Dans cette chronique, Isabelle Bérubé, la climatosympathique, nous ramène en 1988, à l’époque où les biphényles polychlorés (BPC) faisaient la une de l’actualité. Ces substances toxiques, autrefois largement utilisées dans l’industrie pour leurs propriétés isolantes et ignifuges, ont rapidement été reconnues pour leurs effets néfastes sur l’environnement et la santé humaine.
Aujourd’hui, 37 ans plus tard, leur présence importante dans l’est de Montréal refait surface et soulève de sérieuses inquiétudes. Comment ces contaminants persistent-ils dans notre environnement ? Quels sont les risques pour la population et la biodiversité ? Isabelle Bérubé nous explique pourquoi ce problème n’a jamais vraiment disparu et ce que cela signifie pour l’avenir.
À travers cette chronique, elle nous invite à une réflexion sur la gestion des déchets toxiques, la pollution industrielle et les responsabilités politiques et environnementales. Un retour en arrière nécessaire pour mieux comprendre les défis d’aujourd’hui et l’importance de rester vigilants face aux menaces invisibles qui nous entourent. Une écoute essentielle pour ceux qui s’intéressent à la protection de notre planète et à la santé publique.