Dans cette chronique de La climato sympathique, nous explorons l’approche innovante de l’architecte Marie-Chantal Croft en matière de développement durable. Connue pour des réalisations emblématiques telles que l’édifice du Diamant à Québec , Marie-Chantal Croft milite pour la réhabilitation des bâtiments existants plutôt que leur démolition systématique. Elle souligne que cette pratique, encore trop répandue au Québec, contribue à une empreinte carbone élevée en raison de la production de nouveaux matériaux de construction. 
En réutilisant et en adaptant les structures déjà en place, il est possible de préserver le patrimoine architectural tout en réduisant significativement les émissions de gaz à effet de serre associées à la construction. Cette approche s’inscrit dans une démarche plus large visant à repenser nos habitudes de consommation et à valoriser les ressources existantes.
L’article met également en lumière l’importance de sensibiliser les décideurs et le grand public aux avantages environnementaux et économiques de la rénovation. En adoptant une telle perspective, le Québec pourrait non seulement protéger son héritage architectural, mais aussi jouer un rôle clé dans la lutte contre les changements climatiques.
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