait.
Il y avait un putain d'escalier Ă  Edambourg. Attends, j'ai
la photo. Oui

Speaker 3 (05:57):
oui, je me souviens. Moi, je ne savais plus si
je regardais les stories d'Alec ou d'Étienne. Tu

Speaker 2 (06:03):
vois l'escalier? L'escalier d'Édimbourg. Non, mais Alec, ça, c'est un voyage.
Un voyage de jeune. Ça, c'est un voyage. Non, mais
il a une gueule de 22 ans. Moins de 10 ans. Mais ouais.

(06:26):
J'ai raté le bilan. J'ai écouté le bilan pendant que
je préparais ma valise, mon sac à dos. AprÚs, à l'aéroport,
quelque chose n'a

Speaker 3 (06:35):
pas part. Tu n'es pas le seul. Il y a
quelques joueurs aussi qui ont fait ça

Speaker 2 (06:40):
Ils étaient sur l'écran Tesla, puis ils faisaient play. C'est
sûr qu'il y a quelqu'un d'autre qui conduisait pour eux.

Speaker 4 (06:45):
Est-ce que la caméra est là? Attends.

Speaker 2 (06:50):
Non, on n'a pas de budget pour ça. Attends, je
vais mettre l'autre caméra. Et je reviens. Est-ce que je
suis clean? Oh, bah, bah, bah, bah, bah. VoilĂ , on
est de retour. TrÚs bon épisode sur le bilan avec Sid.
Est-ce qu'on vous a appelé? Attention! Attends

Speaker 3 (07:09):
une minute, oui! Attends, attends, tu me fais... Oui, il
y a quelqu'un qui

Speaker 2 (07:12):
m'a

Speaker 3 (07:12):
écrit. Attends une minute, laisse-moi... Let me check. Let me check,
let me check. Oh! J'ai quelqu'un qui m'a dit, cette semaine...
C'est con, je t'en ai pas parlé en plus. AprÚs
le jingle? On tease les gens? On m'a dit cette semaine,
puis j'ai oublié de t'en parler. Laisse-moi regarder

Speaker 2 (07:36):
C'est mieux sans Sofiane. Oui, je suis d'accord. Ça fait
deux ans que je dis que je vais arrĂȘter. Donc,
tu as raison. On peut arrĂȘter cette connerie-lĂ 

Speaker 3 (07:46):
Spotted. Mettons un Spotted Laval. Sais-tu qui a été vu
Ă  Laval cette semaine? Qui

Speaker 2 (07:54):
a été vu à Laval? Qui a été vu à Laval?
Le premier mot qui me sort, la premiĂšre personne, c'est
Ali Jarba. Ça n'a aucun rapport. Ali Jarba, non. Sebrango, non.
Jesse Marsh. Jesse Marsh.

Speaker 3 (08:07):
Non. Il faut que tu ailles un peu plus loin
que l'Amérique du Nord.

Speaker 2 (08:11):
Chiellini. Nesta.

Speaker 3 (08:15):
Nesta? Non, non

Speaker 2 (08:18):
non, non.

Speaker 3 (08:18):
Oui, mais c'est dans l'univers de Montréal, oui.

Speaker 2 (08:22):
Remigard

Speaker 3 (08:22):
Bon, ça aurait pu ĂȘtre ça, c'est bon. Non, non,

Speaker 2 (08:26):
non. Joel Batz. Emmanuel Petit. Non, il était déjà là. Zidane.

Speaker 3 (08:35):
Olivier Renard
Non! Et, quand on m'a dit ça, pendant ce temps-là,
je suis en train de regarder les demandes de messages Twitter. Tabarnouche, ça.
T'en as beaucoup, toi. Ouais, mais, tu sais, c'est des robots,
tu sais, c'est le genre de...«

Speaker 2 (08:56):
Are you working?»« Hello, hi, are you working?» Et le
deuxiÚme genre,« Hey, sexy.»

Speaker 3 (09:01):
Ouais, c'est ça,« You look good.» Donc oui, mais quand
on m'a envoyé ça, concernant Olivier Renard, c'était un petit
peu avant l'annonce de Nick DeSantis, aussi proche.« Oh, oh,
qu'est-ce qui se passe?»« Oh,

Speaker 2 (09:18):
oh, oh.»« T'as fait ton Sophia en plus 1 égale 50, là.»«
En plus 1 égale 50.»

Speaker 3 (09:27):
Je ne le retrouve pas. Ce n'est pas grave. Non,
je n'ai pas eu de temps. Ça fait longtemps que
je n'ai pas eu des informations anonymes ou nouvelles sources
comme ça. Je pense que ça rentre plus dans la
cour de Max Truman ces temps-ci.

Speaker 2 (09:48):
Oui, oui. Si quelqu'un veut donner quelque chose, c'est pas
la Max. C'est ta Max, Truman, Sid, Théo Tonio, Jean-François.
Mais lui, il va chercher la formation. Oui, le plus officiel.
Il va

Speaker 3 (10:02):
avoir un article le lendemain Ă  6h du matin. Avec Max,
il va avoir un tweet crypté avec ensuite... Un tweet
pour pouvoir laner une bĂȘte dans son... Oh! Sais-tu aussi...
J'ai oublié de le dire.

Speaker 2 (10:16):
J'ai

Speaker 3 (10:16):
vu... Les deux. Cette semaine, parce qu'aprÚs le bilan, bien sûr,
Ă  cause des informations sur Yvan Jem, Yvan Jaime, suite
à ça, il y a eu des articles au Portugal
et j'ai vu une citation... Dans les coulisses, dans le journal,

(10:40):
je pense Ă  Ebola
À

Speaker 5 (10:45):
Ebola? Oui. C'est l'article du Canada dans les coulisses. Dans
les coulisses, Maxime Truman. Incroyable. Éditorial Internet Web Agente Journaliste.

Speaker 3 (10:56):
Lui, il a été probablement cité plus rapidement dans un
journal portugais. À Ebola, c'est... C'est

Speaker 2 (11:03):
les

Speaker 3 (11:04):
13.ca ou RDS.

Speaker 2 (11:05):
La presse, c'est

Speaker 3 (11:05):
un peu plus maintenant. Oui

Speaker 2 (11:06):
la presse en général. Ils sont

Speaker 3 (11:08):
rendus amis

Speaker 2 (11:10):
La presse, ils sont assez

Speaker 3 (11:11):
intĂšgres.

Speaker 2 (11:12):
Radio-Canada
Non, on ne veut pas dire qu'ils ne sont pas intĂšgres.
Ah non, excusez-moi. Non, ce n'est pas ça. Un peu
plus systématique à citer les gens. RDS, ça dépend. C'est 50-50.
Mais il n'y a pas assez de foot. C'est boring. Allez, jingle,

(11:33):
parce que... Ouais,

Speaker 3 (11:34):
il faut que j'aille brancher ma montre. C'est écrit qu'il
reste 3%. Let's go. Let's

Speaker 2 (11:42):
go. Je

Speaker 5 (11:47):
vais t'expliquer. Ils ne sont

Speaker 3 (11:58):
pas au niveau,

Speaker 5 (11:58):
les

Speaker 4 (11:58):
arbitres. Vous

Speaker 5 (11:59):
écoutez Couscous

Speaker 4 (12:00):
Piri-piri. Piri-piri.

Speaker 3 (12:07):
C'est

Speaker 2 (12:17):
bien. Marc Bergevin, merci encore. Ça, c'est de l'hĂ©ritage. Ça,
c'est vraiment... Bonjour, bienvenue. Couscous, piri-piri, quelque chose, lĂ . C'est 549,
Sophia Nilton. Marc Bergevin, gars, Ă  Madrid, il ne faut
pas les sĂ©ries. Ça, c'Ă©tait un moment... En plus, je
ne riais mĂȘme pas. Au dĂ©but, je riais de lui,
mais quand c'est arrivé, je me suis dit... C'est tellement
devenu rigolo et marrant. Je dirais pas de lui, je

(12:40):
trouve ce qu'il dit fascinant. Mais je peux le comprendre,
je connais son contexte, comment il a vécu, comment il
a grandi, son parcours hockey. Qu'est-ce qu'on a faute de Madrid, play-off,
Ligue des Champions, la Liga? C'est pas sa job de
savoir ça. C'est fascinant. Je trouve ça cool. En fait,
j'aurais plu depuis longtemps, j'aimerais juste lui parler ce que

(13:02):
tu as dit. LĂ , on guide toi avec ce truc-lĂ ,
mais en mĂȘme temps, c'est un truc hĂ©ritage football magnifique. AprĂšs,
il va me frapper parce qu'il a des gros pipes. Lui,
c'est Legion of Doom. On se sentait de retour. Je
suis de retour. La derniĂšre fois, on parlait du Supra.

(13:22):
On se posait des questions. Comment le hype va arriver?
Comment on meuble? Le contenu, sans donner la recette Ă 
tout le monde, entre maintenant jusqu'au mois de janvier-février, entre
le Supra et ECF Montréal. Pardon. Donc voilà, moi je
suis de retour. OĂč est-ce que j'Ă©tais? J'Ă©tais dans les Europes.
Je suis parti avec mes frĂšres pour un petit road

(13:42):
trip entre frĂšres. Un peu last minute lĂ , on a
décidé fin août, début septembre qu'on allait faire quelque chose,
mais aprÚs ça a

Speaker 4 (13:48):
accéléré

Speaker 2 (13:50):
On s'est dit, ok, on vérifie les vols, on vérifie
les dates, on voit ce qu'on peut faire. donc voilĂ 
on a essayé de faire un petit road trip surtout
foot moi c'était foot le tourisme j'en foutais un peu
puis on a tout essayé on s'est dit est-ce qu'on
va moi je n'y vais pas pour un match de
Ligue 1 ou de la Liga il faut que ce soit
deux matchs puis malheureusement on a juste fait un match

(14:11):
donc on a décidé on va faire un match Ligue
des Champions Europa League C'était difficile pour la Ligue des
Champions parce que c'était mardi et mercredi. Donc, c'est un
peu plus serré en termes de temps de vacances, etc.
au milieu de la semaine. Et puis, la disponibilité des billets. Donc,
on a décidé avec mes frÚres d'aller voir Celtic Football Club.
Celtic Football Club Ă  Celtic Park Ă  Glasgow. Puis, on

(14:33):
est parti voir le match d'Europa League contre Stuttgart. C'était
une expérience vraiment superbe. Celtic Park, c'est un punaise de stade.
Vraiment beau. Combien de

Speaker 3 (14:48):
capacités? C'est quoi

Speaker 2 (14:49):
la capacité? Officielle, je ne me rappelle pas, mais j'ai
l'impression qu'il y avait du 40 000. Non, non, 50 000. Officiellement, 60 000. Oui, ça
se voyait bien. parce qu'en fait il avait le il

Speaker 3 (15:02):
avait pas le ding dong la l'annonce de la fall
of seal

Speaker 2 (15:07):
non non le match était trop chaud j'entendais pas j'entendais
juste les remplacements et malheureusement le remplacement d'Alice Johnson qui
s'est re-blessĂ© alors qu'il revenait blessĂ© ouais la mĂȘme mĂȘme
blessure donc certes et pas contre Stuttgart c'est vraiment bien
on quitte Montréal mercredi soir le vol tard le soir
avec Villechao on arrive à Londres À 9h du matin,

(15:30):
notre vol Ă  Glasgow est Ă  2h de l'aprĂšs-midi. Donc,
la douane, la sécurité, on sort, pas on sort, mais
on fait un transit, etc. Puis, on attend 2-3h Ă  Heathrow,
terminé à 5h. On a tiré à Glasgow à 3h30.
On prend un taxi pour aller Ă  l'hĂŽtel au centre-ville,
puis comme Montréal, ils ont une grosse construction sur l'autoroute
entre la ville et l'aéroport. Non, c'est pas juste Montréal. Non,

(15:51):
pas juste Montréal. C'est pas juste nos cols

Speaker 3 (15:54):
bleus. Il y avait-tu un Oliver Prime Moe qui disait
que la ville, c'était de la marde

Speaker 2 (16:02):
Non, non, non, non, non. Mais ils sont trĂšs fiers
de l'euro, de l'eau. C'est la qualité de l'eau top.
Trùs fier. C'est vrai, sans blague. L'Écosse, c'est l'eau. Oui,
c'est trĂšs bien.

Speaker 3 (16:13):
Tu n'as pas vu des tweets passer oĂč les gens
prenaient des photos de l'autoroute bloquée?

Speaker 2 (16:17):
Non
Tout le monde conduisait avec gentillesse, du mauvais cÎté de
la route. C'était stressant. C'était vraiment super. Et c'était en
livre sterling. ça c'est tu doubles ça coûte juste 10$
pour manger, non c'est 20$ c'est 20$ en fait 21 et
quelque chose donc voilĂ  on arrive Ă  notre hĂŽtel au

(16:39):
centre-ville vers 4h30, le match est Ă  8h, on a
le temps, mais on avait des billets, on pouvait rentrer
dans un espace lounge, bar, on avait la bouffe incluse,
donc c'était ouvert 2h à l'avance. Nous, on s'assoit 10-15 minutes,
on se douche, on se change, puis on prend un
Uber au stade. pourquoi je parle de ce détail parce

(17:01):
que dans l'Uber on réalise qu'il ne prend pas le
chemin classique parce que c'est bloqué pourquoi c'est bloqué il
y a des policiers partout qui bloquent c'est peut-ĂȘtre des
fans qui marchent ils veulent protéger les fans mais je
n'ai pas réalisé qu'on arrive en stade c'est les fans
autrichiens de Stormgrass qui faisaient leur match je ne sais
pas Ils ont marché quelque part au centre-ville. J'en ai

(17:22):
vu quelques-uns, tous habillés en noir. Ils marchaient, ils faisaient
les chants et tout. C'était magnifique. J'ai mis les photos
et les vidéos sur Instagram, Instagram Story. C'était quelque chose.
Je n'ai pas voulu faire la bague avec les policiers
à cÎté de moi ou les autres politiques pour dire«
Des germanophones alignés, habillés en noir, synchronisés.» Donc, c'était vraiment cool.

(17:49):
C'était autrichien. Oh my God. I prefer really not to speak.
If I speak, I am in big trouble. In big trouble.
And I don't want to be

Speaker 5 (17:53):
in big

Speaker 6 (17:53):
trouble.

Speaker 2 (18:03):
Donc, c'est vraiment cool. Donc, on cherche nos billets. On
va Ă  la magasin du seltier cacher des petites choses

Speaker 3 (18:11):
En mĂȘme temps, j'ai dĂ©jĂ  entendu pire dans d'autres podcasts
et puis c'est rien passé

Speaker 2 (18:14):
C'est rien passé. C'est ça

Speaker 4 (18:16):
Bref.

Speaker 2 (18:18):
des alignés organisés et synchronisés et c'était donc c'est vraiment
cool donc aprĂšs on va au petit lounge lĂ  on
s'assoit on cherche nos bouffes et on regarde les autres
matches europa league sur les écrans c'était cool comme espérance
aprĂšs vers 7h30 7h30 40 on va Ă  nos places c'est

(18:39):
on est derriĂšre le but derriĂšre le but puis peut-ĂȘtre
pas le parterre mais le deuxiĂšme bloc tu as un
troisiÚme bloc et Pourquoi j'avais oublié les os de la mine,
c'est qu'il y avait jamais l'eau au-dessus de l'eau. J'ai
oublié qu'il y avait un upper bowl, comme on dit.

Speaker 3 (18:53):
Les pauvres,

Speaker 2 (18:55):
les pauvres. Mais voilà, c'était vraiment cool, vraiment cool. On
a pu vivre le Univowa Cologne de Celtic, c'était quelque chose. Euh...
En tout cas, c'était 1-0 Stormgrass. TrÚs rapidement, j'ai envoyé
Ă  des scouts Ă  MLS 2-3 joueurs de Stormgrass que
je conseille pour les clubs à MLS. J'ai envoyé des noms.
Allez voir ça. J'ai fait du scouting. Et Celtic a
fait un comeback 2-1. Ça aurait dĂ» finir 7-2 pour

(19:17):
Celtic parce qu'ils avaient beaucoup de chances de marquer. mais
quelques jours aprÚs, Banjo Rangers s'est fait dégager de Celtic
Alistair et les combos donc nous, les Benzazas on s'est
assuré de foutre la merde donc c'est vraiment cool comme expérience,
Celtic Park moi je vous conseille, si vous allez Ă 
Celtic Park ou Ă  Ibrox, les Rangers sont de l'autre
cÎté de la ville Si vous y allez, moi, je

(19:38):
conseille un match européen le soir. Il faut que tu
aies la nuit, les lumiĂšres. Tu me dis, je vais
avoir un match de Premier League ou de La Liga
durant le jour. Oui, tu y vas. Si c'est Manchester
contre Leeds Ă  2h de l'aprĂšs-midi, ce n'est pas grave.
Mais un match de soir, européen, c'était quelque chose. C'était
vraiment quelque chose. Et puis, les fans de Stuttgart, c'est fou.

(20:01):
Ils Ă©taient dans leur coin et ils n'arrĂȘtaient pas. Les
drapeaux et tout. C'était... incroyable, vraiment là, incroyable. Tu sais,
j'ai réalisé que, que ce soit les Français ou les Allemands,
c'est les champs tout le temps, tout le temps. Les Arapas,
les Arapas, les Arapas, mĂȘme les Anglais aussi. Mais bizarrement,
j'ai pensé au Stade Saputo à Montréal. Tu t'en es
parlé un peu, je pense, quand tu es parti deux
fois au Benfica? Au moins une fois. Une. Mais tu

(20:24):
es parti ailleurs, non? AtlĂ©tico Madrid. OĂč, Ă  un moment,
Constance Grasse marque assez tÎt, puis ça se calme, il
n'y a pas beaucoup de chance, le stade est assez calme. Oh,
il y a des moments oĂč ça 
 Des longs.
Celtic Ă©tait un peu dans la merde. Ça jouait mal.
Le club est sous pression. Mais il avait deux groupes ultra,
des Green Brigades qui sont trĂšs connus, trĂšs pro-Palestine, et

(20:45):
les The Boys, je pense, les Young Boys ou The Boys,
qui étaient de l'autre cÎté. Puis il y a des
Green Brigade. Vraiment, des ultra-tifos, drapeaux et tout. Puis eux,
ils n'arrĂȘtaient pas, ils n'arrĂȘtaient pas. Mais Sombra, c'Ă©tait tellement constant.
Ils n'arrĂȘtaient pas que c'est eux qui prenaient la place.
C'était fascinant. J'ai l'impression qu'il faut aller en Autriche voir
un match lĂ -bas parce que j'ai l'impression que c'est une

(21:06):
ambiance de fou. Moi, j'ai

Speaker 3 (21:07):
eu

Speaker 2 (21:07):
une

Speaker 3 (21:07):
expérience une fois à Francfort.

Speaker 2 (21:09):
Tu as vu un match? Les Allemands, c'est quelque chose.
On s'arrĂȘte lĂ . Je vais dĂ©raper

Speaker 3 (21:18):
Je veux juste dire que j'étais trÚs haut derriÚre les Ultras,
derriÚre un filet. J'avais des flashbacks à l'époque, c'était genre
Call of Duty, les premiers jeux. Tu te ramĂšnes dans
les métros et tu entends... Mais non, sans blague, c'était
Ce que j'avais aimé, c'était... Je ne sais pas s'il

(21:40):
peut le faire aussi en MLS. Probablement pas parce que...
En MLS, c'est vraiment, on est concentré sur notre club,
puis ce qui se passe ailleurs, on s'en fout. C'était
les annonces des buts des Ă©quipes en mĂȘme temps, dans
les autres matchs. Donc, à un moment donné, on avait
un time sonore, puis lĂ , on attendait Bayern Munich 1-0.

(22:01):
Puis lĂ , t'entendais le monde sortir des boues, ou siffler plutĂŽt.
Ça a eu les scores, les rĂ©sultats. Je sais pas
si on... Je ne sais pas si ça serait, si c'était,
si ça serait, je ne sais plus, mais il serait,
si c'est un bon concept Ă  essayer d'inculquer aux partisans

(22:27):
le suivi des autres résultats. C'est sûr que

Speaker 2 (22:29):
dans une

Speaker 3 (22:30):
saison comme celle qu'on vient de finir, les autres résultats,
on s'en fout parce qu'on est dernier de toute façon.
On va essayer de créer cette atmosphÚre-là. Oui.

Speaker 2 (22:38):
Non, c'est vrai. Pilote, tu reviens à Montréal
Attends, je vais te montrer quelque chose. C'est fou. Je
ne sais pas s'il y a du son. On n'aura
pas de mot d'utilisation sur ce truc-là, je pense. Ça,
c'était le drone. Est-ce qu'on voit la vidéo? Ah ouais,
on attend le son. Ça, c'est le drone. Nous sommes
grĂące Ă  Glasgow. On s'entend de marcher. Ils marchent lĂ 

(23:02):
les fans de Stormgrass, je sais pas comment ils s'appellent
l'Ultra lĂ , j'oublie le nom de leur Ultra. Mais ils
marchent tous, du centre-ville c'est un bon 34 minutes de marche,
Ă  leur rythme je pense que c'est 15 minutes, puis aprĂšs voilĂ .
C'est vraiment cool, puis je pense qu'il y avait une
autre avec... Ah oui celle-lĂ , ils arrĂȘtent pas. Ils Ă©taient
en face de moi, j'Ă©tais un peu du mĂȘme cĂŽtĂ©

(23:24):
mais en face, ils arrĂȘtaient pas. Ils ont pas arrĂȘtĂ©
une minute. Ils vont pas arrĂȘter une minute. AprĂšs, t'as
vu la vidéo que j'ai faite? Je les vois. Ils
sont proches du stade. Tu

Speaker 3 (23:42):
vois?

Speaker 2 (23:43):
C'est quelque chose. C'est quelque chose.

Speaker 3 (23:47):
On n'est pas Ă  veille d'ĂȘtre capable de reproduire ça
en Amérique

Speaker 2 (23:50):
Non, mais comme les ultras, ils font encore la marche
vers le match

Speaker 3 (23:58):
Quand tu es 20 ou 50 versus, ils ne sont pas

Speaker 2 (24:01):
loin de

Speaker 4 (24:01):
bien

Speaker 2 (24:02):
Mais si les gens peuvent répondre sur YouTube, on va
demander Ă  Alex que ton temps, il les suivait avant. Alex,
dis-moi si je te stoule. Je veux. Mais dites-nous, les
anciens ultras, si vous ĂȘtes encore lĂ , ou les gens
du collectif qui sont des anciens ultras, UM, etc., est-ce
que vous étiez combien? Moi, je me rappelle qu'entre Toronto
FC et 2015, c'est le prime, il y avait du monde.

(24:26):
Mais est-ce que c'était 50, 100, 200? Est-ce que c'était vraiment cool? Vraiment cool,
puis 
 Mais je pense en termes de cette culture
foot européenne, Montréal est la plus proche, je pense. C'est
un truc trÚs égoïste et égocentrique de ma part de
le dire et trĂšs feignant parce que je n'ai pas
fait de recherche. Mais je pense que Montréal est le
plus proche ou la plus propice à rapidement s'approprier ça

(24:48):
ou juste qu'on l'a déjà et il faut juste le
ressortir un peu. VoilĂ , c'est mon feeling.

Speaker 3 (24:55):
Mais ça va venir avec une pression que le club,
je ne sais pas si le club aimerait avoir ce
type de pression-lĂ , parce qu'ils ne sont pas juste lĂ 
pour chanter, ils sont lĂ  pour revendiquer aussi.

Speaker 2 (25:05):
Ben, il a été dissous, le club du supporter. Parce
qu'ils parlaient trop. Ils avaient d'autres raisons, des cumuls d'erreurs.

Speaker 3 (25:13):
Tu ne peux pas avoir... Tu ne peux pas juste
avoir les qualités sans avoir les

Speaker 2 (25:18):
défauts. Oui, mais tu vois, ces ultras de Stormgrass, va
leur dire qu'ils vont changer de nom.

Speaker 3 (25:27):
Juste le logo

Speaker 2 (25:29):
On va s'appeler Red Bull sans grĂące. Non. Mais c'est
vraiment cool. AprĂšs, on est restĂ© en Écosse deux jours. Glasgow,
une partie de la journée, puis Edinburgh pendant une journée
et demie, deux jours presque. J'ai essayé de convaincre mes
frĂšres d'aller voir Livingston contre Dandy United. Ça n'a pas levĂ©.
Ce n'était pas trop chaud. C'était loin le transport. On dit,
on y va, on prend un bus, ça prend une heure.

(25:51):
On connaĂźt rien de la ville. On y va. Les billets,
ils sont plus sur Internet. S'ils ont Internet, ils font
du e-commerce pour les billets. Ce n'est pas si mauvais
que ça s'ils font du e-commerce. On a essayé ça.
Mais ce qu'on a failli faire, puis je l'ai dit
dans le chat avec toi puis d'autres gens, c'est qu'on
était à Londres pour prendre notre vol à Glasgow. C'est
beaucoup de temps, trois heures Ă  tuer. J'ai dit, les gars,

(26:12):
le package de la billet de Manchester United Brighton, il
a baissĂ© de 100 euros. Il Ă©tait quand mĂȘme Ă  250 euros
le billet. C'est un billet genre tu bouffes et tout lĂ ,
mais un peu fringue. Mais

Speaker 3 (26:22):
c'est moins pire 250 quand c'est juste toi et que

Speaker 2 (26:24):
tu n'es pas obligé d'amener toute la famille et que
le 250 devient 
 Exactement, exactement. Puis je l'avais suggéré au début,
on devrait faire, on va Ă  Celtic, on prend le
train le lendemain, on va à Manchester, ça prend 3-4
heures et aprĂšs on prend notre temps, samedi soir, on
se débrouille à prendre un taxi cher ou un bus
pour aller à Londres, à l'aéroport, on dort à l'aéroport
puis c'est fini, on a fait notre road trip foot.

(26:45):
Ils me disent, on n'est pas sûr, etc. Puis à l'aéroport,
ils me disent, oui, on devrait le faire. Quoi? Attends,
les gars, les gars. Moi, je blaguais, lĂ , mais lĂ ,
mon anxiété, je peux pas faire ça, là, je suis
trop anxieux. Je

Speaker 3 (26:54):
suis trop anxieux, c'est pas dans le budget. Ils connaissent
pas le Sofiane que moi, je connais?

Speaker 2 (26:59):
Ils me connaissent trĂšs bien. Donc, pour le jeune, oui, oui, oui, t'inquiĂšte.
Full motivé, dÚs que

Speaker 3 (27:05):
ça arrive, le projet, oh, oh.

Speaker 2 (27:09):
Oh, oh. Je veux avoir un podcast dans les médias.
One Sucker, vous voulez? Oh, oh, oh, oh. Les gars,
je blaguais, lĂ , je blaguais. The mail

Speaker 3 (27:15):
was the...

Speaker 2 (27:16):
je blaguais je voulais pas faire de podcast la boucle
canadienne c'était une blague mais c'était bien c'était une belle
année donc ouais donc c'était cool comme expérience si vous
voulez je peux vous donner des conseils de mon expérience
de voyage si vous voulez chercher des billets pour avoir
des billets de match ok vous avez vous inscrivez dans
la folie des clubs certains vendent seulement les matchs les

(27:38):
billets seulement deux semaines avant un match donc tu peux
pas planifier ta vie autour de ça sauf si tu
fais un voyage dans le pays tu dis c'est quoi
allez moi je vais visiter puis si jamais au lieu
d'aller dans un musée avec madame je vais voir le
match tu prends le risque t'as les sites de revente
officiels des clubs et mĂȘme ça c'est pas facile certains
m'ont dit donc moi je conseille ils me sponsorisent pas
je devrais leur demander ce qu'ils me sponsorisent mais ils

(27:59):
s'en foutent totalement ça s'appelle Champions Travel Googlez ça, c'est champions-travel.com.
C'est en Irlande, je pense, Champions Travel. C'est en euro
les prix des billets. C'est des renvois d'or officiels de
billets de match. Ligue des champions Europa et Ligue de
certains clubs, une quinzaine de clubs. Donc moi, j'ai basé
ma vie sur ça. Celtic joue et un match dit,
on va aller Ă  Celtic. Parce qu'on cherchait Villarreal, on

(28:22):
cherchait Valence, c'était compliqué. Mais certains clubs vendent leurs billets
eux-mĂȘmes et tu n'as pas besoin d'ĂȘtre abonnĂ© ou c'est
ouvert à l'avance. C'est Valence, un peu Villarreal, surtout Séville. Séville-Valence,
tu serais à la Sociedad Athlétique Bilbao, tu peux acheter
des billets. Mais si tu veux payer un peu plus
cher et avoir des billets garantis, prends des billets VIP.

(28:43):
Si c'est un peu plus cher, ce n'est pas 20-30 euros,
mais tu te dis, tu vas prendre l'expérience, clac, 100-150
euros pour un billet VIP, tu es bien placé, tu
as de la bouffe incluse.

Speaker 3 (28:52):
C'est

Speaker 2 (28:54):
trÚs bon. C'est ça, c'est ça. C'est quasiment

Speaker 3 (28:56):
le goût, Zialik.

Speaker 2 (28:57):
Oui, mais on parle comme on dit, on doit remercier
Excellent Photo qui nous sponsorise et CityVégé Montréal pour les
microphones qu'on a, le son qu'on a, donc on leur
remercie beaucoup. Puis allez sur excellentphoto. ca pour les produits, puis
ils ont des événements qui arrivent au mois de novembre.
Donc excellentphoto. ca, on mettra des tweets qu'on aura l'information sur
ces événements-là. Mais en termes de foot, c'est un luxe.

(29:18):
C'est un luxe de voyager Ă  travers l'Europe. C'est long.
Et la seule raison qu'on y allait, c'est qu'on avait
des points pour prendre l'avion. On a couvert les trois
quarts des coûts de l'avion avec des

Speaker 3 (29:29):
points. Maintenant, surtout au mois de novembre, c'est plus facile
de se déplacer en Europe que de se déplacer à Montréal.
Il n'y a plus de métro
Il n'y a plus d'établissement.

Speaker 2 (29:39):
Ils le ramenaient partout. Quand

Speaker 3 (29:42):
on disait qu'on n'avait pas de stade pour jouer en novembre,
on n'avait pas de mĂ©tro. À

Speaker 2 (29:48):
Toronto, ils ont tout. T'imagines les playoffs maintenant au stade
Saputo et la grÚve? Tais-toi. J'y ai passé

Speaker 3 (29:54):
hier.

Speaker 2 (29:54):
Oh, Gavino, il

Speaker 3 (29:56):
est en furie. S'il est déjà fùché dans ses podcasts
en criant fort, imagine-le. Oh, qu'il serait fùché.

Speaker 2 (30:03):
T'aurais pensé à la photo du parking du stade Dangerous
de Filosa. Ils prennent la voiture aussi. Je suis d'accord
avec lui. On est du Nord, on a une culture
de voiture. Mais je le conseille. Settle Park, je le conseille.
Je suis des fans du Celtic. Leurs fans sont palestines,
donc je dis parfait, let's go. VoilĂ . C'est long, 30 minutes. VoilĂ .

(30:28):
maintenant

Speaker 3 (30:30):
il faut que tu reviennes au Québec

Speaker 2 (30:32):
à la morosité la médiocrité le nivellement par le bas
notre foot

Speaker 3 (30:38):
oh alors c'est pas ça t'es pas gentil

Speaker 2 (30:40):
mais

Speaker 3 (30:40):
toi t'as vu

Speaker 2 (30:42):
en avant au

Speaker 3 (30:43):
Québec le bilan aprÚs tout le monde Le vibe général
en coulisses, mettons, c'était« Bon, si ton bilan ne servait
à rien.» Toi, t'avais-tu ce vibe-là? T'as vu le show
avec Sid? Sid, il apportait un petit bémol à ce

(31:05):
narratif que le bilan ne servait pas Ă  grand-chose. Toi,
t'as vu comment ce bilan-là? Quelle langue tu l'as abordé?

Speaker 2 (31:15):
Si je le personnalise par rapport aux gens qui étaient là,
je me dis« Ah, c'est le premier bilan de Lucas Saputo.
On peut dire qu'il a réussi de la bien parler,
il n'a pas dit de bĂȘtises, il l'a bien gĂ©rĂ©,
puis il a répondu, puis il a su qu'on ne
peut pas rĂ©pondre.» Ça, c'est vraiment par rapport Ă  Lucas Saputo.
Si je regarde un bilan général d'un club, moi je
dis« Au début, je trouvais que c'était intéressant jusqu'à ce

(31:40):
que j'ai déconnecté quand il avait dit à un moment
que c'était notre équipe à partir du mois de juillet.
Il avait dit ça à un moment. Comme pour dire
que de décembre à juillet, c'était nettoyer les restants de
Courtois et de Renard un peu et de Vassili. Peut-ĂȘtre
que j'ai mal entendu. Je me suis dit, pourquoi il
fait ça? Tu n'as pas besoin de dire ça. MĂȘme

(32:01):
si c'est vrai. Mais

Speaker 3 (32:02):
c'est ce qu'il ressent. Est-ce

Speaker 2 (32:05):
que c'est vrai? Parce que c'était un board qui décidait ensemble.
donc tu sais en janvier c'est quoi c'est Osu c'était
pas toi puis Vreni c'était toi tu sais c'est le
tu sais je choisis lequel donc ça c'était genre ok
bon ça m'intéresse pas et puis je faisais ma valise
donc j'étais pas 100% chaud là mais ça ça ça

(32:26):
m'intéressait moins aprÚs pour le reste c'était voilà je trouve
qu'on a trop d'incrédits au club pour dire ah ils
ont annoncé les départs et les options tout de suite
c'est un blague Mais ça, c'était... Tout le monde le
sait avant, juste qu'ils l'ont diffusé. Oui

Speaker 3 (32:37):
mais...

Speaker 2 (32:38):
Je trouve pas ce

Speaker 3 (32:39):
truc...

Speaker 2 (32:39):
On en a

Speaker 3 (32:39):
parlé avec Olivier Renard. Lui, Olivier, il voulait donner aucun
avantage aux adversaires.

Speaker 2 (32:45):
Oui

Speaker 3 (32:46):
Puis le contrÎle de l'information, c'était un avantage pour lui.
Il se disait si... j'ai une obligation de révéler les
contrats à partir de, mettons, le 1er décembre. Pourquoi

Speaker 2 (32:57):
je vais

Speaker 3 (32:57):
le faire avant? Exactement, exactement.

Speaker 2 (32:58):
Je ne le

Speaker 3 (32:59):
ferai pas. Je vais utiliser tous les outils que j'ai
Ă  mon avantage pour le faire parce que Parce que
ça me donne un edge sur l'adversaire.

Speaker 2 (33:09):
Lui
c'était sa

Speaker 3 (33:10):
perception de voir les

Speaker 2 (33:11):
choses.

Speaker 3 (33:12):
Oui, oui, oui.

Speaker 2 (33:13):
Je comprends ce qu'il disait.

Speaker 3 (33:14):
Oui, exact. Donc, lui, il se dit« Non, moi, je
vais l'annoncer quand il faut que je l'annonce.» Puis,

Speaker 2 (33:18):
les

Speaker 3 (33:18):
joueurs sont au courant.« Fine, moi, je vais y aller
comme ça.»

Speaker 2 (33:21):
LĂ ,

Speaker 3 (33:21):
le club a décidé que ça, ce n'était pas nécessairement
une arme utile à son jeu. Chaque décideur applique ses
propres décisions. Puis,

Speaker 2 (33:30):
il vivra avec les conséquences de ses décisions. AprÚs, les
fils-ci disent« Wow, genre, OK, ils ont juste à publier.»
C'est bien, mais ce n'est pas un élément...

Speaker 3 (33:42):
La

Speaker 2 (33:42):
différence est souvent bonne

Speaker 3 (33:43):
Peu importe, dans la vie, Ă  chaque fois qu'il y
a quelque chose de différent, jusqu'à temps qu'on se rende
compte que le différent n'est pas nécessairement toujours mieux. Je
suis d'accord.

Speaker 2 (33:51):
Et j'ajoute que ce n'est pas un élément qui va
déterminer que le club est mieux ou pire
Ça ne change rien pour moi. Moi, je suis tout
le temps méfiant des exercices de communication comme ton pilier
pour dire que je vais mieux. Moi, c'est le terrain
qui compte. Oui, mal communiquer, c'est mauvais. Je suis d'accord.

(34:12):
Mais d'abord, le terrain. C'est ça le plus important. Il
y a une sorte de mea culpa. On a fait
des erreurs. On a fait des choses qu'on ne va
pas refaire. C'est comme Renard, comme le DRT sportif de
Liverpool et de Real Madrid et de Chelsea. Ils ont
fait des conneries, puis ils vont corriger, puis ils ont
fait des bons coups. En général, c'était un bilan assez normal.
Juste que c'Ă©tait cool de voir Lucas Aputo. Ça faisait bizarre.

(34:35):
Le fils de Joey.

Speaker 3 (34:39):
Maintenant, c'est accepté. Toute la méfiance slash haine qu'il pouvait
avoir au début. Maintenant, c'est un fait accompli. Je trouvais

Speaker 2 (34:53):
que Bologne, ça me chicotait. Il y avait un... Comment dire?
Comme il y avait des vibrations en arriĂšre-plan, un son
qui roulait en arriĂšre pendant qu'il parlait, qui me faisait dire...
Tu sais, c'est dans ma tĂȘte. C'est dans ma tĂȘte
qu'il parle. Je dis, mais c'est comme s'il y avait
un bruit de fond, de... Tu sais, c'est... Comme il

(35:15):
essaie de dire que Bologne, c'est trĂšs important. Mais c'est
son background. C'est sa formation. Mais il ne le disait pas.
Il le disait en télé. Je dis là. J'essaie de
déchirer ce qu'il disait.

Speaker 3 (35:29):
C'est l'équivalent de... Dans une entreprise, tu vas chercher un
diplÎmé Je dis, bon, mettons, t'es une jeune PME familiale,
t'as besoin d'un peu d'expertise. Puis lĂ , tu dis, OK,
je vais aller chercher un diplÎmé, mettons, en marketing HEC.
Le gars qui arrive, son background, sa façon de penser,

(35:50):
c'est HEC. Donc, il va dire, nous, au HEC, on
a appris 
 Lui, son HEC à lui, c'est Bologne. Oui.
Il n'y a aucun background de foot. C'est ni un joueur,
ni un ancien coach. Rien, rien, rien, rien. Lui, son
background de foot, c'est voir papa gérer un club

Speaker 2 (36:05):
Oui,

Speaker 3 (36:05):
c'est la famille

Speaker 2 (36:06):
C'est

Speaker 3 (36:06):
ça, d'ĂȘtre grandi dans des vestiaires. Il sait un peu
comment le vestiaire, ça se passe sans ĂȘtre joueur lui-mĂȘme.
Mais sa vraie formation, son université à lui, c'est Bologne. Oui, oui.
Il n'est pas resté là dix ans. Il a été
mis rapidement. Probablement, ce n'était pas le plan qu'il arrive
là si rapidement que ça. C'est possible.

Speaker 2 (36:23):
C'est possible. Non, je vois ton point

Speaker 3 (36:25):
Moi, ce que je trouve, aprĂšs coup, quand j'ai vu
la conférence de presse, aprÚs coup, je pense que si
jamais j'ai l'opportunité de lui parler, la question que je
lui demanderais, c'est Il a surtout insisté sur le fait
qu'une des erreurs ou un truc qu'il veut corriger, c'est

(36:46):
la jeunesse de son équipe. Il l'a vu, c'est important
d'avoir un certain encadrement d'expérience. Il faut avoir des joueurs
qui ont du vĂ©cu, mĂȘme si tu veux une Ă©quipe jeune.
Et qui sont bons sur le terrain. Oui, tout Ă  fait.
Mais quand tu as une équipe jeune, tu as besoin

(37:08):
d'expérience autour, du vécu. Parce qu'ils ont vécu telle situation,
on les a alignés, tout ça. Donc, lui, je pense
qu'une des priorités du Mercato, c'est qu'on y greffe un
peu d'expérience là-dedans. Moi, quand il y a cette prise
de conscience-là, ce portrait-là de notre équipe, elle est jeune

(37:28):
et un peu isolée dans sa jeunesse. Moi, je fais« Luca,
c'est pas mal ton cas aussi. Vous ĂȘtes un staff,

Speaker 2 (37:37):
une

Speaker 3 (37:37):
direction jeune.»

Speaker 2 (37:39):
C'est ce que je disais avant moi, aprÚs leur vidéo
de« On s'excuse». J'ai dit genre« Est-ce qu'ils vont vouloir
s'encadrer ou est-ce que c'est Bologne qui les encadre?»

Speaker 4 (37:49):
C'est

Speaker 2 (37:49):
ça. MĂȘme si c'est Bologne. Est-ce qu'ils ont la compĂ©tence
en termes d'expérience de dire que Donadel, il reste ou
il ne reste

Speaker 3 (37:55):
pas
Probablement qu'il va dire oui, j'ai cet encadrement parce que
je

Speaker 2 (38:01):
parle

Speaker 3 (38:02):
souvent Ă  Marco Devaio, je parle souvent Ă  des gens
d'expérience à Bologne. Oui, mais non. C'est de l'expérience européenne
dans une équipe de foot. elle n'est pas tout le
temps transférable dans une équipe MLS nord-américaine. Il y a
de grosses nuances administratives Ă  ce moment-lĂ . Mais essentiellement, moi,

(38:24):
ce que je voulais apporter comme point, c'est ce que
tu trouves comme défaut à ton équipe sur le terrain
en termes de balance expérience jeunesse, J'espÚre que tu t'es
rendu compte que c'Ă©tait le mĂȘme dĂ©faut autour de toi.
Vous avez tous le mĂȘme profil. Toi, Simone, Fresetti, mĂȘme Gabriel,

(38:49):
il commence à avoir un peu d'expérience parce que son
expérience était administrative et il a été propulsé dans le sportif. Exactement.
Il manque beaucoup, beaucoup cet expert. Et lĂ , il vit
des situations pour la premiĂšre fois. Plein, plein, plein, plein
de situations. Et ce n'est pas une saison qu'il va
avoir Ă  porter parce qu'il va peut-ĂȘtre avoir des situations

(39:11):
qui vont se reproduire, mais il ne sait toujours pas
si la solution est bonne. Il n'a pas vécu à
moyen et long terme.

Speaker 2 (39:19):
Je pense, en disant ça, ça m'a un peu fait
penser à quelque chose que je pensais que ça ne
m'intéresserait plus. Je pense que ça m'intéresse. Mais c'est pas
ma tĂȘte, genre. Il s'est passĂ© quoi, Corey Ray? C'Ă©tait
quoi sa job? Je ne comprends pas. Est-ce que Corey
qui s'en va, c'est lui qui voulait faire plus? Ou
c'est Luca qui voulait qu'il fasse moins? C'est un

Speaker 3 (39:40):
excellent point. C'est un excellent point.

Speaker 2 (39:43):
On parle de quelqu'un qui l'entoure. Je ne dis pas
que Corey Ray, c'était le... Oui, une fois plus d'expérience
que les gars qui

Speaker 3 (39:49):
sont lĂ 

Speaker 2 (39:50):
Oui, c'est ça. Mais ce n'est pas le... Oui, mais
il a vécu TFC. Il a vécu des contrats de gestion.
C'est ça. Mais je me dis, c'est pourquoi... Je crois
qu'il dit l'expérience, mais tu avais Corey Ray. Qu'est-ce qui
s'est passé? Il parlait de

Speaker 3 (40:02):
la différence de philosophie. Le mot un peu fourre-tout. Clairement,
il y avait des consignes qui arrivaient de l'Europe.

Speaker 2 (40:12):
Il y

Speaker 3 (40:12):
avait lui, puis il a perdu.

Speaker 2 (40:16):
Et puis peut-ĂȘtre qu'il y avait des conflits d'autoritĂ©. Peut-ĂȘtre.
Peut-ĂȘtre genre, c'est parce que je suis jeune que je
ne suis pas ton boss. Peut-ĂȘtre.

Speaker 3 (40:25):
Tu sais comment ça se passe? Je veux dire, quand
il y a des recrutements, des acquisitions de joueurs, il
y a une bataille forcément d'opinion sur la qualité.

Speaker 2 (40:36):
Exact,

Speaker 3 (40:37):
exact, exact. Et peut-ĂȘtre

Speaker 2 (40:39):
Marshall Routy, c'était couriré. Genre, ça coûtait un million de

Speaker 3 (40:41):
grammes. Exact. Je veux

Speaker 2 (40:43):
dire,

Speaker 3 (40:43):
n'importe quoi. Il y a une personne... Il a dit,
ton machin routier est nul. L'autre, il dit, non, non, non, lui,
il va ĂȘtre vraiment bon. Il devient nul. Je te
l'avais dit qu'il Ă©tait nul. ArrĂȘte, lĂ , tiens, qu'il t'a amenĂ©,
il est nul. Puis finalement, il est parti aussi. Ça
arrive dans toutes les organisations, pas seulement sportives. Puis lĂ ,
à un moment donné, ils se disent, bien, il tranche. Luca,
il va trancher. Puis ça va peut-ĂȘtre nous amener Ă 

(41:04):
un autre sujet. Il va trancher vers les personnes qui
sont plus proches de lui. Puis quand je dis proches,
je ne veux pas dire famille, ce n'est pas ça,
mais tu sais, des fois, ça finit par ĂȘtre toujours famille, proche,
mais qui a le mĂȘme profil, la mĂȘme vision,

Speaker 2 (41:21):
la mĂȘme façon de travailler. Ce n'est pas une PME
de son employé. Ce n'est pas multinational. C'est... C'est lui, là.
C'est lui et son frĂšre. Et

Speaker 3 (41:30):
dans l'organisation, c'est un petit noyau, l'ensemble

Speaker 2 (41:33):
qui travaille. Oui, c'est vrai, mais quand t'as pas d'expérience,
ça fait qu'il y a trÚs peu de monde. Le
manque d'expérience fait que... C'est compliqué de flasher

Speaker 3 (41:41):
un ami en business.

Speaker 2 (41:43):
Non, non, mais je dis pas de flasher. Moi, je dis, genre,
il faut qu'ils apprennent ensemble. Moi, ça me dérange pas.
En fait, genre, les choix qu'ils font... On a dit
au début, Obosu intéressant, Vrioni... OK, on verra, mais on
a des doutes. C'est correct.

Speaker 3 (41:58):
Vriani, moi, ce qu'on m'a dit de Vriani, c'est que
les sapoteaux, c'est un grand mot, ont beaucoup, beaucoup insisté
et ont beaucoup, jusqu'à la derniÚre minute, aimé beaucoup Vriani.
Je peux comprendre pourquoi

Speaker 2 (42:19):
Je peux comprendre. C'est comme dans ton pĂŽle de hockey.
À moins, il faut waver ton joueur. Parce

Speaker 3 (42:26):
qu'ils ont répété un pattern qu'ils ont déjà fait et
qu'ils ont réussi. Vriani aurait pu... Si on oublie New England,
Vriani aurait pu ĂȘtre facilement ton divailleur.

Speaker 2 (42:40):
on voit le talent on voit le talent on voit
le talent mais mais encore une fois il donne si
je l'avais dit Ă  la fois c'est plus genre je
jongle je jongle de nadal maintenant qu'il est qu'il est
permanent c'est bon aprĂšs j'en jongle ok ils prennent un
coach pour deux ans ok c'est un c'est pas un

(43:01):
renouveau total puisqu'il connaßt déjà la faille que déjà la
famille quand déjà le club il est déjà là ok
cool recrutement ben il faut il y aura beaucoup de
changements qui vont beaucoup de Mais le nouveau bon joueur,
ils ont besoin de beaucoup de bons joueurs. Ils ont
beaucoup de chantiers, lĂ .

Speaker 3 (43:17):
Oui, mais un chantier qui urge, puis c'est bizarre Ă 
y penser, c'est celui de Jaime. Il doit savoir exactement
ce qui se passe avec lui. Est-ce

Speaker 2 (43:26):
que cette

Speaker 3 (43:26):
blessure est sérieuse ou pas?

Speaker 2 (43:28):
Est-ce que... Si ils font une autre Vrioni, ils vont
payer 5 millions d'euros de transfert, lĂ , pour rien.

Speaker 3 (43:33):
Tu penses-tu qu'ils espĂšrent, Ă  la limite, que sa blessure
soit assez sérieuse pour passer à d'autres choses et ne
pas mal paraßtre? Utiliser une blessure sérieuse pour dire« Finalement,
la décision passe sur le dos de la

Speaker 2 (43:49):
blessure.» Il voudrait ĂȘtre garantĂ© en 100% du statut de
la blessure. Est-ce que c'est grave ou pas? C'est grave, oui.
Ou c'est correct, ça va aller, oui. On pourra décider.

Speaker 3 (44:02):
Ok. Je veux que tu tranches, ok? Prends 3, 3 secondes, 5, 15 secondes
de silence si tu veux. Sa blessure n'est pas sérieuse, ok?
Disons qu'elle n'est pas sérieuse. Est-ce que tu reviens avec
lui l'année prochaine?

Speaker 2 (44:17):
Oui, oui, oui. Oui, je vais pas en réfléchir. Le
joueur est intéressant. Ce que j'ai vu, je dis. Il
passe bien. Un contraire, il n'est pas mauvais au niveau MLS.
Je le vois marquer 8-10 buts.

Speaker 3 (44:30):
Pour sauver 500 000 piastres, est-ce que tu triggers tout de suite
la clause ou tu attends

Speaker 2 (44:38):
Non,

Speaker 3 (44:38):
tu attends. Tu attends. Pourquoi? Toi, tu as dit qu'il
était bon tout, tout, tout.

Speaker 2 (44:43):
Oui, oui, mais... Pourquoi tout d'un coup? Si tu n'es
pas obligĂ© d'officialiser l'achat, mĂȘme si tu ne peux pas
le faire, attends, ce n'est pas 500 000 qui va faire la
différence dans ton budget. Moi, je pense. Moi, ça ne
devrait pas.

Speaker 3 (44:58):
Admettons, 500 000, calculatrice, 500 000, d'aprĂšs moi, ils fonctionnent Ă  peu prĂšs Ă  12
millions de budget

Speaker 2 (45:10):
C'est quand

Speaker 3 (45:10):
mĂȘme pas loin de 5 %. 5 %.

Speaker 2 (45:15):
Non, parce que... Ok, moi... Pourquoi ils sont venus le
chercher alors? Je ne comprends pas. Il a une rumeur
nulle part ailleurs, un malaise, le gars. Je ne sais
pas d'oĂč il sort dans le radar de MontrĂ©al, mais
je dis, il a l'air intéressant. Les agents

Speaker 3 (45:30):
Moi, si c'était moi, j'ai posé la question et je
vais rĂ©pondre moi-mĂȘme. Moi, je n'ai pas accĂšs... Ă  Yvan
pour lui parler, tu sais, connaßtre sa personnalité et tout, là,
tu sais. Tu as pas son compte

Speaker 2 (45:42):
ClickSecure de Sécurité Québec, là, pour te loguer? Moi, je
connais pas le gars assez, mais de ce

Speaker 3 (45:48):
que j'ai vu du gars jusqu'Ă  maintenant, C'est exactement ce
qu'on a besoin. Moi, j'active tout de suite pour régler. Moi,
j'ai besoin de régler des dossiers. Moi, si j'étais à
la place de Lucas, je rĂšgle des dossiers et j'assume.
Il faut commencer à, je pense que la priorité, c'est
de régler des dossiers. Tu veux qu'il

Speaker 2 (46:07):
permette le tuyau et qu'il les place sur l'échiquier, ça,
c'est mes joueurs garantis. Lui, c'est done

Speaker 3 (46:13):
Jaime, vous l'avez score. Il a dit que ça faisait
longtemps qu'il était dans leur radar.

Speaker 2 (46:18):
Tout est

Speaker 3 (46:18):
réglé. Vous savez c'est qui? En termes de joueurs, vous
savez c'est qui? Vous l'avez eu Ă  la maison pendant
quelques mois. Vous l'avez vu dans des situations compliquées, vous
ĂȘtes capable de dire tout de suite, tout de suite,
est-ce que c'est la bonne personnalité? Et vous voyez que
c'est un gars qui est fucking motivé pour l'année prochaine. Là,

(46:40):
réglez ça tout de suite. Gardez-le. Profitez de ce 500 000 de
plus pour aller chercher un autre joueur intéressant ou prendre
un meilleur joueur. Il faut que chaque dollar soit smart. Allez-y, man,
avec

Speaker 2 (46:53):
ce

Speaker 3 (46:53):
gars-lĂ 

Speaker 2 (46:55):
Ils ont un grand chantier Ă  Nilton aussi. HonnĂȘtement, le gardien,
c'est qui? Je ne savais mĂȘme pas que c'Ă©tait un
débat avant que j'aille en vacances

Speaker 3 (47:02):
Mais lĂ , tu as vu le salaire.

Speaker 2 (47:04):
Ah oui. C'est qui maintenant? C'est qui le boss. C'est
le numéro un. Celui qui parle trÚs bien le français aussi.
C'est la Radio-Canada. Moi, il a dit un truc, mais
qu'est-ce qu'il a dit?

Speaker 3 (47:18):
j'ai pas écouté

Speaker 2 (47:19):
encore j'ai vu la quote je vais écouter là pour
avoir du contexte mais tu trouves que c'est trop franchement
mon opinion non non non je peux l'accepter si je
dois trigger déclencher l'achat la clause d'achat c'est bon j'appuie
sur le bouton puis c'est fait je mais je trouve

(47:41):
quand mĂȘme qu'ils ont des gros chantiers honnĂȘtement lĂ  genre
mais ils ont besoin de Ils ont besoin d'un joueur
par ligne

Speaker 3 (47:50):
Ils

Speaker 2 (47:51):
ont besoin d'un défenseur central. Ils ont besoin de retaper
toute la ligne de milieu axel dans l'axe. Ils n'ont
plus personne. Piet, on ne sait pas ce qui va arriver. Normalement,
il va récupérer correct, mais on ne sait pas s'il
y a des consĂ©quences. Langstaff, ce n'est pas un titulaire indiscutable. Loturi, peut-ĂȘtre.

Speaker 3 (48:13):
mais c'est trop profil identique c'est que ces trois gants

Speaker 2 (48:17):
ont le mĂȘme poste oui mais si au moins les
trois étaient top là si t'as trois gants hey je
te garantis quand comment ça s'appelle Sven Eriksson et Capello
ils avaient Scholes Lampard, Gerrard ah les gars ont les 3
profils identiques c'est pas grave c'est des top players je
vais me débrouiller à les faire jouer ok donc tu

(48:37):
me dis que Landstaff, Loturi et Piet ils ont le
mĂȘme profil mais ils jouent trĂšs bien don't worry je
vais trouver une façon de les faire travailler les faire
jouer ça déjà il faut que les joueurs soient bons
dans le profil piĂštre il est chanceux il est trĂšs
distinct dans son profil milieu défensif je fais ça au
moins il est un peu sauvĂ© et peut-ĂȘtre aussi ça
va le ça va jouer contre lui mais il a
un contrat garanti puis on verra ce qui va arriver

(48:58):
avec sa blessure sa compétence par rapport à l'oreille mais
ThérÚse ont besoin on est déçu mais lui c'est pas
un milieu dans l'axe et plus un milieu cÎté offensif
passe partout il y a un défense centrale il faut
qu'il y ait un maĂźtre maestro mais le terrain il
faut qu'un maestro littéralement au niveau Ivan Jaime dans le profil.

Speaker 3 (49:20):
Au milieu du terrain, ils ont besoin de quelqu'un qui
contrĂŽle le ballon. Ils ont besoin de celui qui met
le pied. Il faut que... Qui met le rythme. Il
faut que Montréal trouve dans l'axe, en dehors des défenseurs centraux,
il faut que Montréal trouve dans l'axe celui qui a
le plus de touches de balle dans ce match. Mais

(49:43):
si les défenseurs chacun touchent 80 ballons, il faut qu'aprÚs ces
deux défenseurs-là, ça ne soit pas un latéral qui touche
le plus de balles.

Speaker 2 (49:52):
Non,

Speaker 3 (49:52):
non, non. Il faut absolument quelqu'un au milieu que Montréal
Toutes les actions passent par son pied, à un moment donné.
Toutes les actions passent par son pied, Ă  un

Speaker 2 (50:03):
moment donnĂ©. Ça fait longtemps dĂ©jĂ , mais ça fait mal,
Mathieu Chouinard, dans son profil. C'est intéressant. Saliba. Il faut
plus que ça. Oui, mais au moins, Saliba, il avait
une certaine volonté. Il faut au minimum taille d'air. Oui, oui, oui. Moi,
je ne voulais pas le dire. Ça fait depuis trois semaines,
genre« Tyder

Speaker 3 (50:22):
c'est Tyder!» C'est lui,

Speaker 2 (50:23):
il

Speaker 3 (50:24):
contrĂŽle

Speaker 2 (50:27):
le rythme. Au minimum. Donc, un profil d'un joueur qui
a un CV, il faut que tu payes pour. Donc,
entre 25 et 28, il vient s'asseoir tout de suite, c'est le
boss du week-end. Il faut

Speaker 3 (50:35):
que quand il y a une attaque placée qui arrive, OK?

Speaker 2 (50:38):
Oui.

Speaker 3 (50:39):
qu'à un moment donné, le ballon passe par un pied
du milieu de terrain, puis c'est lui qui décide, OK,

Speaker 2 (50:45):
on

Speaker 3 (50:45):
va aller Ă  droite, on va aller Ă  gauche, on
va aller dans l'axe. Je ne veux pas qu'une attaque
commence par... Combien de fois les attaques ont commencé par
une

Speaker 2 (50:51):
relance de Waterman?

Speaker 3 (50:54):
Je ne veux pas que tout d'un coup, l'attaque va
générer par un pied de défenseur central. On n'a pas ça.
On n'a pas ça en Montréal. On n'a pas Bastoni, Colin. Non.

Speaker 2 (51:06):
culture foot Inter Milan International tu

Speaker 3 (51:10):
comprends ce que je veux dire

Speaker 2 (51:11):
d'accord et puis s'il faut trouver le joueur on touche
du bois je trouve du bois lĂ  On assume qu'Ivan
Jaime va ĂȘtre correct pour le dĂ©but de la saison.
Il faut que tu aies le joueur au milieu de
terrain qui combine avec lui. Parce que c'est ce duo
qu'il faut qu'il marche

Speaker 3 (51:29):
Moi, cette semaine

Speaker 2 (51:29):
c'est ça

Speaker 3 (51:29):
que je vais faire. Je vais regarder les touches de balle.
Je suis convaincu qu'en 80... Tu sais, si on met ça
tout en 90 minutes
je suis convaincu qu'Aime, dans ses minutes qu'il a jouées
au Pro Rata, il touchait plus de ballons que... Sealy,
que Sinchuk, que n'importe qui qu'on

Speaker 2 (51:48):
a utilisé dans

Speaker 3 (51:49):
ces positions-lĂ .

Speaker 2 (51:50):
Lui, il

Speaker 3 (51:50):
se rendait disponible. Ça

Speaker 2 (51:53):
se passait par lui. Oui, ça se voyait. Il y
a mieux le terrain. Maintenant, qu'est-ce que tu fais devant?
C'est un truc. Tu as beaucoup investi. Si tu as
la place, la place de Vreni et d'Exprime en termes
de salaire, mĂȘme si c'est un salaire rĂ©duit et de
place d'épée, Est-ce qu'on peut assumer que le club va

(52:17):
aller chercher un deuxiĂšme attaquant

Speaker 3 (52:19):
Mais ce qu'on a eu de bien comme saison, on
a validé quelque chose. Osu peut te donner... 34 matchs.
Il peut te donner beaucoup de matchs. Qu'est-ce qu'on a
besoin derriĂšre lui? Ce n'est pas un attaquant B. On

(52:39):
a besoin de quelqu'un, mĂȘme pas de rotation. S'il se blesse,
c'est qui qu'on le met en attendant. Lui, c'est un
élément du 11 qui se répÚte à chaque semaine sans problÚme.
il n'y a peut-ĂȘtre pas 20 buts dans ses pieds

Speaker 2 (53:01):
mais il fait quoi en ce moment il fait 4-3-3
je vous dis 4-2-3-1 4-2-3-1 ok en fait le truc
c'est qu'avec Raimi est-ce qu'ils vont faire l'erreur ou le
bon choix de le considérer comme leur numéro 10 ce catalyseur
qu'on cherche Parce que, c'est une chose que Silly, t'as

(53:24):
aucune garantie. Silly, t'as aucune garantie qu'il fasse la mĂȘme
performance statistiquement. Mais, dans le jeu, c'est une garantie qu'il
soit aussi inconstant. Ça, c'est clair.

Speaker 3 (53:32):
Mais peut-ĂȘtre. Regarde, j'allais dĂ©truire Silly, mais je suis prĂȘt Ă ...
Je suis prĂȘt Ă  croire qu'il va garder ses qualitĂ©s
puis tranquillement enlever ses défauts.

Speaker 2 (53:45):
Il se peut. Mais ça reste quand mĂȘme un facteur X.
Tu dis, OK, c'est du travail Ă  faire. C'est un
dĂ©clic mental, physique. Parce que physiquement, il est quand mĂȘme prĂ©sent. Physiquement,
il est quand mĂȘme... Plus que Senchuk. Oui, mais il
y a quand mĂȘme une diffĂ©rence d'Ăąge. Mais Senchuk, Ă  voir. C'est...
Pour lui, c'est nouveau tout ça, mais à voir. Mais
c'est encore un facteur X. Tu dis, est-ce que tu
vas chercher d'autres alliés ou un milieu offensif? Tu as

(54:07):
déjà Ivan Jaime.

Speaker 3 (54:08):
Jaime, il s'est présenté comme un gars qui joue à
gauche et qui aime jouer Ă  gauche. Ok, ok, ok. Moi,
j'aime mieux quand tu es proche de la surface, mais
tu finis tout le temps dans la surface de toute façon. Non,
Tu deviens comme un attaquant gauche, finalement, quand tu joues.
Fait qu'OK, je suis prĂȘt Ă  vivre. Anyway, le plus urgent,
c'est ce qu'on a dit tantĂŽt, c'est celui qui met

(54:28):
le pied sur le ballon pour relancer les attaques. Fait que, trouvons, trouvons...

Speaker 2 (54:32):
Stachio. C'est un Stachio. T'avais dit Tider, alors on peut
dire le renouveau de Patrice Bernier. C'est un joueur qui
met le pied. Quand il lĂšve la tĂȘte, c'est pour
mettre le ballon vers l'avant. Stachio
mais... Fait un Stachio. Tout fait du sang. Stachio. Il
était là, sans nutrir. Il était confortable. Il faisait des blagues.

Speaker 3 (54:55):
je peux peut-ĂȘtre y trouver des Malasades

Speaker 2 (54:58):
sa moustache devant toi c'est une moustache elle a son
moustache mais

Speaker 3 (55:06):
on s'était

Speaker 2 (55:06):
dit que

Speaker 3 (55:07):
le choix allait ĂȘtre sur le Supra puis une heure

Speaker 2 (55:10):
toujours pas de

Speaker 3 (55:11):
Supra il va falloir trouver un autre titre

Speaker 2 (55:14):
tu

Speaker 3 (55:14):
penses on

Speaker 2 (55:16):
y va

Speaker 3 (55:16):
dessus ok on lĂąche on lĂąche l'impact puis

Speaker 2 (55:21):
on

Speaker 3 (55:21):
s'en va à l'autre club du Québec

Speaker 2 (55:22):
Ouais, Supra, Supra, Supra, des annonces, des annonces, des annonces,
des annonces. Ils ont annoncé Nick DeSantis comme conseiller exécutif
et membre du conseil d'administration pour le Supra. J'ai entendu
son truc avec Tony Maranero au C-Podcast Média en français,
trÚs intéressant. Donc voilà, c'est pas un rÎle d'étudier comme

(55:45):
il dit. Il va peut-ĂȘtre dans le big picture, l'architecture
un peu.

Speaker 3 (55:49):
Mais

Speaker 2 (55:50):
il y a le mĂȘme

Speaker 3 (55:50):
rÎle avec Rose, parce que je suis allé voir le
site des

Speaker 2 (55:52):
Rose. Oui, c'est le mĂȘme rĂŽle. Il ne veut plus
ĂȘtre dans le jeu. Anyway, c'est le mĂȘme building. Ah,
c'est vrai qu'il y a le mĂȘme bureau, lĂ . Est-ce
qu'ils changent les logos pendant des jours? Mardi, c'est vous.
Et ensuite, ils ont officialisé l'annonce. Il n'y avait

Speaker 3 (56:08):
pas des magasins comme ça, des restos qui avaient comme
deux chaĂźnes, deux marques

Speaker 2 (56:13):
à cÎté

Speaker 3 (56:13):
de l'autre?

Speaker 2 (56:14):
Il n'y a pas une

Speaker 3 (56:15):
chalice suisse avec d'autres choses

Speaker 2 (56:19):
Saint-Hubert et Harvey, depuis qu'ils sont rachetés? Non

Speaker 3 (56:21):
mais il y avait vraiment ça, un concept. Les deux
brands en mĂȘme temps. Ils switchent

Speaker 2 (56:28):
Matteo Cabanets, Cabanets, je pense. Cabanets, directeur sportif et leader
des opérations. Et la famille CS à Saint-Laurent est encore là.
Nick Razaghi, qui est entraßneur-chef et manager. Quand j'ai vu ça,
et manager. Intéressant. FC Sopra, qu'est-ce que tu penses? T'es content?

(56:54):
Ça bouge, il y a des essais qui arrivent. Je

Speaker 3 (56:57):
suis content d'avoir de l'activité

Speaker 2 (56:59):
ça

Speaker 3 (56:59):
c'est clair.

Speaker 2 (57:00):
CPL, les playoffs, le draft arrive.

Speaker 3 (57:03):
Zéro surpris des nominations.

Speaker 2 (57:05):
Oui, on attendait qu'ils souffrissent. Tout le monde le savait.
En termes de ligue, il n'y a pas de ligue.
Le robinet est ouvert. Pour qu'il y ait un ligue,
il faut qu'il y ait une envie de bloquer l'information. LĂ ,
ils ont ouvert le robinet. Allez, venez vous servir Ă 
la fontaine. Mais j'ai envie d'enlever mes lunettes roses. Tu vois,

(57:26):
je n'en ai pas. Je n'ai pas de lunettes roses.
Je les vois comme ils sont

Speaker 3 (57:33):
Moi, j'entends les discours. TrĂšs impact.

Speaker 2 (57:44):
TrÚs impact 2012. C'est trÚs impact. On est là pour se développer,
mais il faut gagner. C'est comme le film 2012

Speaker 3 (57:53):
que je revois. Je ne sais pas si c'est bien
ou mal. Je n'arrive pas à me décider
Mais je vois le potentiel... Je vois les risques, je
vais le dire comme ça.

Speaker 2 (58:07):
Je veux que

Speaker 3 (58:07):
ça marche.

Speaker 2 (58:08):
Moi, je veux que ça marche. Je veux... Tu vois
les risques de l'impatience que tu as vu au passé.
C'est ça que tu vois.

Speaker 3 (58:15):
Et des conséquences. Parce que, regarde, moi, je veux que...
Si je pouvais avoir une baguette magique, Supra gagne, va
en finale, puis il passe proche de gagner, il gagne. Moi,
c'est ça que je veux qu'il arrive, OK? Ouais. Mais,
what if? S'ils finissent dernier et qu'ils ont juste deux victoires,
est-ce que ça va faire mal d'avoir une équipe composée

(58:37):
d'un local et qu'ils mangent une volée?

Speaker 2 (58:39):
Oui, mais

Speaker 3 (58:41):
c'est correct. Non, ce n'est pas correct. Non, ce n'est
pas correct. Parce que si ça se passe super mal,
je ne sais pas si je ferais autrement, mais ils
ont décidé de partir cette organisation avec des gens qu'ils connaissent.
Certains vont dire avec leurs amis. C'est normal aussi, pour
débuter quelque chose, tu y vas avec du monde que

(59:02):
tu as déjà des affinités, puis tu sais que ça
va marcher parce que tu as déjà travaillé avec. Mais
si tu te plantes comme il faut, tu vas entendre
les critiques que l'Impact avait à l'époque. C'est juste un
club d'Italiens pour des Italiens. Il va y avoir tellement
d'attaques que j'ai dĂ©jĂ  entendues. Ça ne me tente pas

(59:25):
que le supras vive ces attaques-lĂ . Je ne veux pas
qu'ils disent« Les gars, ils ont vraiment pensé qu'ils allaient
faire des belles performances avec des joueurs de Ligue 1, de Ligue 2,
puis 2-3.»« Ils les

Speaker 2 (59:38):
battent, mon fils. Je les ai vus Ă  l'anodiĂšre. Mon
fils les a battus. Les rangs centrales, mon fils les
a mis dans la pocket.»«

Speaker 3 (59:51):
On a entendu ça.» Tout le temps, on sent Claude
Ropillard quand l'Impact jouait. Moi, je n'ai pas peur

Speaker 2 (59:58):
pour eux
Est-ce que ça va les impacter qu'ils ont dit ça?
Parce que si tu perds des matchs, que le gars
te dit genre« Ouais, c'est un club d'Italiens, puis ils
sont nuls.» Mec, j'ai perdu quand mĂȘme, ça ne change
rien à ma vie. C'est plus comment gérer cette pression-là.
On n'a pas la pression externe que tu t'inventes aussi
en partie pour dire« Ouais, je vais paniquer.» Moi, je
ne veux pas qu'ils virent le coach aprĂšs six mois
parce qu'ils ne gagnent pas des matchs. C'est un club d'expansion.

(01:00:20):
Tu te souviens

Speaker 3 (01:00:21):
de ce que je t'ai dit quand il y avait
la présentation du club?

Speaker 2 (01:00:28):
Oui, tu m'avais dit les mĂȘmes personnes vont faire plus. Oui,
c'est ça que tu m'as dit. Les mĂȘmes personnes vont
faire plus, je me rappelle. Oui, c'est

Speaker 4 (01:00:36):
ça

Speaker 3 (01:00:39):
que tu disais. Ça t'a marquĂ©. Ce que je t'ai dit,
c'est aujourd'hui, Aujourd'hui, c'est le jour 1 oĂč ils vont commencer
à se créer des ennemis. Oui, oui, c'est normal. Maintenant, là...
Il y a des gens qui Ă©taient prĂȘts Ă  leur
entrée dedans. Ils ont choisi Nick Razaguet. Tous ceux qui
pensaient ĂȘtre meilleurs que lui, ils attendent juste pour le planter.

(01:01:00):
MĂȘme chose pour MathĂ©o. MĂȘme chose aprĂšs pour les assistants.
Il va avoir juste ça. Parce que si... Si... S'ils
n'arrivent pas à une façon d'intégrer dans leur processus décisionnel
des gens de l'outside
l'outside va les attaquer, man.

Speaker 2 (01:01:22):
Oui, mais ça donne quoi qui les attaque? Si ça marche,
on n'a pas besoin de vous. Si ça ne marche pas,
ça n'a rien changé. On a perdu à New Wave.
Qu'est-ce que ça va faire? C'est plus, comment tu disais,
cette pression externe.

Speaker 3 (01:01:33):
Toi, tu disais aussi bien mourir de ta façon que
de mourir d'une façon d'une autre personne

Speaker 2 (01:01:40):
Oui, d'une façon, oui. Parce que je me dis, ils
ont fait ce choix-là. ils sont excités je lui dis
regarde t'as une suite sportive c'est pas les gens de
la NaudiÚre ou de Blainville ou d'Avcélava qui sont venus
faire le projet c'est Céa Saloran qui a poussé ça
via Rocco Pacentino Rocco Pacentino l'a poussé et il dit
je vais utiliser mes gars de Céa Saloran parce que
c'est un club qui est une référence au Québec les

(01:02:02):
autres clubs peuvent dire la mĂȘme chose on est aussi
une référence au Québec c'est ça donc exactement donc maintenant
moi j'ai vu ce qui n'est pas d'impatience Parce que
si tu me dis que tu veux gagner, ils l'ont dit,
Rocco et Nick, on veut gagner, mais de la bonne façon,
la bonne façon demande du temps. J'espÚre juste qu'ils ne

(01:02:22):
surestiment pas la CPL comme ils ont surestimé la

Speaker 3 (01:02:25):
MLS. L'impatience venait de oĂč pour un Chenin Pack? Nick
aussi était impatient, Milton. Joey

Speaker 2 (01:02:33):
était impressionnant, mais Nick était aussi

Speaker 3 (01:02:36):
Nick était impatient à cause de qui? Parce que quelqu'un
arrivait Ă  son

Speaker 2 (01:02:38):
propos. Oui, c'est vrai. Je pense. Oui, parce que Nick,
quand je parle, il est beaucoup plus Il est beaucoup
plus posé, mais il y a des exigences aussi

Speaker 3 (01:02:49):
LĂ , on va faire de la pop psycho. Quand tu
vis une méchante débarque, tu changes aussi un peu.

Speaker 2 (01:02:57):
Je pense

Speaker 3 (01:02:57):
que Nick a vécu une grosse claque sur la

Speaker 2 (01:03:00):
gueule. Je l'ai retrouvé avec Tony. Il était encore 10. C'est
un chapitre de ma vie. Tu sais qu'on a fait
l'entrevue avec lui l'an dernier. Oui, c'est ça. C'était encore chaud.
C'était frais parce que le tome l'a renommé, Inés Opiati.
Il n'Ă©tait pas bien. Il n'Ă©tait pas bien. Ça l'emmerde.
Je ne sais pas s'il va avoir la mĂȘme impatience

Speaker 3 (01:03:21):
Je ne sais pas, mais il va avoir du bitchage

Speaker 2 (01:03:24):
pour la police. Maintenant, quelle est son influence sur Rocco,
Placentino et Matteo? Ça, c'est à voir. C'est quoi son
influence sur eux? Parce que si c'est Rocco qui rend
le choix avec Matteo, tu sais, parce qu'il est un
président du club CPL, c'est cool. Mais Rocco, il ne
va pas passer son temps Ă  faire du marketing et
serrer des mains, puis faire le budget, lĂ . Il va
Ă  Rocco parce qu'il va ĂȘtre impliquĂ© dans le D2D Ă©normĂ©ment, lĂ .

(01:03:45):
C'est sa job à temps plein, je suis pas mal sûr.
Il ne va pas décider des chaussettes, là, et du logo,
oĂč est-ce qu'il va se placer, mais...

Speaker 3 (01:03:54):
Comment tu vas critiquer ce club-lĂ ? Est-ce que tu vas ĂȘtre...
Est-ce que tu vas, avec de la retenue, parce que
tu ne veux pas faire mal Ă  des gars que
tu connais, mais

Speaker 2 (01:04:06):
Mais ça dĂ©pend. Ça dĂ©pend Ă  quel niveau. Moi, je
ne connais pas ces joueurs de Ligue 1 Québec qui vont
jouer au Célestin Laurent, qui vont jouer au Supra. Je
ne les connais pas. J'en rĂšgle trĂšs peu. Je vais
me fier aux jeunes de... On s'en fout. On s'en fout.
Je vais les écouter. Ils vont venir ici, incha'Allah, au podcast.
Pourquoi pas? Expliquez-nous un peu. Je vais me référer à

(01:04:26):
Trédé Amégari. Je vais me référer à Julien. Je vais
me référer à Sid. Il y aurait plein de matchs
de Ligue 1. Je ne veux pas critiquer les individus. Parce que, mec,
il ne sait pas faire un contrĂŽle. Il sait faire
un contrĂŽle. Je ne le connais pas. Maintenant, si je
vois que, genre, il y a... Je me dis... Si
je vois qu'il se tape 10-0 contre Forge, OK, ça
peut s'expliquer, mais pas 10-0 contre Forge, c'est une sommité.

(01:04:47):
Je n'en fais pas 10-0. Ça dĂ©pend. Est-ce que j'en
regarde le big picture, j'en regarde l'individuel, j'en regarde la gestuelle,
j'en regarde la communication de ce que les gens disent.
J'ai peur. Moi aussi,

Speaker 3 (01:04:59):
c'est de quoi j'ai peur. Vas-y. J'ai peur. Maintenant qu'on
en parle tout ça et que ça processe dans ma tĂȘte, moi,
j'ai peur que Le Québec souffre. La réputation du foot
québécois souffre d'un échec. Non. Vu qu'on y va, all-in québécois.

(01:05:21):
T'es

Speaker 2 (01:05:22):
trop fataliste. Peut-ĂȘtre, peut-ĂȘtre. Je comprends ton point, mais t'es trop...
Il faut voir comment... Non, mais s'il faut que ça arrive,
ça va arriver pour le bien. Il faut que ça arrive.
Il faut que ça arrive, Newton. Il faut que ça arrive.
Parce que je pense qu'ils sont assez 
 Il y
a une certaine confiance qui flirte, qui peut-ĂȘtre mĂȘme dĂ©passe
la frontiĂšre de l'arrogance. On le voit un peu avec Rocco.

(01:05:47):
il faut que eux ils voient les gars qui y
croient le plus souvent oui et puis ils y croient
parce qu'ils savent ils disent on voit les joueurs québécois
qui jouent on voit les coachs québécois qui coachent en
CPL on voit les joueurs qui ont des produits oui
ils vont pas Ă  chaque fois sortir de la carte
de Connay de Bombito c'est Bombito c'était sur un malentendu
là c'est un miracle qu'ils ressortent comme ça là et
Connay aussi c'est quasiment un miracle entre guillemets ou Julien

(01:06:09):
Thunville-Simple et les autres mais pour dire je pense qu'ils
voient la ligue ils disent ok On voit les joueurs
qu'on a. Je pense qu'on peut avoir une bonne équipe compétitive. Intéressante.
C'est pour ça que

Speaker 3 (01:06:22):
j'aurais voulu avoir un peu de... Peut-ĂȘtre que ça s'en vient.
Je voudrais voir un peu de CPL dans leur groupe. LĂ ,
ce n'est pas du CPL. C'est du Ligue 1. C'est des gars...
C'est un groupe de Ligue 1 qui dit« Ouais, on est
aussi bons que vous autres.» Il n'y a personne

Speaker 2 (01:06:38):
de Ligue 1 qui dit«

Speaker 3 (01:06:39):
Attends une

Speaker 2 (01:06:41):
minute

Speaker 3 (01:06:41):
là. On parle de 2012.»

Speaker 2 (01:06:43):
On dit, c'est l'impact 2012. Nick, Adam Braz, etc. Parce que
tu te souviens, parce qu'ils disaient, nous, on est aussi
bons

Speaker 3 (01:06:49):
C'est ça,

Speaker 2 (01:06:49):
on est

Speaker 3 (01:06:50):
aussi bons. On

Speaker 2 (01:06:50):
peut

Speaker 3 (01:06:50):
prendre une Ă©quipe et on va ĂȘtre aussi bons.

Speaker 2 (01:06:52):
Et Jesse

Speaker 3 (01:06:53):
Marsh est arrivé et a dit, attention, moi, j'arrive de MLS,
vous n'ĂȘtes

Speaker 2 (01:06:55):
pas si bons que ça

Speaker 3 (01:06:56):
Oui,

Speaker 2 (01:06:57):
mais ils

Speaker 3 (01:06:57):
n'étaient pas si mauvais que

Speaker 2 (01:06:58):
ça aussi. Non. Et c'est là

Speaker 3 (01:06:59):
que

Speaker 2 (01:07:00):
Jesse

Speaker 3 (01:07:00):
Marsh a apporté son

Speaker 2 (01:07:02):
Je pense que Jesse Marsh, on ne savait pas encore
que c'était un cerveau. Il était en formation,

Speaker 3 (01:07:07):
lĂ , mais...

Speaker 2 (01:07:08):
Oui, mais... Tu as

Speaker 3 (01:07:11):
vu comment ça finit? C'est

Speaker 2 (01:07:13):
qu'aprĂšs un

Speaker 3 (01:07:13):
an, Jesse Marsh a dit« Non, non, vous continuez avec
votre philosophie. Bye. Je m'en vais

Speaker 2 (01:07:19):
C'est fou d'avoir des principes comme ça et de les suivre.
C'est rare. Moi, j'y respecte

Speaker 3 (01:07:25):
Moi, j'ai pensé à un gars qui pourrait aller chercher.
J'en ai parlĂ©. J'en ai-tu parlĂ©? C'est peut-ĂȘtre Ă  toi
que j'en ai parlé. Pense à un gars... Pense un pack, OK?
Pense Montréal. Bon, il y a les contraintes. Un Québécois
ou un joueur de culture québécoise ou un joueur qui...

(01:07:48):
Tu sais, le Québécois large, OK? Il dit,« Oh, lui,
il rentre parce que...»«

Speaker 2 (01:07:51):
Parce que les vacances à Charlevoix, ça compte aussi.» Non,
mais

Speaker 3 (01:07:56):
genre, c'est pas un Québécois de naissance, mais il fait
partie du foot québécois, donc go. Oui. Puis, je vais
te donner un dernier indice. Traite 2012, traite Nick DeSantis, c'est
la colonne vertĂ©brale doit ĂȘtre forte d'une Ă©quipe. Ah! Milieu,
défenseur
gardien. Mais ça me semble coûter cher. Qui? Ah non,

(01:08:19):
je pense pas qu'on parle du mĂȘme gars. Qui pourrait
annoncer comme signature que tout de suite, les gens feraient« Oh, OK, OK,
il y a Québec, oui, mais il y a Québec
comme ça, oui, bonne idée, go, on y va.»

Speaker 2 (01:08:31):
Pas qu'il va coûter cher, mais... Et c'est

Speaker 3 (01:08:33):
une stratégie que Nick a déjà... Je suis allé vérifier.
Nick avait fait ça comme stratégie, comme joueur, comme type
de joueur pour sa ligne centrale. Allez.

Speaker 2 (01:08:46):
Je pense que tu m'en as parlé. Est-ce que c'est
Evan Bush? Oui, c'est à toi que j'ai parlé. Oui, oui, oui.
Ça coĂ»te cher

Speaker 3 (01:08:54):
Pas tant. Il gagne 100 000 présentement.

Speaker 2 (01:08:56):
Ils vont donner 100 000 Ă  Garden Butte, titulaire? Je ne connais
pas le budget CPL. Je connais

Speaker 3 (01:09:02):
le... Il peut donner 100

Speaker 2 (01:09:03):
000

Speaker 3 (01:09:04):
Il faut donner 100 000 Ă  un gars. Je ne sais pas
si ça l'intĂ©resse. Ça, c'est un gros Ă©lĂ©ment. Si tu
vas chercher Evan Bush, puis lĂ , tu dis 100 000 Ă  un goaler,
tu ne donnes pas 100 000 Ă  un goaler, tu donnes 100 000 Ă 
un vétéran. qui assurent une certaine qualité,

Speaker 2 (01:09:27):
rigueur à ton équipe professionnelle. Tu donnes 10% de ta
masse salariale Ă  un gardien de lutte qui n'est plus
titulaire en MLS depuis longtemps.

Speaker 3 (01:09:35):
Tu donnes un gars qui va établir des standards.

Speaker 2 (01:09:39):
C'est possible. Mais ce genre de move-lĂ , de l'externe, les
gens qui ne voient pas, ou mĂȘme les gens qui
voient un peu le foot ici, ils vont se dire« Nathan,
tu es en train de créer les conditions qui te
font peur. On va enterrer le foot québécois. Il se
peut que tu es en train de donner un peu

(01:10:00):
de

Speaker 3 (01:10:00):
 » Qu'est-ce que tu veux dire par

Speaker 2 (01:10:02):
ça? Comment dire? La situation qui te fait peur, si
ils se plantent, on va rire du foot québécois, c'est
une grosse passe noire. Est-ce qu'un mot comme Evan Bush
serait peut-ĂȘtre un peu de mettre de lui sur le feu? Non,
on

Speaker 3 (01:10:20):
va chercher... mettons que ta premiĂšre annonce, c'est un nom
que tu connais de qualité. Tu annonces tout de suite
Evan Bush. OK
Ce n'est pas juste des gars qui jouent dans les
parcs présentement. C'est des gars... Bon, il est deuxiÚme gardien
en MLS, il devient premier gardien CPL. Ben oui, c'est normal.

(01:10:43):
C'est un, OK, Québécois, mais oui, il a évolué. Il
a commencé sa carriÚre grùce à l'Impact de Montréal. Donc,
il produit du

Speaker 2 (01:10:51):
foot

Speaker 3 (01:10:52):
québécois à la fin. C'est pas fou. Je ne

Speaker 2 (01:10:53):
connais pas sa sous-tombe personnelle. Peut-ĂȘtre lui, il est revenu
chez lui en Ohio. C'est peut-ĂȘtre pour ne pas y rester. Non, non.

Speaker 3 (01:11:00):
Ça, c'est un cas aptĂ©. J'ai pris pour acquis qu'il
allait dire oui. Mais

Speaker 2 (01:11:05):
moi, c'est

Speaker 3 (01:11:05):
plus dans le profil. Qu'est-ce qui est plus marquant comme
premiĂšre annonce? Est-ce que tu annonces un Evan Bush ou, mettons,
Rida Zouir? Ou tu annonces un Twally ou un Kwame?

Speaker 2 (01:11:16):
Ou un Ryan Areslie, ou s'il veut venir. Regarde, je
vois ce que tu veux dire. Evan Bush, il faut basiquement,
s'il est encore en chip, c'est intéressant. Le seul avantage
que je vois pour le début, ça a été un
bon hype mĂ©diatique. Le retour de l'enfant adoptĂ©. Ça a
duré deux semaines, le hype. AprÚs, bon, il faut gagner
des matchs. C'est toujours plus que n'importe quel autre joueur. Oui,

(01:11:39):
mais aprĂšs, il faut gagner des matchs. OK, c'est cool. Oui,
ce n'est pas fou. Evan Bush, quand on l'a parlé,
je dis oui, je ne suis pas en désaccord. Ce
n'est pas fou. Mais oui, c'est ça. Oui, oui, je
suis d'accord. Je suis d'accord. J'ai un autre cas d'écart
pour toi. Mais lui,

Speaker 3 (01:11:56):
il ne viendra pas. Il ne viendra

Speaker 2 (01:11:58):
pas? Attends, OK.

Speaker 3 (01:11:59):
On va jouer un jeu. Je vais essayer de le devenir. LĂ ,
tu veux un Québécois qui ne viendra

Speaker 2 (01:12:02):
pas? Non, non, non. Un joueur pas québécois. Mais tiens.
Il faut que ça fitte les conditions.

Speaker 3 (01:12:09):
Oui, oui,

Speaker 2 (01:12:09):
oui. Il respecte les conditions? Oui, oui. Il est au
Québec

Speaker 3 (01:12:13):
Donc, tu veux un joueur européen qui joue en Europe
présentement

Speaker 2 (01:12:18):
Non. Qui joue en Amérique du Nord. Qui a joué
à Montréal? Entre 2012 et 2023, là, whatever. Ou 2022. Tu veux le poste?
Tu vas dire que tu vas rire de moi, c'est impossible. Âge, salaire,
oublie ça.

Speaker 3 (01:12:37):
Jusqu'à 2022, il a joué à Montréal

Speaker 2 (01:12:42):
J'ai pas dit s'il a joué tÎt en 2012 ou vers 2022,
mais il a joué durant les... Voilà. OK, aprÚs la pandémie. Allez,
je vais t'aider, lĂ .

Speaker 3 (01:12:52):
Il a joué aprÚs la pandémie?

Speaker 2 (01:12:53):
Oui, CF MontrĂ©al. Édition CF MontrĂ©al. Ce n'Ă©tait pas n'importe.
Tu veux que Kyoto

Speaker 3 (01:12:58):
arrive

Speaker 2 (01:13:00):
Non, attaquant. Tu n'es pas loin

Speaker 3 (01:13:02):
Tu veux que Kyoto revienne? Tu n'es pas loin. Tu
n'es pas loin de Kyoto. Attaquant. Lassé. Lassé. Il pourrait
ĂȘtre trop blessĂ©. Non, tu vas rire de moi. Tu
vas

Speaker 2 (01:13:16):
rire

Speaker 3 (01:13:16):
de moi. Tu vas rire de moi. Lui, il aimerait
ça revenir. Mais oui. Oui, oui, oui.

Speaker 2 (01:13:25):
C'est

Speaker 3 (01:13:25):
vraiment... Je ne sais pas si ça rentre dans les...
C'est une liaison. On commence à checker, voir si ça

Speaker 2 (01:13:32):
respecte les conditions. C'est-Ă -dire que les conditions sont peut-ĂȘtre trop
floues et trop... MĂȘme Nick, il Ă©tait un peu... Avec Tony,
il a dit le plus possible. Oui

Speaker 3 (01:13:42):
toi aussi, tu as remarqué

Speaker 2 (01:13:44):
Je dis le plus possible. Je pense que dans le fondement,
on peut avoir 23 joueurs québécois avec le qualité qu'on a.
Mais le but, c'est d'avoir le plus possible parce qu'il
y a la réalité du transfert et du terrain à
la compétition.

Speaker 5 (01:13:56):
VoilĂ , c'est fini. Pourquoi te

Speaker 2 (01:13:58):
mettre dans ça? Broguia

Speaker 3 (01:14:00):
on pourrait y revenir. Pourquoi pas? Il ne joue pas
du

Speaker 2 (01:14:06):
tout. Entre Broguéa, David Chouanier... Le problÚme

Speaker 3 (01:14:09):
c'est les salaires. Je ne sais pas ce qu'il peut
gagner en Europe versus

Speaker 2 (01:14:14):
Le problĂšme, c'est que... C'est quoi, c'est un minimum? 30 000 Canadiens?

Speaker 3 (01:14:17):
Oui,

Speaker 2 (01:14:17):
je l'ai fait

Speaker 3 (01:14:18):
au

Speaker 2 (01:14:19):
tableau

Speaker 3 (01:14:19):
Ça va rouler entre à peu prùs 30 000 et 60 000.

Speaker 2 (01:14:22):
Il faut que ton corps de joueur qui joue bien
fasse du 50 000 Ă  60 000. Tu n'auras pas des meilleurs... Ton corps, 8
joueurs qui gagnent 100 000. Sinon, tu n'as plus d'argent

Speaker 3 (01:14:32):
Oui, c'est ça, exact.

Speaker 2 (01:14:33):
Il faut que tu aies du jeune diplÎmé, bachelier, ingénieur.
Je crois que les gars

Speaker 3 (01:14:38):
acceptent d'ĂȘtre quatre dans le mĂȘme appart. Si tu aimes
ĂȘtre seul dans un appart,

Speaker 2 (01:14:45):
Oui,

Speaker 3 (01:14:45):
compliqué.

Speaker 2 (01:14:46):
Vous avez partagé la PlayStation, OK?

Speaker 3 (01:14:50):
Mais j'ai hñte, j'ai vraiment hñte d'avoir les joueurs. Ça
me fait du bien mentalement

Speaker 2 (01:14:54):
d'avoir une autre équipe. J'ai une question. Est-ce que le feeling,
si il y a un feeling trĂšs positif pro-Supra, est-ce
qu'il est pro-Supra Ă  80%? Est-ce que c'est un sentiment
pro-Supra Ă  100%? Ou est-ce que tu penses qu'il y
aurait un sentiment mix entre du pro-Supra et du anti-Surf Montréal? Maintenant,
le anti, c'est comme tu veux. C'est pas un anti

(01:15:14):
j'en ai marre, anti jamais aimé, anti parce que je
suis un hater. Le anti peut ĂȘtre un anti positif
ou un anti trÚs négatif.

Speaker 3 (01:15:22):
Je ne sais pas les pourcentages, mais je pense qu'il
va y avoir un plus gros pourcentage pro-Sproc anti-Montréal. C'est
mon point de vue

Speaker 2 (01:15:36):
Je pense aussi. Quand j'entends parler les différents gens du club,
ils n'attaquent pas le savant. Au contraire, ils disent qu'on
veut travailler avec eux. Mais la façon dont ils veulent travailler,
je pense qu'ils veulent vraiment se montrer qu'on peut faire
ça d'une autre façon. Maintenant qu'on est maßtre de notre

(01:15:59):
propre destin, quoiqu'il y a des propriétaires derriÚre Rocco Pacino
lĂ  aussi. Je pense qu'il y aura une envie de... OK.
Our way was supposed to work. Notre façon de faire
aurait dĂ» marcher. Ça a failli marcher plusieurs fois. Mais lĂ ,
on n'a plus le... Pas le spectre, mais l'ombre. Mais...

(01:16:22):
Cette

Speaker 3 (01:16:22):
concurrence locale de façon de faire, c'est... Ça va changer
des choses. C'est clair.

Speaker 2 (01:16:29):
C'est clair. Parce que je pense que s'il y a
une distinction entre les deux clubs quand ils travaillent, je
pense qu'il y aura des... Je pense qu'il y a
des chances qu'il y ait des écoles de foot, des
écoles de pensée de foot trÚs distinctes. Il se peut.
Si vraiment... le Supra est capable de se distinguer comment
il travaille, que ce soit le modĂšle d'affaires, que ce
soit le modĂšle de vente de joueurs, le modĂšle d'achat,

(01:16:51):
que ce soit le modĂšle de scarting, que ce soit...
Il y a le plus gros

Speaker 3 (01:16:53):
défi qu'il peut avoir,

Speaker 2 (01:16:54):
c'est le petit

Speaker 3 (01:16:55):
dĂ©fi. Oui, mais c'est ça. À l'Ă©poque, MontrĂ©al est arrivĂ©e
en MLS avec... avec une hystĂ©rique d'ĂȘtre un grand club
parce qu'ils avaient un grand budget. Les autres, ils voyaient
un bon joueur et allaient le chercher. Est-ce qu'ils avaient
la meilleure philosophie de jeu ou ils avaient juste le
pouvoir d'aller chercher les meilleurs joueurs?

Speaker 2 (01:17:14):
C'est ça

Speaker 3 (01:17:15):
Là, Saint-Laurent, c'est un peu ça. Ils

Speaker 2 (01:17:18):
avaient la réputation. Ils étaient capables d'aller

Speaker 3 (01:17:21):
chercher, etc. Là, c'est plus ça. Ils sont les petits
dans une autre ligue.

Speaker 2 (01:17:25):
Mais c'est pourquoi je suis inquiet un peu par l'impatience
parce que moi, j'espérais et j'espÚre que le FC Supra
Je vais faire des comparaisons un peu boiteuses, mais pensez
Ă  l'esprit de la comparaison. J'espĂšre... Tu sais, comme on dit,
tu as dĂ» le voir dans les documentaires quand tu
étais plus jeune, l'école de foot nantaise, l'UFC Nantes. J'aimerais

(01:17:49):
que l'AFC Supra soit... qu'on parle de ce club de
cette façon-là. C'est... C'est

Speaker 3 (01:17:56):
impossible

Speaker 2 (01:17:58):
Moi, je pense que c'est possible. Je pense justement que
c'est le mandat de l'AFC Supra.

Speaker 3 (01:18:01):
Sans Académie, c'est impossible.

Speaker 2 (01:18:03):
Oui, oui, mais dans le cadre de... C'est pourquoi je
dis que c'est boiteux, mais dans le cadre de cette

Speaker 3 (01:18:10):
ligne

Speaker 2 (01:18:10):
La

Speaker 3 (01:18:10):
seule façon que ça peut arriver, sauf, c'est que le
sport devient le porte-étendard du foot québécois. Mais c'est ça
qu'ils vont ĂȘtre, c'est ça qu'ils vont ĂȘtre par dĂ©faut.
Je pense que c'est ça qu'ils veulent ĂȘtre. Oui, mais
ce n'est pas grĂące Ă  eux. Eux autres, ils ramassent
le produit québécois, puis ils deviennent la vitrine.

Speaker 2 (01:18:28):
Oui, mais ce club-là est fondé par des gens qui
viennent de la formation québécoise. Donc, ils savent comment ça marche.
Il

Speaker 3 (01:18:38):
faut des nanans, il faut des goodies pour

Speaker 2 (01:18:40):
ceux qui le donnent. Ça, c'est le modùle d'affaires dont
je ne sais pas. S'il y a

Speaker 3 (01:18:46):
trois gars, si l'anodiĂšre... Si l'anodiĂšre... Il faut devenir un
partenaire au Supra. Il faut que les autres, ils ont
un bĂ©nĂ©fice Ă  ĂȘtre partenaire au Supra. Il faut que
quand le joueur arrive avec la marque Lanosa,

Speaker 2 (01:19:01):
la mĂȘme

Speaker 3 (01:19:02):
chose avec Longueuil et tout, tu sais.

Speaker 2 (01:19:03):
Il faut demander Ă  Bobby, c'est qui, c'est le de plus.
C'est quoi l'avantage du CMRO, CMRO, CSMRO, autre mot Montréal,
les Griffons. Quel est l'avantage des Griffons de s'associer aux Forges?
C'est quoi qu'ils ont comme avantage financier ou autre, ça
je ne sais pas. Mais moi, je trouve que j'aimerais bien,
je parle footballistiquement, que quels que soient les résultats, qu'il

(01:19:25):
y ait une façon de jouer distincte, pour ne pas
faire référence au référendum, mais distincte et vraiment unique et
qui est réplicable, quels que soient les joueurs. Oui, ils
auront des vétérans qui auront 26, 27, 28 ans, mais je pense que
quand tu as des gens qui sont en post-formation ou semi-pro,

(01:19:45):
ils sont encore en formation, tu peux encore les roder.
J'espĂšre que c'est un club qui va aider pour finir
Ă  roder ces joueurs et pas seulement... les prendre pour
oui on est lĂ  pour gagner des matchs oui tu
peux gagner des matchs mais j'espÚre que j'aurai cette référence
au FC Nantes les années 90 éventuellement dans le futur pour
l'FC Supra pas maintenant mais j'espÚre qu'ils travaillent pour ça
c'est ce que j'espĂšre encore une fois je ne suis

(01:20:06):
pas un gars de foot juste un fan qui va
en Écosse qui va en Écosse c'est-tu

Speaker 3 (01:20:12):
notre premier

Speaker 2 (01:20:13):
show oĂč on parle de deux clubs oui il ne
manque plus que Rose

Speaker 3 (01:20:20):
On va se faire attaquer.

Speaker 2 (01:20:21):
On ne nous a pas invité au documentaire. Il

Speaker 3 (01:20:25):
y a eu un documentaire d'Eros?

Speaker 2 (01:20:26):
Oui, il y avait un truc de documentaire, j'ai vu.
Ce n'est pas grave, j'aurais dit non parce que j'étais
au promo. Je dis merci, mais désolé, je ne peux pas.
Je blague, je ne suis pas hate, au contraire. Non,
j'ai vu, je pense, les sites. Il y a d'autres
gens qui ont Instagramé. Ils ont sorti un documentaire sur
la ligue et je pense qu'ils font des visionnements un
peu partout. Différents marchés du soccer féminin canadien national. ouais

Speaker 3 (01:20:51):
ça va ĂȘtre ça mon soft pour cette semaine ouais
je pense pour le mois on

Speaker 2 (01:20:58):
est 31 octobre c'est la fin du mois allez bon week-end
on n'oublie pas Je ne veux pas hésiter. Je viens
de voir Osorio. Il faut en parler, mec. Il faut

(01:21:19):
en parler. Je l'aime bien, mais... Il n'est pas québécois.
Il ne rentre pas dans notre plan. Allez, ciao, ciao. Allez,
ciao Ă  tous.
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